L’enjeu
des guerres programmées par les maîtres du jeu depuis le 18ème siècle, se résume en l’instauration d’un ordre mondial
permettant d’exploiter toutes les sources d’énergies, dont la
conscience humaine. Le Livre de l’Apocalypse parle des
« trafiquants de corps et d’âmes ».
L’argent
étant le nerf de la guerre, c’est celui qui possède le plus d’or
qui est en mesure de remporter la victoire. Ainsi, toutes les guerres
modernes ont été déclarées et gagnées par les seigneurs de la
finance qui, ayant mis un prix sur tout ce qui existe, achètent et
vendent tout ce qui possède souffle de vie dans ce coin de
l’univers. Notre survie est tolérée par simple souci économique.
Même
les guerres perdues par les grandes puissances étaient des
stratégies victorieuses, comme au Vietnam où le but n’était pas
de gagner mais de faire durer le conflit (et de procurer de
substantiels dividendes aux actionnaires de l'industrie de
l'armement). [...]
Dans
notre civilisation fondée sur l’industrie et la machine, la source
énergétique la plus convoitée est le pétrole qui est le carburant
de notre frénésie de mouvement et de notre avidité matérialiste.
On sait qu’il existe d’autres ressources, non polluantes, mais
elles présentent le désavantage de ne rien rapporter en terme
économique aux maîtres du monde, quoiqu’ils sauront bien nous
faire payer un jour l’air que nous respirons.
L’usage
des énergies dites « libres » risquerait en outre de
nous soustraire à leur emprise si jamais nous devenions capables de
détecter la source intérieure de l’énergie vivante. Mais les
philosophies, les idéologies et les théologies propagées par nos
maîtres nous empêchent de découvrir le secret qui gît en notre
être.
Cette
question de la source de l’énergie libre devrait intéresser les
gens tournés vers la spiritualité et qui cherchent trop souvent la
« pierre philosophale » à l’extérieur d’eux-mêmes,
ou qui n’ont pas encore senti la puissance qui réside dans le
noyau nucléaire de leur âme.
Donc,
depuis plus d’un siècle, le « Pétrole est Roi ». Le
dogme de la nécessité pour l’ordre mondial de l’exploitation
pétrolifère ne souffre aucune contestation. Tant qu’il y aura une
nappe à exploiter, les maîtres du Consortium - quelques familles de
l’élite - voudront presser le fruit de cette manne jusqu’à la
dernière goutte d’or noir. Ce ne sont pas les industries et les
assurances du marché automobile, sans compter les bétonneurs qui
ravagent la terre qui y trouveront à redire.
La
plupart d’entre-nous se sentiraient désorientés si on leur
parlait d’une civilisation sans voiture, et il faudra
inévitablement un grand chambardement avant de remettre sur pieds
une nouvelle civilisation.
Les
pays producteurs de pétrole sont bien entendu sous un contrôle
total. Les divisions politiques ne pèsent pas lourd dans la balance
lorsqu’il s’agit de forer ou de tracer un pipeline. Communistes,
arabes, démocraties occidentales, tous sont unanimes : que le
pétrole jaillisse et que les moteurs tournent. Le pétrole est
vraiment roi.
Le
pétrole ou la Vie ?
Une
fois encore, soulevons le voile sur la tragédie de la seconde guerre
mondiale. Ce fut une guerre de l’énergie maquillée en une
sanglante joute idéologique.
Les
maîtres du jeu créent et manipulent les idéologies opposées afin
de contrôler les mouvements émotionnels des masses. Si vous n’êtes
pas d’un bord, vous tombez dans le camp opposé.
Au
delà de l’affrontement de façade entre le Fascisme et la
soi-disant Démocratie - deux carottes au demeurant - il s’est
passé en Allemagne le phénomène suivant : depuis la fin du
19ème siècle, un cercle d’initiés avait reçu des informations
sur une mystérieuse énergie appelée VRIL. Cette confrérie
localisait la source de cette énergie prodigieuse dans le courant
magnétique qui alimente notre planète à partir du Pôle Nord. On
se fondait sur la légende de Thulé qui fut la civilisation
originelle localisée autour du Pôle. Des chercheurs se mirent en
quête des secrets ésotériques sur cette civilisation qu’on
supposait toujours active sur un plan intraterrestre, d’où la
légendaire terre creuse.
Les
nazis désiraient un mythe fondateur et une religion pour leurs
fidèles. En plus du mythe de Thulé, ils s’emparèrent de
certaines données sur le Vril afin d’expérimenter des armes
secrètes. Cela donna naissance aux rumeurs sur les soucoupes
volantes du Reich, engins fonctionnant avec la mystérieuse « énergie
libre ».
Le
détournement de l’énergie du Vril à usage militaire était
contraire à l’éthique du peuple intra (ou extraterrestre) qui
aurait été connecté sur cette source énergétique.
Le
Vril n’est pas une énergie récupérable par une civilisation qui
viole les lois naturelles. Cette énergie vitale puissante et pure
est extrêmement délicate à manipuler et il est heureux que les
gouvernements n’y aient pas accès. Les savants américains ont mis
en place une technologie secrète qui voudrait parodier le Vril, mais
dont l’usage est tourné vers le contrôle des populations. Notre
niveau de conscience nous interdit l’accès à l’énergie pure.
Une mutation de conscience est nécessaire, mais c’est un effort
qui nous semble plus pénible que d’inventer des technologies de
substitution, au demeurant parfaitement aliénantes.
Les
nazis tentèrent l’expérience en détournant l’énergie libre à
leur profit, mettant ainsi les rois du pétrole dans un grand
embarras. Et si cela risquait de tarir la manne pétrolière ?
On
comprend que la guerre était urgente. Toutefois, un accord fut
réalisé entre les nazis et le consortium pétrolier pour que les
expériences avec l’énergie libre restent définitivement
secrètes, du moins tant qu’il y aurait du pétrole à exploiter.
Aucune application pratique ne devait être rendue publique, et c’est
pourquoi les nazis continuèrent à utiliser une technologie
conventionnelle, réservant leurs engins secrets pour plus
tard.
Une
terrifiante guerre fit rage sur la scène du monde, alors qu’à
l’arrière-plan, les belligérants avaient déjà négocié les
issues. Si cela vous semble trop difficile à admettre, il y a de
nombreux livres sur l’histoire officielle qui vous permettront de
continuer à dormir du sommeil de l’innocence.
Pour
l’histoire véritable qui n’est pas dans les livres, le pétrole
était sauvé, et il avait désormais un beau siècle devant lui. De
toute façon, les maîtres du Consortium disposaient d’une
alternative : l’énergie nucléaire, quoiqu’ils savent très
bien que ce recours dangereux leur est interdit par la confédération
galactique et qu’ils se sont mis hors-la-loi.
Tant
que Rockefeller, Rothschild et leurs amis de l’élite pourront
extraire quelque chose du sol terrestre pour nous le revendre au prix
fort, la civilisation telle que nous la connaissons aura encore de
belles années à vivre, sauf si la terre épuisée décide de se
secouer de ses parasites, ce qui ne saurait tarder. Attention au
sabordage lorsque les rats quitteront le navire.
Libérez
l’énergie libre !
Tant
que de sa propre initiative, l’humanité ne se sera pas débarrassée
de ses prédateurs en cessant d’attendre un salut venu de l’Olympe,
il n’y aura pas de civilisation digne de ce nom, et la colonisation
par l’élite noire de l’ordre mondial continuera.
Ce
problème préoccupe certaines hiérarchies extraterrestres
soucieuses de la libération de l’humanité mais qui, n’étant
pas de notre race, respectent le principe absolu de non-intervention.
Il leur est impossible de nettoyer la racaille de l’élite à notre
place sans interférer dans notre libre-arbitre. Le moins que
puissent faire ces races amies - quoique le mot « amitié »
soit ici abusif - serait de nous inciter à nous bouger. Ceci
explique les apparitions cycliques de messagers que nous crucifions
avant d‘en faire des idoles.
Qui
peut vraiment nous aider tant que nous n’avons pas compris le
principe de l’auto-libération ?
Admettons
qu’il existe des aides spirituels, dès lors, pourquoi ne pas les
encourager par nos propres efforts au lieu d’attendre qu’ils
agissent à notre place ?
Nous
avons la responsabilité d’agir pour notre salut, mais il faut
d’abord se défaire des illusions idéologiques et religieuses dont
on nous a intoxiqué. Or, pour l’homme une illusion chasse
l’autre. Un catholique qui devient communiste avant de passer à
l’Islam n’a pas bougé d’un pas. Il tourne dans le circuit
comme un hamster dans sa cage. Se convertir au nouvel âge et
s’enticher des « êtres de lumière » ne fait pas
avancer d’un iota. Rejoindre les francs-maçons ou les Tibétains a
même plutôt l’air d’une sacrée régression.
Non,
il faut sortir du circuit, et cela n’est pas si difficile lorsqu’on
réalise le caractère tragique de notre condition.
Un
homme arrivé au bord d’un précipice aura le réflexe instinctif
de se projeter en arrière sans qu’aucun effort de réflexion ou de
volonté ne soit nécessaire. Cette prise de conscience commence à
poindre. Certains réalisent qu’ils disposent d’une source
d’énergie puissante, et que dans cette force toute adversité et
résistance pourrait être dépassée.
En
terme « d’énergie libre », le déploiement de la force
est d’abord un processus de conscience, et non une expérimentation
technologique comme on le croit dans les milieux écologistes et
alternatifs soumis à une vision fonctionnelle et productiviste
héritée du matérialisme.
Certains
chercheurs bien intentionnés ne jurent que par la « machine
propre », non-polluante, mais un être qui disposerait de
l’énergie libre n’a que faire des machines. Lorsque nous
libérerons notre potentiel intérieur du parasitage séculaire de la
culture mortifère imposée par les maîtres du monde, nous n’aurons
plus besoin d’appareils et de prothèses.
Notre
puissance intérieure est infinie comme le démontre notre rage
d’exister en dépit des conditions hostiles depuis notre naissance
jusqu’à notre dernier souffle. Un être humain connaît-il autre
chose que l’opposition et la résistance de son milieu ? Pour
être l’objet d’un tel matraquage, nous devons représenter une
force latente inconcevable qu’il faut tenir sous le boisseau. Mais
qu’arrive t-il lorsque la conscience se libère ? Alors, nos
prédateurs n’ont plus qu’à chercher de nouvelles proies en
émigrant vers d’autres mondes.
Notre
puissance intérieure, « provisoirement » bloquée depuis
quelques millions d’années, puise dans le réservoir de l’énergie
universelle. Comment pourrait-il en être autrement ?
Mais
nous ne savons pas encore comment la canaliser à cause de notre
égotisme parasitaire qui fait barrage au flux. C’est là le
problème spirituel fondamental de l’humanité.
Alors
comment capter l’énergie libre et redevenir une humanité
digne de ce nom ?
Cette
énergie que la littérature fantastique du 19ème siècle a nommé
« le Vril » du nom d’un peuple intraterrestre
mystérieux, le Vrill-Ya - rendu célèbre par l’écrivain
Bulwer-Lytton - cette énergie est identifiable par quiconque
voudrait s’en donner sérieusement la peine.
Il
faut purifier nos puissances internes et se libérer des pulsions
mentales incontrôlées, ce qui est certes plus facile à dire qu’à
faire. Il faut en outre faire preuve d’une intention absolument
droite car la force n’est conductible qu’à travers un système
psychique dégagé de la volonté égotique. Cela représente pour
nous une pénible épreuve de passage, et c’est avec raison qu’on
dit qu’il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus.
Toutefois,
la nature de la pression qui nous accable va entraîner une réaction
salutaire, un redressement, et depuis septembre 2001, nombre de
personnes ont les yeux qui s’ouvrent.
L’énergie
libre naturelle, cette source de santé et de vitalité représente
l’état originel de notre vie, avant que nous sombrions dans
l’inconscience et l’oubli de notre origine.
Lorsqu’un
groupe d’êtres humains, motivés et dynamiques, aura libéré
jusqu’à un certain degré cette force vitale, il sera libre des
puissances visibles et invisibles, ce qui ne signifie pas qu’il
n’aura pas à se protéger d’éventuels prédateurs. Mais, il
aura la force de les repousser pacifiquement en utilisant la double
polarité de l’énergie libre, attractive et répulsive.
On
prétend qu’un enfant en possession du Vril pourrait anéantir une
ville simplement en levant la main et en dirigeant le faisceau
convenablement polarisé sur la cible. On dit également que les
femmes de la civilisation du Vril ne sont plus la proie d’agressions,
et qu’elles ont une maîtrise plus grande de l’énergie que les
hommes.
Ici
et là, des individus commencent à réaliser que la victoire de
l’émancipation est possible mais qu’elle dépend de l’énergie
disponible. Découvrant, au moins intuitivement, leur puissance
intérieure, ils devront s’unir pour libérer leur potentiel à
l’intérieur de petits groupes expérimentaux.
L’énergie
libre n’est pas une nouvelle utopie à inscrire avec les bons
sentiments du nouvel âge, car pour faire naître la force du Vril,
il faut plus que de la « bonne volonté ».
C’est
par manque de connaissance de son origine et de sa destination que
l’humanité demeure prisonnière de ses exploiteurs. Ce n’est que
par sa propre volonté qu’elle libérera sa puissance emprisonnée
depuis des millénaires par les trafiquants d’énergie.
Undercover 7