mardi, janvier 18, 2011

Digressions Steinériennes



Une digression est utile lorsqu’on évoque Rudolf Steiner, ce prophète qui représente une pierre d’achoppement dans la recherche de la vérité, tant son œuvre foisonnante recèle de contradictions pouvant nous égarer. 


Le conflit entre la théologie catholique et le Manichéisme


Ainsi, le dogme de l’évolution infinie sans possibilité d’une mutation libératrice, constitue l’axe de la doctrine Anthroposophique, en plus de l’interprétation de l’événement du Golgotha, qui est le cœur de la christologie steinérienne. L’idée que les âmes incarnées ne doivent pas sortir du circuit avant la fin des cycles cosmiques est en opposition avec la gnose chrétienne qui enseigne le contraire. L’évolution a la seule fonction de nous pousser à sortir du circuit de l’incarnation, par l’expérience de la souffrance, afin d’opérer le retour vers le monde originel. Cette opposition doctrinale s’est illustrée dans l’histoire par  l’antagonisme entre Cathares et Dominicains. C’est le conflit entre la théologie catholique qui défend l’idée d’un monde créé par un dieu bon, et le Manichéisme qui enseigne que ce monde n’est au mieux qu’une école d’expérience auquel il faut échapper pour revenir à l’Origine. Les gnostiques ne croient pas que le monde relatif évolue vers une perfection car il est soumis à la décadence et à la destruction cyclique. Ils enseignent que la Terre céleste se tient au-delà de notre univers, et qu’elle est l’origine et la destination des âmes, alors que la Terre inférieure - la « terre du milieu » - n’est qu’un lieu de passage. 


L’étrange mission de Steiner


L’Eglise qui défend l’ordre établi sur les côtés visibles et invisibles de la Terre inférieure condamne cette idée comme « l’hérésie dualiste ». On s’étonne que Rudolf Steiner ait mis ses forces au service du monde relatif plutôt que d’enseigner le Retour à l’origine. On peut admettre que sa mission était d’accompagner la descente de l’humanité. Mais jusqu’où faut-il descendre ?


Des positions  théologiques anti-gnostiques


Steiner n’approuve pas la démarche gnostique. Il défend au contraire la représentation théologiquement correcte de la création. Il omet de mentionner le monde originel qui précéda la chute dans la dimension  terrestre. Pour Steiner la chute n’est qu’une irruption d’entités démoniaques à l’époque atlantéenne, alors que pour les gnostiques, la création  de notre monde est la conséquence de la chute originelle. Steiner défend le monde et ses hiérarchies invisibles - dites spirituelles - alors que les gnostiques tentent de s’en soustraire. 


Steiner considère que le monde suprasensible est d’essence divine, alors que les gnostiques se réfèrent à un autre univers, celui du « Dieu inconnu » d’où le Christ extra-cosmique est issu.


Les positions  théologiques anti-gnostiques de Steiner ne sont pas si surprenantes car il a révélé que des âmes de dominicains étaient réincarnées dans la famille karmique anthroposophique. Or, l’ordre des dominicains s’est constitué pour combattre la doctrine de la libération, et pour empêcher que les âmes s’échappent prématurément du circuit de la réincarnation. Si on compare la doctrine dominicaine et celle de Steiner, on trouve un point commun : les deux défendent un conservatisme planétaire avec son double circuit : le plan physique et l’au-delà que Steiner appelle le « monde suprasensible ». Mais ce « suprasensible » n’est que la réalité inférieure, le reflet d’en haut.


Malgré l’opposition entre ces deux courants (du point de vue théologique, l’ésotériste Steiner est hérétique), il y a un accord entre l’Anthroposophie et la théologie autour du dogme du Christ historique (pour tous), contre l’idée gnostique du Christ comme principe de libération intérieure (pour les élus).


Le dogme de l’évolution progressive

Selon Steiner, Jésus a fréquenté l’ordre des Esséniens, sans y adhérer totalement, car leur doctrine de la libération l’aurait désespéré par son idéal de rupture avec le monde. En effet, la communauté spirituelle des Esséniens engageait ses adeptes à se couper de l’humanité, tout en pratiquant une intense charité envers tous les êtres. Jésus était hautement préoccupé du fait que lorsqu’un être se libère du monde, le mal expulsé de son âme doit obligatoirement prendre refuge dans des âmes d’accueil. Steiner explique que lorsqu’un groupe humain s’échappe du courant collectif pour s’élever vers le monde divin, cela entraîne un effet de balancier, avec pour conséquence que le reste de l’humanité s’enfonce encore plus. Celui qui monte enfonce celui qui reste, en quelque sorte. Et celui qui descend accélère la montée de celui qui se libère. Nous voyons ce processus à l’œuvre de nos jours. Alors que la masse de milliards d’êtres humains plonge dans la robotisation globale, des millions d’âmes éparpillées à travers le monde cherchent la voie de la sortie. Plus la situation s’aggrave, et plus les chercheurs de vérité disposent d’un stimulant pour avancer. Ainsi, on peut penser que les illusions mondiales auxquelles nous échappons par notre disposition de conscience orientée vers la libération, se répandent ailleurs. Plus le niveau monte d’un côté et plus il descend de l’autre. Est-ce juste, se dira-t-on ? Parfaitement, car à la base, tous les êtres sont touchés par les rayonnements du Verseau, mais deux réactions sont possibles : on reçoit l’appel au Retour ou on le refuse. Dans le cas où l’être est fermé, il chute encore plus, par l’effet du jugement divin. En s’appuyant sur la compassion de Jésus devant ce problème, Steiner a sans doute voulu renforcer son dogme de l’évolution progressive vers une perfection lointaine. Selon lui, nous devons rester dans le courant collectif pendant un nombre indéterminé d’incarnations car lorsque des âmes s’échappent du circuit, le niveau général baisse à cause des démons expulsés par ceux qui se libèrent. Steiner dit : « Lorsqu’un être expulse de son âme les démons issus de Lucifer et d’Arhiman, alors, ces démons doivent inévitablement trouver un autre refuge, et ils chargent d’autres âmes de leur présence. » Cela est vrai, mais n’est-ce pas ce que le Christ appelle précisément le « jugement du monde » ? Ceux qui se libèrent n’accomplissent-ils pas la volonté universelle en retournant vers le monde divin originel ? Pourquoi les autres n’en font-ils pas autant ? Faut-il que tout le monde meure de faim pour vaincre la famine ? Faut-il rester dans les chaînes tant qu’il y a des prisonniers ? Dans ce cas, nul ne sortira jamais de la prison, et aucun libéré ne pourra aider de l’extérieur. On comprend que ces deux doctrines s’opposent, car chacune s’adresse à un type humain différent.

La grande libération


La masse évolue extrêmement lentement car elle s’attache tellement au plan physique qu’elle ne veut plus le quitter. Il y a aussi une minorité de pionniers qui veulent se libérer, car leur sensibilité acquise au prix de longues souffrances leur fait éprouver une nostalgie du monde originel. Le désir de leur âme les porte vers le Retour au « royaume qui n’est pas de ce monde ». Si le Christianisme historique est une consolation pour les « appelés » pris dans le circuit des réincarnations, on doit accepter que le christianisme gnostique s’adresse aux « élus » qui désirent accomplir la grande libération. 


L’ennemi des Jésuites


Steiner n’a certes pas emboîté le pas aux Jésuites qui exaltent quant à eux un Jésus historique matérialisé, sauveur et roi du monde inférieur. Les jésuites ont combattu Steiner, et ils l’ont sans doute fait empoisonner par un agent infiltré dans son entourage – ce qui n’a rien d’extraordinaire sachant que les jésuites ont corrompu toutes les organisations spirituelles et les sociétés initiatiques.


Bientôt retentira un « sauve qui peut ! »


Steiner a donc fait prévaloir l’hypothèse que l’incarnation christique serait un processus qui ne concerne que l’humanité collective. Vouloir quitter le courant collectif serait donc négatif. Anthroposophes et Dominicains défendent la même représentation du monde. Ils défendent le monde inférieur et tentent de l’améliorer par la culture, la science, la médecine - ce qui est honorable, si nous ne constations l’irréversible décadence jusqu’au point où va bientôt retentir un « sauve qui peut ! »


Dénonciation des sociétés initiatiques lucifériennes et de la Maçonnerie arhimanienne


Un choix politique aurait été imposé à Steiner par ses instructeurs spirituels. S’agit-il d’une stratégie ? Il a enseigné la doctrine d’une évolution infinie, en refusant la possibilité de la libération de l’âme hors du circuit planétaire. Mais paradoxalement, il a montré parfois une vision très pessimiste de l’évolution, allant jusqu'à mettre en doute sa réussite finale. Ces informations extrêmement alarmistes sur l’évolution future ne sont pas facilement accessibles, et on suppose qu’une masse de données a été «retenue ». Nombre d’Anthroposophes sont loin d’admettre que nous allons droit vers l’enfer, et peu acceptent les idées apocalyptiques de Steiner et sa dénonciation de l’emprise sur la civilisation des sociétés initiatiques lucifériennes et de la Maçonnerie arhimanienne. 


La séparation de l’humanité en deux groupes 


Nous prendrons pour exemple l’initiative remarquable de la Nouvelle Economie Fraternelle, qui est - en simplifiant - une banque alternative favorisant la circulation de l’argent pour des objectifs moraux. Les actionnaires sont rassurés car leur argent ne sert que des projets « positifs ». Or, avec la mode du politiquement correct, il est bien vu de privilégier les projets humanitaires et sociaux, harmonisés avec la doxa internationaliste. C’est ainsi que la NEF finance des initiatives altermondialistes mais ne mettrait pas un sou sur un projet en rupture avec la civilisation. Pourtant la Nation Libre, par exemple, est en accord avec la vision apocalyptique de Rudolf Steiner. N’a-t-il pas anticipé l’apparition de communautés produisant une « technologie morale », et qui formeraient des enclaves où se réfugieraient les rescapés de l’ordre mondial ? N’a-t-il pas prophétisé la séparation de l’humanité en deux groupes : l’un se renforçant dans la vérité et l’amour, et l’autre s’enfonçant toujours plus dans le mal ? N’est-ce pas la démonstration que l’enjeu de l’évolution est une sélection des âmes, et qu’il n’y a pas d’évolution automatique pour tous ?


La Terre dévorée


S’il avait vécu jusque dans les années 40, on peut se demander si Steiner n’aurait pas modifié sa doctrine et révélé des faits cruciaux en rapport avec l’histoire contemporaine. A-t-il été éliminé avant qu’il n’en dise plus ? On pense à ses visions où la Terre est dévorée par les entités arhimaniennes ayant robotisé le genre humain qui devient « obstiné dans le mal », alors qu’une minorité résiste aux hordes humaines démoniaques. Qui pourra-t-on encore appeler « humain » à ce moment là ? C’est pourquoi nous parlons de l’apparition d’un être éthérique elfique, d’une nouvelle race qui ne pourra se confondre avec le genre in-humain.


La séparation des âmes


Les fragments visionnaires apocalyptiques de l’enseignement de Steiner ne sont pas en honneur dans la Société Anthroposophique car ces prédictions pessimistes sur l’évolution contredisent le dogme du salut opéré par le Christ historique. Il faut admettre qu’il y a au contraire une aggravation constante de la situation planétaire jusqu’à produire un enfer terrestre grouillant d’entités insectoïdes. C’est le sens mystérieux du salut christique : jugement et séparation des âmes. Le Christ n’est-il pas venu « chercher les siens » ?


Anthroposophes collabos


Si l’issue du combat Michaëlique contre le « Dragon » ne permet pas de repousser Arhiman, et si la victoire de ce dernier est inéluctable, on peut se demander pourquoi les Anthroposophes collaborent avec la politique internationaliste en améliorant « humanitairement » une situation qui ne profite qu’à Arhiman ? Pour justifier cette contradiction, on dit qu’il faut accompagner la décadence car cette épreuve fera évoluer la conscience. Nous contestons cette démarche absurde. 


Résister au mal


S’il faut résister en conscience, avec quelle force morale résisterons-nous lorsque qu’il n’y aura plus de liberté intérieure à cause de la magie noire technologique qui s’insinue dans l’âme ? Qu’est-ce que la résistance en conscience si la conscience est tellement mécanisée que l’essence spirituelle christique sera trop faible pour résister au mal ? 


Contradictions prophétiques


Steiner a prophétisé l’incarnation physique d’Arhiman dans quelques millénaires, mais de manière contradictoire, il a annoncé l’apparition de l’âge d’or au 19ème siècle ! 


Cette croyance dans le retour de l’âge d’or (influence théosophique ?) justifiait de collaborer avec l’ordre établi en lui offrant des solutions alternatives en agriculture, médecine, éducation, économie et technologie. Si tout va aller de mieux en mieux, pourquoi pas ? 


Des paradoxes en suspens


Alors, quelle est la véritable pensée du  philosophe de la liberté ? Il nous a laissé libre de notre choix, sans aucun doute. Par compassion, il a voulu donner une nourriture spirituelle à tous, ce qui n’est pas sans générer des contradictions. Dans nos dialogues avec des Anthroposophes « laïques » ou des membres de la Communauté des Chrétiens ainsi qu’avec des responsables de sociétés alternatives tel le défunt fondateur de la NEF, les paradoxes sont restés en suspens. 


« Un feu follet » ou un habile stratège ?


Steiner est mort avant d’avoir donné la clé du futur – et on peut se demander ce qu’il dirait aujourd’hui, sachant que la révélation spirituelle se renouvelle chaque siècle ? 


Serait-il en phase avec notre dissidence spirituelle afin d’établir sur la planète des foyers de civilisation pouvant résister à l’arhimanisation ? Sans doute, car il a prédit que seules les communautés coupées de la masse pourront se protéger du mal, en vivant un « âge d’or interne », sur la base d’une technologie énergétique tenant les hordes démoniaques à distance. Ici, le prophète Steiner redevient un gnostique, ce qu’il semble avoir dissimulé en se présentant comme un défenseur de l’évolution théologiquement correcte. Nous n’en finirions pas de nous interroger sur ses contradictions. Elles ne s’expliquent pas par une sorte de confusion psychique (« un feu follet », disait de lui Max Heindel), mais nous voulons croire en une stratégie qui oblige les instructeurs spirituels de grande envergure a désinformer leurs adversaires en dissimulant leur but réel. 


Choisir entre l’humanisme arhimanien pour tous et la dissidence pour le petit nombre


Les adeptes des doctrines spirituelles devraient relativiser certaines idées dogmatiques qu’ils tiennent pour paroles d’évangile, car la spiritualité est indissociable de la haute politique galactique. Or, un conflit cosmique fait rage, et nous savons que l’arme de la désinformation est la première règle d’une stratégie de guerre bien menée. Des instructeurs qu’on considère comme des sortes de saints et des sages conformes à l’image d’Epinal du maître spirituel, sont en réalité de redoutables guerriers masqués. La religion n’est que de la haute politique. 


On peut imaginer la pression qui reposait sur un instructeur du rang de Steiner, dont le verbe puissant était capable de refouler loin dans l’espace des hordes de démons. Ses adeptes ont fait le pari de composer avec le monde et d’accompagner la descente programmée. Mais savent-ils ce que sera ce terminal ? Ne vont-il pas eux aussi devoir se mette à l’abri avant le siècle prochain, et se couper de la masse comme les Esséniens ? 


Cela se fera dans l’urgence car il ne sera plus possible aux êtres vraiment conscients de collaborer avec l’ordre mondial. Il faudra choisir entre l’humanisme arhimanien pour tous et la dissidence pour le petit nombre. 
Sur la base des révélations steinériennes contenues dans l’ouvrage « Jundi Shapur », présentant ses prédictions sur l’enfer électromagnétique (et informatique) du futur, on peut penser que Steiner admettrait le programme d’une « nation libre », en marge de l’ordre mondial, car cette idée s’accorde avec ses prophéties - en dépit des erreurs inhérentes à toute forme de clairvoyance.  


La mémoire akashique


Nul n’a sans doute transmis plus d’informations importantes que Steiner sur le passé, et d’une manière moindre sur le futur, quoiqu’on suspecte que l’intégralité de ses révélations n’aient pas été communiquées par les détenteurs officiels des comptes rendus de ses lectures akashiques. (On transcrivait ce qu’il décryptait dans la « mémoire de la nature » - l’enregistrement atomique de l’histoire du monde.) 


Il faut savoir que les images provenant de la mémoire akashique sont mouvantes et qu’il est difficile pour un clairvoyant même expérimenté de contrôler ce mouvement. Steiner avoue parfois qu’il ne sait si ce qu’il contemple de ses yeux exercés à la clairvoyance akashique va dans le sens du passé ou du futur ! C’est pourquoi, nous ne devons considérer aucune forme de clairvoyance comme fiable – nous ne confondons pas la clairvoyance authentique avec la  médiumnité astrale ou la voyance « lunaire » archaïque héritée de l’Atlandide qui est un atavisme chez certains mammifères. Les voyants et channels sont des aveugles qui guident les aveugles à travers les mirages lucifériens du monde astral. 


En tant que clairvoyant exercé à la lecture de la mémoire akashique, Steiner n’a toutefois pas eu accès à la clairvoyance supérieure, qui dépasse les limites des sept plans de l’univers manifesté. Cette vision touche aux mystères majeurs, et n’a rien de commun avec le pouvoir des occultistes qui restent myopes sur la réalité ultime tout en étant capables de décrire superficiellement la constitution invisible du monde.


La véritable anatomie occulte


Ainsi, Steiner n’a pas eu accès à pas la structure ultime de l’âme, et en tout cas, il n’en a jamais parlé, se contentant de confirmer les données des clairvoyants de l’école théosophique orientale en les adaptant à la logique de l’esprit occidental, selon une méthode qu’il a appelé la « science spirituelle ». Parmi les authentiques initiés Rose-Croix du 20 ° siècle, Max Heindel, s’appuyant sur le schéma  de Steiner, a précisé les aspects secrets de l’anatomie occulte, mais sans parler de ce qui est au delà de la frontière du monde suprasensible. 


A la suite de ces instructeurs, le Rose-Croix Jan van Ryjckenborg a transmis des informations inédites sur la constitution du corps d’immortalité, le processus de transmutation interne et le monde originel (voir « Un homme nouveau vient » et « Dei Gloria Intacta »). D’autres voyants et visionnaires ont transmis des données remarquables, mais de manière fragmentaire, confuse ou d’un hermétisme insondable. 


Les événements se précipitent


Chaque communauté spirituelle doit se contenter des connaissances transmises par son fondateur car les informations issues d’une autre source ont peu d’impact opérationnel. Un enseignement spirituel n’est vivant que dans le cadre d’un groupe qui  partage cet enseignement. Hors d’un champ énergétique harmonieux, l’enseignement est comme désactivé. Au mieux, on peut découvrir dans les livres une sagesse permettant de trouver l’ouverture du chemin, mais, pour opérer une transformation intérieure, il faut œuvrer en groupe. 


Ce sera là le défi de l’avenir, tout autant que pour survivre physiquement, il faudra s’organiser communautairement en mettant en commun des terres et des moyens de production. Pour les individualistes que nous sommes, cette perspective ne nous excite pas beaucoup, mais voyez à quelle vitesse les événements se précipitent…


Source : Undercover n°22


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