lundi, avril 09, 2012

L'alimentation des Français





L'UNESCO a inscrit la gastronomie française au patrimoine de l'Humanité. Mais l'art gourmand des Brillat-Savarin, destiné aux nantis suralimentés, était heureusement inaccessible aux classes populaires. Pour la Doctoresse Catherine Kousmine, la suralimentation bourgeoise serait responsable d'une inexorable déchéance physiologique et morale.

Le véritable régime français

Au début du XXe siècle, la France était majoritairement paysanne. Vers 1910-1920, « dans nos campagnes, le boucher passait le samedi et les paysans riches mangeaient de la viande le dimanche. La base de la nourriture était, à ce moment, le pain, l'honnête pain bis, aliment presque complet, dont on accompagnait les légumes de saison, cuits « à la française », c'est-à-dire à l'étouffée, sans eau, mijotés tout doucement avec un bon morceau de beurre, ou de lard ou bien avec une cuillerée d'huile d'olives, suivant la région.

En été et en automne, on ajoutait au menu les fruits de la saison ; l'hiver des oignons, des châtaignes, des noix, des pommes. Le soir, on mangeait une bonne soupe faite de légumes cuits à petit feu toute la journée dans de l'eau, mais cette eau, on ne la jetait pas, comme dans la cuisson à l'anglaise : elle servait à tremper les tranches de pain coupées dans la soupière, conservant ainsi les sels précieux contenus dans les légumes et mis en dissolution par la cuisson. C'était une alimentation presque parfaite », écrit Henri-Charles Geffroy.  


Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...