jeudi, novembre 25, 2010

Contrôle


Email d’Ambre :

Des micro-puces dans des médicaments

"L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques."
"Mais la partie la plus effrayante à propos de ces micro-puces médicales est le fait que cette technologie sera utilisée afin de s’assurer que les gens prennent bien leur traitement. Les compagnies pharmaceutiques perdent des milliards de dollars par an (d’après elles) à cause des patients qui oublient de prendre leurs pilules. Bien entendu, l’une des raisons pour lesquelles ils oublient de prendre leurs pilules est qu’une grande partie des produits pharmaceutiques provoquent des dégâts aux fonctions cognitives, mais cela est ici hors-sujet."
à faire circuler et
merci de nous partager vos recherches sur ce sujet,
Ambre

Contrôle


Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes.

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes.
Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Comment sortir indemne de ce matraquage ?

D'autant que certaines méthodes, comme celle dite des "images subliminales" (normalement illégale), s'adressent directement à notre inconscient et déjouent notre défense critique. Cela peut avoir des conséquences graves pour l'économie domestique avec le développement du téléachat qui suscite des impulsions d'acquisition instantanées. Surtout si télécommande et carte de crédit sont couplées comme le proposent de récents gadgets...
La publicité et les techniques de vente, même les plus controversées, servent par ailleurs de modèle au discours politique, surtout en période électorale. Leur influence, en particulier celle du marketing politique, est considérable sur le citoyen à l'heure de choisir les dirigeants dans une démocratie d'opinion. Les techniques de vente, fondées sur des études très fines des marchés, se voudraient presque une science. Leur objectif : nous manipuler, nous faire consommer toujours plus. A cet égard, les stratégies mises au point dans les hypermarchés pour piéger le consommateur sont stupéfiantes.
Un hypermarché-laboratoire a même été construit à Saint-Quentin-en-Yvelines, près de Paris, afin d'étudier au microscope les comportements d'achat. Dans ce magasin expérimental, l'acheteur-cobaye est épié par une équipe de sociologues et de psychologues qui suivent tous ses gestes à travers des glaces sans tain ; son parcours, ses arrêts, ses hésitations sont minutieusement analysés. Même le chemin suivi par son regard sur les rayons est enregistré par l'Eye Movement Recorder, un système qui, par l'étude de la réfraction d'infrarouges sur la rétine, permet de déterminer quels articles ont été observés en premier sur un rayon et pendant combien de temps...
Ces observations et des enquêtes très fouillées sur les motivations d'achat vont permettre, grâce au concours d'architectes, de décorateurs, d'éclairagistes, de modeler l'espace intérieur des hypermarchés pour stimuler la consommation. Largeur des allées, taille des rayons, emplacements des produits, éclairage, couleurs, tout est calculé pour que le client ralentisse sa vitesse, s'attarde sur le maximum de produits et qu’en plus de l'indispensable, il achète le superflu.
Rien n'est laissé au hasard.
Un exemple : l'électroménager. Toujours situé à l'entrée, pour deux raisons : le caddie doit être vide pour pouvoir recevoir un gros emballage ; et son prix servira de référence, car tout le reste paraîtra moins cher... Même la musique d'ambiance est très étudiée pour que l'immensité des nefs commerciales n'effraie pas et soit rendue plus intime. En France, 60% des hypermarchés diffusent la même musique spécialement élaborée pour eux par une société qui, via satellite, couvre l'ensemble du territoire. Dans certains pays, cette musique contient des phrases subliminales, qui répètent aux clients extasiés : Ne volez pas ! Détendez-vous ! Faites-vous plaisir !
L'aliment des démagogues ADJUVANTS du discours publicitaire, les sondages fournissent renseignements et arguments supplémentaires sur les besoins de tous ordres des citoyens.
Ce que cherchent les sondeurs, c'est évidemment le pourquoi de nos actes, afin, si faire se peut, d'infléchir plus sûrement nos choix en leur faveur. Ils fouillent, sous de faux prétextes parfois, dans les comportements, les moeurs, les attitudes et dessinent le profil du consommateur-électeur moyen. Ils définissent ainsi l'opinion publique, reflet à peine déformé de l'information de masse et de la publicité. L'ensemble constituant une boucle qui circonscrit la norme sociale, le consensus et la conformité. En dehors, la déviance, l'anormalité. Les sondages établissent une nouvelle forme de conditionnement qui nous influence en douceur. En nous rappelant sans cesse le désir du plus grand nombre, ils nous suggèrent d'aller dans le même sens. Car les indécis se plient à l'avis de la majorité.
La volonté de renoncer à son indépendance, de troquer le témoignage de ses sens contre le sentiment confortable, mais déformant la réalité, d'être en harmonie avec un groupe, est bien entendu l'aliment dont se nourrissent les démagogues.

La technique de diversion

Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes.

La nouvelle censure

Le principe de base de la censure moderne consiste à noyer les informations essentielles dans un déluge d'informations insignifiantes diffusées par une multitude de médias au contenu semblable.
Cela permet à la nouvelle censure d'avoir toutes les apparences de la pluralité et de la démocratie.
Cette stratégie de la diversion s'applique en premier lieu au journal télévisé, principale source d'information du public.
De l'info sans infos...
Depuis le début des années 90, les journaux télévisés ne contiennent quasiment plus d'information. On continue d'appeler Journal télévisé ce qui devrait en réalité être appelé un magazine. Un J.T. moyen contient au maximum 2 à 3 minutes d'information. Le reste est constitué de reportages anecdotiques, de faits divers, de micro-trottoirs et de reality-shows sur la vie quotidienne.

Une censure sans censeurs

Toute la subtilité de la censure moderne réside dans l'absence de censeurs. Ceux-ci ont été efficacement remplacés par la loi du marché et la loi de l'audience. Par le simple jeu de conditions économiques habilement crées, les chaînes n'ont plus les moyens de financer le travail d'enquête du vrai journalisme, alors que dans le même temps, le reality-show et les micro-trottoirs font plus d'audience avec un coût de production réduit.
Même les évènements importants sont traités sous un angle « magazine », par le petit bout de la lorgnette. Ainsi, un sommet international donnera lieu à une interview du chef-cuistot chargé du repas, à des images de limousines officielles et de salutations devant un bâtiment, mais aucune information ni analyse à propos des sujets débattus par les chefs d'états. De même, un attentat sera traité par des micro-trottoirs sur les lieux du drame, avec les impressions et témoignages des passants, ou une interview d'un secouriste ou d'un policier.
A ces insignifiances s'ajouteront le sport, les faits-divers, les reportages pittoresques sur les villages de la France profonde, sans oublier les pubs déguisées pour les produits culturels faisant l'objet d'une campagne de promotion (spectacles, films, livres, disques...).

Information déstructurée pour mémorisation minimale

Les psychologues et spécialistes des neurosciences savent que la mémorisation des informations par le cerveau se fait d'autant mieux que ces informations sont présentées de façon structurée et hiérarchisée.
La structuration et la hiérarchisation de l'information sont aussi des principes de base enseignés à tous les étudiants en journalisme.
Or depuis 10 ans, les journaux télévisés font exactement le contraire, en enchaînant dans le désordre des sujets hétéroclites et d'importance inégale (un fait divers, un peu de politique, du sport, un sujet social, un autre fait divers, puis à nouveau de la politique, etc.) , comme si le but recherché était d'obtenir la plus mauvaise mémorisation possible des informations par le public. Une population amnésique est en effet beaucoup plus facile à manipuler...
La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles.

Plaire à tout le monde

D’abord, quand 60 millions de personnes vous écoutent simultanément à la radio, il est difficile de plaire à la fois aux banquiers, aux chasseurs, aux femmes au foyer, aux chômeurs, aux pacifistes, aux prolétaires et aux lapins.
Ensuite, il est difficile de continuer à entretenir les masses dans l’illusion si celles-ci, au contact du réel, peuvent découvrir qu’elles font l’objet d’une manipulation. Heureusement pour nos amis dictateurs, les nouvelles technologies de l’information permettent de résoudre ces problèmes. La possibilité de s’adresser à chaque internaute en adaptant automatiquement le discours produit permet d’atteindre le vieux rêve populiste : plaire à tout le monde. La dématérialisation des activités humaines, quant à elle, brouille nos repères et nous transforment en schizophrènes incapables de dissocier la réalité de l’univers virtuel. Les techniques de manipulation des esprits pourraient accoucher de cette psychocratie.
D’un point de vue historique, nous pourrions nous croire vaccinés contre les entreprises de désinformation. Malheureusement, notre organisation sociale et technique nous empêche de bénéficier d’un effet d’expérience collectif.
On s’étonne par exemple de ne plus se souvenir de la polémique, vite étouffée il est vrai, qui, au cours de la campagne présidentielle de 1988, avait désigné François Mitterrand et ses sbires comme les responsables d’un montage télévisuel destiné à favoriser le vote socialiste par l’incrustation, dans les génériques des journaux télévisés de France 2, d’images subliminales du Président candidat.
La profusion d’information, le nivellement des enjeux et le contrôle caché (quoique non centralisé) de ce gigantesque spectacle médiatique rendent illusoire la poursuite d’une quelconque vérité. Contraints de nous fier à notre intelligence, nous devons mettre en place les filtres techniques, sociaux et cognitifs qui pourront nous protéger des manipulations les plus évidentes.

La recomposition de nos appartenances et de nos références devient urgente.

L’atomisation sociale favorise les manipulations de toutes sortes. L’appartenance à des groupes cohésifs sert de rempart contre la propagande - par résistance du système des opinions individuelles lorsqu’il est soutenu par la sécurité de l’appartenance, et soumis, grâce aux échanges socio-affectifs, à un renforcement permanent. Mais ces groupes cohésifs, nous les avons éliminé les uns après les autres en détruisant systématiquement les castes, les tribus, les corps de métier, les patries, les familles, tous les ordres préexistants au choix individuel, et nous nous efforçons même de donner mauvaise conscience aux rares individus qui s’en réclameraient encore.
Nous ne pouvons plus compter sur la clairvoyance et la solidarité d’un équipage pour nous protéger contre les sirènes de la désinformation. Averti, Ulysse avait protégé ses compagnons en leur mettant des boules de cire dans les oreilles. Lui-même s’était fait enchaîner au mat.
Seul et sans lien, nous sommes aujourd’hui prêts à suivre le premier poisson venu, pourvu que son chant nous agréé.

Problème - solution

Cette méthode est aussi appelée Problème-réaction-solution.

On crée d'abord un problème, une situation prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

la stratégie du dégradé

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en dégradé, sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que tout ira mieux demain et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
Exemple récent: le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001.

S'adresser au public comme à des enfants

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro (les jours euro). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans.
Faire appel à l'émotionnel
Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.
"La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures.

Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...Stratégie particulièrement bien utilisée par Jack Lang !

Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système, l'individu s'auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action.

Expériences subliminales

L’imagerie fonctionnelle du cerveau constitue un axe privilégié de recherche. Des travaux ont été effectués concernant la mise en évidence des régions cérébrales sollicitées au cours de tâches cognitives inconscientes

Le jugement de préférence

Nous avons d’abord des préférences que nous justifions ensuite, que nous rendons rationnelles car l’entourage ne cesse de nous questionner sur nos choix, nos décisions, nos préférences, etc. Les critères ou les raisons de nos choix ne nous sont pas consciemment accessibles, aussi nous en inventons à nos propre yeux et aux yeux d’autrui. Une présentation subliminale de stimulus produit chez les sujets un jugement de préférence élevé qu’envers des stimuli non présentés. Même en l’absence de toute reconnaissance , les sujets ont une préférence pour les stimuli qu’ils ont rencontrés auparavant même si ces derniers ont été présenté de manière subliminale.

Le jugement d’autrui

Juger que nous ressentons une sympathie ou une attirance envers une personne serait soumis à de multiples facteurs internes et externes non accessibles à la conscience. Au niveau visuel, des chercheurs ont montré que nous réagissons positivement aux individus qui ont la pupille dilatée, et négativement lorsqu’ils ont la pupille rétrécie.
Ces informations, traitées en dehors de la conscience, affectent le jugement envers une personne que nous avons en face de nous.
On a réalisé une recherche expérimentale pour mettre en évidence un tel effet :
Quatre photos de jeunes femmes ayant la pupille dilatée et quatre autres photos des mêmes individus mais avec cette fois la pupille rétrécie ont été réalisées. L’ensemble de ces photographies étaient présenté à des sujets qui devaient les juger sur un ensemble de traits de personnalité. Les résultats sont éloquents : les photos des individus à pupille dilatée ont reçu davantage de descriptions positives et ceux à pupille rétrécie ont reçues des jugements négatifs. Les entretiens post-expérimentaux montrent que les sujets étaient totalement non conscient de la dilatation de la pupille.
Il s’agit ici d’une information non consciente et traitée de manière subliminale qui a eu un effet très net sur le jugement d’un individu.

Les effets des messages publicitaires

Des messages publicitaires présentés immédiatement après l’exposition subliminale de visage de personnes célèbres seraient jugés plus crédibles que les messages précédés par des personnes inconnues. Il y a un effet significatif du type de visage présenté (célèbre ou inconnu) dans le cas du subliminal pour le jugement sur le message publicitaire. Ainsi les sujets estiment plus vrai un message lorsqu’il est précédé d’un visage célèbre que lorsqu’il est précédé d’un visage inconnu.

Distorsions de la perception

Une technique dérivée de la stimulation électrique du cerveau est à l’étude dans les laboratoires de psychologie de l’Université laurentienne de l’Ontario (Canada). Développé par le Dr Michael Persinger, « Octopus » est un appareil composé de huit électroaimants fixés sur une sorte de casque et disposés à la verticale de chacun des huit lobes cérébraux. Il s’agit ici d’activer le cortex, toujours par stimulation magnétique. La forme des ondes émises par les aimants de l’Octopus est censée reproduire la signature électrique du cerveau comme les corps amygdaloïdes, noyaux du système limbique (le siège des émotions), dont la destruction accidentelle ou pathologique élimine toute peur. Peu de résultats ont été publiés et peu d’informations sont filtrés, mais le dispositif semble prometteur. La stimulation magnétique prolongée (durant une semaine) des lobes temporaux améliorait la potentialisation à long terme à l’intérieur de l’hippocampe, en d’autres termes, facilitait la mémorisation. Aujourd’hui, le procédé permettrait d’aller encore plus loin dans la modulation des facultés cognitives et l’altération des états de conscience. En alternant les zones stimulées et en modifiant la forme des ondes magnétiques, l’appareil serait capable d’induire un état nommé hyperattentionnalité.
Un volontaire décrit ainsi ce qu’il a ressenti durant l’expérience : « J’ai eu des bouffées d’anxiété suivie d’instants durant lesquels mon esprit allait si vite que je ne pouvais rien faire pour l’arrêter.
J’ai eu des moments d’acuité visuelle accrue qui survenaient avec une telle clarté que même la phrase « voir la création divine » n’aurait pu rendre sans les banaliser. A d’autres moments, mon intention était tellement rivée à la personne à laquelle je m’adressais que le sujet de notre conversation ne provoquait chez moi aucune réaction émotionnelle. Mon attention était unifiée comme jamais. Rien ne m’en détournait. Je ne pensais plus au lendemain... »
Le cobaye prétend même avoir éprouvé un sentiment de bien-être complet et la certitude que tout son environnement semblait « parfait ».
Jusqu’à maintenant, seules certaines drogues et quelques rares expériences d’électrostimulation intracrânienne réalisées pendant des opérations neurochirurgicales ont pu engendrer de telles altérations de conscience..

Allah parle

Nous sommes à Bagdad en 1991 et quelque chose d'étrange est en train de se produire. Le silence tombe sur la ville tandis que le reflet d'un immense visage se matérialise dans le ciel. Soldats et civils se prosternent pendant que chacun d'entre eux entend la voix d'Allah, leur ordonnant de renverser le diabolique et déloyal Saddam Hussein. Dans les minutes qui suivent une foule en colère assaille le Palais alors que les gardes fuient...
Ce scénario extrêmement imaginatif a été proposé par les planificateurs de l'Armée de l'Air américaine afin de remporter la victoire dans la guerre du Golfe sans verser de sang.
Le plan de Bagdad comprenait la projection d'un hologramme géant au-dessus de l'Irak. Ce type de projection nécessite un miroir par derrière. L'échelle du projet requérait d'avoir dans l'espace un miroir de plusieurs km de large. Jusqu'à présent le miroir le plus large faisait 30 mètres de large et les versions actuelles sont trop petites pour produire une image convaincante au niveau du sol.
Une autre approche aurait été de faire un miroir avec de l'air. Quand l'air chaud est superposé sur de l'air froid, la différence de densité est suffisante pour réfracter la lumière. En haute altitude, un mirage peut faire apparaître des paysages entiers dans le ciel. Un mirage artificiel pourrait être fait en théorie en chauffant l'atmosphère avec des ondes radio ou des micro-ondes.
Un groupe de réflexion de l'US Air Force a conçu des types d'usages aussi variés que l'imagerie holographique trompeuse ou le projecteur déformateur de champs, qu'on croirait tiré de Star Trek. Ces utilisations sont qualifiées d'utiles pour des objectifs de déception stratégique, en particulier contre un adversaire peu sophistiqué. Ces images seraient projetées par un avion spécial, un projecteur d'hologrammes aéroporté.
Actuellement l'équivalent le plus approchant est probablement le Commando Solo, un Hercule modifié, festonné d'antennes émettrices et réceptrices et portant des nacelles d'électronique classifiée. Son mode de transmission couvre tout le spectre électromagnétique, y compris les signaux radio et télévision.

Une puce pour régler ses achats

La société Applied Digital Solutions (ADS), basée en Floride, souhaite commercialiser des puces RFID (puces d'identification par radiofréquences) qui se greffent sous la peau. Un prototype de ce produit était présenté au salon de l'ID World 2003, à Paris. L'opération, réalisée sous anesthésie locale, consiste à placer une étiquette de 12mm de coté, contenant la puce, sous l'épiderme du bras.
Les RFID sont de micro puces transmettant une réponse à un signal radio donné. Elles envoient un identifiant de 64 bits produisant 18 mille trillions (18 millions de milliards) de valeurs possibles.
Le concept proposé par ADS, baptisé VeriPay, consiste en la chose suivante : le déclenchement de retraits aux distributeurs de billets de banque ou encore le paiement instantané par carte lorsque l'utilisateur approche sa main de l'appareil. L'avantage le plus évident réside dans le fait qu'il n'existe aucun risque de perdre sa puce contrairement à une carte de crédit classique ou aux autres applications utilisant des puces RFID, matérialisées par des porte clé ou autres objets.
Cependant, d'autres risques importants surgissent avec cette nouvelle technologie car la puce diffuse son ID de manière continue. Un pirate informatique mal intentionné pourrait rediriger le signal vers un distributeur de billets, pour obtenir des fonds appartenant au porteur de la puce.
La société Mastercard teste également une application de la technologie RFID baptisée PayPass. PayPass consiste en une carte au format carte de crédit contenant une puce RFID lisible par un récepteur, sans devoir être insérée dans un appareil spécifique. Dans la même veine qu'ADS, Mastercard n'exclue pas de placer un jour leurs puces sous la peau de leurs clients.

Nouvelles armes biologiques

Les progrès fulgurants de la génétique pourrait rendre complètement obsolétes les moyens traditionnels de contrôle ou de lutte contre les armes de destruction massive biologiques.
Parmi le nouvel arsenal biologique susceptible d'être développé figurent des agents binaires, composés de deux éléments qui séparément sont à peu près inoffensifs mais associés peuvent être mortels.
Un exemple particulièrement pervers serait l'association d'un pathogène peu dangereux, qui combiné avec son antidote deviendrait virulent. Ainsi pourrait être disséminé un virus provoquant des symptôme proches de ceux de la grippe mais qui pourrait devenir mortel quand la victime prendrait de l'aspirine. D'autres agents pourraient être combinés pour être résistants aux antibiotiques et détruire le patrimoine génétique d'un individu.
Les scientifiques ont aussi averti de la possibilité de mettre au point un agent furtif, qui resterait latent pendant une longue période avant de déclencher une maladie. Une attaque avec un virus furtif pourrait sûrement handicaper la population de plus de 40 ans, déclenchant une épidémie massive d'arthrite d'origine inconnue qui mettrait un système d'assurance maladie national à genoux.
La diversité des nouvelles armes biologiques laisse entrevoir des scénarios d'attaque tellement divers qu'il serait pratiquement impossible de les anticiper et de s'y préparer. Les risques sont confirmés par le succès d'une récente expérience australienne, au cours de laquelle des chercheurs ont rendu un virus proche de celui de la variole plus virulent, juste en incorporant un gêne de régulation de l'immunité à cette technique qui pourrait être employée pour d'autres pathogènes naturels, comme le bacille du charbon ou le virus de la variole, accroissant considérablement la mortalité.
Des biologistes sont déjà parvenus à recréer de toutes pièces le virus de la poliomyélite, et d'autres ont synthétisé une nouvelle protéine de la variole susceptible de neutraliser la réaction immunitaire humaine…


Trop c’est trop !

Nous en resterons là car la liste des techniques de contrôle est interminable, et les énumérer à l’infini risquerait de nous insensibiliser et nous paralyser, ce qui est certainement l’un des buts recherché par les décideurs de cette opération de contrôle de la conscience de l’humanité.
Cela doit nous interpeller sur le risque de nous émouvoir naïvement devant ce déluge de menaces visibles et invisibles. On veut nous impressionner, c’est clair, mais faut-il céder à l’étonnement ?
Surtout pas, mais en riposte , il faut devenir indifférent. Non pas à la manière de celui qui ne veut pas croire à cette guerre, mais plutôt s’abstenir de réagir, tout en étant conscient des risques.
En effet, l’état major occulte qui commande cette batterie de tir, s’amuse à observer nos réactions, et il doit beaucoup rigoler en lisant la presse alternative et écologiste qui s’émeuvent d’un détail nuisible lorsqu’il est déjà mille fois périmé, et que de toute façon, rien n’en changera les effets.
Nous devons comprendre que ce bombardement monstrueux est tourné contre la citadelle de notre conscience, et que, par conséquent, c’est par la puissance de la conscience que la défense et la contre-offensive doivent s’organiser.
Ne montrer aucun signe de faiblesse, aucun signe de crainte, aucun geste de recul ou de soumission, aucun auto-apitoiement , aucun appel au secours ou à une reddition pseudo pacifiste, pas plus que des gesticulations protestataires ou des appels aux grands principes…car c’est exactement ce à quoi s’attend un ennemi qui nous connaît mieux que nous-mêmes.
Il nous connaît, mais nous, qui regardons ses grandes manœuvres avec attention et impassibilité, nous apprenons beaucoup sur lui, et sans doute plus que pendant les siècles écoulés.
La première règle de la guerre, c’est de connaître son adversaire. Connaissant ses points faibles, il y a des parades contre lesquelles il ne peut rien.


Source : Undercover

La guerre contre l’Islam est-elle une phase de la guerre ultime : la Guerre contre le Christ ?

La doctrine de la « démocratie libérale et des droits de l’homme » est une crypto-religion, une forme extrême, hérétique de judaïsme christ...