Dans l'Église primitive, les chrétiens marcionites rejetaient la Loi ancienne de Moise et du peuple d’Israël. Marcion de Sinope (85 -160) était l'inspirateur de ce courant chrétien qui écartait la Torah et tout ce qui, dans la littérature néotestamentaire, portait la marque du judaïsme. Marcion affirmait que le Dieu créateur présent dans l’Ancien Testament n’a rien à voir avec le Dieu d’amour du Nouveau Testament. Mais en l'an 144, pour la plus grande gloire du terrible Jéhovah, les prélats de l'Eglise déclarèrent Marcion hérétique.
Qui est réellement Jéhovah ?
Dans une interview intitulée "La tyrannie cachée", un Juif nommé Harold Rosenthal, assistant du sénateur Javits de New York, affirme que le peuple juif a fabriqué certains "mensonges qui servent à dissimuler leur nature et à protéger leur statut et leur pouvoir." Rosenthal démystifie le mensonge communément admis que les Juifs sont le peuple élu de Dieu. Il dit carrément le contraire : "La plupart des juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer, et nous sommes son peuple élu".
Usurpation biblique
Marques du démon
Le symbole hébreu יח porté autour du cou de nombreux Juifs, symbolise soi-disant la "vie" (lachaim). Le mot signifie littéralement une "chose vivante" ou "bête", ce symbole représente "La Bête".
Le nom juif pour Dieu est représenté par le tétragramme הוהי (YHVH) pouvant être prononcé Yahvé ou Jéhovah. La signification du nom de Dieu est soulignée à plusieurs reprises tout au long des Écritures.
Jéhovah est synonyme de Baal
Baali, de ba'al ; mon maître ; Baali, un nom symbolique pour Jeovah – Baali.
L’Encyclopédie juive ("Adonaï et Baal") révèle : "Le nom Baal, a apparemment comme équivalent YHVH".
Depuis les jours de Jérémie, les Juifs ont oublié le nom de leur dieu et l’ont remplacé par le titre "Baal" ou "YHVH" : Les faux prophètes "qui pensent faire oublier mon nom [de Dieu] à mon peuple… comme leurs pères l’ont oublié pour Baal." (Jer. 23:27).
YHVH et Baal représentent tous deux le dieu de la perversion sexuelle et de la méchanceté, Satan. [...]
En vénérant leur nom de Dieu (YHVH) sans le prononcer, les Juifs créent un air de mystère et de sainteté autour du nom, tout en améliorant la curiosité entourant sa prononciation et sa puissance. Lorsque les Juifs et les non-juifs curieux voient le tétragramme "sacré" utilisé dans la pratique occulte, ils sont intrigués par la probabilité que ces sorciers aient exploité les pouvoirs mystiques de ce nom.
La sorcellerie Wicca, le Satanisme, le Tarot, le Catholicisme occulte, la Franc-maçonnerie et la Kabbale utilisent leur connaissance du "nom sacré de Dieu" comme un appât pour recruter des membres dans leur secte. Si le nom n’était pas caché, il manquerait à ces cultes un outil essentiel dans leurs processus de recrutement. Ils ne pourraient pas offrir cette connaissance si les Juifs, l’autorité auto-proclamée au sujet de Dieu, prononçaient ouvertement ce nom."
Mythes et mythomanie de l'Ancien Testament
"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge." (Jean 8:44)
L'entité sioniste, avec le soutien aveugle des USA, intrigue et sème la discorde, la destruction et la mort pour contrôler une région qui s'étend du Nil à l'Euphrate.
Pour justifier la colonisation, l'apartheid, les opérations militaires (quasiment génocidaires)..., les sionistes prétextent des droits octroyés par la Bible : "En ce jour-là, l'Éternel fit alliance avec Abraham, et dit : Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Égypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate, le pays des Kéniens, des Keniziens, des Kadmoniens, des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm, des Amoréens, des Cananéens, des Guirgasiens et des Jébusiens." (Genèse 15.18-21).
L'entité sioniste, avec le soutien aveugle des USA, intrigue et sème la discorde, la destruction et la mort pour contrôler une région qui s'étend du Nil à l'Euphrate.
Pour justifier la colonisation, l'apartheid, les opérations militaires (quasiment génocidaires)..., les sionistes prétextent des droits octroyés par la Bible : "En ce jour-là, l'Éternel fit alliance avec Abraham, et dit : Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Égypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate, le pays des Kéniens, des Keniziens, des Kadmoniens, des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm, des Amoréens, des Cananéens, des Guirgasiens et des Jébusiens." (Genèse 15.18-21).
"Pour les juifs, dit Laurent Guyénot, les prophéties de domination mondiale sont toujours d’actualité. Même la destruction de la Syrie est programmée littéralement en Isaïe, le prophète le plus souvent cité par les sionistes : « Oracle sur Damas. Voici Damas qui cesse d’être une ville, elle va devenir un tas de décombres » (Isaïe 17,1-2)".
Quand l'archéologie s'en mêle
L'archéologie annule les prétendus droits d'Israël sur les terres des Palestiniens et les territoires s'étendant du Nil à l'Euphrate.
"La saga historique, écrit Israël Finkelstein, que nous conte la Bible - depuis la rencontre entre Dieu et Abraham, qui incita ce dernier à émigrer vers Canaan, jusqu'à la libération des enfants d'Israël du joug de la servitude, sous la conduite de Moïse, suivie de l'émergence et de la chute des royaumes d'Israël et de Juda - ne doit rien à une quelconque révélation miraculeuse ; elle est le brillant produit de l'imagination humaine."
"L'épopée des patriarches et des prophètes, d'Abraham quittant sa terre natale à l'appel d'un dieu exigeant, de Moïse ramenant d'Égypte le peuple hébreu à la conquête de sa terre promise, des grands rois David et Salomon, tout cela ne serait en effet que pure invention de scribes tardifs à l'époque du Second Temple. Aucun vestige matériel ne valide en effet une telle saga à l'Âge de bronze. Tout juste quelque stèle de pharaon mentionnant au XIIe siècle avant l'ère le nom d'Israël parmi son tableau de victoires. Aucune trace probante des Hébreux dans l'Égypte des pharaons, ni de l'exode dans le Sinaï, ni de villes fortifiées comme Jéricho, ni de palais de Salomon à Jérusalem, ni même de culte monothéiste avant les derniers siècles précédant l'ère. Les livres de l'archéologue israélien Israël Finkelstein (La Bible dévoilée) diffusent aujourd'hui ce savoir critique avec succès. Hypothèses archéologiques bien vite relayées par d'autres essais, à portée plus politique, tel celui de l'historien Shlomo Sand qui dévoile la fiction nationale d'Israël (Comment le peuple juif fut inventé). "
"L'épopée des patriarches et des prophètes, d'Abraham quittant sa terre natale à l'appel d'un dieu exigeant, de Moïse ramenant d'Égypte le peuple hébreu à la conquête de sa terre promise, des grands rois David et Salomon, tout cela ne serait en effet que pure invention de scribes tardifs à l'époque du Second Temple. Aucun vestige matériel ne valide en effet une telle saga à l'Âge de bronze. Tout juste quelque stèle de pharaon mentionnant au XIIe siècle avant l'ère le nom d'Israël parmi son tableau de victoires. Aucune trace probante des Hébreux dans l'Égypte des pharaons, ni de l'exode dans le Sinaï, ni de villes fortifiées comme Jéricho, ni de palais de Salomon à Jérusalem, ni même de culte monothéiste avant les derniers siècles précédant l'ère. Les livres de l'archéologue israélien Israël Finkelstein (La Bible dévoilée) diffusent aujourd'hui ce savoir critique avec succès. Hypothèses archéologiques bien vite relayées par d'autres essais, à portée plus politique, tel celui de l'historien Shlomo Sand qui dévoile la fiction nationale d'Israël (Comment le peuple juif fut inventé). "
Les patriarches ne sont jamais venus de Babylonie
Il n’y a jamais eu de sortie d’Égypte car les Hébreux (à supposer qu’ils aient existé, ce dont on n’est pas sûr) n’ont jamais résidé en Égypte
Le récit de l’Exode est donc fondé sur un anachronisme et peut être attribué à des réfugiés juifs du royaume de Judée à l’époque de Jérémie.
Il n’y a jamais eu de traversée du désert du Sinaï
La conquête de la terre n’a jamais eu lieu
Les fouilles, dans la vallée de Beersheva, des villes du bronze tardif, Arad et Horma censées, selon la Bible (livres des Nombres et Deutéronome), avoir ouvert la voie aux tribus d’Israël dans leur pénétration en Canaan ont montré, au terme de quinze ans, qu’il n’y avait pas d’établissements humains dans cette région durant l’âge du bronze tardif. Par conséquent, venant de Kadesh Barnéa, les tribus n’ont pas pu se confronter au roi d’Arad, à Horma comme le raconte le texte.
De même rien ne montre que Jéricho était entourée de murailles à cette époque. Même constat pour la ville de Aï (identifié à un « tel » local). Le récit de la conquête de Aï selon Josué 8 n’est pas confirmé à cette époque de la conquête bien qu’il soit plein de mentions tactiques et géographiques.
D’après d’autres archéologues il en est de même de toutes les autres villes cananéennes qui n’étaient pas fortifiées. Le discours de Moïse avertissant Israël qu’il entre dans un pays de villes fortifiées (Dt 9,1) va donc à l’encontre des découvertes archéologiques. On n’a découvert que des établissements sans fortification, parfois quelques bâtiments, le palais du potentat local et pas de vraies villes. Le déclin des villes cananéennes a commencé bien avant l’invasion supposée et ne découle pas d’elle. « On peut expliquer la puissance des villes cananéennes rapportées par les descriptions bibliques en fonction d’une intention idéologique qui avait pour but d’exalter le salut divin dans la guerre des Enfants d’Israël pour occuper la terre. »
Il faut souligner l’absence de mention dans le récit biblique de l’importance politique et militaire de l’Égypte dans le pays d’Israël aux XIIIe et XIIe siècles. Or, le pays était sous sa domination jusqu’au milieu du XIIe siècle, sous la coupe d’un pouvoir qui s’exerçait à partir de Gaza, Jaffa et Beit Shean. De nombreux restes égyptiens ont été ainsi découverts des deux côtés du Jourdain. Ce qui veut dire que le rédacteur de ce récit n’avait pas connaissance à l’époque où il l’écrivit de cette domination égyptienne. Le terrain infirme donc le récit biblique de la description de Canaan, avec des villes décrites comme fortifiées, immenses, leur sommet dans les cieux. « L’héroïsme des conquérants, peu nombreux face à de grandes multitudes, et le salut d’un Dieu qui combattait pour son peuple sont les causes de cette reconstitution théologique sans aucune base factuelle. »
Israël n’est pas Israël : les Hébreux sont des Cananéens
Par contre, il a été découvert qu’au début de l’âge du bronze, dans cette région, des centaines de petits points de peuplement de cultivateurs et éleveurs ont été fondés. Si les Hébreux ne venaient pas d’Égypte, d’où sont donc sortis ces établissements ? Les archéologues « pensent » que les Hébreux étaient des nomades venant de l’autre côté du Jourdain, établis en douceur dans la zone en question. Une théorie dite « sociologique » a cours : les occupants étaient des Cananéens, des résidents de la plaine côtière révoltés contre la dictature de leurs rois. En somme, les « Enfants d’Israël » proviennent d’une révolte d’une partie de la population cananéenne passée dans la zone montagneuse qui n’était pas habitée auparavant. Finkelstein propose d’y voir des bergers qui nomadisent durant la période du bronze tardif sous prétexte que, si on a trouvé leurs tombes, on n’a pas retrouvé d’établissements fixes. Cette population aurait pratiqué une économie d’échange de viande contre des céréales avec les habitants des vallées. Avec le déclin des villes et de l’agriculture des vallées, les nomades ont été, par la suite, obligés de cultiver les céréales eux-mêmes et donc de s’installer de façon fixe.
Il faut se libérer de l’idée que les Hébreux sont d’une seule et même origine ethnique : nomades du Negev du nord, agriculteurs de la Côte en rupture, artisans proches des cours princières en déclin. Leurs nouveaux établissements qui continuèrent la tradition cananéenne ne sont devenus « judaïtes » ou « israélites » qu’avec leur inclusion dans les monarchies de Juda et d’Israël. Les chercheurs n’ont ainsi pas trouvé d’opposition entre la culture cananéenne et celle des « colons ». Dans tous les domaines, on trouve une continuité, notamment dans la céramique, et pas l’opposition polaire sur laquelle insiste la Bible. En un mot les enfants d’Israël ne viennent pas du dehors de Canaan mais sont originaires du pays. Ils sont des Cananéens.
La monarchie unie et l’importance de Jérusalem
Le monothéisme est tardif : YHVH avait une déesse comme partenaire
Extrait d'un article de Shmuel Trigano, professeur de sociologie à l’université Paris X, directeur du Collège des études juives, d'après les travaux de Zeev Herzog, "La révolution scientifique dans l’archéologie de Eretz Israël" (en hébreu).
En 1999, l'article de page de couverture de Herzog dans l'hebdomadaire Haaretz, "Déconstruire les murs de Jéricho", attira l'attention du public et suscita de nombreux débats. Dans cet article, Herzog cite des preuves selon lesquelles Israël n'est pas ce que la Bible dit.
Herzog est un co-auteur du "Palais du roi David à Jérusalem a t-il été retrouvé ?"
Les chrétiens sionistes
Selon des textes talmudiques, après une grande guerre pendant laquelle les deux tiers des peuples périront. "Les Juifs, vainqueurs, mettront sept ans à brûler les armes des vaincus. Ceux-ci se soumettront aux Juifs et leur feront de grands présents, mais le roi-Messie n’acceptera pas le tribut des chrétiens, qui devront être entièrement exterminés."
"Dieu nous ordonne de tuer les chrétiens. La Torah nous dit de tuer les chrétiens car c’est des idolâtres (il est question de la Trinité) !", a récemment déclaré un colon juif :
https://www.lelibrepenseur.org/un-colon-israhellien-dieu-nous-ordonne-de-tuer-les-chretiens/