La messe trumpiste de Radio Québec serait-elle une liturgie crypto-sioniste ?
Qui est Donald Trump ?
par SniperMaske
1) Dès sa campagne présidentielle de 2016, Donald Trump était massivement financé et soutenu par une nuée de membres influents de la communauté juive : https://web.archive.org/web/20190315193121/https://thezog.info/donald-trump/
2) Comme l’a montré Michael Collins Piper (article de 2011 disponible sur American Free Press), Donald Trump a servi de couverture financière au Mossad et à la CIA : https://www.americanfreepress.net/html/trump_president_259.html
3) Il a été complaisamment reçu pour un entretien lors de la campagne juste avant 2016 par Alex Jones, agent de type COINTELPRO (c’est-à-dire opposition contrôlée mise en place par la CIA) : https://www.youtube.com/watch?v=RPgpwNFEAyg
Je pourrais ajouter d’autres éléments, comme sa reprise médiatisée de la version officielle du 11-Septembre à l’époque, prétendant avoir vu des Arabes se réjouir des attentats, ou encore sa contribution au sabotage de la candidature présidentielle du paléoconservateur Patrick Buchanan en 2000 (le traitant d’amoureux d’Hitler, au sens péjoratif de l’image plutôt que reynouardien, on s’en doute). Bonus : Donald Trump est probablement crypto-juif au moins par son père : https://web.archive.org/web/20190315193121/https://thezog.info/donald-trump/comment-page-1/#comment-445
Conclusion
Nous n’en sommes absolument pas au stade des spéculations, mais du diagnostic précis :
Donald Trump est un agent des suprémacistes juifs, à 100 %.
Les gens qui affirment le contraire sont soit bernés, soit des désinformateurs (Alexis Cossette, si tu nous lis…).
Les faits résumés par SniperMaske complètent l'analyse de Gearóid O’Colmain et Youssef Hindi des dessous de l’assassinat du général Soleimani :
(Durée 1:27:18)
La seconde partie de la vidéo est consacrée à la Bolivie et à la stratégie de domination politique de l’Amérique du Sud par les États-Unis et ses réseaux.
Lire l'article de Youssef Hindi :
TENSIONS IRANO-AMÉRICAINES – ANALYSE ET DÉCRYPTAGE
Youssef Hindi
Pour beaucoup, le sionisme se résume à la volonté d’un peuple, Juifs sémites descendant des Hébreux, de vivre sur une terre, sur leur « Terre promise », en Palestine. Et pour ceux-là la création d’Israël a concrétisé ce vœu, désir assouvi qui ne se connaît encore que dans une volonté d’extension, à travers colonies et territoires occupés.
Mais le sionisme est bien plus que cela. Il est une idéologie, la face laïque d’un projet messianique, en réalisation active d’une promesse biblique trop longtemps attendue par un peuple qui se pense élu et investi d’une mission : « restaurer l’Eden terrestre » et « réparer le monde »... Car en vérité, au-delà de la Palestine asservie, c’est bien le monde qui en est tout entier affecté, et ce également sur le plan géopolitique : expansion et instrumentalisation du wahhabisme, tensions entre les États-Unis et l’Iran ou la Russie, alliance américano-saoudienne, guerres en Irak ou en Syrie en vue du redécoupage du Moyen-Orient, création de Daech et stratégie du choc des civilisations. Le sionisme étend son influence jusqu’à l’intérieur des politiques nationales et participe aux divisions internes à la Maison-Blanche ou au Kremlin, mais aussi, plus près de nous en Europe où, de Bernard-Henri Lévy à Éric Zemmour, en passant par Jacques Attali, il oriente les opinions publiques, marque les lois de son empreinte, gouverne les relations internationales et disloque les partis.
C’est donc cette emprise globale, les implications du sionisme, et plus largement du messianisme juif que dépeint l’auteur au travers de ces Chroniques, qui durant quatre ans ont éclairé l’actualité sous le prisme
