lundi, avril 22, 2019

Répression


Répression, l'Etat contre les contestations politiques



La journaliste Aude Lancelin interview Vanessa Codaccioni, maître de conférence à l’université Paris 8, et chercheuse sur la question des justices d’exception, des crimes politiques et terroristes. Elle lui pose la question concernant la stratégie du pouvoir qui vise à invisibilité le caractère politique de la répression menée contre ses opposants et revient également sur l'actualité de ces dernières semaines et la criminalisation du mouvement des gilets jaunes.


Livre :

Répression 

Vanessa Codaccioni

Il ne se passe pas un seul jour sans que des militants ne soient confrontés à la répression. Violences policières, arrestations, gardes-à-vue et procès rythment aujourd'hui la vie politique et judiciaire. Aucune forme d'indignation politique n'y échappe : des gilets jaunes aux zadistes en passant par les écologistes, les militants solidaires, les féministes, les lycéens ou celles et ceux qui participent à des manifestations de rue, toutes et tous peuvent être confrontés à la police ou à la justice. Pour les acteurs de la répression, ce sont des " casseurs ", des " délinquants " ou des " terroristes " qui sont visés. Il s'agit d'un déni stratégique dont l'objectif est d'invisibiliser le caractère politique de cette violence d'Etat et de nier que ce sont pour leurs idées ou leurs actions que des militantes ou militants sont arrêtés, inculpés ou jugés. En analysant les mécanismes contemporains de la répression, Vanessa Codaccioni dénonce la criminalisation de la contestation politique. Etudiant finement ses principaux dispositifs, elle éclaire l'une de ses logiques majeures : la dépolitisation de l'activisme par son assimilation au terrorisme ou à la criminalité de droit commun.


Sionisme et contrôle totalitaire européen


H. Raivelot




A grande échelle, le contrôle totalitaire européen ne se cache plus. Après avoir dépossédé les nations de tout pouvoir, il a été mis en place le 16 février 2012, le parlement juif européen dans les locaux de Strasbourg ! Sans une ligne dans la presse nationale ou aux JT... La mainmise totalitaire sur un processus aussi fondamental que la création d’argent papier, au sein d’une nation, est, depuis 1973 en France, entre les mains d’instituts privés strictement communautaires où le concept de démocratie est une plaisanterie : l’Europe est enchaînée depuis plus longtemps qu’on ne le croit, et les Etats-Unis encore depuis plus longtemps. Les divertissements, la culture actuelle, la production littéraire sont dorénavant systématiquement empreintes d’un plan plus large d’hégémonie de la communauté régnante. Même si quelques personnes commencent à identifier cette idéologie au sommet, personne ou presque ne veut croire qu’il s’agit là de la partie émergée de l’iceberg sioniste, que cette domination ne pourrait se faire sans une base solide d’exécutants anonymes, et surtout, à votre contact. (...)



La Constitution européenne prévoit explicitement la possibilité de vous mettre à mort sommairement :



Conjointement, le parlement Juif européen (120 membres de 47 (!) pays) s’est déjà installé dans les locaux du déjà ultra sioniste parlement de Strasbourg. Conjointement, des annexes purement orwelliens, passés sous silence, se trouvent à l’intérieur même de la Constitution européenne dit « traité de Lisbonne ». JE RAPPELLE QUE NOUS VIVONS SOUS LE RÉGIME DE CETTE CONSTITUTION EUROPÉENNE QUE NOS DÉPUTÉS ONT RATIFIÉ POUR NOUS MALGRÉ NOTRE REJET PAR REFERENDUM !

Ces annexes de la constitution permettent tout simplement de ne pas appliquer la charte des droits fondamentaux (la partie II de la constitution) dans des cas dont la définition est délibérément floue et extensible. En particulier, dans les annexes à la charte des droits fondamentaux article IV-A-12 (tout à la fin de la constitution, là où personne n’ira trop chercher…), il est écrit noir sur blanc, dans « notre » constitution : « La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article 47 dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale. b) pour effectuer une arrestation régulière c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.

Autrement dit il est désormais « légal » d’exécuter la population européenne, conformément à la loi bien sûr, au cours d’une émeute ou d’une insurrection. » Qu’on se le dise…




Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...