mardi, mars 31, 2020

Cohn-Bendit ordonne à Didier Raoult de "fermer sa gueule"


Daniel Cohn-Bendit est compétent en virologie maintenant ? 
On le savait plus expert en pédophilie...



Le cas Sibeth Ndiaye

(Durée 5:48)

Greg Toussaint ne supporte plus la pathétique porte-parole du gouvernement Macron. Il prévient Sibeth : 

"...à la fin de la crise les gens vont vouloir te trouver..." [...] "Je te donne un conseil, [...] la réémigration, dans ce cas tu feras d'une pierre deux coups puisque dans l'avion ils vont même t'apprendre à mettre un masque".

lundi, mars 30, 2020

Le véritable prix des masques chirurgicaux

Le chirurgien-dentiste marseillais Salim Laïbi, alias Le Libre Penseur, est indigné par le commerce de masques chirurgicaux de Dieudonné.


10 centimes le masque, pas 1.20 euro

"Perso, écrit Salim Laïbi, je les achète à 5€ la boîte de 50 masques chirurgicaux 
(10 centimes pièce) 

Il (Dieudonné) les vend 12 fois plus cher ! C’est une honte, c’est inqualifiable de vouloir se nourrir sur la bête de cette façon en profitant de la peur et de la panique ainsi que de l’incompétence du gouvernement à mettre à disposition de tous de simples masques."

Lire l'article de Salim Laïbi :


https://www.lelibrepenseur.org/dieudonne-le-charognard-vendeur-de-masques-chirurgicaux-a-60e-les-50-pieces/


Coronavirus : des commissions d'enquête


(Durée 4:58)

Commission d'enquête LR : «La gestion du gouvernement de cette crise est parfaitement calamiteuse»

"Entretien du 30/03/2020 avec Djordje Kuzmanovic, président du parti de République souveraine. Il intervient sur RT France pour réagir à la proposition du parti Les Républicains d'ouvrir une commission d'enquête parlementaire sur la gestion de la crise du coronavirus par le gouvernement."

Face à la secte LREM, majoritaire à l'Assemblée nationale, Djordje Kuzmanovic est obligé d'admettre que ce n'est pas une commission parlementaire qui permettra un véritable "nettoyage", mais la prise de conscience des Français et la mobilisation citoyenneEn effet, on peut dire que la mobilisation générale permettra de gagner la guerre contre l'oligarchie et les forces du mal.


 Un haut responsable de la santé réclame une commission d'enquête

(Durée 31:14)

Extrait :

Question : (...) nous avons une restriction de liberté à l'échelle mondiale. Les gens sont enfermés dans les villes, les magasins sont fermés, le système financier et le système monétaire mondial sont sur le point de s'effondrer ou sont déjà en chute libre. En d'autres termes, ces mesures ont ici une portée bien plus grande que jamais. [...]

Vous dites que l'OMS a simplement changé la formulation, la définition d'une pandémie, ce qui est toujours le cas aujourd'hui. En même temps, lorsque ce coronavirus a éclaté en janvier, la Chine a été le premier pays où ce virus a été officiellement identifié puis ensuite la Chine, le gouvernement communiste chinois, s’est approché de l'OMS relativement rapidement et a dit que nous avions maintenant une urgence, à laquelle l'OMS a réagi relativement rapidement. Cette même pandémie a pris un peu de temps, mais la panique était en marche. Nous savons maintenant que l'OMS est financée par des pays comme la Chine, mais aussi par des « spécialistes de la vaccination », des personnes qui s'intéressent aux vaccins, qui y investissent beaucoup d'argent et font de la recherche, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, qui est également impliquée dans ce scénario de test - C'était l'exercice en 2001 à New York et le 18 octobre 2019, où une simulation de pandémie de coronavirus a eu lieu. Et comme je l'ai dit, Bill Gates finance également l'OMS avec de très grosses sommes d'argent. Y voyez-vous un lien d'intérêt ?

M. Wodarg : Oui, ces fonds sont pour la plupart réservés et ce n'est pas normal. Cela signifie que si quelqu'un investit dans l'OMS, il a certaines attentes et qu’il influence ce qui s'y fait, il influence l’occupation des postes qui y sont attribués. Et il y a de très forts conflits d'intérêts qui surgissent parce que les pays ne donnent tout simplement pas assez d'argent de leur propre chef, les États nationaux, pour que l'OMS continue de fonctionner et soit opérationnelle. Sans ces fonds industriels, sans ces fonds de fondations et sans les fonds volontaires que certains États donnent parce qu'ils veulent les utiliser pour promouvoir leur économie de la santé. Certains États fonctionnent comme une machine à blanchir l'argent de l'industrie lorsqu'il s'agit de financer l'OMS. En d'autres termes, ce sont tous des fonds « mal gérés ». Il s'agit de fonds destinés à des projets spécifiques et c’est cela qui pose problème car cela conduit toujours à des conflits d'intérêts. L'OMS n'est pas libre de voir où le besoin est le plus grand, où nous devons y répondre, mais l'OMS s'occupe de ce pour quoi elle reçoit de l'argent et cela pose problème.

La censure a toujours tort



La censure a toujours tort (Victor Hugo)

La vidéo d'Alain Soral "La communauté organisée qui tient la France" a été censurée. Et, le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme a porté plainte. 

Le BNVCA s'indigne de la "démonstration complotiste" d'Alain Soral qui a parlé de "liste de Schindler" en évoquant les noms : Bauer, Lévy, Buzyn, Hirsch, Guedj, Solomon, Jacob.



dimanche, mars 29, 2020

COVID-19, le complot de la peur ?

La crise a-t-elle été exacerbée délibérément ?

Des aveux dans le web-journal de Radio Québec

(Durée 29:58)


1 - L'expert américain Anthony Fauci, du CDC, joint d'autre experts qui se ravisent sur le taux de mortalité du COVID-19. 

2 - La crise exacerbée délibérément ?

Une hystérie mondiale

Didier Raoult qualifie la crise d'"hystérie mondiale", fustige l'incompétence de l'OMS et n'hésite pas à critiquer une stratégie du tout vaccin plus dogmatique qu'efficace face aux infections (...) et laisse clairement entendre que la recherche du profit de l'industrie pharmaceutique conduit à négliger l'intérêt de vieux médicaments peu coûteux. Il déplore enfin que "les éléments idéologiques viennent privilégier les types d’informations qui entrent en résonance avec la vision du monde des médias. Les chiffres eux-mêmes deviennent indécents quand ils ne confirment pas la théorie dominante".


L'innovation réelle est dans les réseaux sociaux

Parlant d'une "censure de fait sur les articles qui ne se situent pas dans le flux général de la pensée technique", l'homme (Didier Raoult) mise sur les réseaux sociaux où serait désormais "l'innovation réelle", l'information ne devant plus se contenter d'être captée mais analysée culturellement. Bref, dans cette crise du coronavirus, Didier Raoult apporte en tous cas matière à réfléchir.

(Extraits d'un article de Brice Perrier dans MARIANNE)

De la grippe aviaire au Covid-19
du professeur Didier Raoult

Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été.

Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?

Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques – surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.

samedi, mars 28, 2020

Par un pur "hasard" : Covid-19 + crise économique = gouvernement mondial

(Hasard ou diabolique calcul rothschildien ?)

Gordon Brown appelle à créer un gouvernement mondial


(4:11)
Lecture de l'article ci-dessous par Kevin Gall :

Gordon Brown a exhorté les dirigeants mondiaux à créer une forme temporaire de gouvernement mondial pour faire face à la double crise médicale et économique causée par la pandémie de Covid-19.

L’ancien Premier ministre travailliste, qui était au centre des efforts internationaux pour faire face à l’impact de la quasi-fusion des banques en 2008, a déclaré qu’il était nécessaire de créer un groupe de travail impliquant des dirigeants mondiaux, des experts de la santé et les dirigeants des organisations internationales qui auraient des pouvoirs exécutifs pour coordonner la réponse.


Une réunion virtuelle du groupe du G20 des pays développés et en développement, présidée par l’Arabie saoudite, se tiendra jeudi, mais M. Brown a déclaré qu’il aurait été préférable d’y inclure également le Conseil de sécurité des Nations unies.

« Ce n’est pas quelque chose qui peut être traité dans un seul pays », a-t-il déclaré. « Il faut une réponse mondiale coordonnée ».

M. Brown a déclaré que la crise actuelle était différente de celle dans laquelle il était impliqué. « C’était un problème économique qui avait des causes économiques et qui avait une solution économique.

« C’est avant tout une urgence médicale et il doit y avoir une action commune pour y faire face. Mais plus vous intervenez pour faire face à l’urgence médicale, plus vous mettez les économies en danger ».

Pendant la crise financière, M. Brown a persuadé d’autres dirigeants mondiaux de la nécessité de renflouer les banques, puis a organisé une réunion du G20 à Londres, qui a débouché sur un plan de sauvetage de 1,1 milliard de dollars.

Malgré la politique « America first » de Donald Trump, il a déclaré qu’il était encore possible d’obtenir un soutien pour un organisme d’urgence doté de pouvoirs exécutifs.

M. Brown a déclaré que le groupe de travail mondial qu’il propose combattrait la crise sur deux fronts. Il faudrait un effort coordonné pour trouver un vaccin, organiser la production, les achats et empêcher les profits.

De nombreux pays ont annoncé des mesures économiques au cours des deux dernières semaines, mais M. Brown a déclaré qu’un groupe de travail pourrait : veiller à ce que les efforts des banques centrales soient coordonnés ; prendre des mesures pour empêcher la fuite record de capitaux des économies de marché émergentes ; et convenir d’une approche commune pour l’utilisation des dépenses publiques afin de stimuler la croissance.

M. Brown a déclaré qu’il y avait eu en 2008 une résistance à l’utilisation du G20 comme moyen de lutte contre la crise financière, mais qu’il devrait être clair pour les dirigeants mondiaux qu’il n’y a aucune possibilité qu’une approche isolée fonctionne.


Source :


Chloroquine : La victoire du Net

(Durée 56:43)



1- Chloroquine : l'Internet fait trembler l'establishment politique français.

2 - Les mondialistes jouent à quitte ou double : accélèrent les mesures de contrôle social.

3 - L'OMS de plus en plus contestée.



Chloroquine destinée au grand public ? 
Attention à la fourberie de l'exécutif français


La France est l'un des pays les plus contrôlés par les mondialistes et les pédosatanistes. Il faut savoir qu'à cause de Macron et de ses ministres corrompus, menteurs, fourbes et criminels l'autorisation de traitement du covid-19 à base de chloroquine ne concerne pas encore le grand public.

Le traitement est pour l'instant destiné aux patients atteints par le covid-19, qui sont hospitalisés dans les établissements de santé, comme l'indique cet extrait du décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 :

"Art. 12-2. – Par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique, l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile."

Commentaire du youtubeur Frank Buhler :

"Le professeur Salomon, collaborateur en chef du crime gouvernemental c'est-à-dire directeur général de la santé, vient d'être interrogé à la télévision en direct dans une conférence de presse sur ce fameux décret. Il confirme, hélas, [...] que ce décret n'est en réalité que la légalisation des mesures prises par le ministre de la santé il y a deux jours. C'est-à-dire que le traitement à la chloroquine est effectivement autorisé dans les hôpitaux. Il ne peut être prescrit que par des spécialistes de façon collégiale et uniquement pour les gens qui sont dans des cas graves..."



Rappelons l'inquiétude du professeur Didier Raoult :

"Les malades au moment où ils ont une insuffisance respiratoire, au moment où ils entrent en réanimation (...) c'est trop tard pour traiter..."


vendredi, mars 27, 2020

Le gouvernement condamne à mort des Français pour des intérêts financiers

Les corrompus au pouvoir favorisent-ils la mise sur le marché du Remdesivir, un antiviral qui peut rapporter gros contrairement à la chloroquine ?

(Durée 19:31)

Comment la Corée du Sud parvient à juguler l'épidémie
Douste-Blazy très favorable à la chloroquine

Nous sommes entrés dans le pic de l’épidémie, qui durera jusqu’au début du mois d'avril. Pour faire face, il faut veiller à garder un bon moral et ne pas céder à la peur, née de la psychose entretenue par les merdias.

Stress, tension et peur affaiblissent le métabolisme et, par contrecoup, les défenses immunitaires. N’écoutez plus les merdias, dont la mission est d’anéantir le moral des Français, pour faciliter la tâche répressive de Macron. IMPORTANT : Comment et pourquoi la Corée du Sud parvient à maîtriser et endiguer l'épidémie de coronavirus. Là-bas, les autorités protègent le peuple et font la guerre au virus, contrairement à Macron qui fait la guerre aux Français, au lieu d'attaquer sérieusement l'épidémie : 




L’appel de Douste-Blazy à généraliser l’emploi de la chloroquine après des évaluations d’efficacité particulièrement concluantes :

« Je lance un appel au Président de la République et à son Ministre de la Santé. Je suis administrateur de la Fondation de l’IHU de Marseille et je viens d’avoir connaissance des nouveaux résultats des essais cliniques effectués par le Professeur Didier Raoult démontrant que l’association médicamenteuse d’hydrochloroquine à la dose de 600 mg/jour et d’azythromycine à la dose de 250 mg/jour pendant dix jours diminue drastiquement la charge virale des malades et donc leur contagiosité… » :


Non, la cote de popularité de Macron n'a pas bondi. C'est de la pure propagande merdiatique pour sauver Macron du désastre qui l'attend, après l'épidémie de coronavirus. Sa vraie cote de popularité est eu contraire en chute vertigineuse. 70 à 80 % au moins des Français le rejettent avec force :


Pourquoi le traitement du professeur Didier Raoult n'est toujours pas en vente libre

Le chirurgien-dentiste Salim Laïbi rappelle les prix de certains antiviraux dans une vidéo.


Récemment, le youtubeur Frank Buhler a précisé ceci :

"Le professeur Salomon, collaborateur en chef du crime gouvernemental c'est-à-dire directeur général de la santé, vient d'être interrogé à la télévision en direct dans une conférence de presse sur ce fameux décret 
(n° 2020-314 du 25 mars 2020). Il confirme, hélas, [...] que ce décret n'est en réalité que la légalisation des mesures prises par le ministre de la santé il y a deux jours. C'est-à-dire que le traitement à la chloroquine est effectivement autorisé dans les hôpitaux. Il ne peut être prescrit que par des spécialistes de façon collégiale et uniquement pour les gens qui sont dans des cas graves..."

De son côté, le professeur Didier Raoult est formel, son traitement ne peut guérir "les malades au moment où ils ont une insuffisance respiratoire, au moment où ils entrent en réanimation (...) c'est trop tard..."

Le gouvernement français condamne donc à mort de nombreuses personnes pour satisfaire l'avidité financière de Big Pharma. Le prix du traitement du professeur Didier Raoult n'est pas assez élevé, il ne coûte que quelques euros. Or un antiviral peut dépasser les 12 000 euros la boîte.




La chaîne YouTube de Fabien Moine - Exuvie TV

L'Union européenne s'effondre

(Durée 7:43)

«Les européistes sont aux abois car la construction européenne est en train de s’effondrer»

"François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine (UPR), était interrogé au sujet de l’épidémie de coronavirus et ses conséquences pour l’Union européenne. 

Des pays membres réfléchissent à l’émission d’obligations émises au nom de l’ensemble de la zone euro, appelées coronabonds. Il juge impossible la création de ces derniers en raison du refus catégorique de l’Allemagne, qui soutiendrait la plus grande partie des dettes des pays du sud de l’UE notamment. 

Il juge sévèrement la réponse de l’UE à cette crise sans précédent, et raille l’invitation de la Commission à ne plus respecter les règles de l'union comme seule solution trouvée."


jeudi, mars 26, 2020

NON ! le gouvernement n'autorise pas la chloroquine

(Durée 7:37)

LA VÉRITÉ SUR LE DÉCRET DU 25 MARS

NON ! le gouvernement n'autorise pas la chloroquine  

Les généralistes ne peuvent pas prescrire l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir. Ils ne peuvent que renouveler ce traitement donné à l'hôpital.


Journal officiel du 26 Mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.

(...)
"Art. 12-2. – Par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique, l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile."

"(...) dans les établissements de santé qui les prennent en charge..." 

Frank Buhler :

"Le professeur Salomon, collaborateur en chef du crime gouvernemental c'est-à-dire directeur général de la santé, vient d'être interrogé à la télévision en direct dans une conférence de presse sur ce fameux décret. Il confirme, hélas, [...] que ce décret n'est en réalité que la légalisation des mesures prises par le ministre de la santé il y a deux jours. C'est-à-dire que le traitement à la chloroquine est effectivement autorisé dans les hôpitaux. Il ne peut être prescrit que par des spécialistes de façon collégiale et uniquement pour les gens qui sont dans des cas graves..."

Professeur Didier Raoult :

"Les malades au moment où ils ont une insuffisance respiratoire, au moment où ils entrent en réanimation (...) c'est trop tard pour traiter..."


mercredi, mars 25, 2020

Le coronavirus est-il un coup d'État qui vient d'en haut ?

(Durée 43:50)

"Derrière ce battage médiatique d’une panique-coronavirus, y a-t-il quelque chose de complètement différent de ce qui est superficiellement apparent ? Six experts répondent aux questions suivantes : à qui profite la panique ? Qu'est-ce qui se cache derrière ? Ces experts découvrent les corrélations que tout le monde devrait connaître."

A qui profite la panique ? 
Qu'est-ce qui se cache derrière ? 

Le journaliste et auteur Gerhard Wisnewski est formel : « Cela sert aux structures de commandement globales que nous voyons de plus en plus clairement devant nous. Et pour le reconnaître, nous devons examiner le cas non seulement sur le plan médical, mais aussi sur le plan politique. Si nous regardons ces mesures qui nous sont conseillées et qui sont de plus en plus strictes, c'est-à-dire d'abord plus de rassemblements de plus de 1 000 personnes, puis pas plus de 100 personnes, puis pas plus de 50 personnes. Soudainement, en Autriche ou en Allemagne - je crois - pas plus de cinq personnes ne peuvent se réunir. Les gens ne doivent alors quitter leur domicile que pour des raisons importantes, avec une sorte de laissez-passer qu'ils doivent fournir eux-mêmes, une déclaration sur l’honneur. Cela nous est présenté comme une mesure d'hygiène contre un virus contagieux. Mais lorsque nous, les politologues, nous examinons cette question, nous voyons autre chose. Nous constatons l'état d'urgence et la loi martiale. Il en va de même en cas d'état d'urgence ou sous la loi martiale : les gens sont soumis à un couvre-feu, on n’autorise pas plus de trois personnes à se réunir, après une certaines heure toutes sortes de lieux sont fermés. Il s'agit d'une loi typique d’un temps de guerre ou d'une loi d'exception

En d'autres termes, la soi-disant Organisation mondiale de la Santé, que je préfère appeler le gouvernement mondial de la santé, a déclaré l'état d'urgence dans le monde entier et a privé tous les peuples de leurs droits et libertés civils

En d'autres termes, c'est un coup d'État qui vient d'en haut, et du plus haut rang

Beaucoup ne savent pas que seules quelques lois (allemandes) sont encore décidées en Allemagne. La plupart d'entre elles viennent de l'UE ou de l'ONU. C'est ainsi que cela fonctionne, l'Allemagne ou l'Autriche ou la Suisse, elles adhèrent à un accord des Nations Unies, s'engagent à prendre certaines mesures et s'engagent à les appliquer dans les lois nationales. Il s'agit d'un processus législatif. Et même si certains accords stipulent qu'ils ne sont pas contraignants, on peut observer dans le passé qu'ils ont été mis en œuvre au niveau national. Ce n'est qu’un leurre. 

Cela signifie donc que nous sommes confrontés à un coup d'État de cette structure mondiale des Nations Unies, ainsi que de ses financiers. Je viens de lire que sans la Fondation Bill Gates, l'Organisation mondiale de la Santé serait en fait ruinée. Si c'est le cas, si c'était vrai, alors nous avons un autre mécanisme, un mécanisme de commandement privé, comme le dit le dicton, celui qui paie commande. Bill Gates lui-même et la Fondation Bill Gates sont très engagés dans ce qu’on appelle la santé, c’est-à-dire dans le commerce de la vaccination, dans le commerce des vaccins. Et ce commerce, c’est bien leur but. Parce que nous avons une opération en deux parties ici. Je parlais juste de la situation politique. 

J'en viens maintenant à l'opération psychologique. Cela commence par l'enfer. J'ai imprimé ici la une du journal Bild. Si vous la regardez, elle est jaune flamme. Des menaces et des prédictions incroyables. Et en même temps on dit aux gens ce qu’ils doivent avoir dans leur armoire à pharmacie ! Cela signifie qu’on fait déjà du business avec cette histoire ! C'est l'enfer qui nous est prophétisé et on va nous y laisser mijoter pendant quelques mois. Et puis vient la délivrance. 

Et la délivrance est, bien sûr, le vaccin. Tout le monde poussera un soupir de soulagement : il existe enfin un vaccin qui nous libérera de cet enfer. Mais médicalement cet enfer n'existe pas, il n'existe que psychologiquement. Les médias nous mettent la pression jusqu'à ce que nous soyons prêts pour le vaccin. L’industrie pharmaceutique va se faire un paquet de fric. La question est de savoir s'il cela leur suffira, qu’on leur achète le matériel, les vaccins, ou s'ils insisteront sur la vaccination obligatoire. »

Lire la suite :  https://www.kla.tv/15965

CORONAVIRUS. Quelque chose ne tourne pas rond, comme lors du 11 septembre...


Un lecteur du blog : "Le Coronavirus est globalement inoffensif et aurait pu être contrôlé sans difficulté si Agnès Buzyn n’avait pas tout saboté.

Voici un article du professeur suisse Jean-Dominique Michel. Il résume assez bien la vérité de la situation actuelle : la dangerosité réelle du Coronavirus est massivement exagérée.

Quelque chose ne tourne pas rond et, comme lors du 11 septembre, tout ça paraît de plus en plus bizarre.

Avec encore une fois au cœur de la crise des personnalités liées par un "égrégore" talmudique et œuvrant au mondialisme messianique : B..., L..., S..., H..."


Prof. Jean-Dominique Michel :

Nous voici donc nous dit-on en « état de guerre ». Nouveauté certes pour nos générations qui (sauf pour les plus anciens) n’ont connu que des temps de paix. L’Europe est sous un quasi-couvre-feu, avec une restriction massive des libertés individuelles et une casse économique et sociale qui promet d’être dramatique. Les discours des chefs d’état s’enflamment à qui mieux mieux: nous sommes « attaqués », l’ennemi est « invisible », « sournois », « redoutable » mais nous en viendrons à bout ! Ce genre de vocabulaire paraît d’un autre âge. La réalité est plus prosaïque : nous subissons la contamination à large échelle par un virus qui est un pur produit de la rencontre entre la bêtise humaine (l’entassement dans des cages superposées d’animaux sauvages de diverses espèces dans des marchés insalubres…) et de l’inventivité du vivant. La bestiole a donc franchi la barrière inter-espèces et s’est propagé à partir de là au sein de la nôtre avec la fulgurance propre à ces toutes petites choses. Ce n’est pas une guerre, nous ne pourrons jamais vaincre ou éradiquer cette créature. Nous prémunir contre ses dégâts si, puis nous aurons à apprendre à vivre avec elle. Ce qui réclame une autre intelligence que celle des slogans martiaux sanitaires…

Précaution liminaire


Je l’ai dit et le répète : en ces temps de mobilisation collective, nous avons tous à respecter scrupuleusement les mesures qui sont imposées. Même si on doute de celles-ci ou qu’on les trouve inadaptées, aucun d’entre nous ne peut se donner le droit de suivre sa propre idée. Cette compliance -que je n’ai cessé de prôner- m’habite inconditionnellement.

Par contre, cette obéissance civile ne doit surtout pas conduire à une interdiction de penser ou de parler. Nous vivons des temps hautement traumatiques, avec des dégâts sur la population qui seront considérables. Donner sens à ce que nous vivons, nous renseigner, oser poser des questions est non seulement un droit inaliénable mais aussi une nécessité vitale !

D’où je parle…


Je suis anthropologue de la santé et expert en santé publique. Mon métier consiste depuis plus de 30 ans à étudier les pratiques des soins et les dispositifs sanitaires. J’arrive à un âge où l’on sait (hopefully) qu’on n’est pas le nombril du monde et (sauf exception) qu’on n’a pas inventé le fil à couper le beurre. J’ai quelques références dans mon domaine, comme celle d’être (malgré l’embarrassante immodestie de ce propos) un des meilleurs connaisseurs actuels des processus de salutogenèse et de rétablissement ainsi que des déterminants de la santé. Ce qui m’a valu d’être invité à enseigner dans une quinzaine de programmes universitaires et de hautes écoles en santé (Facultés de médecine de l’UNIGE et de l’UNIL, EPFL, IHEID, Universités de Montréal, Fribourg, Neuchâtel, etc.) J’ai exercé ma profession hors des milieux académiques, préférant agir au sein des politiques de santé ainsi que sur le terrain. J’ai créé différents dispositifs socio-sanitaires innovants, en particulier en santé mentale, dont certains font encore référence aujourd’hui.


Je m’excuse pour ce petit étalage. C’est le prix à payer pour me prévaloir d’une (modeste) compétence quant à ce que je vais maintenant avancer.


Banal ou pas banal ?


Depuis le début de l’émergence du coronavirus, je partage mon analyse qu’il s’agit d’une épidémie plutôt banale. Le terme peut choquer quand il y a des morts, et a fortiori dans la crise sanitaire et la dramaturgie collective hallucinée que nous vivons. Pourtant, les données sont là : les affections respiratoires habituelles que nous vivons chaque année font bon an mal an 2’600’000 morts à travers le monde. Avec le Covid-19, nous en sommes, au quatrième mois, à 12’000 décès, et avec le pays initialement le plus touché qui est parvenu à juguler l’épidémie. Nous sommes très très loin d’avoir un effet statistiquement significatif au regard de la mortalité habituelle et en particulier de la surmortalité saisonnière.


Je l’ai dit et je le répète : le même traitement politique ou journalistique appliqué à n’importe quel épisode de grippe saisonnière nous terrifierait tout autant que l’épidémie actuelle. Comme la mise en scène (avec décompte en live des victimes) de n’importe quel problème sanitaire d’envergure, qu’il s’agisse des maladies cardiovasculaires, des cancers ou aux effets de la pollution atmosphérique nous ferait frissonner d’effroi tout autant et même infiniment plus !

Nous savons aujourd’hui que le Covid-19 est bénin en l’absence de pathologie préexistante. Les plus récentes données en provenance d’Italie confirment que 99% des personnes décédées souffraient d’une à trois pathologies chroniques (hypertension, diabète, maladies cardiovasculaire, cancers, etc.) avec un âge moyen des victimes de 79,5 ans (médiane à 80,5) et très peu de pertes en-dessous de 65 ans.


Les quatre plus grands facteurs à l’origine des maladies chroniques étant :

– La malbouffe.

– La pollution.

– Le stress.

– La sédentarité.


Les maladies chroniques, responsables d’à peu près 80% des décès annuels dus à la morbidité, seraient très largement évitables si nous nous donnions les moyens de protéger la population plutôt que de sacrifier sa santé au profit d’intérêts industriels. Nous avons depuis des décennies accordé des facilités coupables à des industries hautement toxiques au détriment du bien commun et de la santé de population. Nous en payons aujourd’hui une nouvelle fois le prix, sous une forme nouvelle.

Il faut oser le dire : ce n’est pas le virus qui tue, ce sont les pathologies chroniques qui rendent une infection au SARS-CoV-2 potentiellement fatale à certains patients déjà lourdement touchés par ces maladies de société, alors qu’il est il est bénin pour les personnes en bonne santé.



Stats et probas en folie


Il y a un autre problème : les taux en particulier de complications et de mortalité qu’on nous brandit sous le nez jour après jour ne veulent rien dire. En l’absence de dépistage systématique de la population, nous n’avons aucune donnée fiable à laquelle référer les données dont nous disposons (nombre de cas déclarés et de décès).

C’est un classique en épidémiologie : si vous ne dépistez que les morts, vous parviendrez à 100% de taux de mortalité ! Si vous ne testez que les cas critiques, vous en aurez moins mais encore beaucoup plus qu’en réalité. Si vous dépistez beaucoup, vous aurez beaucoup de cas alors que si vous dépistez peu, le nombre de cas sera faible. La cacophonie actuelle ne permet juste pas d’avoir la moindre idée de la progression réelle du virus et de sa diffusion.



Les estimations les plus crédibles laissent penser que le nombre de personnes déclarées positives au Covid est très largement inférieur au nombre de personnes réellement infectées, dont à peu près la moitié ne se rendra même pas compte qu’elle a contracté le virus. Pour un redoutable tueur, il est parfois plutôt débonnaire…



Nous n’avons donc à ce stade aucune idée de l’ampleur réelle de la propagation du virus. La bonne nouvelle est que les données réelles (en particulier les taux de complications et de mortalité) ne peuvent être que largement inférieures à ce qui est couramment avancé. La létalité réelle, comme annoncé dans un précédent article, doit en fait s’établir au plus à 0,3% et probablement encore moins. Soit moins du dixième des premiers chiffres avancés par l’OMS.


Les dernières modélisations évaluent à un ratio minimal de 1:8 (et possiblement jusqu’à 1:47 voire encore moins) le nombre de cas détectés vs non détectés, dépendamment des stratégies de dépistage mises en œuvre selon les pays. En date du 16 mars par exemple, on recensait 167’000 cas déclarés à travers le monde alors qu’une bonne estimation du nombre global de personnes infectées s’élevait à plus de 1’000’000. Une équipe de recherche universitaire américaine m’a fait part qu’ils évaluaient (étude à publier) actuellement à 800’000 le nombre de personnes réellement infectées en Chine (et donc très probablement immunisées) pour 3’118 décès. Soit effectivement un taux de mortalité de 3/1000.

Des lecteurs m’ont entre-temps écrit pour m’indiquer que je m’étais trompé, que le nombre de cas en Chine était de 80’000 et non de 800’000 ! A nouveau, ils se réfèrent au nombre de cas avérés, qui n’est que la partie émergée de l’iceberg. Le taux de dépistage reste faible même dans les pays qui ont pris massivement cette voie. S’il reste impossible de connaître le nombre de cas inconnus (!), on est de toute manière très loin des statistiques disponibles basées sur des données lacunaires.


Fin du monde ou pas ?!


Pareillement, les projections qui sont faites pour imaginer le nombre de morts possibles sont rien moins que délirantes. Elles reposent sur un « forçage » artificiel et maximal de toutes les valeurs et coefficients. Elles sont faites par des gens qui travaillent dans des bureaux, devant des ordinateurs et n’ont aucune idée ni des réalités de terrain, ni de l’infectiologie clinique, aboutissant à des fictions absurdes. On pourrait leur laisser le bénéfice de la créativité et de la science-fiction. Malheureusement, ces projections, littéralement psychotiques, font des dégâts massifs.

Mon expérience en santé mentale me fait éviter strictement les expressions toutes faites comme « schizophrénie » ou « psychose », qui sont à peu près toujours utilisées abusivement et d’une manière désobligeante pour les personnes concernées. Médicalement, la psychose se caractérise par des distorsions cognitives, perceptuelles et affectives entraînant une perte de contact avec la réalité. Ici, le terme est hélas pleinement indiqué.


J’en appelle à mes collègues de la Faculté de médecine et autres instituts universitaires pour qu’ils arrêtent de produire et de colporter des modélisations fausses et anxiogènes. Ces experts se protègent en reconnaissant par précaution de langage le caractère outrancier de leurs formalisations, les journalistes le mentionnent scrupuleusement (c’est à leur crédit), on n’en construit pas moins diligemment un sentiment de fin du monde qui non seulement n’a absolument pas lieu d’être, mais de surcroît est lui-même profondément nocif !


On peut certes donner crédit à nos dirigeants d’envisager le pire du pire du pire sur la base de ces élucubrations pour ne surtout pas prendre le moindre risque qu’il se produise. En attendant, on construit une hallucination – collective – sur la base de chiffres qui ne veulent rien dire. La réalité, à nouveau, est que cette épidémie est largement moins problématique et dangereuse que ce qui est affirmé, le visionnement de la première vidéo référencée en fin d’article donnera au lecteur (ou la lectrice) les éléments nécessaires à comprendre le bien-fondé de cette affirmation.


Oui, mais tous ces morts et ces services engorgés ?!


C’est hélas le vrai point noir : s’il n’y avait pas ces cas graves, l’épidémie serait insignifiante. Il se trouve qu’elle entraîne des complications rares mais redoutables. Comme me l’écrivait le Dr Philippe Cottet, en première ligne aux HUG : « il faut le dire, les pneumonies virales sont rarissimes d’habitude en Suisse. Elles ont un tableau clinique fruste et d’évolution parfois fulminante, dont les signes annonciateurs sont difficilement identifiables face aux cas plus bénins. C’est un réel challenge clinique, sans compter le nombre de cas simultanés… »

C’est l’existence de ces cas graves (estimés à 15% des cas, probablement en réalité 10 fois moins) qui justifie que l’on ne s’en remette pas simplement à l’immunité de groupe. On nomme ainsi ce processus par lequel chaque personne qui contracte le virus et n’en meurt pas s’immunise, la multiplication des immunisés conduisant à un effet collectif de protection immunitaire…

En l’absence -jusqu’à il y a peu- de traitement pour protéger ou guérir les personnes à risque, le choix de laisser l’immunité se construire en laissant circuler le virus est apparu comme étant trop dangereux. Prendre cette direction s’avérait éthiquement indéfendable du fait de la gravité des risques que cela aurait fait courir -et des conséquences possibles- pour les groupes de personne à risque.

Reste le dramatique engorgement des services d’urgence du fait de l’abondance de cas, et le stress majeur qu’il fait porter à des équipes soignantes laissées à elles-mêmes et prenant de plein fouet la réduction des moyens opérée depuis 20 ans.

Je comprends le désarroi des équipes, comme même une possible colère face aux éléments que j’avance. La santé publique est profondément autre que la clinique, nous ne travaillons pas à la même échelle. Chaque décès prématuré est un drame que vivent durement les équipes soignantes, je m’en voudrais sincèrement de donner l’impression d’y être indifférent. Mais nous devons faire ce travail de contraste et de granularité pour y voir juste.

C’est une des difficultés de la santé publique : la médecine comme le journalisme travaillent dans le cas particulier. En médecine, c’est pour cela par exemple qu’il n’y a pas « remède-miracle ». Chaque personne sera susceptible de réagir différemment à un traitement.

En journalisme, on cherche à illustrer une thématique avec des cas particuliers, en montrant donc des images et paroles souvent choquantes. En santé publique, on n’agit pas à ce niveau « narratif » singulier. On collecte des données pour voir les contours exacts d’une problématique. Ainsi à l’échelle mondiale, le taux de mortalité pour les tranches d’âge inférieures à 60 ans est de 1,8%. Ces cas existent bel et bien, mais ils sont heureusement marginaux.

Un possible motif d’inquiétude en revanche est cette affirmation qu’il y aurait des personnes jeunes en quantité non négligeable atteintes de pneumonie et placées sous assistance respiratoire. Elles semblent heureusement survivre si on les place sous assistance respiratoire les quelques jours où elles en ont besoin, mais c’est bien le nombre de lits en soins intensifs qui est dès lors à risque de poser problème si l’encombrement des services de réanimation se poursuivait.



Funeste paradoxe


C’est dans ce paradoxe compliqué entre la très grande innocuité du virus pour l’immense majorité des gens et sa dangerosité extrême dans certains cas que nous sommes trouvés coincés. Nous avons alors adopté des mesures absolument contraires aux bonnes pratiques : renoncer à dépister les personnes possiblement malades et confiner la population dans son ensemble pour enrayer la diffusion du virus. Mesures à vrai dire moyenâgeuses et problématique puisqu’elles ne ralentissent l’épidémie qu’au risque de phénomènes de rebond potentiellement encore pires. Et qu’elles enferment tout le monde alors qu’une faible minorité seulement est concernée. Toutes les recommandations en santé publique sont à l’inverse de dépister le plus de cas possibles, et de confiner uniquement les cas positifs le temps qu’ils ne soient plus contagieux.

Le confinement général constitue un pauvre pis-aller face à l’épidémie dès lors qu’on manque de tout ce qui permettrait de lutter efficacement contre elle…

Pourquoi en est-on arrivé là ? Simplement parce que nous avons défailli à mettre d’emblée en place les bonnes réponses. Le manque de tests et de mesures de dépistage en particulier est emblématique de ce naufrage : alors que la Corée, Hong-Kong, Taiwan, Singapour et la Chine en faisaient la priorité absolue, nous avons été d’une passivité invraisemblable à organiser la mise à disposition de quelque chose de techniquement simple.


Les pays mentionnés ont mis à profit l’intelligence artificielle notamment pour identifier les chaînes de transmissions possibles pour chaque cas positifs (avec les smartphones, on peut par exemple faire l’inventaire des déplacements et donc des contacts que les personnes infectées ont eu avec d’autres personnes dans les 48h précédent l’apparition des symptômes).

Enfin, nous avons réduit de manière importante la capacité de nos hôpitaux au cours de la décennie écoulée et nous retrouvons en manque de lits de soins intensifs et de matériel de réanimation. Les statistiques montrent que les pays les plus touchés sont ceux qui ont réduit massivement les capacités des services de soins intensifs.

Rien de tout ceci n’a été pensé, alors que le risque de pandémie est un risque sanitaire majeur, connu, et face auquel nous sommes sensés avoir préparé les bonnes réponses depuis longtemps. Nous nous sommes retrouvés, alors que nous aurions eu le temps de nous préparer, en manque de tout ce qui aurait été nécessaire pour faire face à l’épidémie : non seulement bien sûr des tests de dépistage mais aussi du matériel sanitaire de première nécessité comme les gels hydralcooliques ou les masques protecteurs pour le personnel soignant ! La vérité, c’est que nous avons été
complètement dépassés.

Il suffit de consulter les données avérées dans les pays cités pour, je l’espère, pouvoir admettre que les pertes sont la conséquence de notre panade sanitaire. Singapour, à mi-février, était le deuxième pays le plus touché au monde après la Chine, avec le même nombre de « premiers contaminateurs que plus tard en Italie, en France, en Espagne et en Suisse. Le nombre de morts à ce jour, un mois plus tard (22 mars), en tout et pour tout : deux, contre 5’476 en Italie !


Le virus n’est évidemment pas différent d’un pays à l’autre ! Ce sont bien les caractéristiques de la réponse sanitaire qui font la différence entre des milliers de morts et quelques-uns. On comprend qu’il soit tentant ou plus facile de jouer sur les métaphores guerrières que de reconnaître notre tragique impréparation…



Fin de partie ?!

Le premier expert mondial en matière de maladies transmissibles s’appelle Didier Raoult. Il est français, ressemble au choix à un Gaulois sorti d’Astérix ou un ZZ top qui aurait posé sa guitare au bord de la route. Il dirige l’Institut hospitalier universitaire (IHU) Méditerranée-Infection à Marseille, avec plus de 800 collaboratrices et collaborateurs. Cette institution détient la plus terrifiante collection de bactéries et de virus « tueurs » qui soit et constitue un des meilleurs centres de compétences en infectiologie et microbiologie au monde. Le Pr Raoult est par ailleurs classé parmi les dix premiers chercheurs français par la revue Nature, tant pour le nombre de ses publications (plus de deux mille) que pour le nombre de citations par d’autres chercheurs. Il a suivi depuis le début du millénaire les différentes épidémies virales qui ont frappé les esprits et noué des contacts scientifiques étroits avec ses meilleurs collègues chinois. Parmi ses hauts faits, il a découvert des traitements (notamment avec la chloroquine…) qui figurent aujourd’hui dans tous les manuels d’infectiologie au monde.

Le 26 février, il publiait donc une vidéo retentissante sur un canal en ligne (comprenant le mot « tube ») pour affirmer : « Coronavirus, fin de partie ! »

La raison de son enthousiasme ? La publication d’un essai clinique chinois sur la prescription de chloroquine, montrant une suppression du portage viral en quelques jours sur des patients infectés au SARS-CoV-2. Des études avaient déjà montré l’efficacité de cette molécule contre le virus en laboratoire (in vitro). L’étude chinoise confirmait cette efficacité sur un groupe de patients atteints (in vivo). Suite à cette étude, la prescription de chloroquine fut incorporée aux recommandations de traitement du coronavirus en Chine et en Corée, les deux pays qui sont le mieux parvenus à juguler l’épidémie…

La chloroquine est une molécule mise sur le marché en 1949, largement utilisée comme antipaludique. Tous les voyageurs des pays tropicaux se souviendront des comprimés de nivaquine (un de ses noms commerciaux) qui leur étaient prescrits à titre préventif contre la malaria. Ce remède a ensuite été remplacé par d’autres pour certaines zones géographiques, restant en usage pour certaines destinations.

L’hydroxychloroquine (nom commercial : plaquenil) a quant à elle été préparée en 1955 et présente une hydroxylation sur un des deux groupes éthyle de la chaine latérale.



So what ?!

Pourquoi vous parler de cela ? Eh bien parce que le Pr Raoult et ses équipes sont les meilleurs spécialistes actuels au monde de l’utilisation de la chloroquine. Il avait notamment eu l’idée géniale de l’essayer contre des bactéries intracellulaires (qui pénètrent les cellules comme les virus), en particulier les Ricksettia. L’IHU de Marseille dispose donc d’une expérience clinique et pharmacologique sans équivalent quant à l’usage de cette molécule.

La chloroquine a également démontré une puissante efficacité thérapeutique contre la plupart des coronavirus, dont le redouté SRAS de sinistre mémoire. Raoult trouva donc dans l’essai clinique chinois la confirmation que la chloroquine était aussi indiquée contre le Covid-19.

Il fut toutefois accueilli comme un cheveu sur la soupe, ses confrères dénigrant d’emblée sa proposition. Les journalises du Monde allèrent même jusqu’à qualifier sa communication de « fake news », accusation reprise sur le site du ministère de la santé pendant quelques heures avant d’être retirée.

Le Pr Raoult obtint pourtant dans la foulée l’autorisation de conduire un essai clinique sur 24 patients dans son service et fut appelé à faire partie du comité pluridisciplinaire de 11 experts formé en mars par l’exécutif français, afin "d’éclairer la décision publique dans la gestion de la situation sanitaire liée au coronavirus".

Les résultats de l’essai clinique étaient attendus avec impatience, en premier chef par votre serviteur. Nous savons la prudence requise face à de substances prometteuses et l’importance de ne rien avancer avant que la recherche confirme ou non une hypothèse La science n’est ni divination ni magie, elle est observation, test, puis le cas échéant validation.


Ces résultats sont finalement tombés le 16 mars, confirmant l’obtention d’effets thérapeutiques spectaculaires. La méthodologie est robuste (c’est en tout cas l’avis du Pr Bleibtreu de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris), l’IHU de Marseille ayant pu comparer la négativation du portage viral chez les patients qui ont suivi le protocole avec des patients d’Avignon et de Nice qui n’ont pas reçu le traitement.


« Ceux qui n’ont pas reçu le Plaquenil [médicament à base d’hydroxychloroquine] sont encore porteurs à 90 % du virus au bout de six jours, tandis qu’ils sont 25 % à être positifs pour ceux qui ont reçu le traitement », explique le professeur Raoult.

Mais ça ne s’arrête pas là : l’IHU Méditerrannée- Infection conseille (comme d’autres) depuis longtemps de donner concomitamment un antibiotique dans les infections virales respiratoires « parce qu’elles se compliquent surtout de pneumopathies. Donc tous les gens qui présentaient des signes cliniques qui pouvaient évoluer vers une complication bactérienne de pneumopathie, on leur a donné de l’Azithromycine. Il a été démontré que ça diminue les risques chez les gens qui ont des infections virales. L’autre raison, c’est que l’Azithromycine a montré en laboratoire qu’elle était efficace contre un grand nombre de virus, bien que ce soit un antibiotique. Donc quitte à choisir un antibiotique, on préférait prendre un antibiotique efficace contre les virus. Et quand on compare le pourcentage de positifs avec l’association hydroxychloroquine et Azithromycine, on a une diminution absolument spectaculaire du nombre de positifs. » ajoute-t-il.



Portage viral ?

Une étude publiée dans la revue Lancet le 11 mars avait entretemps révélé une donnée nouvelle mais essentielle : le temps de portage viral (durée entre le début et la fin de l’infection- et donc de contagiosité possible) s’avère supérieur à ce que l’on croyait, avec une durée moyenne de 20 jours. Avec l’association hydroxychloroquine / azithromycine, cette durée est réduite à 4-6 jours.

La réduction drastique du temps de portage viral donne non seulement l’espoir de traiter les cas critiques, mais aussi de réduire le temps nécessaire à une personne infectée pour ne plus être contagieuse. Et donc présente des perspectives énormes pour prévenir la propagation du virus. Cette nouvelle est bien sûr la meilleure nouvelle que l’on pouvait attendre. Les autorités et les scientifiques l’ont donc accueillie avec joie penserez-vous…

Eh bien que nenni ! Les réactions qui se sont fait entendre disputaient dans un premier temps la bêtise à la méchanceté.

Certes, ni les études chinoises, ni l’essai clinique marseillais n’a valeur de preuve (« evidence ») selon les critères de la recherche scientifique. Une réplication des résultats par d’autres équipes est requise, sans même parler d’une étude randomisée en double-aveugle, le top of the pop des méthodologies de recherche.


Mais diable ! nous sommes dans une situation d’urgence. La chloroquine est un des médicaments les mieux connus et les mieux maîtrisés (en particulier par l’IHU de Marseille). On peut donc tabler sur une très solide expérience relative au sujet de sa prescription. Se réfugier derrière un intégrisme procédural est éthiquement indéfendable dès lors qu’on parle d’un médicament qu’on connaît par cœur, qui a déjà démontré son efficacité sur d’autres coronavirus, confirmée sur celui-ci par deux essais cliniques, et alors que des vies sont en jeu jour après jour !

Raoult a relevé avec ironie qu’il n’était pas impossible que la découverte d’une nouvelle utilité thérapeutique pour un médicament tombé de longue date dans le domaine public soit décevant pour tous ceux qui espèrent un prix Nobel grâce à la découverte fracassante d’une nouvelle molécule ou d’un vaccin… sans oublier la perspective des dizaines de milliards de dollars de revenus à prendre, là où la chloroquine ne coûte littéralement rien.


Célébration des soignants !

Depuis quelques jours, la population confinée s’exprime chaque jour pour rendre hommage aux soignants et les soutenir dans les circonstances éprouvantes qu’ils vivent. Il s’agit d’une belle expression de solidarité, évidemment méritée par des professionnelles et professionnels remarquables d’abnégation et d’engagement, au front de cette lourde souffrance et de ce nouveau danger, dans des conditions redoutablement difficiles.

Dans les cercles des sommités, les choses sont hélas en général moins reluisantes. La recherche et l’autorité médicales sont aussi souvent faites de mesquineries, de manipulations, de malhonnêtetés ou d’abus en tous genres, ainsi que de pitoyables mais violents combats d’ego.

Sur BFM TV, le Dr Alain Durcadonnet cassait aussitôt du sucre sur le dos de Raoult en rappelant qu’une conclusion scientifique se publiait dans des revues scientifiques et non pas par vidéo… Ceci alors, que dans sa communication, le Pr Raoult (le chercheur français qui, rappelons-le, a le plus publié dans les revues scientifiques dans son domaine) venait évidemment de préciser que l’article décrivant son essai clinique avait été envoyé pour publication à une revue à comité de lecture. Cette anecdote montrant le niveau, comme les suivantes.

Le 1er mars, bien après la publication du premier essai clinique chinois, le directeur général de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris, Martin Hirsch, disait ainsi au micro d’Europe 1 : "La chloroquine marche très bien dans une éprouvette, mais n’a jamais marché chez un être vivant", ce qui était déjà parfaitement faux !

Dans les retours de la presse nationale, l’insistance est mise lourdement sur le risque du surdosage avec la chloroquine, effectivement toxique au-delà de 2 gr/jour en l’absence de comorbidité somatique. Les chinois ont privilégié des doses de 2x 500 mg/jour pendant leur essai. Raoult et son équipe, trouvant ce dosage excessif, préférant opter pour 600mg/jour. L’objection est donc d’une consternante vacuité- rappelons que nulle équipe clinique ne connaît mieux cette molécule que celle de Méditerranée-Infection. Cela reviendrait à dire à une équipe de neurologues au sujet du Dafalgan qu’il peut être toxique s’il est mal utilisé, et donc que ce n’est pas réellement une bonne idée d’envisager de traiter les maux de tête avec ce médicament !

On invoqua (si, si, lisez la presse !) sa « toxicité » alors qu’il s’agit pour l’hydroxychloroquine d’un remède dont on connaît tous les risques, ce à quoi Raoult répondit le 21 mars avec une publication "Toxicité Chloroquine-Azithromycin une crise de nerf française", citant une étude de 2011 portant sur la prescription d’hydroxychloroquine à 755 femmes enceintes.

Ou encore des risques liés à une utilisation prolongée (au-delà d’une année d’utilisation quotidienne), là où le traitement proposé dure en moyenne 7 jours. L’IHU dispose de surcroît de l’expérience de prescriptions exceptionnelles au long cours (jusqu’à deux ans !) dans le cadre du traitement de certaines bactéries intracellulaires. On a beau savoir qu’il est bon d’être charitable avec son prochain, des fois la bêtise combinée à la malhonnêteté rendent la chose ardue…

D’autres insistèrent (et insistent encore) sur le fait qu’on ne peut tirer de conclusions définitives sur la base d’essais cliniques. Ce qui est tout-à-fait juste dans l’absolu mais s’applique mal au cas présent, étant donnée la parfaite connaissance de cette molécule ! Situation absurde résumée ainsi par Raoult : « Il y a une urgence sanitaire et on sait guérir la maladie avec un médicament que l’on connaît parfaitement. Il faut savoir où on place les priorités. » Face à la réalité de l’épidémie, il préconise d’arrêter de s’affoler et de détecter les malades sans attendre que leur cas s’aggrave pour mieux les traiter.



Le problème va plus loin…


La solitude de la compétence extrême ?! Raoult explique comment Emmanuel Macron est venu le chercher après sa première annonce publique du 26 février et l’étrange expérience qui a été depuis la sienne dans le cercle d’experts qui conseille le martial président. A la question posée par un journaliste de Marianne : « Y êtes-vous entendu ? », il répond : « J’y dis ce que je pense, mais ce n’est pas traduit en acte. On appelle cela des conseils scientifiques, mais ils sont politiques. J’y suis comme un extra-terrestre. »

C’est sa certitude, évidemment inconfortable pour les autorités : avec les mesures prises actuellement contre l’épidémie, on marche sur la tête. Nos pays ont renoncé (contrairement aux Chinois et aux Coréens) au dépistage systématique au profit d’un confinement dont le Pr Raoult souligne qu’il n’a jamais été une réponse efficace contre les épidémies. C’est un réflexe ancestral de claustration (comme à l’époque du choléra et du Hussard sur le toit de Giono). Confiner chez eux des gens qui ne sont pas porteurs du virus est infectiologiquement absurde- le seul effet d’une telle mesure est de détruire l’économie et la vie sociale. Un peu comme bombarder une ville pour en éloigner les moustiques porteurs de malaria…

En Suisse comme en France (et partout en Occident), la décision prise est de confiner les gens chez eux, malades ou non. Quand ils sont malades, on attend qu’ils aillent mieux puis (du fait de la durée de portage viral), on les laisse ressortir alors qu’ils sont en fait encore contagieux ! Les personnes à risque, elles, développent parfois des complications, en particulier une détresse respiratoire aiguë qui les conduit aux urgences. Elles viennent alors engorger les services de soins intensifs, et, pour certains malades, y mourir alors qu’affirme Raoult, on aurait pu les traiter avant !

Confiner l’ensemble de la population sans dépister et sans traiter, c’est digne du traitement des épidémies des siècles passés.

La seule stratégie qui fasse sens est de dépister massivement, puis confiner les positifs et/ou les traiter, tout comme les cas à risque puisque c’est possible, comme on le voit en Chine et en Corée, qui ont intégré l’association de dépistages massifs avec la prescription de chloroquine dans leurs treatment guidelines.


Ni Hong Kong ni Taiwan ni la Corée ni Singapour, territoires qui ont connu les plus faibles taux de mortalité face au Covid-19, n’ont imposé de confinement aux personnes saines. Elle se sont simplement organisées différemment.


La décadence de l’Occident


Elle est hélas criante et révélée ici dans toute sa crudité… Nous disposons d’une médecine de qualité, mais d’une santé publique moyenâgeuse. Le leadership technologique et scientifique est passé à l’Extrême-Orient depuis longtemps déjà, et notre nombrilisme intellectuel nous fait souvent nous raccrocher aux lanternes du passé plutôt qu’à la science d’aujourd’hui.

Des tests systématiques seraient faciles à instaurer, pour autant qu’on en fasse une priorité sanitaire et que l’on s’organise, ce que les Coréens ont fait en un temps record. En Europe, nous avons été complètement dépassés, comme si nous vivions dans un autre temps. Les autorités comprennent maintenant qu’il s’agit d’une priorité absolue -suivant en cela les recommandations insistantes de l’OMS.

Produire les tests ne présente aucune difficulté :« C’est de la PCR [réaction en chaîne par polymérase] banale que tout le monde peut faire, la question c’est l’organisation, pas la technique, ce n’est pas la capacité de diagnostic, nous l’avons, commente Raoult. C’est un choix stratégique qui n’est pas celui de la plupart des pays technologiques, en particulier les Coréens qui font partie, avec les Chinois, de ceux qui ont maîtrisé l’épidémie en faisant dépistage et traitement. On est capables dans ce pays comme n’importe où de faire des milliers de tests et de tester tout le monde. »

Certes, des régimes politiques plus disciplinés ou même autoritaires ont un avantage de compliance sociale, mais la question n’est pas là. Le problème, c’est bien nous. La France s’enfonce dans des polémiques sans fin avant même que qui que ce soit ait ouvert la bouche, pendant que son jupitérien président s’envole dans des pérorations antiques sur l’« état de guerre » en se contemplant dans un miroir… Dans notre pays, le Conseil fédéral a réagi sans agitation ni malice, mais en donnant comme toujours l’impression qu’on le réveillait déplaisamment de sa sieste.

Bref, pour notre pays qui se targue de sa qualité d’innovation et de biotech, c’est encore un peu la fête au village…

Source :

mardi, mars 24, 2020

Le retour de l'Esprit

(Durée 48:29)


"Jean Robin, auteur, montre quelle était la vision de l'être humain par la tradition Primordiale. Il introduit la notion de géographie sacrée française, et son lien avec l'eschatologie. Il nous montre en quoi l'être humain, coupé de ses origines divines, est en chemin pour se reconnecter à sa véritable nature."

Jean Robin "a commencé sa carrière littéraire en 1978, avec un essai intitulé René Guénon témoin de la Tradition, Paris, Guy Trédaniel, 1978 (rééd. Robert Laffont, 1978). Un écrivain qui reste son maître à penser et qui lui a donné les outils nécessaires, notamment par la notion de « contre-initiation », pour développer une œuvre complexe. Celle-ci débutera par un travail sur l’ufologie, Les Objets volants non identifiés ou la Grande parodie, Paris, Éditions de la Maisnie, 1979. Un travail qui sera repris et complété par Veilleur, où en est la nuit ? Introduction à l’Apocalypse, Paris, Guy Trédaniel, 2000."


Introduction à l'Apocalypse

Le saut périlleux entre deux millénaires est naturellement salué par un feu d'artifice de fausses prophéties et de divagations mystico-commerciales.

Face à cette agitation dérisoire, faut-il feindre d'ignorer les véritables " signes des temps ", par lâcheté intellectuelle ou conformisme ? Ce n'est certes pas l'avis de Jean Robin, qui s'attache ici à décrypter le chaos minutieusement programmé dans lequel va sombrer notre société "postmoderne"...

Une rencontre authentiquement providentielle a donné naissance à cet ouvrage rigoureux et documenté, d'où sont bannis les "interprètes" de Nostradamus, les voyants, les astrologues et les cartomanciennes, mais qui remet en lumière une tradition immémoriale permettant de prévoir, et surtout de comprendre, la suite des événements. À commencer par la révélation d'une pseudo-religion extraterrestre, avec ses anges et ses démons dont l'antagonisme sera aussi factice que celui du Nouvel Ordre Mondial ploutocratique et de la spiritualité à rebours qui prétendra nous en libérer.

Qu'on le veuille ou non, le scénario de cette eschatologie tragi-comique est déjà écrit par un "agent X" - également démasqué qui ne doit rien à la paranoïa "conspirationniste" des internautes américains. 

Ce livre, qui pulvérise les modernes idoles, apporte aux vrais croyants un message d'espérance et de réconciliation. Mais il s'adresse aussi aux agnostiques ouverts et sans a priori, qui pourront y trouver une occasion inespérée de renouveler leur "vue du monde", à l'heure d'effondrements cataclysmiques et d'avènements indicibles.

On guérit les puissants mais pas les "sans-dents"

(Durée 3:07)
Jim L’Éveilleur

Touchés par le coronavirus, le maire de Nice Christian Estrosi et sa femme ont été guéris grâce à la chloroquine préconisée par le docteur Didier Raoult.

Macron et son gouvernement ont-ils adopté une décision criminelle en refusant de donner immédiatement le remède du docteur Raoult à tous les malades ?


Selon ARTEMISIA COLLEGE :

"Nous avons la conviction que nous avons affaire à un Plan criminel, prévu et organisé depuis longtemps par l’élite mondialiste, et mis en pratique concrètement depuis octobre 2019 par les gouvernements.

Le but est de créer les conditions de la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial (totalitaire). Il passe par une pseudo pandémie et l’Agenda ID2020 qui doit utiliser la vaccination de masse pour imposer l’Identité Numérique. C’est pour cela que les dirigeants chargés de mettre ce Plan en application, sabotent tout traitement, allant jusqu’à organiser une pénurie. C’est aussi pour cela qu’ils font un décompte morbide des morts, qu’ils soient liés directement au coronavirus (une petite minorité), ou à d’autres pathologies. Il faut impérativement que la population apeurée et confinée, se rue d’elle-même sur le « vaccin » providentiel. Ce « vaccin » (prêt depuis longtemps), ne fera que diminuer l’immunité naturelle (comme tous les vaccins), ce qui contribuera à aggraver la situation dans un premier temps. Mais il permettra surtout de marquer les humains de cette fameuse Identité Numérique. Par la suite, il aura d’autres rôles inavouables…

Lire la Suite (ARTEMISIA COLLEGE propose un pdf gratuit sur l'opération coronavirus) :

https://www.artemisia-college.info/operation-coronavirus-2019-ncov.html



lundi, mars 23, 2020

10 jours d'obscurité

(Durée 18:42)
Le site internet de Laurent Glauzy 
www.profidecatholica.com


La libération des peuples débutera-t-elle avec cette image quasi apocalyptique : "Ten Days of Darkness" ? Ces mots sont attribués à QAnon, un réseau de patriotes américains en lutte contre le Deep State et le mondialisme messianique de psychopathes ultra-riches.

Pour l'essayiste catholique Laurent Glauzy, qui est profondément écœuré par les crimes des élites, "Ten Days of Darkness" signifie : "Dix jours pour buter tous les pédosatanistes".

"Ten Days of Darkness", ces mots annoncent-ils la libération des peuples opprimés de ce début du 21e siècle, comme naguère les vers de Verlaine, "Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’une langueur monotone", annoncèrent le début de la libération de l'Europe écrasée par le nazisme ?



(Durée 1:00)


Opération "Coronavirus 2019-nCoV"


"Nous avons la conviction que nous avons affaire à un Plan criminel, prévu et organisé depuis longtemps par l’élite mondialiste, et mis en pratique concrètement depuis octobre 2019 par les gouvernements.

Le but est de créer les conditions de la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial (totalitaire). Il passe par une pseudo pandémie et l’Agenda ID2020 qui doit utiliser la vaccination de masse pour imposer l’Identité Numérique. C’est pour cela que les dirigeants chargés de mettre ce Plan en application, sabotent tout traitement, allant jusqu’à organiser une pénurie. C’est aussi pour cela qu’ils font un décompte morbide des morts, qu’ils soient liés directement au coronavirus (une petite minorité), ou à d’autres pathologies. Il faut impérativement que la population apeurée et confinée, se rue d’elle-même sur le « vaccin » providentiel. Ce « vaccin » (prêt depuis longtemps), ne fera que diminuer l’immunité naturelle (comme tous les vaccins), ce qui contribuera à aggraver la situation dans un premier temps. Mais il permettra surtout de marquer les humains de cette fameuse Identité Numérique. Par la suite, il aura d’autres rôles inavouables…"


LIRE LA SUITE :


Révélations d'un lama dissident

Le lama tibétain Kelsang Gyatso (1931-2022) était un enseignant important parmi les guélougpa restés fidèles à des pratiques proscrites ...