mercredi, octobre 09, 2019

Sujet tabou, les races


Ma conception raciste du monde
от Vincent Reynouard на Rutube

Pourquoi une vidéo de Vincent Reynouard ?

Vincent Reynouard a été emprisonné en France pour ses idées. L'arbitraire est désormais une triste réalité dans l'Union européenne et plus particulièrement en France. 
"Depuis le début du quinquennat Macron, écrit Julien Martel, une atmosphère de restriction des libertés s’est abattue sur la France. La liberté d’expression est attaquée par des textes de loi qui s’enchaînent. Or sans liberté d’expression, il n’y a pas de débats, pas de discours contradictoires qui permettent de remettre en cause ses préjugés et éventuellement de se forger sa propre pensée au fur et à mesure des argumentations et contre-argumentations."
Écoutons les personnes persécutées par la dictature oligarchique, leur combat ne manque pas de courage. Et, interrogeons-nous sur les raisons de cette persécution.

Les races


Au début du XXe siècle, René Guénon écrit :

"Toutes les traditions s’accordent à enseigner que l’humanité terrestre descend de quatre races primordiales, dont le mélange a formé un grand nombre de races secondaires... [...] 

Nous rappellerons simplement que leurs traditions respectives ont pour symbole quatre fleuves issus d’une même source principielle, et coulant vers les quatre points cardinaux, le long des flancs d’une montagne sur laquelle repose le Livre de Vie qui contient la Doctrine Sacrée [...]. On peut dire, en employant une expression biblique, que cette montagne sainte est celle sur laquelle s’est arrêtée, à une époque que nous laissons indéterminée, l’Arche de la Tradition, dans laquelle est contenu le Palladium de l’Empire Synarchique Universel (L'Ordre Mondial de la marchandise et du métissage des populations esclavagisées est imposé actuellement par l'oligarchie des ultra-riches. C'est une inversion satanique de l'Empire Universel. Empire qui pourrait s'apparenter à une sorte de Fédération planétaire des peuples libres, note un lecteur).

Quatre couleurs

(...) ces quatre races sont distinguées par une couleur qui est attribuée à chacune d’elles, et qui est symbolique en même temps qu’elle se rapporte à la couleur de peau propre à cette race, d’après les différences corporelles déterminées dans les hommes par leurs tempéraments respectifs ; il est donc permis de supposer que, dans bien des cas, les hommes ont dû se grouper d’après leurs affinités plus encore que d’après leurs origines. Tout le monde sait que l’on distingue les races blanche, jaune, noire et rouge, et Fabre d’Olivet a montré, dans son "Histoire philosophique du Genre humain" (qu’il avait présentée d’abord comme une étude de l’État social de l’Homme), que chaque race a eu à son tour une civilisation prédominante. Il en est résulté naturellement, à diverses reprises, des déplacements des centres des Universités principales ou particulières dans lesquelles se conservaient les traditions. On admet le plus ordinairement que la Métropole Sacrée [...] est située en Asie depuis le commencement des temps dits historiques, qui coïncide avec la période connue sous le nom de Cycle de Ram, période que certains ont appelée l’Âge d’Or, ou encore le Règne de Saturne... [...] 

À partir de ce centre, la race blanche s’étendait au Nord, la race jaune à l’Orient, la race noire au Midi, et la race rouge à l’Occident.

L’Université centrale était toujours située dans une région appartenant à la race dominante, qui donnait à cette région le nom de Terre du Principe, Asiah, et celui de Terre Sainte par excellence, ou de Terre Noble, Âryavarta ; de là partaient les instructeurs chargés de donner des lois aux divers peuples suivant les caractères spéciaux de ceux-ci, et aussi des envoyés auxquels étaient confiées d’autres missions. Les hommes de la race dominante s’appelaient Âryas, nobles, et, dans d’autres langues, Anakim ou Giborim, forts, puissants, et on leur donnait un grand nombre d’épithètes différentes ; mais tout ce qui se rapporte à eux ne doit pas être considéré comme se rapportant toujours à la même race, puisque chaque race a dominé dans certains temps ou dans certains pays.

Préservation des sociétés traditionnelles

Ainsi, nous ne chercherons point quelle fut la situation géographique de l’Âryavarta à telle ou telle époque, mais nous dirons que, indépendamment du partage général de la Terre entre les quatre races, il se forma fréquemment entre celles-ci des sortes d’associations, constituant des sociétés en apparence hétérogènes, mais strictement organisées par une législation qui, à l’origine, interdisait toujours l’union de ces éléments différents, pour des raisons d’ordre et de sélection (s’il est permis d’employer ici une expression aussi moderne). Parfois, c’était toute une nation, comme le peuple hébreu, à qui son législateur, pour les mêmes raisons, interdisait les unions avec les peuples étrangers, et ce peuple se subdivisait lui-même en un certain nombre de tribus nettement séparées. Comme chaque race ou chaque tribu formait une classe sociale exerçant une catégorie de fonctions déterminées, de même que, dans un corps vivant, chaque organe exerce sa fonction propre, il est naturel que les hommes, au début de chaque organisation, se soient groupés d’après les affinités de leurs natures individuelles. Peu à peu, les différences entre ces groupements se sont accentuées et fixées, de manière à prendre le caractère de distinctions ethniques, qu’elles n’avaient pas tout d’abord ; c’est là une origine très vraisemblable, sinon pour les races primordiales, du moins pour les races secondaires qui se sont formées ultérieurement.

Admission de l’enfant dans une collectivité

Ceci indique le point de départ ou le principe de l’institution des castes, sur laquelle repose toute société établie synarchiquement, c’est-à-dire en accord avec les règles organiques et harmoniques de notre Univers. La caste (en sanscrit varna) est déterminée pour chaque individu par sa nature propre, c’est-à-dire par l’ensemble des qualités potentielles qu’il apporte en naissant (djâtî), et qui passeront en acte dans le cours de son existence terrestre. Cette nature particulière, qui est le germe ou la racine de l’individualité actuelle, est elle-même la résultante de deux éléments distincts : d’une part, les affinités du milieu ambiant, dont une grande partie constituent ce qu’on appelle habituellement l’hérédité ; d’autre part, les influences des Forces cosmiques en action sur ce milieu, Forces qu’étudie spécialement l’Astrologie, et qui déterminent en puissance, c’est-à-dire par des tendances, la destinée individuelle, indépendamment de la façon particulière dont celle-ci se réalisera, laquelle relève à la fois de la liberté humaine et des circonstances concomitantes ; d’ailleurs, il faut reconnaître que la liberté, en fait, joue souvent dans les événements un rôle bien faible, sinon tout à fait nul. Pour déterminer la condition de l’individu, on a donc : d’une part, ce qui appartient d’une manière générale à la race ou à la famille (gôtrika, de gôtra, lignée), élément qui, dans les sociétés régulières, se synthétisait dans une épithète collective et ordinairement héréditaire, devenant bientôt un nom familial ; d’autre part, les qualités propres à l’individu (nâmika, de nâma, nom), qui déterminaient le nom spécial qui lui était donné, nom dont l’attribution était toujours accompagnée d’une cérémonie rituélique consacrant l’admission de l’enfant dans la collectivité à laquelle il devait appartenir. L’attribution du nom ne doit pas être confondue, comme elle l’a été plus tard dans les religions exotériques, avec l’initiation ou seconde naissance, lors de laquelle l’individu reçoit un deuxième nom, en même temps qu’il revêt une nouvelle individualité, distincte de son individualité profane.

Ceci montre que, si la caste, déterminant la fonction sociale de chacun, est souvent héréditaire en fait, par un effet de la sélection dont nous avons parlé, elle ne l’est pas en principe ni dès l’origine. D’autre part, on doit regarder comme irrégulière toute société où les castes ne sont pas distinctes, défaut d’organisation qui entraîne la destruction de toute hiérarchie véritable, et, par suite, le règne du despotisme, tyrannie d’un seul homme, ou de l’anarchie, tyrannie de la multitude."

Extrait de L’ARCHÉOMÈTRE de René Guénon, paru en 1911.


Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...