mardi, décembre 13, 2016

Détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…)



La religion sans nom



par Alexandre Lebreton


L’héritage de l’ancienne Babylone, la religion à Mystères suméro-akkadienne avec ses sacrifices de sang et la mise en esclavage d’êtres humains s’est transmis à travers les générations.

La Statue de la Liberté représente la tyrannie luciférienne 

Jay Parker, un survivant d’abus rituels sataniques a révélé que ses grands-parents, descendants de lignées lucifériennes, lui avaient un jour confié à propos de la Statue de la Liberté qu’il s’agissait en fait de Semiramis, la reine de Babylone, l’épouse de Nimrod. C’est Nimrod qui fut le constructeur de la Tour de Babel, il a été le premier homme à avoir voulu établir un Gouvernement Mondial avec une Religion Universelle en opposition à Dieu. Nimrod semble visiblement être un modèle à suivre pour les élites de la Franc-maçonnerie internationale. Dans ‘‘History of Freemasonry’’, publié par la ‘‘Masonic History Company’’, il est écrit que Nimrod a été honoré comme ‘‘Grand Maçon’’ et que sa tentative pour construire un ‘‘Nouvel Ordre Mondial’’ lui a valu la distinction de ‘‘Premier Grand Maître’’.

Le franc-maçon Albert Mackey a écrit que ‘‘La légende attribue à Nimrod la création des Maçons sous la forme d’un corps et il a été le premier à leur avoir donné une constitution ou des lois pour un gouvernement. La Maçonnerie, selon ce que rapporte la légende, a été fondée à Babylone, d’où elle s’est transmise dans le monde entier.’’



La tradition des abus rituels pour créer des esclaves

La tradition des abus rituels pour créer des esclaves viendrait d’une antique doctrine, l’ancienne tradition de l’époque Babylonienne avec son culte aux démons, cette dévotion aux anges déchus, que nous appellerons ‘‘la religion sans nom’’. Dans ces anciennes religions, les dieux maléfiques étaient craints et devaient sans cesse être apaisés. Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était complètement lié aux entités démoniaques.

Le démonisme est la dynamique qui se cache derrière la magie et les pouvoirs spirituels de ces religions primitives et antiques. Les nombreux dieux cananéens, égyptiens, grecques et romains sont du même acabit que les dieux babyloniens. Toutes les pratiques de magie, les quêtes d’immortalité, les sacrifices d’animaux et d’humains, etc, dérivent de ces anciens cultes aux démons. Dans ‘‘Mackey’s Revised Encyclopedia of Freemasonry’’, Albert Mackey nous informe que : ‘‘Selon Warburton, chaque dieu païen reçoit en dehors de ce qui apparaît publiquement et ouvertement, un culte secret dans lequel personne n’est admis excepté ceux qui ont été sélectionnés par des cérémonies préparatoires qui constituent l’initiation. Ce culte secret a été appelé les Mystères.’’

La religion sans nom

Aujourd’hui, ces cultes n’ont plus leur autel sur la place publique, et pour les profanes ils n’existent plus que dans les livres d’histoire, et encore… Mais ont-ils totalement disparus ? L’adoration des démons, les rituels sacrificiels de sang et les pratiques traumatiques initiatiques créant de profonds états dissociatifs sont-ils de l’histoire ancienne ?

Il existe encore de nos jours un culte perpétuant cette tradition, telle une ‘‘religion sans nom’’ transmettant les Mystères de génération en génération. Pourquoi une ‘‘religion sans nom’’ ? Parce qu’elle n’existe pas de manière officielle. Ce culte, ou plutôt cette doctrine, n’est pas censée exister pour le commun des mortels de notre époque. On pourrait tout aussi bien l’appeler la ‘‘religion aux mille visages’’, ses multiples formes n’étant rien d’autre que des manifestations d’une souche de fond qui s’adapte aux époques et aux civilisations humaines. Une souche qui s’extériorise de telle ou telle manière selon les circonstances qui s’offre à elle et qui s’adapte aux aléas matériels, mais qui reste une dans ce qu’elle vise au niveau spirituel.


La décadence des mœurs est planifiée dans les loges


C’est une doctrine clandestine, une Gnose Transhistorique qui n’a donc pas d’appellation précise mais qui façonne pourtant notre société moderne par l’infiltration depuis des siècles. Elle marque son empreinte par une symbolique que les initiés aiment à afficher dans le monde profane, mais aussi par une influence entraînant une décadence des mœurs de plus en plus marquée. C’est une sous-culture qui émerge petit à petit et qui tente d’imprégner les profanes pour devenir une culture hégémonique mondiale. Cette ‘‘religion sans nom’’ est divisée en une multitude de sectes et groupes n’ayant pas au premier abord les mêmes centres d’intérêts, mais qui ont toutes et tous en commun de travailler plus ou moins ardemment à la mise en place d’un gouvernement mondial, un Nouvel Ordre Mondial, berceau de l’Antéchrist.

La ‘‘religion sans nom’’ est le culte à Lucifer, elle se divise en plusieurs branches, Kabbalistes, Martinistes, Rosicruciens, Théosophes, Lucifériens, Gnostiques et Néo-gnostiques, etc. (toutes ces écoles se chevauchant les unes les autres)… Ses véritables adeptes (c’est à dire ceux qui sont conscients des véritables enjeux qu’ils défendent et de la guerre menée ici-bas) descendent de familles lucifériennes transgénérationnelles ou bien sont initiés et corrompus dans les hautes loges de sociétés sécrètes structurées de manière pyramidale. Tous travaillent à l’établissement du règne de leur Prince, l’ange déchu Lucifer, le dieu ‘‘civilisateur’’, tandis le Dieu de la Bible serait pour eux un Dieu ‘‘destructeur’’ qu’il faut renverser. Une de leur méthode est l’infiltration et la subversion des religions, des gouvernements et des organismes importants pour y infuser patiemment et méthodiquement leur doctrine luciférienne. [...]

Le but est de détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…) et d’inverser la moralité et les valeurs traditionnelles pour imposer un nouvel ordre par la destruction : Ordo ab Chao, l’ordre par le chaos. Dans nos sociétés modernes, nous pouvons aujourd’hui constater les résultats de cette doctrine destructrice qui consiste à obtenir la ‘‘rédemption par le péché’’ ou la ‘‘sainteté à travers le mal’’. Il s’agit d’une philosophie particulièrement malsaine visant à une inversion systématique des valeurs morales ou le mal devient le bien et le bien devient le mal. Dans son livre intitulé ‘‘Le Messie Militant’’, Arthur Mandel définit ainsi cette notion de ‘‘rédemption par le péché’’ : ‘‘Ce n’est rien d’autre que la vieille idée paulino-gnostique de la felix culpa, le péché saint de la route vers Dieu passant par le péché, le désir pervers de combattre le mal par le mal, de se débarrasser du péché en péchant.’’

Frankisme et Sabbataïsme

Ce fléau semble trouver ses racines dans les anciennes pratiques Babyloniennes et les cultes à Mystères. Une doctrine ravivée par le Frankisme et le Sabbataïsme, une dégénérescence satanique du judaïsme et de la Kabbale, fondée par les faux messies Sabbataï Tsevi (XVIIème siècle) et Jacob Frank (XVIIIème siècle). Le Sabbatao-Frankisme peut être considéré comme un proche ancêtre des Illuminés de Bavière (secte des illuminati), du sionisme, du communisme, ainsi que du fascisme. Il n’y a pas à proprement parler de culte Frankiste ou Sabbataïste puisqu’il s’agit d’une doctrine et d’une philosophie se propageant par l’infiltration des religions mais également de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes travaillant dans les coulisses des gouvernements et œuvrant derrière des façades démocratiques.

Alexandre Lebreton, "MK, Abus Rituels et Contrôle Mental".


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