samedi, novembre 17, 2018

L'Ancien Testament, son Dieu et ses mensonges


Dans l'Église primitive, les chrétiens marcionites rejetaient la Loi ancienne de Moise et du peuple d’Israël. Marcion de Sinope (85 -160) était l'inspirateur de ce courant chrétien qui écartait la Torah et tout ce qui, dans la littérature néotestamentaire, portait la marque du judaïsme. Marcion affirmait que le Dieu créateur présent dans l’Ancien Testament n’a rien à voir avec le Dieu d’amour du Nouveau Testament. Mais en l'an 144, pour la plus grande gloire du terrible Jéhovah, les prélats de l'Eglise déclarèrent Marcion hérétique.


Qui est réellement Jéhovah ? 

Dans une interview intitulée "La tyrannie cachée", un Juif nommé Harold Rosenthal, assistant du sénateur Javits de New York, affirme que le peuple juif a fabriqué certains "mensonges qui servent à dissimuler leur nature et à protéger leur statut et leur pouvoir." Rosenthal démystifie le mensonge communément admis que les Juifs sont le peuple élu de Dieu. Il dit carrément le contraire : "La plupart des juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer, et nous sommes son peuple élu".

Usurpation biblique 

Henry Makow, auteur juif de nombreux livres sur l'histoire occulte des maîtres du monde, écrit dans son blog : "L’objectif de Lucifer est d’usurper le rôle de Dieu." [...]


Marques du démon

"L’étoile juive à six branches, poursuit Makow, est le plus haut symbole de l’occulte et possède des noms différents – l’étoile de Moloch/Saturne/Chiun/Remphan. Il est un symbole de l’union du mâle et de la femelle et est identique dans un sens à l’équerre et au compas maçonnique, qui est aussi un symbole à six branches autour de la lettre « G » signifiant l’acte sexuel générateur. En lieu et place de la lettre « G », nous trouvons au milieu הוהי sur de nombreuses étoiles juives.

Le symbole hébreu יח porté autour du cou de nombreux Juifs, symbolise soi-disant la "vie" (lachaim). Le mot signifie littéralement une "chose vivante" ou "bête", ce symbole représente "La Bête".

Le nom juif pour Dieu est représenté par le tétragramme הוהי (YHVH) pouvant être prononcé Yahvé ou Jéhovah. La signification du nom de Dieu est soulignée à plusieurs reprises tout au long des Écritures.
Traduite en hébreu, la vraie définition de l’Éternel (Yah-Hovah) se révèle : "Yah" signifie "dieu" ; "Hovah" se traduit par "l’impatience de la convoitise, la chute, le désir, la ruine, la calamité, l’iniquité, la malice, la méchanceté, le malin, le pervers, le méchant".


Jéhovah est synonyme de Baal 

Baali, de ba'al ; mon maître ; Baali, un nom symbolique pour Jeovah – Baali.

L’Encyclopédie juive ("Adonaï et Baal") révèle : "Le nom Baal, a apparemment comme équivalent YHVH".

Depuis les jours de Jérémie, les Juifs ont oublié le nom de leur dieu et l’ont remplacé par le titre "Baal" ou "YHVH" : Les faux prophètes "qui pensent faire oublier mon nom [de Dieu] à mon peuple… comme leurs pères l’ont oublié pour Baal." (Jer. 23:27).

YHVH et Baal représentent tous deux le dieu de la perversion sexuelle et de la méchanceté, Satan. [...]

En vénérant leur nom de Dieu (YHVH) sans le prononcer, les Juifs créent un air de mystère et de sainteté autour du nom, tout en améliorant la curiosité entourant sa prononciation et sa puissance. Lorsque les Juifs et les non-juifs curieux voient le tétragramme "sacré" utilisé dans la pratique occulte, ils sont intrigués par la probabilité que ces sorciers aient exploité les pouvoirs mystiques de ce nom.

La sorcellerie Wicca, le Satanisme, le Tarot, le Catholicisme occulte, la Franc-maçonnerie et la Kabbale utilisent leur connaissance du "nom sacré de Dieu" comme un appât pour recruter des membres dans leur secte. Si le nom n’était pas caché, il manquerait à ces cultes un outil essentiel dans leurs processus de recrutement. Ils ne pourraient pas offrir cette connaissance si les Juifs, l’autorité auto-proclamée au sujet de Dieu, prononçaient ouvertement ce nom."

Mythes et mythomanie de l'Ancien Testament

"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge." (Jean 8:44)

L'entité sioniste, avec le soutien aveugle des USA, intrigue et sème la discorde, la destruction et la mort pour contrôler une région qui s'étend du Nil à l'Euphrate. 

Pour justifier la colonisation, l'apartheid, les opérations militaires (quasiment génocidaires)..., les sionistes prétextent des droits octroyés par la Bible : "En ce jour-là, l'Éternel fit alliance avec Abraham, et dit : Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Égypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate, le pays des Kéniens, des Keniziens, des Kadmoniens, des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm, des Amoréens, des Cananéens, des Guirgasiens et des Jébusiens." (Genèse 15.18-21). 

"Pour les juifs, dit Laurent Guyénot, les prophéties de domination mondiale sont toujours d’actualité. Même la destruction de la Syrie est programmée littéralement en Isaïe, le prophète le plus souvent cité par les sionistes : « Oracle sur Damas. Voici Damas qui cesse d’être une ville, elle va devenir un tas de décombres » (Isaïe 17,1-2)". 


Quand l'archéologie s'en mêle

L'archéologie annule les prétendus droits d'Israël sur les terres des Palestiniens et les territoires s'étendant du Nil à l'Euphrate.

"La saga historique, écrit Israël Finkelstein, que nous conte la Bible - depuis la rencontre entre Dieu et Abraham, qui incita ce dernier à émigrer vers Canaan, jusqu'à la libération des enfants d'Israël du joug de la servitude, sous la conduite de Moïse, suivie de l'émergence et de la chute des royaumes d'Israël et de Juda - ne doit rien à une quelconque révélation miraculeuse ; elle est le brillant produit de l'imagination humaine."

"L'épopée des patriarches et des prophètes, d'Abraham quittant sa terre natale à l'appel d'un dieu exigeant, de Moïse ramenant d'Égypte le peuple hébreu à la conquête de sa terre promise, des grands rois David et Salomon, tout cela ne serait en effet que pure invention de scribes tardifs à l'époque du Second Temple. Aucun vestige matériel ne valide en effet une telle saga à l'Âge de bronze. Tout juste quelque stèle de pharaon mentionnant au XIIe siècle avant l'ère le nom d'Israël parmi son tableau de victoires. Aucune trace probante des Hébreux dans l'Égypte des pharaons, ni de l'exode dans le Sinaï, ni de villes fortifiées comme Jéricho, ni de palais de Salomon à Jérusalem, ni même de culte monothéiste avant les derniers siècles précédant l'ère. Les livres de l'archéologue israélien Israël Finkelstein (La Bible dévoilée) diffusent aujourd'hui ce savoir critique avec succès. Hypothèses archéologiques bien vite relayées par d'autres essais, à portée plus politique, tel celui de l'historien Shlomo Sand qui dévoile la fiction nationale d'Israël (Comment le peuple juif fut inventé). "

Les patriarches ne sont jamais venus de Babylonie

"Les découvertes archéologiques ont contesté la crédibilité historique des récits bibliques. L’archéologie ne prouve pas leur chronologie. Si l’on en croit I R 6,1, l’époque des patriarches qui débute avec la migration d’Abraham vers Canaan remonte au XXIe siècle avant notre ère. Or, ce qui, dans le récit d’Abraham, concerne les Philistins, les Araméens et les chameaux infirme cette datation, car tous ces éléments n’existent pas en Canaan avant le XIIe siècle. Benjamin Mazar écrit que « le paysage ethnique, politico-social qui découle des récits patriarcaux convient en général à la fin de la période des Juges et au début de la royauté ». Ce qui veut dire que l’arrière-plan de l’histoire des patriarches ne se situe pas avant la sortie d’Égypte et le séjour là-bas mais des centaines d’années plus tard. Cul par-dessus tête...


Il n’y a jamais eu de sortie d’Égypte car les Hébreux (à supposer qu’ils aient existé, ce dont on n’est pas sûr) n’ont jamais résidé en Égypte

En effet, on n’a trouvé aucune inscription égyptienne confirmant la présence d’un peuple entier dans ce pays. On ne trouve mention que de bergers nomades, les « Shassou », migrant dans la région du delta du Nil en périodes de disette. Cependant il n’y a eu là qu’un phénomène très rare durant des milliers d’années et on ne constate aucune occurrence massive de cette migration. Des excavations au Tel Maskhuta, l’ancienne Pitom biblique, ont réduit à rien la présence supposée des Hébreux dans le pays de Gossen, dans le delta du Nil oriental. La ville fut détruite à l’époque du bronze moyen et n’a été réhabitée que vers la fin du VIIe siècle et au début du VIe siècle.

Le récit de l’Exode est donc fondé sur un anachronisme et peut être attribué à des réfugiés juifs du royaume de Judée à l’époque de Jérémie.


Il n’y a jamais eu de traversée du désert du Sinaï

Nul n’a jamais identifié le mont Sinaï où la Torah est censée avoir été donnée. Aucun des endroits où Israël s’est arrêté durant sa pérégrination n’a jamais été identifié. Le lieu de Kadesh Barnéa (Dt 1, 46) où Israël a résidé ne présente aucune trace de cet établissement. Le lieu n’a été habité pour la première fois qu’à partir du Xe siècle. Plus largement, on ne trouve pas de restes de l’époque du bronze tardive dans la plaine de Beershéva et Arad. Les théories identifiant le mont Sinaï dans le nord du Hejaz ou au Har Karkoum ne sont confirmées par aucune découverte archéologique. Les spécialistes estiment que ce séjour dans le désert « ne fut le fait que de quelques clans dont l’histoire propre fut élargie et “nationalisée” (sic) pour les besoins de l’idéologie théologique ».


La conquête de la terre n’a jamais eu lieu

Les fouilles, dans la vallée de Beersheva, des villes du bronze tardif, Arad et Horma censées, selon la Bible (livres des Nombres et Deutéronome), avoir ouvert la voie aux tribus d’Israël dans leur pénétration en Canaan ont montré, au terme de quinze ans, qu’il n’y avait pas d’établissements humains dans cette région durant l’âge du bronze tardif. Par conséquent, venant de Kadesh Barnéa, les tribus n’ont pas pu se confronter au roi d’Arad, à Horma comme le raconte le texte.

De même rien ne montre que Jéricho était entourée de murailles à cette époque. Même constat pour la ville de Aï (identifié à un « tel » local). Le récit de la conquête de Aï selon Josué 8 n’est pas confirmé à cette époque de la conquête bien qu’il soit plein de mentions tactiques et géographiques.

D’après d’autres archéologues il en est de même de toutes les autres villes cananéennes qui n’étaient pas fortifiées. Le discours de Moïse avertissant Israël qu’il entre dans un pays de villes fortifiées (Dt 9,1) va donc à l’encontre des découvertes archéologiques. On n’a découvert que des établissements sans fortification, parfois quelques bâtiments, le palais du potentat local et pas de vraies villes. Le déclin des villes cananéennes a commencé bien avant l’invasion supposée et ne découle pas d’elle. « On peut expliquer la puissance des villes cananéennes rapportées par les descriptions bibliques en fonction d’une intention idéologique qui avait pour but d’exalter le salut divin dans la guerre des Enfants d’Israël pour occuper la terre. »

Il faut souligner l’absence de mention dans le récit biblique de l’importance politique et militaire de l’Égypte dans le pays d’Israël aux XIIIe et XIIe siècles. Or, le pays était sous sa domination jusqu’au milieu du XIIe siècle, sous la coupe d’un pouvoir qui s’exerçait à partir de Gaza, Jaffa et Beit Shean. De nombreux restes égyptiens ont été ainsi découverts des deux côtés du Jourdain. Ce qui veut dire que le rédacteur de ce récit n’avait pas connaissance à l’époque où il l’écrivit de cette domination égyptienne. Le terrain infirme donc le récit biblique de la description de Canaan, avec des villes décrites comme fortifiées, immenses, leur sommet dans les cieux. « L’héroïsme des conquérants, peu nombreux face à de grandes multitudes, et le salut d’un Dieu qui combattait pour son peuple sont les causes de cette reconstitution théologique sans aucune base factuelle. »


Israël n’est pas Israël : les Hébreux sont des Cananéens

S’il n’y a aucune preuve de la sortie d’Égypte, de la traversée du désert du Sinaï, de la conquête militaire de Canaan, qui sont donc « les enfants d’Israël » ? Le nom d’Israël n’est rappelé qu’une seule fois dans une stèle égyptienne, de Merneptah, roi d’Égypte. Le pharaon qui célèbre sa victoire sur Canaan parle de villes et d’un groupe spécifique non citadin, nommé Israël, dont il annonce la destruction. Ce groupe semble avoir habité la zone montagneuse du centre, où le royaume d’Israël s’établira par la suite. Rien ne prouve le récit biblique tablant sur 12 tribus, établies sur les deux rives du Jourdain.

Par contre, il a été découvert qu’au début de l’âge du bronze, dans cette région, des centaines de petits points de peuplement de cultivateurs et éleveurs ont été fondés. Si les Hébreux ne venaient pas d’Égypte, d’où sont donc sortis ces établissements ? Les archéologues « pensent » que les Hébreux étaient des nomades venant de l’autre côté du Jourdain, établis en douceur dans la zone en question. Une théorie dite « sociologique » a cours : les occupants étaient des Cananéens, des résidents de la plaine côtière révoltés contre la dictature de leurs rois. En somme, les « Enfants d’Israël » proviennent d’une révolte d’une partie de la population cananéenne passée dans la zone montagneuse qui n’était pas habitée auparavant. Finkelstein propose d’y voir des bergers qui nomadisent durant la période du bronze tardif sous prétexte que, si on a trouvé leurs tombes, on n’a pas retrouvé d’établissements fixes. Cette population aurait pratiqué une économie d’échange de viande contre des céréales avec les habitants des vallées. Avec le déclin des villes et de l’agriculture des vallées, les nomades ont été, par la suite, obligés de cultiver les céréales eux-mêmes et donc de s’installer de façon fixe.

Il faut se libérer de l’idée que les Hébreux sont d’une seule et même origine ethnique : nomades du Negev du nord, agriculteurs de la Côte en rupture, artisans proches des cours princières en déclin. Leurs nouveaux établissements qui continuèrent la tradition cananéenne ne sont devenus « judaïtes » ou « israélites » qu’avec leur inclusion dans les monarchies de Juda et d’Israël. Les chercheurs n’ont ainsi pas trouvé d’opposition entre la culture cananéenne et celle des « colons ». Dans tous les domaines, on trouve une continuité, notamment dans la céramique, et pas l’opposition polaire sur laquelle insiste la Bible. En un mot les enfants d’Israël ne viennent pas du dehors de Canaan mais sont originaires du pays. Ils sont des Cananéens.


La monarchie unie et l’importance de Jérusalem

« L’empire » de David et Salomon, de l’Euphrate à Gaza, que célèbre le texte biblique (I R 5, 4), ne se retrouve pas sur le terrain. Les trois villes construites par Salomon, Hatzor, Megido et Gezer, présentent peu de fortifications. Même des villes importantes comme Lakish et Hebron n’étaient pas très peuplées. Jérusalem n’était qu’une petite ville dotée d’une petite forteresse. Ce n’était pas la capitale d’un empire comme la Bible la décrivait. Même si l’expression de « Maison de David » est attestée dans des inscriptions découvertes dans d’autres villes, c’est l’existence d’une grande monarchie qui est contestée. La Bible n’emploie jamais l’expression de « monarchie unifiée ». « C’est une monarchie ethnique. » L’expédition du pharaon Sisak (926) ignore l’existence des royaumes de Juda et d’Israël. Sisak traversa pourtant tout le pays et mentionna les noms des villages qu’il avait détruits. S’il avait rencontré des lieux importants, il les aurait mentionnés. Salomon n’était qu’un « leader local au lieu du potentat d’un empire ». Il semble que, dès le départ, Israël et Juda étaient deux royaumes séparés, indépendants et parfois rivaux. Les auteurs du récit biblique ont transposé la description de la Jérusalem du VIIIe siècle et « rétro-projetèrent » ce paysage sur la Jérusalem du Royaume-uni. Jérusalem ne devint un centre qu’après la destruction de sa rivale Samarie.


Le monothéisme est tardif : YHVH avait une déesse comme partenaire

Les recherches archéologiques ont conduit à douter des affirmations bibliques en matière de croyance et de culte. La découverte d’une inscription désignant deux dieux, YHVH et son Ashera, de la fin de l’époque du premier temple et du début du deuxième temple, a fait douter de l’époque où le monothéisme est devenu la religion officielle des royaumes israélites. En plusieurs endroits, à ce couple est associé un autre dieu, Shamran, Telan, Netsri, ou bien Baal et El. Ces inscriptions datent du VIIIe siècle et font penser que le triomphe du monothéisme comme religion officielle ne date que de la fin du royaume de Juda et après la disparition du royaume d’Israël. Au IXe siècle, il y avait un temple à Arad avec un autel important et donc l’exclusivité d’un seul Temple à Jérusalem n’est plus évidente." 


Extrait d'un article de Shmuel Trigano, professeur de sociologie à l’université Paris X, directeur du Collège des études juives, d'après les travaux de Zeev Herzog, "La révolution scientifique dans l’archéologie de Eretz Israël" (en hébreu).

En 1999, l'article de page de couverture de Herzog dans l'hebdomadaire Haaretz, "Déconstruire les murs de Jéricho", attira l'attention du public et suscita de nombreux débats. Dans cet article, Herzog cite des preuves selon lesquelles Israël n'est pas ce que la Bible dit.
Herzog est un co-auteur du "Palais du roi David à Jérusalem a t-il été retrouvé ?"


Les chrétiens sionistes



Visiblement, les chrétiens sionistes ignorent que l'extermination de tous les chrétiens est planifiée : quand viendra le roi-Messie, il sera impitoyable à l'égard des chrétiens.

Selon des textes talmudiques, après une grande guerre pendant laquelle les deux tiers des peuples périront. "Les Juifs, vainqueurs, mettront sept ans à brûler les armes des vaincus. Ceux-ci se soumettront aux Juifs et leur feront de grands présents, mais le roi-Messie n’acceptera pas le tribut des chrétiens, qui devront être entièrement exterminés."

"Dieu nous ordonne de tuer les chrétiens. La T
orah nous dit de tuer les chrétiens car c’est des idolâtres (il est question de la Trinité) !", a récemment déclaré un colon juif :
https://www.lelibrepenseur.org/un-colon-israhellien-dieu-nous-ordonne-de-tuer-les-chretiens/






Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...