samedi, décembre 28, 2019

L'Eglise romaine est-elle crypto-judaïque dès l'origine ?

(Durée 3:40)

La soumission du pape au rabbinat. Le catholicisme s'intègre au noachisme, la religion talmudique mondiale pour les goyim.


Commentaire de la vidéo par "Save Our Souls" :

"Et ce "bon p'tit pape" qui déclare en public à ses ouailles... de ne surtout pas prier Jésus-Christ, dans le secret de leur cœur ! Qu'ils préfèrent venir à l'église (infestée par la Franc-maçonnerie, hélas), afin d'être en accord, je suppose, avec la Sainte Doctrine ! Quel salaud ! Quel traître ! Sous Vatican II, il n'y a eu que des traîtres, à l'exception d'Albino Luciani, bien sûr (pape Jean-Paul Ier), descendu, assassiné par l'Opus Dei, la Franc-Maçonnerie appartenant à la Grand Juiverie, en 1978, après seulement 33 jours de règne !"


L'Eglise romaine est-elle crypto-judaïque dès l'origine ?



Pour se fondre dans la religion planétaire qui consacre le Nouvel Ordre Mondial, l'Église de Rome, autrefois si arrogante, doit effacer les traces de son identité originelle. Et l'un des traits gênants à gommer d'urgence, et qu'on s'efforce de faire disparaître depuis la Révolution Française, c'est la sévérité de Jésus à l'encontre du Judaïsme et de ses chefs qu'il nomme « synagogue de Satan » et « race de vipères ». Ces paroles n'engagent que Jésus, dirait-on de nos jours par prudence. La radicalité de la doctrine de Jésus dérange à l'heure de l'œcuménisme du Nouvel Âge.

Race de vipères ! Synagogue de Satan ! Ces mots sont durs à entendre de la part d'un envoyé divin qui doit tout de même savoir de quoi il parle. Il y avait un lourd contentieux avec Israël. Mais les papes ont décidé que le conflit entre Jésus et la Synagogue n'était plus leur affaire. Ils avaient déjà enduré trop de soucis en essayant de tenir le Judaïsme à distance, jusqu'au moment où la Révolution pulvérisa les digues. Le Vatican doit désormais adopter lui aussi la libre pensée jusqu'à remettre en question le fondement de son dogme - la nouvelle alliance qui était censée annuler l'ancienne. Mais non seulement le nouvel Israël du Christ n'a pas survécu, mais c'est l'ancien qui est réapparu, faisant preuve d'une vivacité surprenante. Alors, le nom du Christ finira par être effacé par une interdiction tacite pour faire place au sauveur qui sera mis à la tête de l'Ordre Mondial. En dépit des efforts effectués depuis Vatican II pour rayer de l'Évangile les mots qui fâchent, il semble qu'une puissance supérieure veille les maintenir encore, malgré les sollicitations pressantes des Juifs et des Chrétiens décadents qui voudraient effacer du canon des Écritures les formules politiquement incorrectes. Sans doute, cette toilette théologique aura-t-elle lieu prochainement, car on ne voit pas comment la religion mondiale synthétique pourra voir le jour si les partenaires qui y collaborent ne se mettent pas d'accord sur une doctrine commune parfaitement lisse.

Un Chrétien moderne, qui ignore généralement tout du Christianisme métaphysique, est perplexe lorsqu'on lui montre, preuves évangéliques à l'appui, que la révélation chrétienne n'a jamais été une morale humanitariste à l'eau de rose, mais qu'elle entre en confrontation directe avec la doctrine judaïque matérialisante qui nie la réalité d'un Royaume éternel hors de l'espace-temps. C'est parce que la négation de la vie divine transcendante au profit d'un royaume terrestre risquait de devenir la croyance du monde entier - ce qui devait advenir de toute façon - que l'agent divin appelé Christ est venu ici-bas pour répandre l'antidote. Pour preuve que Jésus avait identifié le problème, voici ce passage de l'Evangile de Jean :

« Jésus dit aux Juifs : si Dieu était votre père, vous m'aimeriez (...) Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge. » Évangile selon jean, chapitre 8.

Un Chrétien pourrait s'exclamer : « Qu'avez-vous fait, Seigneur ? Vous dites aux Juifs que leur nation a le diable pour père ! Et que leur père est le père du mensonge ! Bigre, Seigneur Jésus, est-ce que vous n'êtes pas allé trop loin ? On voit bien qu'à votre époque il n'y avait pas de lois pour réglementer le religieusement correct, quoiqu'on vous ait quand même fait taire. Mais il était plus facile de s'exprimer il y a deux mille ans, tandis qu'aujourd'hui, pour nous les Chrétiens, comment lire les saintes Écritures si on n'a plus le droit d'y lire ce qui est écrit ? Seigneur, il faut vraiment changer votre doctrine sur tous les points tendancieux car notre culture moderne ne tolère plus ce genre de critique ». Si des crétins de Chrétiens sont capables d'accepter une censure des Évangiles, jusqu'à se déshonorer et trahir leur rédempteur, il est improbable que les Juifs reprochent jamais à leur divinité totémique de les avoir élus pour la domination du monde, et qu'ils coupent un jour les passages de la Bible montrant Israël à l'oeuvre. Alors, faudra-il que l’Évangile devienne un livre aussi secret que le Talmud avec toutes les considérations scabreuses, racistes et génocidaires que ce code de la loi juive comporte ? [...]

Si Juifs et Chrétiens, « spirituellement sémites », ont désormais un Dieu commun - « le Maître des temps et de l'Histoire ! » - il faudra qu'ils s'accordent sur son identité réelle. Est-ce que le « Père du mensonge depuis l'origine » serait le Dieu des Chrétiens ? S'il en est ainsi, c'est que le Christ est passé à la trappe avec sa Nouvelle Alliance, car son message qui annulait l'ancienne dispensation d'Israël n'a plus aucun sens spirituel, métaphysique et historique. Sa mission n'a servi qu'à ramener les christianisés à la maison-mère, la Grande Synagogue, après un inutile détour de deux mille ans. Beaucoup de bruit pour rien.

Jésus, le pourfendeur d'un Judaïsme rétrograde, qu'il dénonce comme l'obstacle à l'émancipation de l'humanité hors du monde matériel, se serait-il trompé de cible ? Il se serait donc incarné pour rien. Par la bouche des papes qui accomplissent sur la scène de l'histoire le reniement de l'apôtre Pierre, on nous ordonne d'oublier une révélation christique qui fait tâche dans l'harmonie œcuménique que le Christ, sans doute pas assez éclairé, ne pouvait concevoir. Seuls des papes, infaillibles devant l'Esprit-Saint, peuvent comprendre l'idéal d'un royaume terrestre conforme à l'espérance judaïque - un royaume humaniste et matériel que Jésus refusa avec obstination, par une sorte de préjugé anti judaïque rétrograde. Heureusement que les Jésuites ont élargi ultérieurement sa doctrine étriquée pour la conformer aux lumières de la science et du progrès !


Pierre, triple renégat

« Arrière de moi Satan car tes paroles sont celles des hommes ! » Cette exclamation de Jésus s'adresse à l'apôtre Pierre. Pourquoi le fondateur de la catholicité est-il traité de « Satan » par son maître ? Le titre de Satan paraît peu enviable pour le fondateur de l'Église chrétienne, à moins que cette Eglise qu'on dit romaine, n'ait été crypto-judaïque dès l'origine, ce que Jésus semble vouloir faire comprendre à son disciple. Pourquoi Jésus confie-t-il la garde de ses brebis à un pasteur qu'il appelle Satan au motif qu'il pense de manière profane ? Il faut comprendre ici que l'humanisme de Pierre est pour Jésus du satanisme pur, car il sait que l'apôtre détournera son message transcendant pour édifier une organisation temporelle qui tombera inévitablement sous le contrôle du « prince de ce monde » . Comme nous le savons, celui-ci est « le père du mensonge depuis l'origine ».

Nous pouvons en déduire que Pierre, par l'intermédiaire des papes, ne fait qu'accomplir la prophétie qui fait de lui le renégat du Christ, faute de comprendre son but, ou parce qu'il défend une autre politique. Cette politique serait trop longue à développer ici. Souvenons-nous que dans l'Évangile, seul Jean, le « disciple bien-aimé qui repose sur le cœur de Jésus », comprend ce que Jésus raconte. Pierre n'y comprend rien.

À plusieurs endroits, Pierre interroge Jean lorsqu'il veut savoir ce qui se passe, car lui, le croyant primaire et terre-à-terre, il n'entend rien aux mystères ésotériques de son maître. Et, par sa théologie intellectuelle trop humaine, l'Église témoigna de son ignorance et d'une volonté de réduire au silence les disciples de Jean - hérétiques, gnostiques et manichéens - sous prétexte qu'ils recherchent une Connaissance que Pierre ne possède pas, et dont il nie la réalité pour ne pas perdre la face devant ses fidèles. Mais son masque est tombé.

Pierre renie le Christ dès la fondation de l'Église, et grâce à cette puissante institution politique, il répand sur la terre l'inversion du Christianisme dont le but est de reconduire les âmes dans l'univers divin. A l'opposé, Pierre les rive au monde et persécute les dissidents. Lorsque le pape se soumet à la loi du Judaïsme qui s'enracine dans un grave malentendu - la négation du Royaume éternel, destination ultime des âmes - il renie le Christ qui s' est incarné pour désenvoûter les âmes de leur attachement à la matière. Pierre, le triple renégat, n'a pas connu le Christ qu'il a renié dès le départ. Depuis dix huit siècles, il a fait de l'idole Jésus-Christ une parodie grandiloquente. Mais aujourd'hui, vieux et ridicule, du haut de son trône effondré, il apostasie sa religion équivoque, si jamais ce bonimenteur - trop usé pour faire usage de la violence dont il abusa - eut part un instant à la foi chrétienne.

Fidèles à la prophétie

Admettons que les papes, aux prises avec des puissances occultes qui les dominent, soient contraints de se soumettre pour que s'accomplisse la prophétie de Jésus à l'égard de Pierre :
« En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas ». Jean, 21:18.

Et nous voici, en ce début du troisième millénaire - le troisième reniement ? - comme des spectateurs désabusés assistant à cette fin lamentable, nous qui avons été bercés dans notre jeunesse par les rêves du catéchisme. Nous assistons en direct à l'accomplissement de la prophétie du reniement de Pierre. Cela devrait éveiller un émerveillement devant la divine stratégie du Christ. Ainsi, tout était prévu, depuis le reniement de l'apôtre jusqu'au démasquage des papes renégats, fin honteuse que la Bible présente comme la crucifixion de Pierre... à l'envers ! Les papes sont visiblement occupés à liquider leur entreprise, un peu contre leur volonté. En tout cas, Benoît XVI, lorsqu'il s'appelait Ratzinger, avait prévenu : « Nous redeviendrons une petite Église comme Les autres ». Les catholiques ne peuvent ignorer que leur pape a clairement annoncé la liquidation de leur religion, mais que la vente continue pendant les travaux œcuméniques. Ainsi s'accomplit la prophétie concernant l'agonie d'une religion qui espère survivre en se fondant dans une religion mondiale, car il n'y a pas d'autre choix. Pour accomplir la parole, il fallait que les papes apostasient publiquement afin que tous ceux qui ont des yeux pour voir, puissent assister à cette scène mémorable au cours de laquelle le chef suprême de la chrétienté qui parlait à la place de Dieu et qui tenait « les clés du paradis et de l'enfer », va être conduit « là où il ne veut pas aller ». Certains diront que le pape accomplit là une nouvelle crucifixion devant les mêmes juges que Jésus. On peut voir les choses ainsi mais c'est d'abord de la politique.

Joël Labruyère, "Kali Yuga".





« Dans la Tradition universelle, le déroulement du monde se divise en quatre âges marquant chacun un nouvel effondrement moral et un éloignement du divin. Les Hindous nomment le dernier de ces âges le Kali Yuga, l'Âge Noir. Ils considèrent que nous y sommes entrés il y a 5000 ans et que nous ne sommes pas prêts d'en sortir. Pendant l'Âge Noir, seul subsiste un quart de vérité contre trois-quarts de mensonge. Plus l'Âge Noir avance et plus ce quart de vérité se trouve englouti, non pas disparu, mais mélangé et difficilement identifiable. 

Malgré tout, les Anciens considéraient que l'Âge Noir était un cycle propice pour ceux qui recherchent la grande Libération. Insatisfaits des gratifications illusoires de la matière, nous pouvons être propulsés vers le haut par la pression insoutenable du mensonge grandissant. Endurer ce mal nous force à rechercher le Bien absolu. Si nous n'avons pas le goût de flâner dans le jardin des délices de la civilisation matérialiste pour éprouver son bonheur virtuel, il faut s'en extraire avec force au risque de s'y perdre. Il faut s'arracher à l'entropie ambiante par un mouvement énergétique, une révolution de la conscience et de l'être. Au cœur de l'Âge Noir, il existe donc une porte vers l'Âge d'Or intérieur. Mais cette porte est cachée. Il faut combattre pour la trouver. »
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