dimanche, mai 01, 2011

L'Agartha & la race qui nous exterminera



Dans les années 1960, le journaliste italien Pier Domenico Colosimo (nom d'auteur Peter Kolosimo) mentionne l'existence d'un puits sans-fond situé en Azerbaïdjan. Le journaliste évoque l'existence d'un monde souterrain habité par un peuple mystérieux. S'agit-il de la race décrite dans le livre « La Race à venir, celle qui nous exterminera » du rosicrucien Edward Bulwer-Lytton ?

Ce furent ces phénomènes bizarres, exagérément grandis par la superstition populaire qui conduisirent les savants soviétiques à s'intéresser au « puits sans fond » de l'Azerbaïdjan : d'un trou très profond sortaient, des hurlements épouvantables, des sifflements, des gémissements, des plaintes, et quelquefois une lueur bleuâtre semblait émaner de ses parois.
Les chercheurs savaient très bien que ce genre de phénomène est fréquent et qu'il n'a rien à voir avec le surnaturel. Quelques-uns d'entre eux essayèrent de descendre dans « la cheminée » mais, n'arrivant pas à voir la fin, ils préférèrent en explorer les alentours immédiats avec l'espoir de trouver quelque voie de communication avec le puits lui-même. Ils découvrirent plus qu'ils n'attendaient : un véritable réseau de galeries qui se révélèrent avoir des correspondances avec la Géorgie et toute la région caucasienne.
On crut d'abord qu'il s'agissait de grottes préhistoriques car, tout près des entrées, on trouva des graffiti et des restes d'ossements humains. Un examen plus approfondi démontra que les os étaient très postérieurs aux dessins et il fut tout de suite évident que la majeure partie des grottes ouvraient sur des tunnels creusés au cœur des montagnes. Ils étaient difficilement explorables à cause des éboulements qui les obstruaient. Pourtant, ce qu'on en pouvait visiter apparut stupéfiant : de larges corridors conduisaient à de petites « places » rondes d'où s'éloignaient d'autres chemins, de petites niches vides, des puits, des canaux si minces qu'un enfant n'aurait pu s'y introduire.
La seule grande galerie qu'on put suivre assez longtemps conduisait à une immense salle haute de vingt mètres, certainement construite par des êtres doués d'intelligence. Mais dans quel but ? Il est impossible de formuler aucune hypothèse : la solution du problème gît probablement plus loin, là où personne n'a encore pu pénétrer.
Les entrées principales des galeries du Caucase sont très régulières : leurs murs droits, leurs virages étroits offrent quelquefois un aspect d'une beauté surnaturelle, mais ce qui est le plus étonnant, c'est que ces souterrains rappellent étrangement – sont même presque semblables - les tunnels de l'Amérique centrale.
Dans les grottes qui précèdent souvent les galeries, on observe de curieux graffiti ; curieux surtout parce qu'on les retrouve dans toutes les parties du monde et que leur origine pose des points d'interrogation fantastiques ; on y remarque presque partout le svastika, le signe de l'infini et la spirale.
Par qui ont été creusés ces tunnels et dans quel but ? C'est impossible de répondre. Pour un groupe d'archéologues soviétiques, ils feraient partie d'un gigantesque système d'artères qui se dirige vers l'Iran et qui rejoindrait, non seulement les galeries découvertes dans le voisinage du fleuve Amou-Daria (Turkménistan et frontière russo-afghane), mais aussi les labyrinthes souterrains de la Chine centrale de l'Est du Tibet et de la Mongolie.
L'écrivain naturaliste Ossendowski nous en révéla l'existence, entre 1920 et 1921, en disant qu'elles avaient servi de refuge aux tribus mongoles poursuivies par les hordes de Gengis Khan. Ce qui confirme la croyance illustrée par l'orientaliste Nicolas Rörick que l'Asie cacherait un immense royaume souterrain appelé Shambhala d'où sortira un nouveau messie, le fabuleux Maitreya.
Les Tibétains affirment qu'il s'agit de citadelles, les dernières, ou se cacheraient encore les représentants d'un peuple ayant échappé a un terrible cataclysme. Ces gens mystérieux se serviraient d'une énergie qui, en se libérant, émet une sorte de fluorescence verte ayant les propriétés du Soleil pour faire pousser les végétaux et dotée du pouvoir de prolonger l'existence des hommes.
Notons que les légendes américaines parlent aussi de « lumière verte » et d'hommes vivant dans le sous-sol. En Amazonie, un explorateur, ayant glissé dans un labyrinthe souterrain, dit avoir vu l'endroit où il se trouvait illuminé « comme par un soleil d'émeraude » et que, tout en courant pour échapper à une araignée monstrueuse, il avait aperçu « des ombres pareilles à des hommes » s'agiter au fond d'un couloir.
Les descendants des Incas racontent des histoires effrayantes à propos de leurs ancêtres qui vivaient « au cœur des montagnes », ne sortant rarement, que la nuit pour se promener à la lueur des étoiles. Mais personne ne sait si on parle d'êtres en chair et en os ou de fantômes. Si on en croit Tom Wilson, un guide indien demeurant en Californie, il s'agirait bien de vivants : son grand-père (qui ignorait les légendes sud-américaines) tomba par hasard - il y a une quarantaine d'années - dans une grande ville souterraine et il vécut pendant un certain temps au milieu d'individus « vêtus de quelque chose qui ressemblait à du cuir » (matière plastique en l920 ?) qui parlaient un langage incompréhensible et qui mangeaient des aliments non naturels. Cet homme avait-il rencontré les « immortels de Mu » ? Les adeptes des sciences ésotériques n'hésiteraient pas à répondre par l'affirmative mais nous, nous préférons inviter nos lecteurs à une grande prudence.
Une quinzaine d'années plus tard, un certain White, chercheur d'or, se trouva un jour entraîné dans une nécropole souterraine où un spectacle extraordinaire se présenta à sa vue : au milieu d'un grand espace qui ressemblait à la fois à une salle de réunion et à une place publique, il y avait des centaines de corps momifiés, les uns assis sur des sièges de pierre, les autres allongés par terre dans des poses bizarres comme si la mort les avait touchés à l'improviste. Là aussi, les cadavres portaient des habits ressemblant à du cuir, là aussi la scène était éclairée par une fluorescence verte. Autour des défunts veillaient de gigantesques statues d'or.
Ayant entendu le récit de White, quelques personnes décidèrent de se rendre sur les lieux, mais il fut impossible de retrouver l'endroit précis. Un vieux mineur, qui sur le moment avait été retenu par des craintes superstitieuses, déclara qu'il connaissait cette nécropole et il révéla des détails, pas nouveaux pour White, mais dont il n'avait parlée à qui que ce soit.
Les Apaches des États-Unis rêvent de galeries qui relieraient leur terre à la mythique Tiahuanaco, à travers lesquelles ils seraient restés des années pour accomplir un voyage qui les conduisit au cœur de l'Amérique du Sud.
Tous ces récits nous laissent évidemment assez sceptiques, mais comment ne pas rester perplexes devant les Indiens qui parlent de galeries creusées au moyen « de rayons qui désagrègent le rocher, et d'êtres venant des étoiles »?
En revenant en Asie, nous trouverons, à côté du mythe de Shambhala, celui de l'Agarthi (ou Agartha ou Agharti), un autre royaume qui s'étendrait, lui et son sanctuaire, sous l'Himalaya. D'après Ossendovski l'origine de ce « centre de la sagesse et de l'intelligence universelle » remonterait à 600 000 ans en arrière.
Peter Kolosimo
La Prophétie du Roi du Monde en 1890 

Le 
Houtouktou de Narabanchi, écrit Ossendovski, me raconta ceci quand je lui fis une visite à son monastère, au commencement de 1921 :

- Quand le
 Roi du Monde apparut devant les lamas favorisés de Dieu, dans notre monastère, il y a trente ans, Il fit une Prophétie relative aux siècles qui devaient suivre. La voici:

«De plus en plus, 
les hommes oublieront leurs âmes et s'occuperont de leurs corps. La plus grande corruption régnera sur la Terre. Les êtres humains deviendront semblables à des animaux féroces, assoiffés du sang de leurs frères. Le Croissant s'effacera et ses adeptes tomberont dans la mendicité et dans la guerre perpétuelle. Ses conquérants seront frappés par le Soleil, mais ne monteront pas deux fois; il leur arrivera le plus grand des malheurs, qui s'achèvera en insultes aux yeux des autres peuples. Les couronnes des rois, grands et petits, tomberont: un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit... Il y aura une guerre terrible entre tous les peuples. Les océans rougiront... La terre et le fond des mers seront couverts d'ossements... Des royaumes seront morcelés, des peuples entiers mourront... La faim, la maladie, des crimes inconnus des lois, que jamais encore le monde n'avait vus. Alors viendront les ennemis de Dieu et de l'Esprit Divin, qui se trouvent dans l'être humain. Ceux qui prennent la main d'un autre périront aussi. Les oubliés, les persécutés, se lèveront et retiendront l'attention du monde entier. Il y aura des brouillards et des tempêtes. Des montagnes dénudées se couvriront de forêts. La terre tremblera... Des millions d'êtres humains échangeront les chaînes de l'esclavage et les humiliations pour la faim, la maladie et la mort. Les anciennes routes seront couvertes de foules allant d'un endroit à un autre. Les plus grandes, les plus belles cités périront par le feu... une, deux, trois... Le père se dressera contre le fils, le frère contre le frère, la mère contre la fille. Le vice, le crime, la destruction du corps et de l'âme suivront... Les familles seront dispersées... La fidélité et l'amour disparaîtront... De dix milles hommes, un seul survivra... Il sera nu, fou, sans force, et ne saura pas se bâtir une maison ni trouver sa nourriture... Il hurlera comme le loup furieux,dévorera des cadavres, mordra sa propre chair et défiera Dieu au combat... Toute la Terre se videra. Dieu S'en détournera. Sur elle se répandra seulement la nuit et la mort. Alors j'enverrai un Peuple, maintenant inconnu, qui, d'une main forte, arrachera les mauvaises herbes de la folie et du vice, et conduira ceux qui restent fidèles à l'esprit de l'être humain, dans la bataille contre le mal. Ils fonderont une nouvelle vie sur la Terre purifiée par la mort des nations. Dans la centième année, trois grands Royaumes seulement apparaîtront, qui vivront heureux pendant soixante et onze ans. Ensuite, il y aura dix-huit ans de guerre et de destruction. Alors les peuples d'Agarthi sortiront de leurs cavernes souterraines et apparaîtront sur la surface de la Terre.»

Ferdinand Ossendowski, « Bêtes, hommes et Dieux ».

Bêtes, hommes et Dieux

Un livre-culte de la littérature d'aventure vécue. Krasnoïarsk (Sibérie centrale), hiver 1920. L'homme vient d'apprendre qu'on l'a dénoncé aux " Rouges ", et que le peloton d'exécution l'attend. Il prend son fusil, fourre quelques cartouches dans la poche de sa pelisse, sort dans le froid glacial - et gagne la forêt. Commence alors une course-poursuite dont il ne sortira vivant, il le sait, que s'il ose l'impossible gagner à pied l'Inde anglaise à travers l'immensité sibérienne, puis les passes de Mongolie, puis le désert de Gobi, puis le plateau tibétain, puis l'Himalaya... L'itinéraire qu'il suivra sera quelque peu différent, et si possible plus sidérant encore. Mais ce que le livre révèle - et que le lecteur n'attend pas - c'est, parallèle an voyage réel. une étrange odyssée intérieure qui nous introduit au cœur des mystères de l'Asie millénaire. Car Ossendowski, géologue de son état, n'est pas qu'un savant doublé d'un aventurier. C'est un esprit exalté et curieux qui vit sa marche folle à la manière d une initiation...



Le rayon vert

Illustration :
http://www.ufodigest.com/news/0208/aldebaran-mystery2.html


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