lundi, août 15, 2022

L'Énergie Libre



(10:10)


Jeane Manning analyse avec perspicacité les intrigues qui se trament derrière le mouvement en faveur de l'énergie libre. Elle examine aussi les technologies avec lesquelles travaillent des inventeurs visionnaires :

Appareils sans pièces en mouvement : des appareils sans pièces en mouvement fonctionnent à l’énergie de l’espace, des appareils qui ne contiennent aucun élément mobile et utilisent l’énergie issue de simples pierres.

Les aimants permanents : il est possible d'utiliser la force du magnétisme et d'attirer l’énergie de l’espace dans un appareil.

Appareils à aimants rotatifs : des inventeurs – des États-Unis à l’Inde, en passant par le Japon – ont mis des aimants en mouvement pour attirer l’énergie de l’espace. L’énergie de l’espace n’est pas la seule nouvelle technologie à laquelle les chercheurs travaillent pour comprendre le lien existant entre l’énergie de l’espace et les autres sources de nouvelle énergie.

La fusion froide : des inventeurs disent que les investissements faits jusqu’ici par la science pour créer la fusion nucléaire chaude – qui est un processus coûteux et techniquement difficile – ne sont pas nécessaires. Ils disent pouvoir créer la fusion froide dans des pots posés sur le coin d’une table.

L’hydrogène : deux inventeurs ont appris à capter l’hydrogène – un des composants les plus abondants de l’univers – en utilisant une technologie qui dispenserait les automobilistes de s’arrêter aux stations essence.

La technologie thermique : des chercheurs disent savoir comment transformer la chaleur perdue produite par de nombreux processus courants, en électricité propre et bon marché.

L’énergie hydraulique écologique : des inventeurs ont trouvé les moyens d’utiliser une des sources d’énergie les plus vieilles du monde – la force de l’écoulement de l’eau – sans avoir besoin de recourir à des barrages coûteux et suspects pour l’environnement.

D’autres technologies énergétiques : Jeane Manning a rencontré des inventeurs et des visionnaires exceptionnels, et aussi une communauté qui possède un appareil à nouvelle énergie qu’elle cache au reste du monde.

Le Dr Brian O’Leary, physicien et ancien astronaute (il apparaît à la 7ème minute de la vidéo ci-dessus) a lu avec enthousiasme le livre de Jeane Manning Énergie libre et technologies. Il a dit :

« Ceci pourrait être un des livres les plus importants que vous ayez jamais lus. Il décrit l’évolution rapide des progrès faits pour rendre utilisable une source d’énergie, dont beaucoup d’entre nous pensent qu’elle va radicalement changer la face du monde. Il s’agit de l’énergie du point zéro, issue des fluctuations quantiques dans le vide de l’espace. Beaucoup de gens l’appellent « énergie de l’espace » ou énergie libre. Certains d’entre nous pensent qu’une révolution se prépare, parce que l’énergie libre qui nous entoure est un immense réservoir d’énergie propre et décentralisée ; ce qui fera que les sources d’énergie actuellement utilisées seront considérées comme des cauchemars préhistoriques qui encombraient nos paysages de déchets et polluaient notre air. Cette révolution pourrait sonner l’heure de la naissance d’un nouveau paradigme dans la science et la technologie, à côté duquel les révolutions coperniciennes et industrielles paraîtront anodines. Ce sera un bouleversement sans précédent d’investir les deux billions $ qui, jusque-là, étaient investis dans des systèmes d’énergie obsolètes, dans d’autres systèmes respectueux de l’environnement, qui ne seront même pas onéreux.

Des systèmes électriques, basés sur des dispositifs compacts sans parties mobiles, remplaceront probablement les fusibles et les disjoncteurs dans les maisons et bâtiments. Nous pourrons enfin nous déconnecter du réseau électrique. Les nouveaux distributeurs d’énergie seront aussi portables et les condensateurs, comme les batteries, seront superflus. Ils remplaceront les moteurs à combustion interne dans nos voitures et dans les autres systèmes de transport ou dans l’industrie. Et ils pourront servir à la campagne, pour accroître de manière radicale le rendement des machines agricoles (par exemple, le pompage pour l’irrigation), et, partant, ils contribueront à l’élimination de la famine dans les pays du Tiers Monde.

Mais il nous faudra développer une politique du bon usage de ces appareils à énergie, définissant les justes mesures pour des applications finales intelligentes, afin d’éviter tout usage excessif ou leur utilisation en tant qu’arme de guerre. À plus long terme, je pense que nous découvrirons comment l’énergie de l’espace peut aussi être mise en pratique dans des systèmes de propulsion antigravitationnelle.

Alors qu’est-ce qui nous empêche de tout mettre en œuvre pour le faire ? Il semble que depuis l’époque de Nikola Tesla il y a un siècle, nous avons passé l’énergie « libre » sous silence. Nous avons tous développé quelques peurs qui sont bien enracinées, et qui nous empêchent d’avancer – des peurs qui n’ont pas encore atteint la conscience publique. Pourtant, malgré toute la répression, le bon génie de l’énergie est finalement sorti de la bouteille ; c’est ce que nous révèle clairement Jeane Manning dans ce livre. [...]

L’utilisation de l’énergie libre apaiserait aussi notre soif de pétrole et de gaz naturel. Cette soif épuise les précieuses richesses de la terre à un rythme alarmant. Cette veine de ravitaillement, qui s’est constituée pendant des dizaines, voire des centaines de millions d’années à l’intérieur de la croûte terrestre, a été pompée avidement, sans soucis pour nos lendemains. L’extraction et la consommation de pétrole ont plus que triplé depuis le début de la crise de l’énergie. Près de la moitié du pétrole disponible et plus de la moitié du gaz naturel ont déjà été extirpés de nos meilleurs gisements et brûlés presque en l’espace d’une seule génération !

Au rythme actuel de la consommation, les réserves en pétrole des États-Unis suffiront à peine dix ans, et les réserves mondiales, quarante. Même si ces réserves s’avéraient être deux fois plus abondantes que ne le disent les estimations, nous serons à court de pétrole vers la moitié du vingt et unième siècle, et d’ici-là, les prix vont inévitablement monter en flèche.

Ces faits ont été ignorés par nos politicards de l’énergie. En fait, nous empruntons la Terre de nos enfants, au lieu d’être les dignes successeurs de nos parents. Un consensus écologique est en train d’émerger : Nous devons arrêter d’agir ainsi et construire un avenir qui entretienne la vie.

La conversion à l’énergie de l’espace aurait un impact économique énorme. L’utilisation de l’énergie électrique à travers le monde rapporte aujourd’hui huit cents milliards $ chaque année, soit le double depuis l’époque où, il y a vingt ans, naquit une prise de conscience de la crise énergétique qui presque aussitôt fut repoussée dans l’ombre. Ce chiffre renversant représente plus du double de celui que fait l’industrie automobile, et est comparable à la somme que paient chaque année les contribuables des États-Unis à un gouvernement criblé de dettes.

Les infrastructures mondiales de l’énergie, qui sont surtout tributaires de la combustion de pétrole, de gaz naturel et de l’utilisation d’éléments radioactifs, consomment environ deux billions $ chaque année, un chiffre si élevé qu’il est difficile de s’imaginer l’ampleur de notre dépendance à nous tous. Durant le temps qu’il vous faut pour lire cette phrase, le monde brûle pour un million $ de combustibles fossiles et nucléaires pour fournir l’électricité aux appareils, au chauffage, à la réfrigération, et aux moyens de transport. […]

Un intérêt profondément enraciné est devenu tellement puissant que nous semblons aveugles à tout nouveau concept, et surtout à des concepts aussi radicaux comme « l’énergie libre » et la fusion froide. Nous paraissons plus intéressés à polémiquer de savoir si ces découvertes sont vraies, plutôt qu’à vouloir saisir une occasion en or. Bref, nous semblons nous être enfoncés dans une fausse notion de la sécurité, continuant de créer des infrastructures d’énergie abusives, qui détruisent la Terre et nous-mêmes. Nous nous sommes créé une « prison électrique », et nous sommes de plus en plus coincés dans un réseau malsain de fils invisibles et de stations-essence, dans le bourdonnement incessant des moteurs à combustion interne et autres équipements liés à l’énergie, qui polluent le paysage, les ciels et les océans.

Comme la grenouille qui cuit à petit feu dans l’étang où la température monte peu à peu, nous nous sommes petit à petit habitués à notre prison électrique. Coincés dans le réseau, nous avons oublié combien un environnement plus supportable, comme celui d’il n’y a pas plus de vingt ans, pouvait nous être bénéfique. J’habite dans les forêts reculées des Cascades dans l’Oregon, et je peux témoigner de tous les avantages qu’offre un environnement calme et propre.

C’est la première fois dans notre histoire que nous avons autant dilapidé nos ressources énergétiques en un si court laps de temps, et la plupart d’entre nous ne l'ont pas réalisé. Nous devons arrêter de maltraiter la Terre si nous voulons survivre.

La crédibilité de l’énergie spatiale est déjà avalisée par beaucoup d’informations théoriques et expérimentales. J’ai été surpris de voir combien ces pionniers, qu’ils soient théoriciens, expérimentateurs ou inventeurs dans le domaine de l’énergie libre, ont une connaissance large et profonde, surpris par leur dévouement et leur professionnalisme et par leurs réussites. Ils sont les explorateurs d’une nouvelle réalité. Ils sont mis en marge du courant scientifique majoritaire, car celui-ci renie cette réalité ; mais ce déni est basé sur un raisonnement des plus superficiels.

Beaucoup de nos inventeurs et chercheurs en énergie libre ne ressemblent en rien à l’habituelle image stéréotypée de l’inventeur bricoleur excentrique, isolé dans son garage et qui a probablement tout faux. Non, ils sont titulaires d’un doctorat et travaillent dans des institutions traditionnelles, comme Shiuji Inomata aux Laboratoires Électrotechniques à Tsukuba (la « Cité de l’Espace » du Japon). Cela fait trente-cinq ans qu’il y est employé à plein temps par le gouvernement.

En Inde, Paramahamsa Tewari occupe un poste prestigieux au gouvernement en tant qu’ingénieur directeur de projet dans la plus grande centrale nucléaire en construction dans ce pays. Ces deux gouvernements ont permis à ces deux hommes de construire leurs appareils à énergie libre (basés sur le concept de Bruce DePalma), – chose qui aurait été impensable dans un laboratoire du Ministère de l’Énergie aux États-Unis.

Dernièrement, le Dr Inomata fit une conférence pour des dirigeants du monde politique et industriel (plus de six cents professionnels sont venus à son dernier séminaire), et la Toshiba Corporation a débloqué deux millions $ pour le développement d’aimants supraconducteurs destinés à son nouveau générateur unipolaire. Comme le Japon est quasi totalement dépendant du pétrole étranger pour ses besoins en énergie et en transport, il a peu à perdre et beaucoup à gagner en commercialisant l’énergie libre de l’espace environnant. Ceci pourrait être une nouvelle occasion manquée pour bien des pays, et même conduire le Japon à une autre opportunité de dominer le marché avec des produits issus de leur approche prévoyante. Quand apprendrons-nous jamais la leçon ?

Il n’y a que peu d’autres scientifiques qualifiés qui consacrent du temps à étudier et à se familiariser avec l’énergie libre : la plupart des détracteurs bruyants n’ont que faire de ces recherches. Ils sont coincés entre la pression exercée par leurs collègues et la pression financière, et limités par leur parti pris de ne pas explorer ce qui ne relève pas de leur spécialité. Je sais ce que je dis : j’en étais !

Les sceptiques font l’erreur très répandue de croire que si ces machines existaient vraiment, ils en auraient entendu parler. L’histoire de la Science est remplie d’histoires d’exemples de leaders scientifiques qui – pour des raisons parfois purement émotionnelles – se moquent des nouvelles idées à cause de cette supposition. Ultérieurement, il s’avère qu’ils se sont trompés. Bien sûr, tout ceci n’a absolument rien à voir avec la science et la rationalité, mais cela signifie que le syndrome du rejet commence chez les scientifiques eux-mêmes.

Les représentants du gouvernement et des médias s’adressent aux scientifiques pour leur information, et de ce fait, eux aussi ignorent l’essentiel. Par exemple, un journaliste du Washington Post a interviewé plusieurs d’entre nous sur le thème de l’énergie de l’espace (ou énergie libre), lors d’un symposium sur les Nouvelles Énergies.

À la place des informations très approfondies que nous avions données au journaliste, la seule chose qui ait été publiée fut une biographie de Nikola Tesla légère et sans engagement.

Il semble que ce soit d’emblée que ces porte-parole de l’establishment décident de ce qui peut être crédible – ce qui n’a rien à voir avec la vérité. Un seul coup de fil d’un journaliste reconnu à un ponte du traditionalisme comme Carl Sagan, par exemple, peut étouffer un article. Malheureusement, même nos sources d’informations, les plus vénérables n’ont pas le pouvoir de dire la vérité, et c’est pourquoi la science progresse si lentement.

Alors pourquoi n’avons-nous pas adopté l’énergie libre bien que nous la connaissions depuis si longtemps ? Pourquoi avoir mené des guerres du pétrole – dans le Golfe, en Somalie et même au Vietnam ? Pourquoi avoir mal employé un nombre infini de billions $ et sacrifié des vies humaines et notre environnement, et pourquoi continuer à agir de la sorte, alors que, de toute évidence, nous pouvons cesser nos activités autodestructrices ?

Comment se fait-il que tous ces décideurs aient réussi à nous isoler complètement de l’énergie libre et qu’il n’y ait toujours aucune machine sur le marché ? Après tout, la technologie nécessaire à sa construction n’est probablement pas bien loin de notre portée. Ce projet est vraisemblablement beaucoup moins provocateur sur les plans technique et financier que ne le furent les projet Manhattan quand les scientifiques développèrent la bombe atomique, ou le programme Apollo quand il s’agissait pour les scientifiques et les ingénieurs d’envoyer des gens sur la lune, ou que ne l’est le projet Tokamak sur la fusion chaude à Princeton, qui est toujours très loin du seuil de rentabilité. Des inventeurs ont apparemment montré des résultats avec l’énergie libre en dépensant seulement quelques milliers $ – au lieu des milliards et des billions dépensés à perpétuer des méthodes plus traditionnelles. Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour que l’argent coule dans des directions sensées ?

En d’autres termes, comment fut-il possible de réprimer les technologies de l’énergie libre de manière aussi radicale et aussi hermétique pendant si longtemps ? Si nos gouvernements et nos scientifiques ignorent l’évidence, pourquoi les forces du marché n’en ont-elles pas eu vent et fait avancer activement les choses ? Il semble que chacun attende que l’autre fasse le premier pas.

Je suis arrivé à une conclusion que je croyais précédemment invraisemblable : le Syndrome de la Répression s’infiltre dans chaque aspect de tout nouveau développement révolutionnaire. Habituellement, plus un projet est radical, plus les forces de répression sont fortes. […]

La mise à disposition de l’énergie libre et propre est trop importante pour la planète et pour nous-mêmes pour que nous puissions nous en dispenser. Mais il nous faut définir des normes pour une juste utilisation, afin de respecter les lignes de conduite les plus rigoureuses pour l’équilibre de tout notre environnement. Il nous faut être des créateurs responsables – ayant tiré les leçons de leurs abus de l’énergie nucléaire, par exemple. Je pense vraiment que cette technologie va envahir rapidement le marché mondial, une fois que les appareils à énergie libre auront été testés comme d’habitude pour leur respect de l’environnement, leur confort et leur moindre coût. Nous connaissons tous les retombées importantes que d’autres inventions ont eues dans nos vies : des inventions comme celles de l’électricité, du téléphone, de l’automobile, des avions, de la télévision, des transistors, des ordinateurs, pour n’en nommer que quelques-unes.

Les développements de l’énergie libre dans un futur proche auront même un effet plus profond qui va transcender les principes monétaires. En effet, le Choc du Futur est là, et la plupart d’entre nous semblent mal éduqués pour faire face aux déplacements inévitables qui auront lieu à cause d’une industrie de multi-billions $ devenue obsolète.

Peut-être la plus grande répression est-elle notre peur (surtout inconsciente) de l’inconnu qui nous attend de l’autre côté du changement. C’est pourquoi nous voulons renier le changement aussi longtemps que possible, jusqu’à ce que les perspectives deviennent tellement claires que nous ne pouvons plus les ignorer.

Nous sommes à un tournant décisif dans nos sciences et technologies, si à l’heure où nous pouvons renverser les paradigmes, la société culturelle que nous sommes décide de passer d’un ensemble de vérités ou réalités à un autre. L’ancienne théorie de Newton est en train de suivre la voie qu’a connue l’ancienne conception d’une société qui persistait à croire que la terre était plate, et, pourtant, la pensée prédominante dans notre conscience est toujours celle de Newton.

Lorsque le changement se fera, cette vieille vision du monde donnera lieu à des regrets et à des lamentations. Selon les études officielles sur les étapes du processus de la désolation, il semble que la plupart d’entre nous passeront très vite de nos dénis habituels à la colère, puis aux négociations, puis à la dépression, et finalement à l’acceptation du nouveau monde.

Je suis presque sûr que, dès que les révélations de ces nouvelles énergies commenceront à secouer le monde orthodoxe et ses structures économiques fragiles, beaucoup d’entre nous vont être très en colère ou avoir très peur – la colère comme résultat d’une confiance abusée ou la peur de la transition dans le nouveau paradigme. Un autocollant pour voiture dit ceci : « La vérité te donnera la liberté, mais d’abord, elle va t’en faire chier ! » Personnellement, je crois que je suis passé au stade entre la dépression et l’acceptation.

Le défi n’est pas de décider si oui ou non l’énergie libre existe. Elle est. Par contre, il concerne notre volonté collective de vouloir sortir de notre ignorance, de notre prison électrique, de l’écocide, de l’impasse, de la rigidité newtonienne, de notre cupidité et de nos droits acquis.

Maintenant, je pense que vous pouvez comprendre pourquoi je crois que ce livre est si important. Jeane Manning m’a dit un jour sincèrement :

« La révolution de l’énergie pourrait toucher profondément la vie des gens – dans leurs choix pratiques de tous les jours – parce qu’une énergie décentralisée est synonyme de liberté. Elle nous rendra capables d’assainir notre environnement, et nous enlèvera notre sentiment d’impuissance. Les constructeurs de méga projets n’ont maintenant plus rien sur quoi s’appuyer lorsqu’ils prétendent que leurs projets sont nécessaires. »

Et elle continue :

« Les gens doivent reprendre eux-mêmes leur pouvoir au niveau individuel et local. Le gouvernement ne leur renverra pas ce pouvoir sous pli affranchi. La structure fiscale tout comme les installations électriques devront être remplacées, à cause de tous ces tentacules liés à l’énergie, qui partent des capitales et des centres financiers comme Wall Street pour venir piocher dans le portefeuille des citoyens. »

« Le monde académique ne travaille pas toujours pour les personnes ou pour la planète. Les employés et les entrepreneurs (surtout ceux du Ministère de la Défense) se disputent les subventions et les contrats et apprennent à penser comme le dicte le système pour ne pas être rayés de la liste. »

Je suis entièrement d’accord avec elle, et mon expérience des trente dernières années me le confirme. Jeane Manning est une journaliste très qualifiée qui étudie la scène des nouvelles énergies depuis 1982. Elle apporte une perspective internationale à ce sujet, puisqu’elle est en contact permanent avec beaucoup d’inventeurs, de théoriciens, et d’autres travailleurs faisant partie du réseau dans une douzaine de pays. Elle a suivi plus de vingt congrès sur le thème de l’énergie en Suisse, en Allemagne, au Canada et aux États-Unis. Elle a une licence en sociologie, et a travaillé comme assistante sociale, comme reporter, directeur de journal, chroniqueur, et comme membre de la rédaction d’un magazine. Sa motivation à négliger les échelons de sa carrière pour se tourner vers un tel sujet de l’extrême repose sur sa préoccupation pour l’environnement. Elle a été en harmonie avec la nature toute sa vie durant : elle est née en Alaska près du Prince William Sund alors à l’état vierge, et a grandi à la campagne près de Cœur d’Alène, dans l’Idaho. Que ce soit au Colorado, en Colombie-Britannique ou ailleurs, Jeane se dirige toujours vers des cadres naturels pour y vivre.

Jeane m’a dit qu’elle s’était fait un vœu en 1982, lorsqu’elle a vu tourner pour la première fois un moteur magnétique non orthodoxe :

« Si cela est vraiment vrai, alors je veux en parler au public quand le temps sera venu. Nous n’aurions plus besoin d’endiguer des cours d’eau naturels ou d’empoisonner l’air. »

Le temps est venu pour en informer le monde. Dans notre intérêt à tous, j’espère seulement que son vœu concernant l’environnement se réalisera vite. Elle est la première journaliste expérimentée à parler de cet important sujet, négligé jusqu’ici, dans un livre, et il répond à un besoin exceptionnel. »


PDF gratuit

de Jeane Manning 



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Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...