dimanche, octobre 11, 2009

Les élites et la magie sexuelle



Initié au sein de l'Hermetic Brotherhood of Luxor et de la Fraternité Rosae Crucis, puis fondateur de la Fraternité d’Eulis, Pascal Beverly Randolph est connu des élites affiliées aux loges secrètes qui mènent le monde.

Auteur du livre « Magia Sexualis », Randolph expose des méthodes sexuelles qui régénèrent l’énergie vitale, renforcent la puissance magnétique et développent un pouvoir qui permet d’assujettir la femme à l’homme. Bien entendu, Randolph ne livre pas l’intégralité de sa doctrine magique dans son livre destiné au public.

La magie sexuelle n’est pas un anodin et original « Kama soutra » pour libertins blasés. Ses arcanes occultes conduisent les initiés les plus ambitieux à commettre des abominations. La magie sexuelle et la recherche des pouvoirs psychiques transforment promptement les initiés en monstres pervers, pédophiles et tueurs. Des magiciens ne reculent pas devant les sacrifices humains rituels pour satisfaire leurs ambitions et accroître leurs pouvoirs magiques.

Au Tibet, une confrérie de lamas criminels enlevait des femmes et des hommes pour les sacrifier au cours de cérémonies tantriques (ganâchakra pûja : le rite de l’orgie collective). Des maîtres, comme Marpo, « le Rouge », répandaient l’idée que le yoga consistait dans l’union sexuelle et que pour obtenir des siddhis (pouvoirs magiques), il fallait mettre à mort d’innocentes victimes.

Des lamas tibétains exposent ouvertement leurs considérations magico-sexuelles. Par exemple, la pratique de la phase d’accomplissement de Yamantaka est enseignée par des lamas qui ne dissimulent pas leurs penchants pour la pédophilie :

« Un moudra effectif n'est pas simplement visualisé, c'est une yogini entièrement qualifiée avec laquelle le yogi entre en union physique. Il est indispensable d'avoir recours à une partenaire effective quand vous souhaitez produire la claire lumière dans le contexte de l'esprit isolé, sinon la claire lumière ne sera pas aussi claire qu'elle l'est pour un mourant. Donc, au début de ce yoga il est nécessaire de s'en remettre à un moudra effectif pour développer la claire lumière, mais une fois que vous avez terminé cela, vous n'avez pas besoin d'un moudra effectif pour le provoquer à nouveau, vous pourrez y arriver à l'aide d'un moudra virtuel. [...]

Les moudras effectifs sont aussi présentés en fonction de la forme de l'orifice inférieur de leur canal central :

(1) En forme de lotus : l'orifice inférieur s'ouvre facilement, comme une fleur de lotus, parmi les moudras effectifs, cette femme est la suprême. Elle est belle, son visage est rond, elle a une voix agréable, une odeur plaisante se dégage de sa bouche et de son lotus, le bout de ses pieds est rond comme le dos d'une tortue et la plante en est plat comme le ventre d'une tortue.

(2) En forme de conche : l'orifice inférieur est en spirale, comme la coquille d'une conque, l'intérieur bosselé et elle porte un nez effilé.

(3) En forme d'éléphant : l'orifice inférieur décrit des cercles de gauche à droite, et son nez penche vers la droite.

(4) En forme d'antilope : l'orifice inférieur est comme l'ombilic d'un type particulier de cervidés ; il se referme sur lui-même et s'ouvre difficilement. Le bout de son nez porte une marque et elle est enrobée.

De ces quatre, le meilleur orifice inférieur est long, étroit et ferme ; et le pire est court, large et flasque. Le moudra effectif ne doit pas être plus jeune que douze ans ni plus âgé que trente, sinon son orifice inférieur ne sera pas apte à fonctionner convenablement. D'entre les femmes entre douze et trente ans, une de douze ans est ce qu'il y a de mieux et, si elle est versée dans les soixante-quatre disciplines de l'amour, elle sera la compagne parfaite pour acquérir les siddhis.

Il est capital de s'appuyer sur un de ces types de moudra effectif pour parvenir à la claire lumière d'exemple de l'esprit isolé. »

Cette pratique a été expliquée en Angleterre par Kyabje Serkong Rinpoche, à partir des enseignements de Kyabje Ling Rinpoche (1903 - 1983), senior des tuteurs de S.S. le XIVème Dalaï Lama, 97ème Gaden Tripa ( détenteur du trône de Gaden) et chef de l'école Guélougpa, un des quatre proches disciples de Pabongka Rinpoché.

(Jacques a traduit le texte)

La pratique de Yamantaka est enseigné de nos jours par le lamaïsme orthodoxe.

En marge du lamaïsme officiel, il existe des confréries secrètes qui se livrent au Nang-tcheud, au meurtre rituel de la magie rouge. Lors du rite tantrique, l’adepte tue sa partenaire afin de s’approprier de son double énergétique.

La mobilisation d’une partie de l’intelligenstia en faveur de Roman Polanski, incarcéré en Suisse à la demande des USA pour répondre du viol d’une enfant, indique le degré de déchéance morale de la société française. La perversité des « élites » s’affiche désormais sans complexe. Il devient de plus en plus clair que les forces infra-humaines de la corruption et du mal sont parvenues à infester toutes les sphères de la société.




Illustration : Yamataka copulant avec sa parèdre.



La grippe A, le début du chaos, le Tamiflu, Kouchner et les yogourts ont inspiré une chanson à Dany Moreau :
http://bouddhanar-6.blogspot.com/2009/10/la-grippe-en-chantant.html

Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...