jeudi, août 29, 2013

Guerre & énergie



L’enjeu des guerres programmées par les maîtres du jeu depuis le 18ème siècle, se résume en l’instauration d’un ordre mondial permettant d’exploiter toutes les sources d’énergies, dont la conscience humaine. Le Livre de l’Apocalypse parle des « trafiquants de corps et d’âmes ».

L’argent étant le nerf de la guerre, c’est celui qui possède le plus d’or qui est en mesure de remporter la victoire. Ainsi, toutes les guerres modernes ont été déclarées et gagnées par les seigneurs de la finance qui, ayant mis un prix sur tout ce qui existe, achètent et vendent tout ce qui possède souffle de vie dans ce coin de l’univers. Notre survie est tolérée par simple souci économique.

Même les guerres perdues par les grandes puissances étaient des stratégies victorieuses, comme au Vietnam où le but n’était pas de gagner mais de faire durer le conflit (et de procurer de substantiels dividendes aux actionnaires de l'industrie de l'armement). [...]

Dans notre civilisation fondée sur l’industrie et la machine, la source énergétique la plus convoitée est le pétrole qui est le carburant de notre frénésie de mouvement et de notre avidité matérialiste. On sait qu’il existe d’autres ressources, non polluantes, mais elles présentent le désavantage de ne rien rapporter en terme économique aux maîtres du monde, quoiqu’ils sauront bien nous faire payer un jour l’air que nous respirons.

L’usage des énergies dites « libres » risquerait en outre de nous soustraire à leur emprise si jamais nous devenions capables de détecter la source intérieure de l’énergie vivante. Mais les philosophies, les idéologies et les théologies propagées par nos maîtres nous empêchent de découvrir le secret qui gît en notre être.

Cette question de la source de l’énergie libre devrait intéresser les gens tournés vers la spiritualité et qui cherchent trop souvent la « pierre philosophale » à l’extérieur d’eux-mêmes, ou qui n’ont pas encore senti la puissance qui réside dans le noyau nucléaire de leur âme.

Donc, depuis plus d’un siècle, le « Pétrole est Roi ». Le dogme de la nécessité pour l’ordre mondial de l’exploitation pétrolifère ne souffre aucune contestation. Tant qu’il y aura une nappe à exploiter, les maîtres du Consortium - quelques familles de l’élite - voudront presser le fruit de cette manne jusqu’à la dernière goutte d’or noir. Ce ne sont pas les industries et les assurances du marché automobile, sans compter les bétonneurs qui ravagent la terre qui y trouveront à redire.

La plupart d’entre-nous se sentiraient désorientés si on leur parlait d’une civilisation sans voiture, et il faudra inévitablement un grand chambardement avant de remettre sur pieds une nouvelle civilisation.

Les pays producteurs de pétrole sont bien entendu sous un contrôle total. Les divisions politiques ne pèsent pas lourd dans la balance lorsqu’il s’agit de forer ou de tracer un pipeline. Communistes, arabes, démocraties occidentales, tous sont unanimes : que le pétrole jaillisse et que les moteurs tournent. Le pétrole est vraiment roi.

Le pétrole ou la Vie ?

Une fois encore, soulevons le voile sur la tragédie de la seconde guerre mondiale. Ce fut une guerre de l’énergie maquillée en une sanglante joute idéologique.

Les maîtres du jeu créent et manipulent les idéologies opposées afin de contrôler les mouvements émotionnels des masses. Si vous n’êtes pas d’un bord, vous tombez dans le camp opposé.

Au delà de l’affrontement de façade entre le Fascisme et la soi-disant Démocratie - deux carottes au demeurant - il s’est passé en Allemagne le phénomène suivant : depuis la fin du 19ème siècle, un cercle d’initiés avait reçu des informations sur une mystérieuse énergie appelée VRIL. Cette confrérie localisait la source de cette énergie prodigieuse dans le courant magnétique qui alimente notre planète à partir du Pôle Nord. On se fondait sur la légende de Thulé qui fut la civilisation originelle localisée autour du Pôle. Des chercheurs se mirent en quête des secrets ésotériques sur cette civilisation qu’on supposait toujours active sur un plan intraterrestre, d’où la légendaire terre creuse.

Les nazis désiraient un mythe fondateur et une religion pour leurs fidèles. En plus du mythe de Thulé, ils s’emparèrent de certaines données sur le Vril afin d’expérimenter des armes secrètes. Cela donna naissance aux rumeurs sur les soucoupes volantes du Reich, engins fonctionnant avec la mystérieuse « énergie libre ».

Le détournement de l’énergie du Vril à usage militaire était contraire à l’éthique du peuple intra (ou extraterrestre) qui aurait été connecté sur cette source énergétique.

Le Vril n’est pas une énergie récupérable par une civilisation qui viole les lois naturelles. Cette énergie vitale puissante et pure est extrêmement délicate à manipuler et il est heureux que les gouvernements n’y aient pas accès. Les savants américains ont mis en place une technologie secrète qui voudrait parodier le Vril, mais dont l’usage est tourné vers le contrôle des populations. Notre niveau de conscience nous interdit l’accès à l’énergie pure. Une mutation de conscience est nécessaire, mais c’est un effort qui nous semble plus pénible que d’inventer des technologies de substitution, au demeurant parfaitement aliénantes.

Les nazis tentèrent l’expérience en détournant l’énergie libre à leur profit, mettant ainsi les rois du pétrole dans un grand embarras. Et si cela risquait de tarir la manne pétrolière ?

On comprend que la guerre était urgente. Toutefois, un accord fut réalisé entre les nazis et le consortium pétrolier pour que les expériences avec l’énergie libre restent définitivement secrètes, du moins tant qu’il y aurait du pétrole à exploiter. Aucune application pratique ne devait être rendue publique, et c’est pourquoi les nazis continuèrent à utiliser une technologie conventionnelle, réservant leurs engins secrets pour plus tard.

Une terrifiante guerre fit rage sur la scène du monde, alors qu’à l’arrière-plan, les belligérants avaient déjà négocié les issues. Si cela vous semble trop difficile à admettre, il y a de nombreux livres sur l’histoire officielle qui vous permettront de continuer à dormir du sommeil de l’innocence.

Pour l’histoire véritable qui n’est pas dans les livres, le pétrole était sauvé, et il avait désormais un beau siècle devant lui. De toute façon, les maîtres du Consortium disposaient d’une alternative : l’énergie nucléaire, quoiqu’ils savent très bien que ce recours dangereux leur est interdit par la confédération galactique et qu’ils se sont mis hors-la-loi.

Tant que Rockefeller, Rothschild et leurs amis de l’élite pourront extraire quelque chose du sol terrestre pour nous le revendre au prix fort, la civilisation telle que nous la connaissons aura encore de belles années à vivre, sauf si la terre épuisée décide de se secouer de ses parasites, ce qui ne saurait tarder. Attention au sabordage lorsque les rats quitteront le navire.

Libérez l’énergie libre !

Tant que de sa propre initiative, l’humanité ne se sera pas débarrassée de ses prédateurs en cessant d’attendre un salut venu de l’Olympe, il n’y aura pas de civilisation digne de ce nom, et la colonisation par l’élite noire de l’ordre mondial continuera.

Ce problème préoccupe certaines hiérarchies extraterrestres soucieuses de la libération de l’humanité mais qui, n’étant pas de notre race, respectent le principe absolu de non-intervention. Il leur est impossible de nettoyer la racaille de l’élite à notre place sans interférer dans notre libre-arbitre. Le moins que puissent faire ces races amies - quoique le mot « amitié » soit ici abusif - serait de nous inciter à nous bouger. Ceci explique les apparitions cycliques de messagers que nous crucifions avant d‘en faire des idoles.

Qui peut vraiment nous aider tant que nous n’avons pas compris le principe de l’auto-libération ?
Admettons qu’il existe des aides spirituels, dès lors, pourquoi ne pas les encourager par nos propres efforts au lieu d’attendre qu’ils agissent à notre place ?

Nous avons la responsabilité d’agir pour notre salut, mais il faut d’abord se défaire des illusions idéologiques et religieuses dont on nous a intoxiqué. Or, pour l’homme une illusion chasse l’autre. Un catholique qui devient communiste avant de passer à l’Islam n’a pas bougé d’un pas. Il tourne dans le circuit comme un hamster dans sa cage. Se convertir au nouvel âge et s’enticher des « êtres de lumière » ne fait pas avancer d’un iota. Rejoindre les francs-maçons ou les Tibétains a même plutôt l’air d’une sacrée régression.

Non, il faut sortir du circuit, et cela n’est pas si difficile lorsqu’on réalise le caractère tragique de notre condition.

Un homme arrivé au bord d’un précipice aura le réflexe instinctif de se projeter en arrière sans qu’aucun effort de réflexion ou de volonté ne soit nécessaire. Cette prise de conscience commence à poindre. Certains réalisent qu’ils disposent d’une source d’énergie puissante, et que dans cette force toute adversité et résistance pourrait être dépassée.

En terme « d’énergie libre », le déploiement de la force est d’abord un processus de conscience, et non une expérimentation technologique comme on le croit dans les milieux écologistes et alternatifs soumis à une vision fonctionnelle et productiviste héritée du matérialisme.

Certains chercheurs bien intentionnés ne jurent que par la « machine propre », non-polluante, mais un être qui disposerait de l’énergie libre n’a que faire des machines. Lorsque nous libérerons notre potentiel intérieur du parasitage séculaire de la culture mortifère imposée par les maîtres du monde, nous n’aurons plus besoin d’appareils et de prothèses.

Notre puissance intérieure est infinie comme le démontre notre rage d’exister en dépit des conditions hostiles depuis notre naissance jusqu’à notre dernier souffle. Un être humain connaît-il autre chose que l’opposition et la résistance de son milieu ? Pour être l’objet d’un tel matraquage, nous devons représenter une force latente inconcevable qu’il faut tenir sous le boisseau. Mais qu’arrive t-il lorsque la conscience se libère ? Alors, nos prédateurs n’ont plus qu’à chercher de nouvelles proies en émigrant vers d’autres mondes.

Notre puissance intérieure, « provisoirement » bloquée depuis quelques millions d’années, puise dans le réservoir de l’énergie universelle. Comment pourrait-il en être autrement ?

Mais nous ne savons pas encore comment la canaliser à cause de notre égotisme parasitaire qui fait barrage au flux. C’est là le problème spirituel fondamental de l’humanité.

Alors comment capter l’énergie libre et redevenir une humanité digne de ce nom ?

Cette énergie que la littérature fantastique du 19ème siècle a nommé « le Vril » du nom d’un peuple intraterrestre mystérieux, le Vrill-Ya - rendu célèbre par l’écrivain Bulwer-Lytton - cette énergie est identifiable par quiconque voudrait s’en donner sérieusement la peine.

Il faut purifier nos puissances internes et se libérer des pulsions mentales incontrôlées, ce qui est certes plus facile à dire qu’à faire. Il faut en outre faire preuve d’une intention absolument droite car la force n’est conductible qu’à travers un système psychique dégagé de la volonté égotique. Cela représente pour nous une pénible épreuve de passage, et c’est avec raison qu’on dit qu’il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus.

Toutefois, la nature de la pression qui nous accable va entraîner une réaction salutaire, un redressement, et depuis septembre 2001, nombre de personnes ont les yeux qui s’ouvrent.

L’énergie libre naturelle, cette source de santé et de vitalité représente l’état originel de notre vie, avant que nous sombrions dans l’inconscience et l’oubli de notre origine.

Lorsqu’un groupe d’êtres humains, motivés et dynamiques, aura libéré jusqu’à un certain degré cette force vitale, il sera libre des puissances visibles et invisibles, ce qui ne signifie pas qu’il n’aura pas à se protéger d’éventuels prédateurs. Mais, il aura la force de les repousser pacifiquement en utilisant la double polarité de l’énergie libre, attractive et répulsive.

On prétend qu’un enfant en possession du Vril pourrait anéantir une ville simplement en levant la main et en dirigeant le faisceau convenablement polarisé sur la cible. On dit également que les femmes de la civilisation du Vril ne sont plus la proie d’agressions, et qu’elles ont une maîtrise plus grande de l’énergie que les hommes.

Ici et là, des individus commencent à réaliser que la victoire de l’émancipation est possible mais qu’elle dépend de l’énergie disponible. Découvrant, au moins intuitivement, leur puissance intérieure, ils devront s’unir pour libérer leur potentiel à l’intérieur de petits groupes expérimentaux.

L’énergie libre n’est pas une nouvelle utopie à inscrire avec les bons sentiments du nouvel âge, car pour faire naître la force du Vril, il faut plus que de la « bonne volonté ».

C’est par manque de connaissance de son origine et de sa destination que l’humanité demeure prisonnière de ses exploiteurs. Ce n’est que par sa propre volonté qu’elle libérera sa puissance emprisonnée depuis des millénaires par les trafiquants d’énergie.

Undercover 7




Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...