Pierre
Dortiguier analyse la face cachée du massacre des musulmans de
Birmanie et ne ménage pas l'idole des bobos bouddhistes :
"Le dalaï-lama dit que c'est un dieu vivant, c'est un diable vivant !"
Les choses sont claires, les musulmans Birmans n'auront pas le droit à la même médiatisation que d'autres peuples dans le monde qui souffrent aussi. En effet, les choix de médiatisation dépendent des intérêts occidentaux. »