mardi, décembre 02, 2014

Les raisons de la crise économique mondiale



La mondialisation des économies, toutes interdépendantes les unes des autres, la suppression imposée des frontières pour favoriser la mobilité des capitaux et ainsi les trafics de la haute finance internationale, entraînent des conséquences incalculables.



C'est le cas des délocalisations, qui aggravent le chômage et détruisent des pans entiers du savoir faire national.



Aujourd'hui la finance mondiale ressemble à un bateau où, sous prétexte d'alléger la structure et favoriser la libre circulation, on aurait supprimé les cloisons étanches conçues pour éviter que le navire soit envahi par l'eau d'une brèche et coule.



On en a vu les conséquences avec les monumentales escroqueries de Enron et World Cam., celle de Vivendi de la paire Messier-Bronfmann, celles des manipulations de Georges Soros…



Celles des "edgesfunds" et des "subprimes" jusqu'au krach de l'automne 2008, comme nous verrons plus loin.



Ces placements bancaires à très hauts risques, fragilisent les marchés mondiaux et ruinent des centaines de milliers de petits épargnants, sans que les banquiers aient à rendre gorge.



C'est cette finance artificielle, sans cloisons de protection, qui fait s'écrouler les bourses mondiales.

On juge de la mentalité mondialiste de ces financiers, par la déclaration d'un J-M.Messier, qui proclamait : "La spécificité culturelle française est morte". Il avait été responsable des 50% de pertes de Vivendi Universal, 13 milliards d'euros en 2001. Plus une dette de 34 milliards ! Cela ne l'a pas empêché de bénéficier d'un très luxueux appartement à New York payé par les Bronfman et d'obtenir 10 millions d'euros d'indemnités et des garanties contre toutes poursuites que pourraient lui intenter ceux qu'il a ruinés. Effectivement en février 2010 le Tribunal fédéral de New-York l'a acquitté alors que la firme était condamnée... !



Tel est l'homme de paille, intouchable, des Bronfman qui ont mis à profit la chute du titre pour les racheter à bon compte.



Rappelons que la tribu Bronfrnann qui avait fait fortune avec la contrebande d'alcool du temps de la prohibition dicte aujourd'hui sa loi par l'intermédiaire du Congrès juif mondial dont l'héritier Edgar, est le président et les Suisses l'ont appris à leur dépend...



Les conséquences de ce capitalisme apatride sont telles que Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne, dénonçait le 11 septembre 2007 devant la Commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen :



"Le degré de complexité de certains produits (financiers) conçus dans le but de vendre des instruments de dette", "le formidable accroissement de la sophistication des instruments financiers" et "le rôle trouble des grandes agences de notation" !



C'est là dénoncer le rôle des grandes firmes Goldman-Sachs, Lehman Brothers, entre autres, qui font monter et descendre les cours selon les intérêts de la Haute finance cosmopolite... ! À force de jouer, ce système financier s'est effondré à l'automne 2008, victime de montages artificiels frauduleux, par recherche de profits toujours plus grand. Et avec, toutes les économies mondialisées.



Révélateur de la main mise financière juive sur l'économie, mondiale, George W. Bush a imposé le "néo cons" Robert Zoellick de la banque Goldmann Sachs , en remplacement son coreligionnaire Paul Wolfowitz, destitué pour concussion, à la tête de la Banque mondiale.



Ainsi avec la nomination de Dominique Strauss-Kahn, au Fond monétaire international - salaire un demi million de $ par an - avec l'appui de Bush et Sarkozy, et de Ben Bemake à la tête de la Federal Reserve, la finance mondiale est entre les mains du clan cosmopolite.



La nomination de la mondialiste Christine Lagarde en remplacement de Strauss-Kahn, n'y changera rien. (Christine Lagarde présidait le Comité de stratégie mondiale et partageait avec Zbiniew Brzezinski, la présidence de la Commission Action USA-Union européenne.) [...]



A la fin de l'été 2008 allait éclater le formidable krach boursier qui devait ravager les économies mondiales du fait de leurs interconnexions, conséquence du mondialisme qui a supprimé les frontières physiques et financières. […]



Des économistes accusent Alan Greenspan ancien patron de la Federal Reserve, d'avoir favorisé la crise par sa politique de taux très bas, puis par ses appréciations pessimistes. Or la Fed, organisme privé aux mains des grandes familles banquières, qui émet la monnaie américaine, a pour mission de superviser le système financier américain.



Ainsi le krach boursier relève de sa responsabilité et il est étrange que les grands financiers juifs qui la dirigent, ne l'aient pas prévue. Ou alors, c'est qu'ils l'ont voulue !



La sanction aurait dû en être la prise en garantie des fortunes colossales de ses membres, acquises par l'effet de délits d'initiés, puisque ce sont eux qui régulent les cours !



Par un effet de dominos, la crise s'est aggravée, les placements pourris contaminant l'ensemble des établissements bancaires mondiaux au travers des prêts mutuels et ainsi, c'est toute la finance mondiale qui s'est effondrée, infestée par la peste américaine.



En cela, la crise actuelle apparaît beaucoup plus grave que celle de 1929, du fait de la mondialisation.



Il faut relever le rôle délétère de deux facteurs aggravants :



- Les agences de notation Baker & Mac Kenzie, Goldmann-Sachs, Lehmann Brothers, J.P. Morgan, Morgan Stanley, Moody's, Standard & Poor's, induisent les cours par leurs analyses biaisées, sans que cela corresponde à une réalité financière tangible.



- Les bilans "trop optimistes", voire faux, des entreprises pour faire monter leur cotation et ainsi pouvoir servir de copieux dividendes à leurs actionnaires, ce qui, à son tour, les fait rechercher par les investisseurs, nouveau facteur de hausse artificielle.



Cela marche tant que le pot aux roses n'est pas découvert.



Depuis que le 15 août 1971, Richard Nixon a supprimé l'"étalon or", tout est virtuel, fonction de la valeur attribuée par les agences de notations et par la "régulation" de la Fed... Ainsi, ou bien elles se sont trompées dans leurs calculs de risques ou bien certains ont misé sur la catastrophe pour jouer à la baisse et imposer une gouvernance mondiale sous prétexte de remettre de l'ordre.



Déjà, en 2003, le sénateur du Texas, Ron Paul, ancien candidat à la Présidence, avait accusé la Federal reserve de "préparer la crise de l'immobilier devant entraîner une crise financière mondiale majeure". À l'appui de cette accusation, le "néoconservateur" Michael Leeden en 2003, prônait "le chaos et l'anarchie pour imposer le Nouvel Ordre Mondial" ! Elle rejoignait celle de Paul Warburg devant le Sénat américain le 17 février 1950 :



"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non.

"La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".



Aussi, ce n'est pas par hasard, si profitant de cette crise, Nicolas Sarkozy et son coreligionnaire Jacques Attali, agents du mondialisme cosmopolite, prônent une "gouvernance mondiale''.



C'était déjà ce que Sarkozy demandait à Bernard Kouchner dans sa lettre du 27 août 2007 :



"C'est en définitive vers un ministère de la Mondialisation que nous vous demandons de faire évoluer notre outil diplomatique" et dans son discours à l'Assemblée générale de l'ONU en octobre 2007, Sarkozy confirmait le but :



"Au nom de la France, j'appelle tous les États à se réunir pour fonder un Nouvel ordre mondial du XXIème siècle" !



Le 25 septembre 2008, à Toulon, Nicolas Sarkozy allait réclamer à nouveau une "direction mondiale", le chaos financier étant le prétexte pour remettre de l'ordre, leur ordre. Il y a là, comme avec les "crimes d'Etat" pour imposer les guerres du mondialisme, une volonté de faire accepter aux peuples une politique liberticide, la dictature mondiale.



L'utilisation de l'arme économique n'a rien de nouveau. La famine organisée par la rétention et la spéculation sur les biens de consommation avait déjà permis aux conjurés de la l'Avant Révolution de faire monter la colère populaire contre Louis XVI.



Aujourd'hui, en ruinant les classes moyennes, les seules encore indépendantes financièrement, elle vise à imposer une direction mondiale.



Certains négateurs de l'action maçonnique et cosmopolite diront encore :



"Toujours cette obsession du complot" ... !



Or cette "direction mondiale" invoquée pour parer au chaos financier, évoque la devise maçonnique "Ordo ab chaos" et celle, Novus Ordo Seculorum entourant une pyramide tronquée, symbole maçonnique, sur le billet de 1 $.



Ainsi, en voulant imposer une "gouvernance mondiale" les «néo-cons» américains et les Sarkozy, Attali, Mine, Kouchner, poursuivent le vieux rêve messianique juif de la République universelle.



Lorsque Sarkozy le 25 septembre à Toulon osait promettre "la garantie de l'État en cas de faillite bancaire" et "qu'il n'acceptera pas que les dépôts en banque perdent un euro" à qui fera-t-il croire cela, à part aux éternels naïfs ? N'ont-ils pas déjà perdu 40% de leurs avoirs depuis le début de ce krach, sans qu'il renfloue leurs comptes ? Avec quel argent pourrait-il le faire alors que l'État n'en a plus et n'est pas près de rétablir ses finances avec le train de vie fastueux et ostentatoire que lui impose ce même Sarkozy ? Jusqu'à quand celui qui proclamait : "Je ne vous mentirai pas, je ne vous trahirai pas, je ne vous tromperai pas", fera-t-il illusion ?



Sa proposition de transposer le plan Bush-Paulson de 700 milliards de dollars pour le sauvetage des banques en Europe, a été rejeté par l'Allemagne qui tire son épingle du jeu avec un chômage au plus bas et l'augmentation de sa balance commerciale alors que la France de Sarkozy plonge. Comme le disait récemment un journaliste sur France-Inter, "L'agitation frénétique de Sarkozy est dangereuse car elle laisse entendre qu'il sait des choses sur la gravité de notre économie ce qui risque de déclencher la panique". N'est pas ce qu'il veut à l'instar du "néo-cons" Michael Leeden ?



Remarquons que dans le même temps on tente d'expliquer la faillite financière de l'Irlande par son "refus de voter pour l'Europe", comme si les pays communautaires n'en avaient pas souffert !



Ce que l'on se garde bien de dire c'est que l'Irlande a assaini son système financier par ses fonds propres sans rien demander à personne, au point que les investisseurs anglais se positionnent sur les banques irlandaises. Voilà ce qui dérange les mondialistes. D'où leurs mises en garde contre les pays qui voudraient régler tous seuls l'impact de la crise sur leurs finances, qualifiées de "nationalistes rétrogrades"...



Tout dans cette affaire de krach financier sent la manipulation médiatique et il faut y prendre garde.



Sans la mondialisation des économies, le monde entier n'attraperait pas la peste américaine et l'Irlande, en tant que nation indépendante aurait, sans la trahison de son premier ministre, Brian Cowen, démontré qu'elle pouvait se passer de la finance mondiale.



Avec la réduction des droits civiques depuis les "crimes d'État", de l"'opération Gladio" à ceux du 11 septembre, de Madrid, de Londres, etc .. ., et le fichage des citoyens, le krach boursier apparaît aujourd'hui comme un nouveau prétexte pour imposer la dictature mondiale.



Ceci dit, les meilleurs plans peuvent s'enrayer. Une fois que les choses sont lancées, on ne sait jamais où cela aboutit. C'est le cas des révolutions. Ce ne sont pas les initiateurs qui en profitent en général. Lors de la Révolution dite française, les girondins furent éliminés par les montagnards, les Jacobins. Lors de la révolution russe de 1917, les mencheviks le furent par les bolcheviks, etc … C'est l'éternelle duperie des libéraux qui ouvrent la "boîte de Pandore".



Le plan Bush de 700 milliards de $ pour éponger les dettes des banques, puis celui d'Obama, ont provoqué l'opposition du Congrès, car c'est l'État, donc le contribuable, qui devra payer.



Ainsi ces plans de sauvetage, aboutissent à faire payer par les citoyens, le renflouement des banques qui les ont ruinés !



Ancien dirigeant de la Goldman-Sachs, le ministre des finances américaines, Paulson, annonçait le 8 octobre 2008 de nouvelles faillites de banques, entraînant l'effondrement des marchés.



Il y a là, comme une volonté d'engendrer la panique des épargnants, de provoquer le chaos boursier, comme le prônait le "neocons" Michael Leeden, pour imposer un "nouvel ordre mondial".



Telle est l'hypocrisie et le mépris du peuple d'un Bush, d'un Obama, comme d'un Sarkozy aux ordres de la Haute finance et du messianisme mondialiste cosmopolite.



Si avec l'affaire du Caucase (agression géorgienne contre l'Ossétie du Sud plus ou moins orchestrée par la CIA) et le krach financier mondial, le mondialisme a cru pourvoir utiliser ces deux crises pour progresser, c'est l'inverse qui se produit en révélant aux populations les effets délétères du mondialisme.



L'échec de la campagne mondiale de vaccination contre la grippe HlNl, est un signe évident de la méfiance des citoyens.



J'ai souvent affirmé que le propre des faux principes est de porter en eux les germes de leur autodestruction.



Ce que nous vivons aujourd'hui pourrait bien y aboutir et nous devons y aider, car les portes ouvertes par le mondialisme doivent être refermées pour circonscrire cette peste.



Au lieu de mondialiser toujours plus, il faut rétablir les frontières physiques et monétaires nationales qui préservaient de la contamination de ces catastrophes.



Nous devons pousser au réflexe de défense nationaliste, sur le plan politique comme sur le plan financier. C'est d'ailleurs la grande crainte des mondialistes, dans certains commentaires, prétendant se moquer de cette tentation de défense nationaliste qualifiée de "ringarde". Or, si le nationalisme a émergé du fait de la politique internationaliste de la Révolution dite française et de la démission

de la monarchie, c'était déjà parce que les prémices de cette dictature mondialiste perçaient sous l'idéologie révolutionnaire.



Si "ringards" il y a, ce sont bien les héritiers de ce "système" de spéculation financière, instauré depuis la fin du XVIIIème siècle par la finance cosmopolite et les lobbies, comme moyen de domination mondiale. Pour la survie des peuples et des nations, il doit être détruit.



Philippe Ploncardd'Assac



Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...