dimanche, juillet 31, 2022

Des prédateurs sont derrière l'éco-catastrophisme et le culte de la nature



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Pub du WWF ou Fonds mondial pour la nature, 2009.


2 Octobre 2009 :

La gouvernance mondiale, la dictature tapie dans l’ombre, ne tardera pas à surgir au grand jour. Depuis plusieurs années, elle utilise la peur du chômage, du terrorisme, du dérèglement climatique, des pandémies pour manipuler les populations. Le matraquage anxiogène des médias, la culpabilité et aussi l’espoir sont les "ingrédients" de l’endoctrinement de masse.

La dictature globale a besoin d’un mythe qui galvanise, subjugue et endoctrine comme le nazisme se servait, études soi-disant scientifiques à l’appui, de l’absurde mythe de la supériorité raciale des Aryens. Un mythe est en passe de devenir la religion officielle de la tyrannie globale annoncée par Minc, Attali et les autres. Ce mythe se sert aussi de la science pour s’imposer.

L’éco-catastrophisme et le mythe du retour au paradis terrestre ont la faveur des médias et de la gouvernance mondiale. Il ne fait aucun doute que les graves problèmes environnementaux, générés par une minorité de profiteurs, sont utilisés pour angoisser et soumettre les populations à la religiosité de la nature, d’ailleurs présente dans le national-socialisme.

Cette religiosité émergera-t-elle de la mouvance du Nouvel Age et du "néo-bouddhisme" ?

Jacques brosse, auteur et pratiquant du Zazen déclare :

"L’engagement spirituel peut et doit être doublé par l’engagement écologique : ils sont complémentaires. […] Un vrai bouddhiste est de toute nécessité un écologiste". 

Prétendre qu’un vrai bouddhiste doit être un écologiste engagé est un mensonge. Le bouddhiste, qui vit le processus de déconditionnement de la véritable initiation, n’adhère à aucun système en vogue. Mais Jacques Brosse, qui est, comme beaucoup d’auteurs néo-spiritualistes prolixes, un agent conscient ou inconscient de la contre-initiation, doit mettre en avant la nouvelle religiosité mondiale de la nature.

D’après les croyances et les pratiques du néo-spiritualisme, la nouvelle religion exaltera le domaine psychique et le confondra avec la dimension spirituelle. La religion mondiale, ignorant la transcendance, glorifiera la déification de la nature, les pouvoirs surnaturels, le scientisme œuvrant à l’immortalité… Au sommet de la hiérarchie politique et religieuse siégera le prêtre-roi, une sorte de dalaï-lama. On comprend mieux l’intérêt des élites et des loges d’occultistes pour la "théocratie" lamaïste.

A l’instar du lamaïsme, l’occultisme sera la raison d’être de la nouvelle religiosité. En effet, des pratiques occultes renforcent les énergies du double subtil du corps physique, le "corps-vajra" des lamas tibétains, perceptible seulement par ceux qui ont déjà obtenu un tel double. 

Qu’on ne s’y trompe pas, l’occultisme est élitiste. Et l’attention qu’il porte à la multitude est semblable à celle du prédateur pour sa victime. Ce sont bien des prédateurs qui mettent en place un nouveau féodalisme et une religion mondiale. Les seigneurs (saigneurs) du monde sont de redoutables occultistes dont le double énergétique insatiable vampirise les forces subtiles de leur cheptel humain.



Première mise en ligne, vendredi 2 octobre 2009 dans ce blog :
 "La religion de la nature".




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