mercredi, mars 25, 2020

Le coronavirus est-il un coup d'État qui vient d'en haut ?

(Durée 43:50)

"Derrière ce battage médiatique d’une panique-coronavirus, y a-t-il quelque chose de complètement différent de ce qui est superficiellement apparent ? Six experts répondent aux questions suivantes : à qui profite la panique ? Qu'est-ce qui se cache derrière ? Ces experts découvrent les corrélations que tout le monde devrait connaître."

A qui profite la panique ? 
Qu'est-ce qui se cache derrière ? 

Le journaliste et auteur Gerhard Wisnewski est formel : « Cela sert aux structures de commandement globales que nous voyons de plus en plus clairement devant nous. Et pour le reconnaître, nous devons examiner le cas non seulement sur le plan médical, mais aussi sur le plan politique. Si nous regardons ces mesures qui nous sont conseillées et qui sont de plus en plus strictes, c'est-à-dire d'abord plus de rassemblements de plus de 1 000 personnes, puis pas plus de 100 personnes, puis pas plus de 50 personnes. Soudainement, en Autriche ou en Allemagne - je crois - pas plus de cinq personnes ne peuvent se réunir. Les gens ne doivent alors quitter leur domicile que pour des raisons importantes, avec une sorte de laissez-passer qu'ils doivent fournir eux-mêmes, une déclaration sur l’honneur. Cela nous est présenté comme une mesure d'hygiène contre un virus contagieux. Mais lorsque nous, les politologues, nous examinons cette question, nous voyons autre chose. Nous constatons l'état d'urgence et la loi martiale. Il en va de même en cas d'état d'urgence ou sous la loi martiale : les gens sont soumis à un couvre-feu, on n’autorise pas plus de trois personnes à se réunir, après une certaines heure toutes sortes de lieux sont fermés. Il s'agit d'une loi typique d’un temps de guerre ou d'une loi d'exception

En d'autres termes, la soi-disant Organisation mondiale de la Santé, que je préfère appeler le gouvernement mondial de la santé, a déclaré l'état d'urgence dans le monde entier et a privé tous les peuples de leurs droits et libertés civils

En d'autres termes, c'est un coup d'État qui vient d'en haut, et du plus haut rang

Beaucoup ne savent pas que seules quelques lois (allemandes) sont encore décidées en Allemagne. La plupart d'entre elles viennent de l'UE ou de l'ONU. C'est ainsi que cela fonctionne, l'Allemagne ou l'Autriche ou la Suisse, elles adhèrent à un accord des Nations Unies, s'engagent à prendre certaines mesures et s'engagent à les appliquer dans les lois nationales. Il s'agit d'un processus législatif. Et même si certains accords stipulent qu'ils ne sont pas contraignants, on peut observer dans le passé qu'ils ont été mis en œuvre au niveau national. Ce n'est qu’un leurre. 

Cela signifie donc que nous sommes confrontés à un coup d'État de cette structure mondiale des Nations Unies, ainsi que de ses financiers. Je viens de lire que sans la Fondation Bill Gates, l'Organisation mondiale de la Santé serait en fait ruinée. Si c'est le cas, si c'était vrai, alors nous avons un autre mécanisme, un mécanisme de commandement privé, comme le dit le dicton, celui qui paie commande. Bill Gates lui-même et la Fondation Bill Gates sont très engagés dans ce qu’on appelle la santé, c’est-à-dire dans le commerce de la vaccination, dans le commerce des vaccins. Et ce commerce, c’est bien leur but. Parce que nous avons une opération en deux parties ici. Je parlais juste de la situation politique. 

J'en viens maintenant à l'opération psychologique. Cela commence par l'enfer. J'ai imprimé ici la une du journal Bild. Si vous la regardez, elle est jaune flamme. Des menaces et des prédictions incroyables. Et en même temps on dit aux gens ce qu’ils doivent avoir dans leur armoire à pharmacie ! Cela signifie qu’on fait déjà du business avec cette histoire ! C'est l'enfer qui nous est prophétisé et on va nous y laisser mijoter pendant quelques mois. Et puis vient la délivrance. 

Et la délivrance est, bien sûr, le vaccin. Tout le monde poussera un soupir de soulagement : il existe enfin un vaccin qui nous libérera de cet enfer. Mais médicalement cet enfer n'existe pas, il n'existe que psychologiquement. Les médias nous mettent la pression jusqu'à ce que nous soyons prêts pour le vaccin. L’industrie pharmaceutique va se faire un paquet de fric. La question est de savoir s'il cela leur suffira, qu’on leur achète le matériel, les vaccins, ou s'ils insisteront sur la vaccination obligatoire. »

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