mardi, septembre 04, 2018

11 Septembre, le grand Bluff

Plus tard, Jean-Marie Bigard décidera (sous quelles pressions ?) de faire acte de contrition : "Je demande pardon à tout le monde pour les propos que j’ai tenus vendredi dernier (5 septembre 2008, sur Europe1)... Je ne parlerai plus jamais des événements du 11 Septembre. Je n'émettrai plus jamais de doutes."



11 Septembre, le grand Bluff



par Sacha Sher



Il ne fait aucun doute qu’il y a, dans l’affaire du 11 septembre, volonté de camoufler des choses à l’opinion état-sunienne et à la communauté internationale. Le gouvernement a montré très tôt qu’il n’avait que faire de dévoiler la vérité et a infailliblement bloqué les enquêtes pour des raisons
politiques ou financières et consacré tous ses efforts à assouvir ses ambitions mercantiles en exacerbant les désirs de vengeance de ses concitoyens et de ses petits soldats.

Les pièces manquantes au puzzle du 11 septembre et les tentatives délibérées du pouvoir en place ou de certains fonctionnaires de l’administration aérienne (F.A.A.) d’éliminer des preuves matérielles cruciales pour mieux faire régner l’opacité, sont trop nombreuses pour être le fruit du hasard.

Comment expliquer par ailleurs que personne n’a été renvoyé ? Tout le monde a-t-il été affreusement incompétent, et tout le monde protège-t-il tout le monde ? Cela paraît court car seul un certain degré de complicité encore non élucidé permet de comprendre comment des équipes terroristes – si elles ont joué le moindre rôle – ont pu pénétrer dans des cockpits sans que les membres de l’équipage ou les pilotes n’aient eu ni les moyens de se défendre, ni le temps d’actionner le moindre signal de détresse. Les pirates n’ayant pas pu paralyser à eux seuls les systèmes de défense, une trahison haut placée est la meilleurs explication au fait que trois avions ont pu parfaitement atteindre leur cible sans avoir été ni interceptés ni abattus selon les procédures en vigueur. A moins que ces avions n’étaient pas ceux dont on nous a parlé, que leurs trajectoires si incongrues n’étaient pas celles qu’on nous a dessinées, et qu’il s’agissait d’autres avions venus d’on ne sait où. Nous savons grâce aux données d’archives du B.T.S. et de la F.A.A. qu’il n’est pas sûr que les avions désignés dans le scénario officiel aient été détruits le jour même et que certains d’entre eux aient décollé avec des passagers. Il est par ailleurs des phénomènes radar, des déclarations de contrôleurs, et des dépêches de presse qui incitent à croire qu’ils ont été dirigés vers le sol avant d’atteindre leurs cibles prétendues. Il semble donc plutôt que l’opération a été organisée de manière à ce que nul ne puisse être capable de l’empêcher, grâce, notamment, à des substitutions d’avions à la manière du projet de l’opération Northwoods, et/ou grâce à des leurres envoyés dans le ciel et sur des écrans radars dans le cadre de simulations ou d’exercices militaires (wargames). Dans ce cadre, renvoyer des gens les aurait fait parler. Les révoqués auraient relevé les traces d’une possible transformation ou substitution d’avions ou souligné la diversion qu’avait constituée tel ou tel exercice.

Le débat entamé sur ce qui a endommagé le Pentagone a certes permis de réveiller l’opinion mais a fini par s’embourber à cause du manque d’informations délivrées par les autorités, du caractère délibérément tordu de l’attaque ou de pistes douteuses probablement lancées par le pouvoir états-unien lui-même. La discussion sur les mystères du Pentagone a permis de surmonter plusieurs difficultés en supposant que l’opération avait été menée de manière à piéger les sceptiques, par exemple en faisant exploser les ailes et l’aileron arrière de l’avion juste avant le choc. Ce débat ne parvient donc pas, selon nous, à éliminer la possibilité qu’un avion de ligne ait frappé le Pentagone, la question étant de savoir lequel (Boeing 737, 747, 767 ou 757), même s’il n’était sans doute pas piloté par le supposé Hani Hanjour – incapable de conduire un avion biplace en août 2001 selon son instructeur, et donc d’effectuer, au-dessus de Washington, cette descente parfaite (smooth 495) en un virage de 330° 496 , puis de faire faufiler un Boeing à basse altitude entre des bâtiments et des antennes avant d’atteindre la partie du Pentagone qui était la moins peuplée du complexe. Quoi qu’il en soit, il serait dommageable que l’attention du public soit détournée d’autres failles abyssales d’un scénario officiel de plus en plus incroyable, que nous souhaitons énumérer rapidement ici :

– Le fait qu’aucun pilote n’ait eu le temps de donner l’alerte au sujet d’un détournement, par appel radio ou en activant un code sur le transpondeur.


– L’absence précise de données fournies par deux boîtes noires. Le fait que les autres boîtes auraient disparu ou auraient fondu, chose incroyable qui commence à être contestée par deux secouristes, Mike Bellone et Nicholas DeMasi.

– La destruction méticuleuse, opérée par Kevin Delaney, des enregistrements de conversations entre les tours de contrôle et les pilotes ou kamikazes supposés.

– La disparition des images filmées autour du Pentagone par les caméras de l’hôtel Sheraton, du Virginia Department of Transportation, et de la station essence CITGO de Jose Velasquez, emportées par le FBI, dans ce dernier cas, « dans les minutes qui ont suivi 497» le crash de 9h38.

– L’inefficacité des batteries de missile qui défendent le Pentagone et de celles qui défendent la Maison Blanche.

– L’absence simultanée, à leur poste, de MM. Rumsfeld, Eberhart, Winfield et Myers.

– Le retard de l’évacuation générale de la Maison Blanche (9h45), du Capitole (9h47), du département d’Etat ou du Pentagone, alors même que le vice président Dick Cheney et la conseillère pour la Sécurité Nationale Condoleezza Rice auraient été conduits en lieux sûrs au sous-sol de la Maison Blanche à 9h03, heure du second crash à New York, et alors que l’Administration Fédérale de l’Aviation (F.A.A.) avait prévenu de l’approche d’un avion à 9h24.

– L’échec pitoyable des forces de défense aériennes pour intercepter des avions qui se seraient écartés de leur trajectoire vingt à quarante minutes avant leur crash supposé. La dernière excuse avancée pour en rendre compte étant que les premiers avions de chasse furent envoyés de bases éloignées au lieu de bases plus proches comme McGuire, Pomona et Andrews, mais même cette excuse semble supposer des vitesses de vol incroyablement lentes.

– Les descriptions de plus en plus curieuses de l’incompétence des contrôleurs aériens.

– La trajectoire fort étrange des avions. Le fait que les vols 93 et 175 descendirent près de l’aéroport Stewart International 499. Le fait que l’UA 93 s’était approché de Cleveland et y aurait même atterri selon WCPO.

– Le fait que le seul avion qui ne menaçait personne dans l’immédiat, le vol UA 93, et aurait pu être repris par les passagers, avec les pirates capturés, a été vraisemblablement abattu par un jet blanc.

– Les doutes sur l’identité réelle des pirates, par ailleurs souvent surveillés sous leurs probables noms d’emprunt et formés dans des centres de l’US Air Force et des écoles d’aviation liées à la CIA.

– Les doutes sur l’identité réelle de certains passagers.

– L’incongruité de maints récits de passagers.

– L’impossibilité matérielle que tant d’appels téléphoniques aient pu être donnés depuis les avions à la hauteur où ils sont supposés avoir volé et durant la durée qui est rapportée (à moins que les avions aient atterri avant leurs crashs supposés).

– La coïncidence exceptionnelle contenue dans les archives en ligne dites Airline On-Time Statistics Searchable Database du Bureau of Transportation (B.T.S.) voulant que deux des avions du scénario officiel, les vols AA 11 et AA 77, n’étaient pas programmés au départ ce jour-là.

Le fait que cette information n’apparaisse plus sur cette base depuis septembre/octobre 2004, mais qu’il reste néanmoins indiqué qu’ils n’ont pas réellement décollé, aucune heure de décollage n’y étant inscrite. Ces avions ont-ils donc décollé sans passagers, peut-être dans le cadre d’un exercice militaire ?

– Le fait que ces deux avions n’ont été déclarés détruits à l’administration aérienne (F.A.A.) qu’en janvier 2002, ce qui est en contradiction avec les procédures habituelles. Ont-ils été détruits après le 11 septembre ? La compagnie American Airlines a-t-elle fait une fausse déclaration à la
F.A.A. ?

– L’impossibilité de retrouver dans les statistiques archivées un précédent vol du Boeing supposé s’être écrasé au Pentagone, et dont le numéro d’enregistrement aurait été N644AA. Du reste, aucun avion n’est arrivé à l’aéroport de Washington Dulles avec ce numéro d’enregistrement les jours précédant le 11 septembre, alors qu’il est possible de retracer l’arrivée des trois autres avions dits impliqués, à l’aéroport d’où ils seraient partis le 11 septembre (Boston et Newark).

– La validité actuelle des numéros d’enregistrement (registration number, tail number ou N number) ayant appartenu à deux des avions prétendument détruits (faire une recherche sur le site de la F.A.A. aircraft registry inquiry avec les N numbers 591UA pour UA 93, et 612UA pour UA 175).

– L’absence de rapport du National Transportation Safety Board (N.T.S.B.) au sujet des quatre crash, alors qu’il existe un rapport de trente-cinq pages de cet organisme réputé sérieux sur un accident de jet survenu en octobre 1999 avec à son bord une demi-douzaine de passagers dont le golfeur Payne Stewart 500. Pour expliquer la chose, de manière étonnamment lapidaire, le site http://N.T.S.B..gov n’invoque pas l’absence de boîtes noires – puisqu’il est au moins resté l’enregistreur de voix du cockpit du vol UA 93, comme lors du crash avec Payne Stewart – mais le fait que le FBI enquête encore. En fait, des avocats ont découvert que le FBI, le Département « de la Justice » et même le Congrès empêchent le N.T.S.B. d’examiner les données des boîtes, malgré les souhaits des familles. Cela atteint des proportions politiques étonnantes…

– L’étrangeté des récits conventionnels qui tentaient de voir un accident dans l’effondrement de la tour n°7 du World Trade Center, près de sept heures après l’effondrement des deux premières tours. La déclaration d’un des propriétaires du complexe entier du WTC, Larry Silverstein, prononçant le mot "pull", peu médiatisée, semble toutefois être une reconnaissance discrète de la démolition contrôlée de cette tour.

– Les nombreux mystères sur ce qui a provoqué l’effondrement des tours jumelles, et l’absence de plans détaillés de ces tours.

– L’absence d’explications claires aux explosions secondaires qui se sont produites à New York et au Pentagone, dont certaines furent enregistrées par des relevés sismiques.

– L’évacuation des débris en acier des tours vers des pays lointains avant qu’une enquête véritable n’ait pu être menée, et la mise au secret des débris de ce qui a frappé le Pentagone. N’est-ce pas précisément ce à quoi l’on s’attendrait de la part d’autorités qui auraient l’intention de dissimuler la trace de l’utilisation d’explosifs à New York et de faire obstacle à l’identification possible des engins impliqués dans les attaques ?

11 Septembre, le grand Bluff
de Sacha Sher



La question revient sans arrêt de savoir s’il y a eu tromperie de la part du gouvernement états-unien sur l’identité des criminels et sûr la réalité de l’enchaînement des événements. C’est ce que nous avons voulu sous-entendre par le mot bluff, qui porte le sens de tromperie et de poudre aux yeux et dont l’origine est anglo-américaine.



Par ailleurs, puisque les dirigeants de l’hyperpuissance nord-américaine se montrent toujours aussi dominateurs après le 11-septembre, et que cet événement est devenu un récit fortifiant destiné à rehausser l’image du drapeau étoilé, l’acception de bluff en tant qu’esbroufe et que vantardise semble également pouvoir être retenue.



Mais surtout, puisqu’un bluff est une parole ou un acte prémédité, la question est de savoir si le 11-septembre n’est pas, à la fois une manoeuvre rhétorique utilisée à tour de bras et une manipulation planifiée depuis le début dans le but, notamment, de justifier le déploiement de forces militaires importantes au service d’objectifs méprisables.


11 Septembre, le grand Bluff, PDF gratuit ICI





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