vendredi, février 24, 2017

Faire l'amour avec Dieu

La mystique de DAECH selon Catherine Clément

"Ceux qui vont se faire exploser, il faut bien qu'ils en tirent un plaisir quelconque !" 


L
a philosophe athée Catherine Clément publie "Faire l'amour avec Dieu" chez Albin Michel, elle était l'invitée d'Ali Baddou (France Inter).

« Dans son livre, elle revient sur le rapport physique, quasi sexuel voire totalement sexuel, entre les "mystiques" à travers les âges et leurs dieux. Des personnages "très dissidents, qui n'obéissent pas aux règles, et veulent un rapport direct avec Dieu, entrer en extase, pénétrer Dieu et devenir Dieu". Des traits qu'elle retrouve par exemple chez les djihadistes du groupe État islamique. »


""La prière est un coït avec la Présence divine": cette drôle de phrase, tombée de la bouche d'un rabbin ukrainien au XVIIIe siècle, le Baal Shem Tov, est venue tinter un soir à mes oreilles comme un méchant grelot. Pourquoi ? Qu'est-ce que la sexualité d'une prière peut apporter au XXIe siècle, un siècle qui commence par des tueries suicidaires commises au nom de Dieu ? Et que veut-il, ce Dieu, le coït ou la mort ? Dieu voulant toujours tout, Il veut les deux : qu'on fusionne avec Lui et qu'ensuite on en meure, pour faire partie de Lui. C'est un ogre adorable. Belle idée pour fidèles, exaltante pour dévots. Si tentante, cette idée, qu'elle s'est incarnée sous tous les cieux, sur tous les continents, dans toutes les religions. Celles et ceux qui les portent sont des croyants extrêmes prêts à donner leur vie pour accéder à la fusion divine. Par défi, par orgueil, sous l'effet d'un grand vent dissident hostile à toute autorité sociale, ceux-là et celles-ci vont à la mort par des chemins dérivés que l'on appelle mystiques."

De Catherine de Sienne à Ramakrishna, de Rumi à Thérèse d'Avila, de l'histoire de Majnoun le fou d'amour au Cantique des cantiques, Catherine Clément nous fait découvrir "l'être sexuel de Dieu", et le monde fascinant de ses amants mystiques.

vendredi, février 10, 2017

Occultisme et franc-maçonnerie dans les comic books



« Les comics sont généralement bourrés de références maçonniques, explique Jérémy Lehut dans son livre « Le monde occulte des comic books ». Dans le numéro "Batman, Legends of The Dark Knight" publié en 1996, Batman se sert de ses connaissances sur les rites initiatiques maçonniques pour résoudre un meurtre commis dans une loge. Ce comic book est truffé de symbolisme maçonnique, tout comme dans "Batman : Scottish connexion" cité précédemment par Mark Millar. Dans la BD "The Watchmen" le logo maçonnique est omniprésent. Le héros magicien Docteur Strange est un illuminé, le personnage Vandal Savage est également désigné comme faisant partie des Illuminati et de diverses sociétés secrètes.


Les références à la franc-maçonnerie sont courantes, par exemple, tous les héros ont une identité civile et ne veulent en aucun cas que le peuple connaisse leur double vie de super-héros. Ce qui rappelle les francs-maçons qui n'aiment pas faire savoir leur appartenance à la secte et qui tentent de le cacher aux yeux du peuple.

Deux auteurs majeurs de l'industrie des comics parlent librement de leur pratique quotidienne de l'occultisme. L'auteur Alan Moore qui a inventé l'un des comic books les plus populaires, "The Watchmen", est un magicien. Il voue un culte à Glycon. Glycon était vénéré par certaines sectes hérétiques. C'est tout simplement un serpent. »

Les propos de Moore sont clairs, « on retrouve dans ses publications des références new age qui ne sont pas sans rappeler Helena Blavatsky. Il a même rédigé un grimoire magique avec un ami. Pour Alan Moore les enfants doivent être éduqués au travers de l'art, au travers des BD, de la musique mais aussi du cinéma, il estime que son rôle est d'injecter ce qu'il sait dans son travail afin d'éduquer les plus jeunes. Si Alan Moore ne parle pas directement d'Aleister Crowley, Grant Morrison, lui, en fait l'éloge et est un adepte depuis ses 19 ans. C'est lui-même qui en parle librement. Dans un documentaire qui lui est consacré, "Parler avec les dieux", ce dernier et ses amis témoignent de son attachement pour la pratique de l'occultisme. Lorsque Grant Morrison avait 19 ans son oncle lui avait offert un livre d'Aleister Crowley. C'est à partir de cet ouvrage qu'il a pratiqué son premier rituel magique. Dans sa biographie, Grant Morrison raconte que ce livre n'est autre que "Le livre de Thoth". Il reçut en plus de ce livre un jeu de Tarot de Crowley. [...]


Dans les comics de nombreux personnages maîtrisent la magie. C'est une industrie pleine d'occultisme. Par exemple le comic book "Spawn" traite d'un homme qui est tué, son âme termine en enfer et Al Simmons, l'homme qui fut tué, conclut un pacte avec un démon appelé Malebolgia pour revenir sur terre afin de revoir sa femme et se venger. Son âme est donc perdue mais il retourne sur terre sous la forme d'un soldat de l'enfer appelé Spawn. Dans une interview accordée à MTV, Todd McFarlane déclarait qu'il préparait un second film sur son héros et qu'il avait les moyens de le produire. Ce film serait « sa passion de l'Anti-Christ »... […]

Si le personnage de Spawn se rebellera contre l'enfer à aucun moment Dieu n'est présenté comme une solution. Ce qui vient du ciel sera d'ailleurs l'ennemi du Spawn et les personnages seront clairement mis en scène pour être mauvais. Afin de continuer dans l'occultisme et donc dans le culte du démon, la bande dessinée "Lucifer" publiée par DC Comics fait un tel carton qu'elle est même adaptée en série pour la télévision. […]

Dans cette série Dieu est l'ennemi. Dans l'épisode pilote Lucifer déclare qu'il aime plus les hommes que Dieu lui-même. Qu'il leur offre la liberté et ne leur interdit rien. C'est Vertigo qui publie ce comic book, mais l'enseigne appartient à DC Comics. Les univers des personnages de DC comme Batman sont partagés avec ceux de Vertigo, comme Lucifer ou Constantine. La bande dessinée "Lucifer" fut initiée par le juif Neil Gaiman, dont la famille est originaire d'Europe de l'Est. Il s'agit d'une constante dans ces univers malsains que de retrouver ceux qui se disent juifs. Neil Gaiman voulait être auteur pour les comics, c'est Alan Moore qui lui a expliqué comment s'y prendre pour rédiger des comic books. [...]

Les auteurs comme Grant Morrison, Alan Moore mais aussi Neil Gaiman narrent des aventures horrifiques, le retour en force de ces univers est dû à la création de Vertigo. Si certains se demandaient si le Diable existe dans l'univers des super-héros, il semble que c'est bien le cas par le biais de Lucifer. Le comic book Preacher publié par Vertigo est aussi bien étrange. L'histoire raconte comment un prêtre perd la Foi. Un jour il arrive malheur à son église et ses fidèles. Le prêtre se trouve étrangement affublé de pouvoirs magiques après avoir fusionné avec une entité nommée Genesis. Aidé d'un vampire et de son ex-petite amie il part à la recherche de Dieu en sillonnant l'Amérique. Ce comics fut inventé par l'irlandais Garth Ennis, un habitué de l'humour noir et des œuvres blasphématoires. Dans une interview l'auteur déclarait : « Je ne crois pas en Dieu. Et si Il existe, Il est certainement mauvais ».

Le personnage de l'écurie Marvel, Daredevil, est présenté par les fans et la maison d'édition comme super-héros chrétien car il se rend à l'église. Daredevil est avocat le jour sous le nom de Matthew Murdock, et justicier la nuit qui se déguise en démon de couleur rouge. Ce héros est une sorte de Batman pour les éditions Marvel. D'ailleurs, l'auteur Frank Miller s'est occupé des deux franchises et a marqué ces deux personnages de son empreinte.

Rendons-nous compte du sort qui est réservé à Dieu dans les comics. Il est tué, combattu ou blasphémé. A aucun moment Dieu n'est présenté comme une solution dans les comic books, Il est plutôt l'ennemi ou la cause des maux de tous les hommes.

Les trois auteurs qui sont cités dans ce chapitre, (Alan Moore, Grant Morrison et Mark Millar) ont chacun révolutionné les comics en apportant des univers magiques et sataniques. La différence entre DC Comics et Marvel réside dans le fait que DC est représentée par Superman, l'antéchrist. Marvel pourrait être symbolisé comme étant représenté par les adeptes de cet antéchrist, les francs-maçons, des magiciens... C'est Superman qui a lancé une mode des super-héros, il est en quelque sorte le père des personnages en collant. Le comic book est un monde plein de symboles et de références. »



Jérémy Lehut, extraits de son livre « Le monde occulte des comic books ».




Le monde occulte des comic books




« Le monde occulte des comic books », pdf gratuit :

mercredi, février 08, 2017

Les Judéo-nazis légalisent le vol



Le 6 février 2017, sous l'autorité de Benyamin Nétanyahou, les députés de la Knesset ont légalisé l’expropriation de terres palestiniennes.
 

Le rédacteur en chef de l’Encyclopédie hébraïque, Yeshayahou Leibowitz (1903-1994), n'avait pas hésité à comparer la situation dans les territoires de Cisjordanie à celle de la Tchécoslovaquie après l'invasion nazie. Il utilisait les expressions de « judéo-fascisme » et de « judéo-nazisme » à l'encontre de certains courants politiques israéliens. 

Dans son ouvrage, Israël et judaïsme - Ma part de vérité (1993), il écrit :

« (...) il faut souligner que la barbarisation de la conscience révèle la mentalité générale qui domine notre monde, et nous n’en sommes pas nous-mêmes dépourvus. En témoigne, chez nous, (en Israël) l’absence de réaction du public devant les meurtres d’enfants arabes par des forces armées, régulières et irrégulières, juives. Nous n’avons pas construit, et nous ne construirons pas, de camp d’extermination, mais la mentalité qui rend possible leur édification existe chez nous aussi. Quand la nation (dans le langage nazi, « la race ») et la puissance de l’État sont érigées en valeurs suprêmes, il n’existe plus aucun frein aux actes des hommes. [...] 


L'État d'Israël perd progressivement de sa signification pour ce qui concerne les problèmes existentiels du peuple juif et du judaïsme. Il cesse en fait d'être l'État du peuple juif pour devenir l'appareil de l'oppression juive sur un autre peuple. [...] L'État d'Israël n'est pas du tout un État qui possède une armée mais une armée qui possède un État.

Aujourd'hui, les rapports empreints de respect et d'admiration, voire de sincère sympathie, tels qu'ils existaient vis-à-vis de l'État d'Israël au cours des premières années de son existence ont cessé. Surtout, l'État devient peu à peu étranger à de nombreux juifs, pas vraiment aux pires, du fait que le peuple juif ne retire aucun titre d'honneur de l'existence de cet État. Voyez un peu ce que nous avons fait quand après deux mille ans d'exil nous sommes revenus et avons obtenu l'indépendance nationale !

J'ai reçu, il y a peu de temps, la visite d'un jeune officier, grandi dans le giron de l'éducation kibboutzique humaniste, dont il avait véritablement fait siens et parfaitement assimilé les principes. Il m'a raconté s'être engagé dans l'armée avec tout son cœur, et même avoir suivi des cours d'officier pour servir le peuple de toutes ses forces. Et voilà qu'il s'est retrouvé dans une ville de Cisjordanie avec quelques-uns de ses camarades. Leur tâche était de patrouiller chaque matin dans les rues de Ramallah, les armes américaines les plus perfectionnées à la main. « Nous ressentions véritablement, disait-il, tant l'hostilité avec laquelle les habitants nous regardaient, que leur peur panique. Nous nous demandions: Que faisons-nous ici ? Quel est notre but ? » Jusqu'au jour où se produisit une manifestation, bien entendu illégale, car dans la démocratie israélienne il est interdit aux Palestiniens de manifester. Ce même officier et ses camarades furent chargés de disperser la manifestation. Bien entendu, il fallait éviter de verser le sang, mais les manifestants refusèrent de se disperser. L'un d'entre eux brandit même le drapeau palestinien. On donna alors l'ordre de tirer en l'air et tout le monde s'enfuit. Mais un enfant resta à terre, blessé. Certes, il fut immédiatement transporté à l'hôpital. Mais l'officier eut le cœur brisé. Il se rendit soudain compte que l'éducation qu'il avait reçue, les slogans qu'il avait entendus, tout était mensonge ! Et il venait me demander s'il agirait bien en quittant le pays à la fin de son service. »




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BONUS

Sionisme et occultisme

Selon Henry Makown, « le Sionisme est contrôlé par l’Ordre des Illuminati, qui représente un groupe de familles dynastiques, satanistes, associés avec les Rothschild et l’aristocratie européenne, unis par l’argent, le mariage et la franc-maçonnerie (c’est-à-dire la kabbale.) Ce culte découle de la communauté juive satanique du mouvement Frankiste-Sabbatéen... »

Le culte qui a détourné le monde

Henry Makow

Aussi bizarre et incroyable que cela puisse paraître, l'humanité a été colonisée par un culte satanique appelé les Illuminati. 

Ce culte représente les banquiers maçonniques et juifs qui ont usurpé un monopole sur le crédit du gouvernement, qui leur permet d'exiger des intérêts sur les fonds qu'ils créent a partir de rien. Naturellement, ils veulent protéger ce privilège en le traduisant dans un monopole politique et culturel. Cela prend la forme d'un gouvernement mondial totalitaire dédié à Lucifer, qui représente leur mépris de Dieu. Ainsi, les gens qui contrôlent les cordons de notre bourse conspirent contre nous. Pour nous distraire et nous contrôler, ils ont utilisé un vaste réseau occulte (la franc-maçonnerie) pour infiltrer la plupart des organisations, en particulier le gouvernement, les agences de renseignement, le système éducatif et les médias de masse. 

L’humanité est repensée pour servir les Illuminati. Ils portent atteinte a des institutions comme celle du mariage et de la religion, et promeuvent la dépravation, le dysfonctionnement, la corruption et la division. Ils ont orchestré deux guerres mondiales et en planifient une troisième. 

Henry Makow décrit cette conspiration et montre comment l'histoire humaine se déroule selon les plans des Illuminati.

PDF gratuit :



vendredi, février 03, 2017

Coup d’État au Vatican


Dans une vidéo d’intentions de prière du mois de janvier 2016, « François met sur un pied d’égalité toutes les religions, affirmant que dans n’importe laquelle d'entre elles on peut "trouver Dieu", et que nous n’avons qu’"une seule certitude" en matière religieuse, à savoir, que nous sommes tous "enfants de Dieu", quelle que soit la religion que nous professions. François poursuit ainsi son plan de mise en place d’une religion mondiale, syncrétique et œcuménique, intégrant en son sein toutes les diverses "traditions religieuses", sans distinction de credo, plaçant Notre-Seigneur à côté du Bouddha, affirmant que la foi dans le Christ est facultative pour devenir enfant de Dieu, que le baptême et l’appartenance à l’Eglise sont des questions sans importance en vue du salut éternel, et qu’en matière religieuse il suffit à tout un chacun de croire en l’"amour", sans tenir compte de la révélation divine ni du magistère de l’Eglise », écrit le traditionaliste catholique Christi Miles, qui, par ailleurs, ajoute :

« François incarne à la perfection l’idéologie gnostique, naturaliste et œcuménique de la franc-maçonnerie, dont les idéaux laïques et humanistes constituent la quintessence de la pensée bergoglienne. » [...]

Christi Miles reproche aussi au pape de faire l’éloge du judaïsme talmudique :

« Il convient de faire remarquer que, de même que les autres erreurs professées par François, celle qui porte sur le « judéo-christianisme » prend son origine à Vatican II, d’après lequel le judaïsme talmudique serait un culte légitime, non réprouvé par Dieu, malgré son refus persistant à reconnaître Jésus-Christ comme le Messie d’Israël et le Rédempteur du genre humain. »



WikiLeaks : Clinton, Obama, Soros ont renversé le Pape Benoît XVI lors d’un coup d’État au Vatican

« Un groupe de dirigeants laïcs catholiques ont demandé au Président Trump d’enquêter pour savoir si Soros, Obama et Clinton ont bien organisé un coup d’État au Vatican pour installer le gauchiste radical François.

Selon un groupe de dirigeants catholiques qui citent des preuves de diverses sources, en particulier de courriels ébruités par WikiLeaks, George Soros, Barack Obama et Hillary Clinton ont orchestré un coup d’État au Vatican pour renverser le pape conservateur Benoît XVI et le remplacer par le gauchiste radical François.

Avant de démissionner inopinément dans des circonstances inhabituelles, le Pape Benoît XVI a régné sur l’Église catholique de 2005 à 2013. Devenu le premier pape démissionnaire depuis le Pape Grégoire XII en 1415, Benoît est largement considéré comme le premier à avoir fait cela de sa propre initiative depuis le Pape Célestin V en 1294.

Toujours est-il que le groupe de dirigeants catholiques cite de nouvelles preuves découvertes dans les courriels divulgués par WikiLeaks, pour affirmer que le Pape conservateur Benoît n’a pas vraiment démissionné de sa propre initiative, mais a été poussé hors du Vatican par un coup d’État qualifié de « Printemps catholique » par les dirigeants catholiques.

Se servant de l’appareil diplomatique et du pouvoir politique et financier des USA, par la contrainte, la corruption et le chantage, Soros, Obama et Clinton ont imposé un « changement de régime » dans l’Église catholique romaine, afin de remplacer le Pape conservateur Benoît XVI par le Pape François qui, au grand étonnement des Catholiques du monde, est devenu depuis lors un improbable porte-parole du gauchisme international.

Les dirigeants catholiques ont envoyé une lettre au Président Trump, pour l’exhorter à lancer une enquête officielle sur les activités de George Soros, Barack Obama, Hillary Clinton (et d’autres), qui sont, selon eux, impliqués dans l’orchestration du printemps catholique qui a atteint son but : « changer le régime » au Vatican.

Les dirigeants catholiques citent huit questions précises auxquelles ils ont répondu concernant les événements suspects qui ont conduit le Pape Benoît XVI à la démission, la première abdication pontificale en 700 ans.

« Nous avons des raisons précises de penser que le ‘changement de régime’ au Vatican a été conçu par l’administration Obama, » disent les pétitionnaires, dans leur
 lettre du 20 janvier au président Trump.



« Lors de la troisième année du premier mandat de l’administration Obama, nous avons été alarmés de découvrir que la Secrétaire d’État Hillary Clinton, et d’autres responsables auxquels elle était associée, proposaient une ‘révolution’ catholique pour faire disparaître définitivement ce qui restait de l’Église catholique en Amérique. »

La lettre inclut des liens vers des documents et des informations qui mettent en évidence leurs affirmations. Elle attire d’abord l’attention sur des courriels de la clique mal famée Soros, Clinton et Podesta, qui ont été divulgués l’an dernier par WikiLeaks. Dans ces courriels, Podesta et les autres progressistes parlent de changer le régime de l’Église catholique, qu’ils qualifient de « dictature du Moyen Âge », pour l’éliminer.

À propos des courriels de Podesta concernant cela, voici ce qu’écrivait The New American en octobre dernier :

Dans un courriel de 2011, Podesta, conseiller et confident depuis des lustres de Mme Clinton et principal activiste trié sur le volet du sponsor de la gauche George Soros, a révélé que lui et d’autres activistes travaillent à la révolution d’un « Printemps catholique » dans l’Église catholique. L’allusion aux désastreux coups d’État des printemps arabes – organisés cette même année par l’équipe Obama-Clinton-Soros, qui ont déstabilisé le Moyen-Orient et amené des régimes islamistes radicaux et des groupes terroristes au pouvoir dans la région – est manifeste. Le courriel de Podesta répond à celui d’un autre extrémiste financé par Soros, Sandy Newman, fondateur du « progressiste » Voices for Progress. Newman demande à Podesta des conseils sur le meilleur moyen de « semer des germes de révolution » dans la « dictature du Moyen Âge ».

Dans leur lettre au Président Trump, voici ce qu’écrivent les dirigeants catholiques : « Environ un an après ces échanges par courriel, qui n’ont jamais été destinés à être rendus publics, nous avons constaté que le Pape Benoît XVI a abdiqué dans des circonstances fort inhabituelles, et a été remplacé par un Pape dont la mission consiste apparemment à donner un cachet spirituel au programme idéologique radical de la gauche internationale. Ensuite, le pontificat de François a remis en cause sa propre légitimité en de multiples occasions.

« Au cours de la campagne présidentielle de 2016, nous avons été étonnés de voir le Pape François faire campagne contre les politiques que vous proposiez à propos de la sécurisation de nos frontières, allant même jusqu’à insinuer que vous n’étiez pas chrétien. Nous avons apprécié votre réponse prompte et sans équivoque à cette accusation honteuse.

« Nous restons perplexes devant le comportement de ce pape bourré d’idéologie, dont la mission semble être de porter des programmes laïques de gauche, plutôt que de guider l’Église catholique dans sa mission sacrée, » ont-ils écrit pour exprimer la pensée des millions de catholiques autour du monde, stupéfaits par l’idéologie gauchiste du Pape François. « S’impliquer dans la politique au point qu’il soit considéré leader de la gauche internationale, n’est tout simplement pas un rôle convenable pour un pape.

« Gardant tout cela à l’esprit et souhaitant ce qu’il y a de mieux pour notre pays ainsi que pour les Catholiques du monde entier, en tant que Catholiques loyaux et bien renseignés des USA, nous estimons de notre responsabilité de vous adresser cette pétition afin que vous autorisiez une enquête sur les questions suivantes :

– À quelle fin la National Security Agency a-t-elle surveillé le conclave qui a élu le Pape François ?

– Quelles autres opérations secrètes ont été menées par des agents du gouvernement US à propos de la démission du Pape Benoît XVI ou du conclave qui a élu le Pape François ?

– Des agents du gouvernement US ont-ils eu des contacts avec la ‘Mafia du Cardinal Danneels’ ?

– Les transactions monétaires internationales avec le Vatican ont été suspendues au cours des derniers jours précédant la démission du Pape Benoît XVI. Des organismes gouvernementaux US s’en sont-ils mêlés ?

– Pourquoi les transactions monétaires internationales ont-elles repris le 12 février 2013, le lendemain de la démission de Benoît XVI ? Était-ce pure coïncidence ?

– Quelles mesures, s’il en est, ont été prises réellement par John Podesta, Hillary Clinton et les autres personnes liées à l’administration Obama qui ont participé aux échanges de courriels proposant de fomenter un ‘printemps catholique’ ?

– Quel était le but et la nature de la rencontre secrète au Vatican entre le vice-Président Joseph Biden et le Pape Benoît XVI, autour du 3 juin 2011 ?

– Quels sont les rôles joués par George Soros et les autres financiers internationaux qui résident actuellement sur le territoire des USA ? »

Cette enquête, demandée au Président Trump par les dirigeants catholiques, devrait intéresser le monde au-delà des milieux catholiques. La capacité de George Soros à coopter des personnalités politiques de premier plan pour favoriser ses plans radicaux visant les États-nations, est bien connue ; mais sa capacité à forcer le « changement de régime » dans l’Église catholique, une institution jusqu’alors impénétrable de l’extérieur, soulève de sérieuses questions quant à son potentiel de semeur de chaos planétaire. Il faudrait que l’enquête – et le châtiment – commencent tout de suite.



Your News WireBaxter Dmitry

Traduction Petrus Lombard



En savoir plus sur http://reseauinternational.net/coup-detat-au-vatican/#wldmrIPhdoqk4IJy.99





La guerre contre l’Islam est-elle une phase de la guerre ultime : la Guerre contre le Christ ?

La doctrine de la « démocratie libérale et des droits de l’homme » est une crypto-religion, une forme extrême, hérétique de judaïsme christ...