samedi, décembre 21, 2019

Pourquoi le premier pape jésuite détruit l'Eglise

(Durée 1:08)
Le pape accusé d'hérésie


Mgr Carlo Maria Viganò accuse le pape François de mentir, de démanteler le Siège de Pierre par ses hérésies et de souffrir d’« intolérance mariale »...

"Depuis plus de six ans maintenant, écrit Christian Lassale, nous sommes empoisonnés par un faux magistère, une sorte de synthèse extrême de toutes les idées fausses conciliaires et des erreurs post-conciliaires qui se sont propagées imparablement, sans que la plupart d’entre nous ne s’en aperçoivent. [...]

(...) le Dépôt sacré de la Foi a été progressivement dilapidé, les Dogmes dénaturés, le Culte sécularisé et progressivement profané, la Morale saccagée, le Sacerdoce diffamé, le Sacrifice eucharistique protestantisé et transformé en Banquet convivial… [...]


Avec le pape Bergoglio – comme avec tous les modernistes – il est impossible de chercher la clarté, car la marque distinctive de l’hérésie moderniste est précisément la dissimulation. Maîtres de l’erreur et experts dans l’art de la tromperie, ils « s’efforcent de faire accepter universellement ce qui est ambigu, présentant le côté inoffensif, qui servira de passeport pour introduire le côté toxique, qui a été initialement gardé caché » (P. Matteo Liberatore S.I.). Ainsi, le mensonge répété avec obstination et obsession finit par devenir « vrai » et accepté par la majorité.

Typiquement moderniste, aussi, est la tactique de soutenir ce que l’on veut détruire, en utilisant des termes vagues et imprécis, en favorisant l’erreur sans jamais la formuler clairement. C’est exactement ce que fait le Pape Bergoglio, avec son amorphisme qui dissout les Mystères de la Foi, avec l’approximation doctrinale qui lui est propre, par laquelle il « métisse » et démolit les dogmes les plus saints, comme il l’a fait avec les dogmes mariaux de la Mère toujours Vierge de Dieu.

Le résultat de cet abus de pouvoir, nous l’avons sous les yeux : une Eglise catholique qui n’est plus catholique, un récipient vidé de son contenu authentique et rempli de marchandises de pacotille.

L’avènement de l’Antichrist est inévitable..."  Lire l'article de Christian Lassale


Le pape François, élu en mars 2013, est le premier pape jésuite.

"La Compagnie de Jésus, qui fut bannie près de 80 fois d’à peu près tous les pays, est donc à compter parmi les agents les plus actifs de la dissolution moderne, et ce depuis cinq siècles.

Fondements judaïques, influence originelle probablement islamique, forme religieuse catholique, politique œcuménisme, conceptions matérialistes, tendance à l’orientalisme tout en condamnant les véritables traditions de l’Orient (comme l’hindouisme) : il ne fallait pas s’attendre à ce que cet ordre pour le moins étrange soit le sauveur du Christianisme !

Mais, aujourd’hui, dénoncer la Compagnie de Jésus semble relever d’un « conspirationnisme paranoïaque » lorsque l’on connaît les théories invraisemblables qui peuvent circuler sur le Web à propos des jésuites. Et ne parlons même pas des révoltés qui s’insurgent naïvement devant le fait qu’on demande aux jésuites de faire vœu d’obéissance absolue, ne trouvant pas d’autres angles sous lesquels les dénoncer.

Mais il est évident que ces dénonciations futiles de la Compagnie de Jésus servent celle-ci plus qu’autre chose, étouffant les véritables raisons pour lesquelles elle mériterait d’être dénoncée.


Il faut comprendre que les jésuites placent Jésus avant le Christ, et qu’ainsi, progressivement, le Rédempteur va devenir un prophète qui sera absorbé parmi ceux de l’Ancien Testament. Ce fait échappe aux catholiques, globalement "enjésuités".

Le jésuitisme est le rêve d’un royaume terrestre et matériel en opposition absolue avec le plan de Salut du Christ dont le « Royaume n’est pas de ce monde ». Teilhard de Chardin appelait Dieu : « Mon Dieu de la matière ».

Les jésuites ont permis à œcuménisme d’évoluer vers une nouvelle religion mondiale de synthèse. Le jésuitisme ne reconnaît qu’un monde homogène où tout se vaut. Mais qui en aura le contrôle ? C’est là l’enjeu de leur combat.

Les loges maçonniques, composées de petits bourgeois se réunissant le week-end, ne valent pas mieux que des associations de boy-scouts à côté de cet ordre puissant, qui a un réel pouvoir occulte. Ordre qui, rappelons-le, est international, ultra-centralisé et exclusivement composé de soldats sur-formés et ayant fait le sacrifice intégral de leur vie.

Cela les a placés en pole position avec le judaïsme dans la gestion des affaires terrestres. Les deux, à plusieurs reprises, ont d’ailleurs collaboré à travers l’Histoire.

Aucune autre organisation ne fonctionne avec autant de discipline et d’efficacité sur cette Terre.

Même un agent des services secrets, en temps ordinaire et une fois son travail terminé, rentre chez lui comme tout le monde pour passer du bon temps avec sa femme et ses enfants.

Le jésuite, lui, est constamment au service de son armée, qui est aussi sa famille, son école et son église. Lorsqu’il parle de l’amour du Christ, il parle de l’amour de la Société de Jésus. Il ne connaît rien d’autre, et dans le cas contraire, il ne pourrait tenir au sein de la Compagnie.

Il n’est pas étonnant qu’un tel ordre ait réussi à surpasser toutes les épreuves et à s’imposer au monde entier !

Ayant perdu son utilité, on le croit inoffensif, alors qu’il domine l’Église et d’autres institutions religieuses et civiles, y compris au sein des armées.

Il est donc nécessaire de rappeler aux patriotes, et en particulier aux catholiques, la véritable nature de la Compagnie de Jésus qui parvient à garder auprès de ceux-ci l’image d’un ordre de prêtres sympathiques et plutôt conservateurs, alors que son idéal est strictement à l’opposé du leur. L’Église n’a été que leur cheval de Troie et le pape François est le couronnement d’un plan d’une duplicité inouïe. S’affubler du nom du Poverello Francisco est le comble du cynisme et de la démagogie, mais ce n’est que du pur jésuitisme.

Chez les antimondialistes d’Occident, peu importe leurs tendances idéologiques, on s’accorde généralement à dénoncer un ennemi extra-européen, comme l’Islam, le sionisme ou les États-Unis d’Amérique, et cela pour protéger la civilisation européenne et, particulièrement, le christianisme.

Mais l’ennemi le plus dangereux n’est-il pas celui qui est considéré comme fondamentalement européen, inoffensif ou, pire encore, comme faisant partie des alliés à protéger ?

Les nationalistes et les défenseurs des identités voudraient défendre la « tradition européenne et chrétienne » prise en un bloc, mais le ver est dans le fruit depuis déjà bien longtemps...

Avant de dénoncer l’immigration de masse ou l’américanisme, contre lesquels toute personne de bon sens est censée s’ériger, peut-être faudrait-il dénoncer ceux qui, se cachant en prenant le masque de la tradition chrétienne, la détruisent de l’intérieur ?

À méditer..."

Extrait du dossier "La Compagnie de Jésus"


Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...