vendredi, janvier 31, 2020

Hitler et la fondation d'Israël, l'accord Ha’avara

(Durée 10:02)




Gilets Jaunes Réveillés :

"C'était donc cela la stratégie : forcer les juifs à quitter l'Europe pour Israël, en tous cas les plus riches afin de servir de cheval de Troie contre les Palestiniens, cela prouve que les Rothschild contrôlaient Hitler, vous commencez à y voir un peu plus clair ? 

D'un côté Hitler (financé par les Rothschild) extermine les juifs et de l'autre les Rothschild leur préparent la colonisation de la Palestine. Saviez-vous qu'Hitler a été largement inspiré par les "Protocoles des Sage de Sion" pour justifier l'extermination des juifs. Protocoles rédigés en amont par Mayer Amschel Rothschild, Adam Weishaupt fondateur des illuminati et Jacob Frank (à confirmer, mais il ne vivait qu'à quelques kilomètres des lieux de rencontre entre Rothschild et Weishaupt entre 1772 et 1791, Francfort et Ingolstadt, et on reconnait sa "patte" dans les protocoles jusque dans leur premières versions, voir ci-dessous, d'ailleurs par la suite, après sa mort en 1791, sa fille Eve Frank est devenue une proche des Rothschild et du Tsar Alexandre 1er [voir les recherches de Pierre Hillard et Youssef Hindi]. Plus tard, des agents frankistes tinrent un rôle dans la Révolution française, comme Moïse Dobrouchka, qui devint jacobin sous le nom de Junius Frey. Beaucoup de frankistes virent un Messie potentiel en Napoléon Bonaparte.). 

Le texte s'intitulait à cette époque-là : "Le Nouveau Testament de Satan", il s'agissait du premier manifeste ou protocole de domination mondiale des illuminati datant de 1784 (une version bien plus élaboré que celle rédigée par Rothschild entre 1770 et 1773). C'est ce texte que l'on a retrouvé en Bavière sur la dépouille du messager des illuminés qui comptait le transmettre à Robespierre. (à ce sujet cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=1YwaR... est à voir absolument pour comprendre tous ces textes dans un contexte historique). 

Mais les iluminés s'y sont pris autrement par la suite pour prendre la tête de la maçonnerie française et mondiale par le biais des martinistes et des philadelphes, deux loges maçonniques très puissante de l'époque. Hitler n'était en réalité qu'une pitoyable marionnette des Rothschild, rien de plus ! Il y'a encore beaucoup plus à dire au sujet de l'ascension d'Hitler, notamment le fait que ce sont les Rothschild qui ont provoqué le crack boursier ce qui a permis à Hitler de se hisser facilement au pouvoir en promettant de redresser le pays, ce qu'il a réussi en partie... Voici le niveau que l'oligarchie luciférienne ou sataniste a atteint en terme d'ingénierie sociale..."





Hitler et la fondation d'Israël, l'accord Ha’avara


par Ingrid Weckert 

Si jamais il y a eu un accord qui a permis la création de l’État d’Israël, c’est bien le Ha’avara.

Il n’est pas surprenant que le Dr. Ludwing Pinner, membre du conseil d’administration de la société du Ha’avara, dans son essai « L’importance de l’immigration allemande pour la Palestine juive », publié en 1972, ne tarisse pas d’éloges sur les avantages incommensurables de cet accord. Il démontre clairement que c’est l’immigration de Juifs d’Allemagne qui a préparé le terrain pour l’État d’Israël. Sans le capital allemand, sans le savoir professionnel et technique, sans l’esprit d’initiative et l’énergie des Juifs d’Allemagne, il n’y aurait pas eu d’État d’Israël.

L’émigration régulière des Juifs d’Allemagne a démarré dès le mois de mai 1933 avec la mise en place de l’Organisation Ha’avara qui aura permis le transfert de dix mille Juifs d’Allemagne avec leur fortune et leurs possessions vers la Palestine (Ha’avara [... signifie "transfert" en hébreu).

Les principes de ce genre de transfert ont été dégagés par Theodor Herzl dans son Der Judenstaat [l’État Juif]. Herzl avait prévu les difficultés qui se présenteraient en cas de départ d’un grand nombre de Juifs de leur pays hôte, en particulier si, comme c’était le cas pour l’Allemagne, ils constituaient un élément économique de poids. Il proposait de créer des « sociétés juives » dont l’objet serait de liquider les biens immobiliers des Juifs sur le départ. Ces migrants ne devaient pas suite à la cession de leurs biens dans le pays d’origine, recevoir de contrepartie monétaire immédiate, mais devraient recevoir « de l’autre côté », Herzl pensait à la Palestine, leur contre-valeur en maisons et marchandises, le tout en accord avec les besoins et le potentiel des nouvelles communautés.

Un accord similaire, modifié pour être actualisé aux conditions du moment, a été conclu entre les Allemands et les Juifs en 1938. Les migrants versaient le produit de la vente de leurs actifs sur un compte bloqué et recevaient en contrepartie des maisons, des marchandises ou du terrain en Palestine. Les sociétés palestiniennes qui prenaient part à l’opération utilisaient les reichsmarks versés sur le compte bloqué pour financer les importations de biens en provenance d’Allemagne.

Le premier accord de ce genre a été mis en place entre le ministère des affaires étrangères allemand et la société de plantation des agrumes Hanoteah Ltd. En mai 1933. Dolf Michaelis, le banquier Juif et expert économique, ancien consultant de la Ha’avara le décrit ainsi :

"L’accord avec le ministère prévoyait que moyennant un versement – pouvant se monter à 40 000 reichsmarks dans le cas de certains particuliers – sur le compte bloqué de la Hanoteah, les émigrants, ou ceux qui projetaient de partir plus tard, recevraient l’autorisation d’établir une ferme en Palestine. Hanoteah s’engageait par contrat, en contrepartie, de mettre à disposition des transférés une maison ou une plantation d’agrumes qu’ils pourraient travailler eux-mêmes, ou, par accord spécifique, de mandater la Hanoteah pour l’exploiter à leur place. De son côté, Hanoteah Ltd se servait des reichsmarks du compte bloqué pour se procurer ce dont elle avait elle-même besoin : machines agricoles, pompes, tuyaux, engrais et ainsi de suite."

[...]

Le Ha’avara a rendu possible non seulement l’émigration des fortunés, mais aussi celle de Juifs moins aisés. Comme les sommes versées sur les comptes spéciaux en Allemagne excédaient de loin la demande de marchandise de la petite communauté d’immigrants juifs en Palestine, des crédits à long terme ont été octroyés sur la base des sommes qui se sont accumulées sur ces comptes spéciaux à des Juifs allemands qui voulaient partir mais qui n’en avaient pas les moyens. Les remboursements devaient se faire plus tard en Palestine. Du moment qu’un Juif était prêt à partir en Palestine, le Ha’avara lui permettait de le faire.

Il y avait des accords similaires avec d’autres pays, mais les avantages du Ha’avara ne leur étaient pas applicables.

Dans le même temps, les exportations allemandes par le biais du Ha’avara n’étaient pas seulement à destination de la Palestine, mais aussi de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak. Toutes ces livraisons, également, pouvaient être payées en « Ha’avaramarks », ce qui signifiait une perte conséquente en devises pour l’Allemagne, néanmoins, ces transactions étaient autorisées par les autorités
allemandes.

En plus des transferts de capitaux, le Ha’avara permettait le transfert des pensions de retraite, des frais d’études et de l’argent pour les frais de tous les jours. Les allocations dues aux fonctionnaires qui avaient été licenciés leur étaient régulièrement versées par leur autorité de tutelle.

Les fonctionnaires Juifs de l’État ou des communes qui avaient été mis à la retraite d’office en raison des lois raciales, ainsi que les fonctionnaires des associations et institutions juives pouvaient émigrer en Palestine et y recevraient de quoi vivre en livres palestiniennes. Environ six cents retraités de ce type ont pu recevoir leur traitement d’Allemagne par le Ha’avara.

Les pensionnés juifs de la guerre de 1914- 1918, pratiquement sans exception, recevaient leurs paiements directement par courrier.

Le bénéfice de l’accord Ha’avara ne se limitait pas aux immigrants juifs allemands en Palestine. Yeshov, la colonie juive déjà présente en a également très largement profité.

Plus de la moitié des « capitalistes » qui ont émigré en Palestine dans les années 1933 – 1940 venait d’Allemagne. Le montant correspondant du flux de capital entrant se montait à vingt millions de livres palestiniennes, équivalent, comme cela a déjà été dit, à autant de livres sterling. Cet argent ne bénéficiait qu’à la population juive qui était passée en 1941 à 500 000.

Il n’est pas surprenant que le Dr. Ludwing Pinner, membre du conseil d’administration de la société du Ha’avara, dans son essai « L’importance de l’immigration allemande pour la Palestine juive », publié en 1972, ne tarisse pas d’éloges sur les avantages incommensurables de cet accord. Il démontre clairement que c’est l’immigration de Juifs d’Allemagne qui a préparé le terrain pour l’État d’Israël. Sans le capital allemand, sans le savoir professionnel et technique, sans l’esprit d’initiative et l’énergie des Juifs d’Allemagne, il n’y aurait pas eu d’État d’Israël. Ce sont eux qui en développant les implantations et les industries ont d’abord rendu possible l’immigration des Juifs plus pauvres des autres parties du monde. Dr. Pinner écrit :

"Les immigrants allemands ont profondément changé les structures économiques et sociales des implantations juives et ont contribué de manière décisive à leur développement. Avec l’immigration en provenance d’Allemagne, il y a eu un essor industriel prodigieux. Des centaines d’usines et de magasin ont été construit. Peut-être plus important encore que l’expansion industrielle perse, il y a eu une élévation de son niveau technologique. L’activité des industriels et des inventeurs juifs allemands aura été déterminante dans le décollage économique des implantations de l’ère préindustrielle et précapitaliste.

Les transactions du Ha’avara et les structures de l’économie capitaliste familière aux Juifs d’Allemagne ont permis la création d’un marché des capitaux d’investissements qui a permis la mise en place de financement à long terme pour le secteur du bâtiment, l’équipement des colonies et l’industrialisation et a créé les conditions préalables au recyclage productif de l’épargne et des réserves monétaires en vue de la construction du pays.

Les immigrants d’Allemagne, habitués aux actions, obligations et autres emprunts ont été les premiers à établir les fondations d’un marché financier moderne. C’est de la chambre de compensation mise en place à l’époque qu’est née plus tard la bourse de Tel Aviv.

L’influence des immigrants juifs d’Allemagne dans le développement de la Palestine ne s’est pas fait sentir uniquement sur le plan économique et social, elle était également considérable au plan culturel dans les domaines de la science et de l’art.

Par l’équipement moderne de ses hôpitaux le Ha’avara a permis à la Palestine de devenir un centre médical de premier ordre. Les scientifiques de haut rang qui se sont joints aux équipes des centres de recherches et d’enseignements alors balbutiants ont été déterminant pour la création de l’enseignement supérieur en Palestine.

Dans le domaine artistique, c’est par leur contribution à la vie musicale en Palestine que les immigrants d’Allemagne doivent être le plus admirés. L’orchestre philharmonique bénéficie aujourd’hui d’une renommée mondiale. Lors de sa création en 1936 par Bronislaw Hubermann, il était composé presque exclusivement d’artistes en provenance d’Allemagne."

Le Dr. Pinner conclut cette partie de son histoire par cette observation :

"L’engagement dont ont fait preuve ces gens dans les centres de recherches et d’enseignements, dans l’économie et dans l’administration, dans la vie publique et dans l’organisation de la défense aura été d’une importance incalculable dans la préparation des colonies juives aux tâches cruciales qui les attendaient."

Si jamais il y a eu un accord qui a permis la création de l’État d’Israël, c’est bien le Ha’avara.

Pourtant, et ça n’étonnera pas tous les familiers de l’esprit de l’époque (1980), aucune des histoires de l’État d’Israël alors publiées ne fait la moindre allusion au Ha’avara. La raison de cette curieuse omission pourrait bien être que si le Ha’avara était mis en avant, cela révélerait au monde que l’Allemagne national-socialiste diabolisée pour avoir « exterminé » les Juifs, a en réalité, par cet accord exceptionnellement généreux, posé les fondations de l’État d’Israël .

Le rêve d’Herzl est devenu réalité grâce au Ha’avara: l’émigration légale des Juifs d’Allemagne a eu lieu dans un cadre solide dans lequel le Ha’avara a joué le rôle de la « société juive » prévue par Herzl pour superviser le transfert des actifs juifs... 

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