(Durée 56:43)
1- Chloroquine : l'Internet fait trembler l'establishment politique français.
2 - Les mondialistes jouent à quitte ou double : accélèrent les mesures de contrôle social.
3 - L'OMS de plus en plus contestée.
Chloroquine destinée au grand public ?
Attention à la fourberie de l'exécutif français
Le traitement est pour l'instant destiné aux patients atteints par le covid-19, qui sont hospitalisés dans les établissements de santé, comme l'indique cet extrait du décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 :
"Art. 12-2. – Par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique, l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile."
"Art. 12-2. – Par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique, l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile."
Commentaire du youtubeur Frank Buhler :
"Le professeur Salomon, collaborateur en chef du crime gouvernemental c'est-à-dire directeur général de la santé, vient d'être interrogé à la télévision en direct dans une conférence de presse sur ce fameux décret. Il confirme, hélas, [...] que ce décret n'est en réalité que la légalisation des mesures prises par le ministre de la santé il y a deux jours. C'est-à-dire que le traitement à la chloroquine est effectivement autorisé dans les hôpitaux. Il ne peut être prescrit que par des spécialistes de façon collégiale et uniquement pour les gens qui sont dans des cas graves..."
"Les malades au moment où ils ont une insuffisance respiratoire, au moment où ils entrent en réanimation (...) c'est trop tard pour traiter..."