jeudi, avril 12, 2018

Quel régime pour la France ?



TV Libertés L’imposture de la démocratie – vers un nouveau régime politique


Quel régime pour la France ? 


par Eudoxe 


Face à l’imposture de la démocratie, qui n’est en réalité que le masque de l’Oligarchie mondialiste (le 1 % dominant les 99 autres), un nouveau régime sera nécessaire pour la France, mais lequel ? On nous a vanté une VIe République, mais sans remettre les dogmes en question.

Depuis plusieurs années, nous pouvons observer un essoufflement de cette prétendue démocratie qui n’en est pas une, progressivement décrédibilisée par la succession de mensonges et une déconnexion entre l’« élite » et le peuple. Notre régime est contrôlé par des hauts fonctionnaires, des partis politiques et une caste médiatique traîtres et vendus à la finance apatride, qui les paie grassement pour distraire, désinformer, appauvrir et asservir le petit peuple. Cette armée d’« élitistes », qui se réunissent dans ces réseaux de pouvoirs que sont le club Le Siècle, le Bilderberg, la French-American Foundation ou la Trilatérale (liste non exhaustive), a pour objectif de nous conduire vers un « Nouvel ordre mondial », c’est-à-dire vers une gouvernance mondiale qui émergera d’un chaos planétaire planifié.

Pourtant, quand bien même l’oligarchie mondiale soit un jour renversée et actant l’échec du Nouvel Ordre Mondial, quel pourrait être le régime à instaurer pour remplacer l’imposture démocratique actuelle ?

Pour le philosophe Éric Guéguen, auteur de l’ouvrage "Le miroir des peuples : enquête sur l’avenir de la République"
, le problème se pose déjà dans le choix des hommes appelés à gouverner le pays par le plus grand nombre. 

Il est un constat difficile à accepter pour certains : le peuple est, dans sa généralité, facilement influençable et manipulable, baignant dans l’ignorance et la bêtise.

Pourquoi le peuple vit-il dans une telle condition ? Parce qu’on a enlevé à l’Homme ses « défenses immunitaires » en le rendant individualiste et orgueilleux ; le « moi » au détriment du « nous ». Les racines de cette transformation de l’Homme, qui n’existe plus en tant que membre appartenant à une communauté, mais en tant qu’individu dépendant entièrement de l’État, nous les retrouvons dans la philosophie des Lumières, puis dans ce qui en découlera : la Révolution française, les principes de 1789 et la République.

La suppression des corporations, qui constituaient le tissu économique traditionnel de la France, et qui a été imposée par la Terreur républicaine, représente le commencement de cette dérive.

Cette « émancipation » de l’Homme de sa communauté, de sa religion et de ses traditions allait le rendre dépendant d’un État (maçonnique) puissant, décidant de tout à sa place, et permettant ainsi à l’Oligarchie apatride de mieux le dominer, car ne pouvant plus s’appuyer sur une communauté de soutien, puisque émancipé en tant que simple individu devenu, par la suite, un consommateur recroquevillé sur lui-même.

Le philosophe Jean-Jacques Rousseau l’avait parfaitement compris en son temps :

« Jamais dans une monarchie, l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus du Prince ; en revanche, dans une République, il peut aisément le mettre au-dessus des lois.»

— Jean-Jacques Rousseau, philosophe des Lumières, auteur du Contrat social (cité par l’historien Henri Guillemin).

Le nouveau régime que nous cherchons consisterait à remettre en cause les fondements de 1789 et serait bâti sur le retour à une communauté solidaire et traditionnelle. Toujours selon le philosophe Éric Guéguen, ce régime alternatif pourrait se situer entre « le bon côté de la démocratie » et « le bon côté de l’aristocratie », avec un chef pour assurer la pérennité du bien commun.

En somme, faire émerger une élite dans laquelle le peuple se retrouverait. Une élite où les meilleurs de la société prendraient les rênes du pouvoir, et cela peu importe leur statut social. Ce système éviterait l’écueil du népotisme effréné, ainsi que la déconnexion entre le sommet et la base ; une sorte de méritocratie. Reste à élaborer les mécanismes et les structures de ce nouveau régime.

République VS Monarchie – par l’historien Henri Guillemin
Source :



Le Saint-Empire Euro-Germanique

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