jeudi, avril 30, 2020

Le programme « Covid-19 contre les peuples » a réveillé la conscience citoyenne

(Durée 1:01:42)

1 - Il n'y aura pas de 2e vague, contrairement à ce que l'OMS veut vous faire croire.

2 - Ceux qui doutent du narratif médiatique sont les Copernic du 21e siècle.

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10 avancées dues à l’effondrement de l’ingénierie mondialiste "Covid-19"

Hormis les familles des victimes de cette grippe saisonnière un peu spéciale, des familles qui ont perdu un être cher, nous avons trouvé 10 points positifs dans cette ingénierie d’une ampleur inégalée jusqu’à présent. Inégalée car elle couvre le monde entier, et touche surtout les pays industrialisés, ceux qu’on dit avancés.

Dans ces pays – avec quelques différences dues à la culture locale, culture qui fait la politique –, l’ingénierie a suivi à peu près le même agenda : une grippe saisonnière créée de toutes pièces a fuité d’un laboratoire de recherches sur les maladies infectieuses dans la région de Wuhan, en Chine. Puis cette grippe s’est propagée dans le monde entier, probablement du fait de Jeux mondiaux militaires qui rassemblaient des milliers de participants de toutes les grandes nations. Moins de deux mois plus tard, ces dernières étaient touchées par l’épidémie d’une pathologie qui ressemble grosso modo à la grippe saisonnière, une maladie contagieuse qui touche tout le monde, qui passe sur 95 % des gens et qui s’arrête sur les 5 % les plus fragiles, et parmi ceux-là, un sur 10 connaît des complications d’ordre respiratoire. Et dans cette dernière catégorie, il y a ceux qui sont mis sous assistance respiratoire, dans un coma artificiel, donnant deux dernières catégories : ceux qui se réveillent, et ceux qui ne se réveillent pas. Nous ne sommes pas médecins, mais c’est le résumé de trois mois de folie dans le monde occidental. Et nous plaçons la Chine dans le monde occidental, au sens d’industrialisé.

Les populations concernées sont passées par plusieurs états : l’indifférence à la grippe chinoise, l’inquiétude, puis la panique. Mais cette panique a été, on le sait, organisée par une coproduction entre gouvernements et médias, sauf dans quelques pays du Nord, qui ont su garder raison (Allemagne, Suède). Ailleurs, c’est la psychose qui s’est substituée à l’épidémie et qui a créé plus de dégâts psychologiques et sociaux que la grippe elle-même. Et aussi des dégâts d’ordre politique, puisque l’ordre politique ancien a été touché, mais pas comme il le croit. Les gouvernants qui ont mené bataille contre le virus, ou qui l’ont fait croire, ont en réalité mené bataille contre leurs administrés. Ils ont à cette occasion détenu plus de pouvoir(s) qu’aucun dictateur n’en a jamais eu(s).

Le déconfinement, c’est la fin de leur pouvoir d’exception ou de leurs lois d’exception. On comprend alors pourquoi ils font traîner la libération. Mais quels sont ces 10 points positifs, alors que tout a l’air si négatif ?

1– Le réveil de la conscience citoyenne

Le programme « Covid-19 contre les peuples » a réveillé des colères enfouies. D’abord parce que la gestion de la crise a été catastrophique, pour ce qui concerne les administrés, ou les victimes. Du côté du gouvernement, et là on focalise sur notre pays, la reprise en main du paquebot France, qui commençait à barrer dangereusement, a été une réussite. Et le confinement a été la grande idée d’un quinquennat à l’agonie.

Mais le remède a été tel que beaucoup de gens ont compris qu’on les menait en bateau, et on ne va pas revenir sur toutes les incohérences de l’ingénierie : le nombre de morts égal ou inférieur en 2020 aux autres années, les décès extrêmement douteux dans les maisons de retraite, l’insistance des soignants à relayer la panique alors qu’ils réclamaient des embauches et des augmentations de salaires quelques mois plus tôt, la soumission des médias aux injonctions d’un gouvernement totalement soumis aux forces du Marché incarnées par le Big Pharma, un Big Pharma qui avait ses entrées et ses hommes dans le gouvernement des Français, et qui les a toujours...

Tout ceci a fait remonter une colère qui ne s’éteindra pas de sitôt, et c’est une bonne chose.

2– La puissance des réseaux sociaux

Les médias dit dominants ne le sont plus. Le simple exemple de l’imposition médiatique de la triste Karine Lacombe vaut toutes les démonstrations : la représentante du Big Pharma déguisée en chercheuse indépendante a été délogée des médias mainstream par une poussée de mécontentement venue de Twitter. Ce qui veut dire que les médias à la botte des marchés ne font plus la loi, ou l’opinion. L’opinion est devenue une bête difficile à dompter, à tromper, à diriger. En général, les RS vont dans un sens, celui de l’intérêt des gens, on pourrait dire du peuple mais le terme fâcherait les éditorialistes, alors on va le dire : les RS sont le médias du peuple, le média populaire par excellence, et aucun des agents de la dominance médiatico-politique qui y sont infiltrés n’y font la moindre loi.

Pour exemple, dernièrement, Jean-Michel Aphatie, qui représente ce qu’il y a à peu près de plus veule en matière de journalisme couché – à part Patrick Liste Noire Cohen – s’est ridiculisé en commentant un tweet issu d’un compte parodique de Marine Le Pen. C’est une Botul, comme quand BHL avait analysé dans un de ses livres (écrit par ses nègres) les « concepts » du philosophe Botul, fruit de l’imagination parodique d’un journaliste du Canard enchaîné... Inutile d’ajouter que la puissance montante des RS va de pair avec la chute des médias mainstream, une chute économique et morale. Dans toutes les guerres, les traîtres, collabos et autres kapos, finissent lynchés.

3– La fronde contre la médecine d’État

L’axe Buzyn-Salomon-Hirsch-Cymes-Steg est la colonne vertébrale d’une médecine qui s’intéresse plus au pouvoir ou à l’argent qu’aux malades et à la maladie. Les décisions prises par ces responsables politiques ou médiatiques ont toujours été du côté des grands intérêts des labos pharmaceutiques, rarement celui des Français. Certains ont même eu l’impression d’être sacrifiés sur l’autel du Profit ou d’un pouvoir communautaire. Pour parler plus franchement, beaucoup de Français ont compris que la santé publique était devenue une affaire, plus que l’affaire de tous. Une affaire bien privée sous couvert d’intérêt public.

Et ceux qui crient à l’antisémitisme parce que ces représentants de la médecine d’État ont été dénoncés par le peuple devraient se demander pourquoi une telle concentration communautaire, avant toute chose. Et on ne reviendra pas sur les arnaques aux masques parties d’Israël et volant des Français, ou les disparitions de stocks de chloroquine et de respirateurs au moment où les services israéliens se vantaient d’avoir braqué du matériel à d’autres pays...

4– Les Français découvrent que leur santé leur appartient

La gestion de la crise dite du coronavirus a été tellement contradictoire, incohérente, aberrante, que de nombreux Français, autrefois croyants dans la médecine officielle, ont compris qu’ils devaient prendre leur santé et leur immunité en charge. Il en est de même pour la sécurité publique, puisque police et justice ne s’occupent plus de la délinquance venue des cités qui pourrit la vie quotidienne des Français.

À cette occasion, les plus crédules ont découvert des termes inconnus comme immunité, alimentation saine, sport ou marche à pied. Les vidéos de médecins ou de non-médecins qui parlaient immunité au lieu de parler répression ont redonné confiance à un peuple qui en était dépourvu, à qui la caste au pouvoir avait cassé le moral. Et le moral, c’est le terme populaire pour immunité.

5– Le pouvoir a montré son vrai visage

Ceux qui croyaient en la démocratie peuvent aller se rhabiller, ou ils ont changé de camp : le pouvoir visible n’est que l’habillage rassurant du pouvoir profond, qui n’a aucune pitié, aucune empathie, et qui est prêt à sacrifier toute une nation pour ses intérêts et sa survie. La Banque nous a attaqués par les côtés, cachée derrière un virus bidon, une grippe saisonnière plus ou moins trafiquée en laboratoire ou importée en des endroits précis, histoire de mettre le feu à des nations un peu trop récalcitrantes.

La Banque, avec les dettes qui se profilent, a resserré ses griffes autour du cou des nations. Car la Banque vit de l’intérêt, de l’usure, elle vit de son argent qui est au départ l’argent de tous. La Banque n’est qu’un immense braquage sur l’argent des peuples, dont elle use et abuse. Et quand elle a trop joué avec, que toute la machinerie se déglingue, elle punit les peuples par la paupérisation et la répression. Car la Banque tient (sur) le pouvoir politique, qui tient (sur) la police. Retirez la police, et tout s’effondre.

6– Les Français (ré)apprennent à désobéir

Les Français, ce peuple magnifique qui a fait de grandes choses par le passé, s’est réveillé à l’occasion de la révolte des Gilets jaunes. Cette révolte met un point final à 50 ans de mensonge démocratique depuis Mai 68. Mais ce soulèvement n’a pas entraîné le reste de la population, qui était pourtant majoritairement solidaire. Il faudra, on le sait, plus de souffrance pour réveiller toutes les consciences, et l’ingénierie mondialiste baptisée « Covid-19 » est l’occasion d’ouvrir les yeux et de désobéir. Désobéir, on le sait, est une obligation quand le pouvoir devient fou, dangereux, meurtrier.

Depuis la sanglante répression des Gilets jaunes, on sait que les larbins de la Banque peuvent aller très loin pour conserver leur pouvoir. Maintenant, nous sommes occupés, et il y aura deux sortes de Français, comme en 1940 : ceux qui obéissent et ceux qui désobéissent. Ceux qui ferment les yeux et ceux qui les ouvrent. L’expérience du confinement est pour cela sociologiquement intéressante : on a vu, nous qui sortons tous les jours sans problème à n’importe quelle heure, qui sont ceux qui sauront résister à la dictature de la Banque et de ses sbires. Les regards se sont croisés de bons résistants. Des bons Français, quoi.

7– Le bon grain se sépare de l’ivraie

Une des choses qui a désorienté les Français, c’est la difficulté à lire l’information dans un monde où la propagande fait rage et où elle attaque tout ce qui n’est pas elle. Difficile alors pour un quidam de basculer dans le monde de la réinformation, ou plutôt de l’information authentique, celle qui n’est pas transformée, comme un produit alimentaire, par les intérêts des pouvoirs en place.

Aujourd’hui, la colère est telle – et encore, beaucoup de Français ne savent même pas qu’ils sont en colère, ni après qui ! – après la punition de plus de 60 millions d’innocents, foutus en cage sans raison valable, que l’instinct fait le tri tout seul à la place de l’intelligence : un Didier Raoult est applaudi quand un Salomon est désavoué, un Perronne est écouté quand une Lacombe est sifflée...

L’arnaque de l’ingénierie du Covid-19, après l’écran de fumée dû à l’explosion de peur, a laissé place à une lucidité nouvelle, qui a même touché des agents de la dominance médiatico-politique. Les cas d’un Jean-Pierre Pernaut ou d’une Françoise Laborde, en charge des JT des télés privée et publique, en disent long sur ce changement. On ne peut pas durablement lutter contre la vérité ou promouvoir le mensonge, il y a toujours un moment où tout se casse la gueule. C’est pour cela que la Banque, avant le crash mondial prévu – car la Banque est l’organisation la mieux renseignée du monde, avant même les gouvernements, relire notre étude ni complotiste ni antisémite sur la puissance des Rothschild – a été à l’origine de ce chaos sanitaire mondial, qui n’est qu’un écran de fumée sur ses calculs malsains.

8– La victoire du complotisme intelligent

La presse, bousculée par les avancées de l’information sur l’Internet qui a mis en pièces l’ingénierie mondialiste appelée Covid-19, a tenté d’éteindre l’incendie de sa propre défaite en hurlant au « complotisme » et en convoquant l’andouille de service, le Patacrif, Rudy IIIe Reichstadt. Ce qui a eu le même effet qu’envoyer une bouée de plomb à un noyé. L’information indépendante a fait, de manière rhizomique, des pas de géants dans le décryptage de l’arnaque mondialiste, en dévoilant l’incroyable réseau Epstein et ses tentacules dans tous les pays dits avancés. De plus, l’information non alignée a mis en pièces le travail de communication de l’escroc eugéniste Bill Gates, qui cache derrière sa philanthropie les pires intérêts transhumanistes des multinationales. De fait, l’ingénierie du réchauffisme s’est effondrée sur elle-même, comme s’effondre aujourd’hui l’ingénierie « Covid ».

Les peuples, grâce aux journalistes naturels, mus par la passion de la vérité, des citoyens curieux et généreux qui travaillent pour les autres ou pour le bien de l’humanité, bénéficient d’une information qui privilégie leurs intérêts et qui se heurte aux intérêts des puissants, qui ne sont pas les amis des peuples, même s’ils serinent le contraire du matin au soir dans leurs journaux corrompus. Corrompus par l’argent, le marché, la Banque. Et les réseaux de pouvoir.

Le complotisme est donc le nom de la nouvelle intelligence qui avance horizontalement, en rhizome, et qui bénéficie de l’apport de tous. Sur E&R, jamais nous n’aurions pu vous offrir un point de vue global lucide, cohérent et durable sur l’ingénierie en cours sans le concours de centaines de sympathisants qui nous ont envoyé des milliers d’informations, que nous avons absorbées, recoupées, et utilisées. C’est un travail collectif d’intérêt général, auquel vous avez participé.

9– Ceux qui ont survécu à cette agression mondialiste en sortent plus forts

Pas la peine de re-citer Nietzsche, tout le monde a compris : nous sortons de cette ingénierie plus lucides, plus forts et plus déterminés. C’est la conséquence de toutes les attaques qui échouent.

Au foot, pour prendre cet exemple que nous connaissons – et en avant la métaphore filée ! –, quand une équipe bien soudée résiste à une forte attaque par une équipe supérieure en nombre ou en qualité, en général, l’attaque finit par se déliter et la contre-attaque est souvent mortelle. Celui qui ne tue pas est tué, il en est ainsi dans toutes les guerres et nous sommes en guerre, le Président l’a dit, et, pour une fois, on est d’accord avec lui. Peu importe si le pouvoir augmente sa répression à court terme ou qu’il nous paupérise encore un peu plus, il faudra venir nous chercher avec les dents, maintenant...

10– Tout est à faire

Ne croyez pas les menteurs de l’ancien monde qui nous disent qu’ils vont changer, que la crise sanitaire les a changés : ce sont des menteurs, des voleurs et des assassins. Ils sont déjà dans les poubelles de l’Histoire et s’accrochent à leurs prébendes, mais la politique est déjà ailleurs, chez ceux qui s’en sont emparés. Toute la caste médiatico-politique a trahi, journaux et gouvernement réunis, ils ne sont plus rien, moralement.

Seul un résidu de crédulité dans la population terrorisée leur permet de croire encore à leur pouvoir, mais il a déjà changé de camp, car la confiance les a fuis. Et sans la confiance, tout s’écroule. Aujourd’hui, la bataille politique fait rage autour d’une seule question : à qui le peuple fait-il désormais confiance pour le guider ? À moins qu’il ne se guide tout seul, ce n’est plus aux vieilles organisations pourries, au moins...


Source :

mercredi, avril 29, 2020

Laura Eisenhower, l'arrière-petite fille de l'ex-président étasunien, dénonce le plan satanique de l'oligarchie mondialiste

(Durée 16:22)

Covid-19 : le plus gros canular satano-morbide du siècle dévoilé ?

Verdi :

"Il est à présent quasi démontré que cette crise sanitaire n'est pas le fait d'un quelconque hasard. Malgré la censure, de nombreuses voix, parmi lesquelles celles de médecins, rétablissent la vérité sur ce qui est une vaste mise en scène à l'échelle planétaire, pour asservir les peuples, en les obligeant à se vacciner, pour le plus grand profit de l'industrie pharmaceutique.

C'est le projet malfaisant de Bill Gates, en plus de la mise en place de la 5G, avec la complicité active de l'OMS et de dirigeants, tel que Macron. 

Un projet dénoncé par Laura Eisenhower, l'arrière-petite fille de l'ex-président étasunien, de 1953 à 1961, et vainqueur militaire contre le régime nazi d'Hitler, le 8 mai 1945."

lundi, avril 27, 2020

Un prêtre dénonce Bill Gates et le marquage vaccinal

(Durée 9:08)

"Soros est le vrai virus et les Rothschild veulent tout contrôler"



Michael Caputo, nouveau porte-parole de Trump : 

"Soros est le vrai virus et les Rothschild veulent tout contrôler"


Michael Caputo, qui a conseillé la campagne de Trump pour 2016, est devenu le porte-parole du ministère de la Santé et des services sociaux, en partie à cause du mécontentement de Trump quant à la façon dont le secrétaire du ministère, Alex Azar, a géré la communication pendant la crise.

Connu pour sa rhétorique pugiliste, le nouveau membre de l’administration a supprimé des dizaines de milliers de tweets juste avant la nomination. CNN a découvert jeudi des dizaines de tweets incendiaires, dont des attaques contre les Chinois teintées d’images à connotation raciale, des accusations selon lesquelles les démocrates voulaient que les gens meurent pour que Trump ne soit pas réélu et des dénigrements des médias.

Le 17 mars, en réponse à David Rothschild, un économiste qui critique souvent Trump et l’accuse de « vouloir assassiner » des gens pour rester au pouvoir, Michael Caputo a déclaré que Rothschild « est un sphincter élitiste inné dont la famille a soif de contrôle. C’est une des raisons pour lesquelles il ment constamment au sujet du président Trump ».

(...)

Le 15 mars, Michael Caputo a répondu à une figure d’extrême droite, Jack Prosobiec, qui se demandait sur Twitter pourquoi le philanthrope juif libéral George Soros était prêt à donner à ses causes politiques favorites, mais pas aux efforts pour combattre le coronavirus.

« Vous plaisantez ? L’agenda politique de Soros EXIGE une pandémie », avait alors réagi Michael Caputo.

(...)

Le 27 mars, il a tweeté une photo de ce dernier avec pour légende « Le vrai virus derrière tout », accompagnée de têtes de mort.

Lire l’intégralité de l’article sur fr.timesofisrael.com

dimanche, avril 26, 2020

Quel avenir pour le monde ?

par le Clan des Brigandes

(Voici notre contribution à une enquête sur « le mondialisme après la crise » menée par Synthèse Nationale. C’est l’occasion pour nous de donner un avis synthétique sur les événements en cours et à venir.)

Nous traversons une situation historique, un changement d’époque. La « crise coronavirus » qu’on nous impose en est le signe.

Tout d’abord, voici quelques éléments pour ceux qui seraient sceptiques quant à ce que nous allons exposer :

Nous connaissons la plus grande restriction des libertés fondamentales qu’il y ait jamais eu dans notre histoire connue, en temps de paix et à l’échelle mondiale. Cette restriction repose sur une prétendue pandémie, qui est pour le moment bien moins meurtrière que certaines grippes (celles de 1969, 1957,…) n’ayant jamais justifié de telles mesures. On remarque que :

– Certains hôpitaux sont quasiment vides (reportage-vidéo allemand à l’appui).

– Les chiffres des décès du cancer, de maladies respiratoires et autres ont curieusement baissé depuis mars 2020 : et pour cause, puisque toute personne décédée « avec » le coronavirus est classée dans les décédés « du » coronavirus. L’écrasante majorité des personnes prétendument décédées de ce virus avaient par ailleurs d’autres maladies graves (voir les statistiques).

– Le taux de mortalité en France n’a pas augmenté d’une manière si explosive par rapport aux autres années, et il est même légèrement plus bas en mars 2020 qu’en mars 2018 !

– Des sommités, comme le Prix Nobel Luc Montagnier, affirment que le virus est de fabrication humaine et que toute recherche visant à le démontrer est étouffée par « les autorités internationales ».

– Les articles ou vidéos explorant des pistes alternatives au sujet du coronavirus, sur des plateformes comme YouTube ou Facebook, sont censurés au même titre que « l’incitation à la haine ».
– Des économistes avaient prévus une crise économique pour mars 2020.

– Etc., etc.

On pourrait aussi mentionner tout ce qui suit cette prétendue crise sanitaire : rachat par des grandes firmes d’une quantité énorme d’entreprises en faillite à cause du confinement, connexion entre le grand ponte de la vaccination mondiale et de l’identité numérique (Bill Gates) avec le patron de l’OMS, etc.

Bref, nous ne nous étendrons pas sur ces multiples éléments, mais ceux-ci démontrent que nous sommes là face à une manipulation ayant permis de tester – et pour un prétexte fallacieux ! – l’immobilisation de la majorité de la planète, ce qui n’avait encore jamais été réalisé.

Le test est concluant : désormais, le coup du virus pourra être ressorti n’importe quand pour justifier la mise à l’arrêt d’un ou plusieurs pays. Nous passons là une étape historique, qui peut ouvrir la voie à de nouveaux totalitarismes, pouvant même se révéler plus dangereux que ceux que nous avons connus au XXème siècle car ils ne seront pas justifiés par une idéologie (laquelle a toujours des opposants), mais par la nécessité de sauver l’humanité ! Qui peut s’opposer à la sauvegarde de l’humanité sans passer pour un monstre ?

Ce nouveau prétexte, ainsi que la dimension internationale de ses conséquences, doivent nous faire redouter le pire : même si le confinement se lève et que nous avons l’impression de retrouver une certaine « liberté », nous avons passé un cap et glisserons progressivement, dans les mois et années à venir, vers une société pouvant légitimer l’interdiction des libertés les plus fondamentales… et ensuite la répression de ses opposants ! On entend déjà que « ceux qui affirment qu’il n’y a pas une réelle pandémie incitent à la baisse de la vigilance et sont donc des dangers publics » ! La catégorisation de certaines personnes en tant que « danger pour les autres » a toujours été le meilleur prétexte à la persécution de ces personnes.

Tout cela, vous le savez probablement. Allons donc plus loin :
Nous ne croyons pas que les peuples vont soudainement se réveiller et reconquérir leur souveraineté. Les révolutions authentiquement populaires n’existent pas sans lobbies. Et elles existent encore moins quand il faut obéir pour préserver sa santé !

Nous ne croyons pas dans la politique électorale, soumise aux impératifs des structures mondiales : tous les pays font partie de l’ONU ou de l’OMS, et on aura vu la crise actuelle rassembler Poutine, Macron et Trump dans le même mouvement ! Comment pourraient-ils faire autrement ? (Pourquoi pas un seul politicien ne dénonce-t-il l’incroyable exagération des mesures adoptées ?)
Nous croyons que nous allons passer par une phase de nouveaux totalitarismes qui pourra durer longtemps, dans laquelle la technocratie globale pourra s’étendre encore plus rapidement et la caste scientiste-médicale se trouvera au poste de direction.

Nous savons que le Système accélère la réalisation de ce plan selon certaines échéances, et la date de 2025 en est une. Cette date-pivot est mentionnée à plusieurs reprises, au départ par la loge occultiste Lucis Trust (qui siège encore aujourd’hui à côté de l’ONU à Genève), jusqu’au rapport de la CIA de 2008 publié dans le fameux livre d’Alexandre Adler dans lequel la pandémie mondiale d’un coronavirus était « envisagée ». Ce rapport de la CIA dresse un calendrier jusqu’en 2025 !

Les religions étant encore les derniers refuges au sein desquels on peut trouver des éléments réfractaires à la technocratie internationale, on assistera à l’établissement d’un syncrétisme religieux accordé à l’ordre mondial. Les chefs religieux conduiront (et conduisent déjà) leurs brebis vers la soumission. La politique du Pape pendant cette « crise coronavirus » est démonstrative à cet égard. On assistera probablement à une mise en scène grandiose pour réunir les tendances religieuses dans un même courant, qui donnera une légitimité théocratique à un ordre mondial ayant déjà sa légitimité scientifique et sanitaire !

Il est bon, sur ce sujet, de consulter notre vidéo Commentaires de Joël LaBruyère sur la chanson des Brigandes « D’ici 2025 »: Le faux-prophète qui vient

Voilà comment nous voyons l’avenir. C’est pour cette raison que Joël Labruyère a rassemblé un clan communautaire – dernière possibilité de vivre en accord avec ses idées et avec ses proches, lorsque les libertés de mouvement et de réunion sont profanées.

La civilisation mondiale qui est en place aura, comme toute civilisation, son heure de fin : mais quand ? Il vaut mieux se préparer à ce que ce soit plus long qu’espéré, car en science militaire on envisage le pire pour être préparé à toutes les éventualités.

Alors que faire ? Déjà rester alertes, car la conscience est notre première arme. Et ensuite, préparer des vrais réseaux de proximité, retrouver le sens du réel, avoir des personnes sur qui compter. Internet offrira bien peu de choses, et il n’en offre déjà pas beaucoup à côté de cela : il vaut mieux avoir une personne qui vienne nous rencontrer pour nous témoigner son approbation, que 1 000 qui cliquent « J’aime » à distance.

Puissent ces réflexions servir à ceux qui ne s’abandonnent pas à de vaines espérances.


PS : Notre Manifeste des Clans du futur, qui expose les rudiments de notre démarche, est disponible sur notre site :


Vidéo de présentation :

(Durée 4:32)

Nous encourageons ceux qui adhèrent à ces vues et qui voudraient se manifester à nous ou communiquer sur ce sujet, de délaisser la voie numérique et de s’habituer à passer par la voie postale. Notre adresse :

BARKA PRODUCTION
LE GAZEL
34330 LA SALVETAT SUR AGOUT

Jacques Attali et la symbolique occulte maçonnique de la Gorge Tranchée

(Durée 7:56)



Alexandre Lebreton :

L'homme qui semble se faire menacer/intimider par Attali est Yann Moulier-Boutang, économiste et essayiste français. Possiblement FM. Il se fait menacer au moment où il met sur le tapis l'endettement à la haute finance internationale à 1:10

Au premier degré : après que le Vénérable Maître ait dit : « Voyez-vous un inconvénient a prêter votre serment sur le Volume de la Loi Sacrée » le futur initié reprendra : « Si je devais y manquer, d'avoir la langue arrachée et la gorge coupée, et d'être jugé comme un individu dépourvu de toute valeur morale est indigne d'appartenir à la franc-maçonnerie ». 


Au deuxième degré : Après que le Vénérable Maître ait dit : « Êtes-vous disposé à prêter ce serment » le récipiendaire dira : « Si je manquais à ces engagements, de m'arracher le cœur de la poitrine et le jeter aux rapaces de l'air et aux voraces des champs, comme une proie et de disparaître de la mémoire de mes frères »


Deux PDF gratuits 


Franc-maçonnerie et schizophrénie (Comprendre les arcanes du pouvoir).


La vidéo fait allusion au livre d'Epiphanius : "Maçonnerie et sectes secrètes - Le coté caché de l'histoire". 

Dans ce livre, il est écrit :

Jacques Attali, affilié à la haute maçonnerie juive du B’nai B’rith, conseiller économique de l’ex-Président français Mitterand et premier Président de la BERD, la banque créée pour financier la reconstruction et le développement dans les pays ex-communistes, écrivait dans son livre « L’avenir de la vie » : « Quand il arrive vers 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et coûte cher à la société [...]. L’euthanasie sera l’un des instruments essentiels de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste de liberté, la liberté fondamentale est le suicide. Le droit au suicide, direct ou indirect, est donc une valeur absolue dans ce type de société. Des machines à supprimer permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse. Je considère donc que l’euthanasie, dans la société du futur, sera une règle. »

Quelques années plus tard, le même personnage reprenait ce thème d’une façon qui n’était qu’apparemment paradoxale, dans une sorte de dictionnaire où il entendait proposer sa vision du monde du XXIe siècle (et donc évidemment celle des initiés). Pour le mot « Euthanasie », il est dit textuellement :

« Certaines parmi les démocraties plus avancées choisiront de faire de la mort un acte de liberté et de légaliser l’euthanasie. D’autres fixeront des limites précises à leurs dépenses pour la santé, en calculant aussi une dépense moyenne en « droit de vie » que chacun pourra utiliser comme il l’entend jusqu’à épuisement. On créera alors un marché des « droits de vie » supplémentaires sur lequel chacun pourra vendre le sien, s’il est affecté d’une maladie incurable ou s’il est trop pauvre. On arrivera même, un jour, à vendre des « tickets de mort », qui donneront le droit de choisir entre les différents types de fin possibles : euthanasie au choix, mort-surprise pendant le sommeil, mort somptueuse ou tragique, suicide sur commission, etc [...] sa mort comme la mort d’un autre ».



AVERTISSEMENT

Dans la lecture des pages qui vont suivre, que le lecteur garde bien présent à l’esprit qu’il n’est pas d’idée plus étrangère au catholicisme que celle de racisme. Voici ce que dit saint Paul :

« Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n'y a plus ni esclave ni homme libre ; il n’y a plus ni homme ni femme : car tous vous ne formez qu'une personne en Jésus-Christ. Et si vous êtes au Christ, vous êtes donc « descendance » d’Abraham, héritiers selon la promesse. » (Gai. 3, 28-29)

Il est cependant indéniable que la révolution s’est servie, et qu’elle se sert ponctuellement d’une façon particulière, de certains peuples ou de groupes politiques, de la même façon qu’il est indéniable que la maçonnerie a son siège depuis plus de deux siècles en Angleterre ; que la France, avec Napoléon, a exporté la révolution dans toute l’Europe, en semant des loges dans les territoires occupés ; qu’en Italie, le Piémont a joué un rôle fondamental dans la destruction de l’ordre ancien. Sans parler du rôle très important de l’Humanisme italien au début de la révolution anthropocentrique, on ne peut contester que ce même Humanisme plonge ses racines dans le judaïsme talmudique, ou encore que les centrales mondialistes actuelles ont presque toutes leur siège aux États-Unis.

Ces éléments ne peuvent être passés sous silence par quiconque veut sérieusement écrire l’Histoire ou écrire sur l’Histoire.



samedi, avril 25, 2020

Victoire ! la volte-face du gouvernement Legault

"Ils avaient tous tort, ces salopards de journalistes !"

(Durée 41:02)

"Le Gouvernement Legault CONFIRME l'analyse de radio-Québec au sujet de la fraude statistique concernant les "morts du Covid". Les recherches de Radio-Québec ont contribué au changement de politique sur le confinement."

A qui profite l'opération Covid-19 ?

La crise Covid-19, prétexte à un confinement qui est un sabordage économique, va-t-elle permettre la refondation d’un nouvel ordre mondial entièrement dominé par la finance apatride ?

"Aujourd’hui, dit Mesloub Khider, le manque de réactivité des Etats devant la pandémie du Covid-19 s’éclaire à la lumière de l’actualité a posteriori moins dramatique en matière de mortalité que les prévisions catastrophistes annoncées par les médias inféodés aux puissances financières (l’Impérial Collège annonçait insidieusement, au début de l’épidémie, pour créer un climat de psychose légitimant les mesures de confinement et d’arrêt de l’économie, des millions morts).

Tout s’était passé comme si toutes les conditions avaient été délibérément réunies pour favoriser la stratégie de confinement avec son corollaire d’arrêt de l’économie. Ces «défaillances» sanitaires programmées, illustrées notamment par les carences en matière d’urgence médicale et l’absence d’équipements médicaux, dévoilent la stratégie du chaos fomentée par les différents gouvernements inféodés aux puissances financières. L’absence d’adoption de mesures sanitaires précoces, telles que les contrôles aux frontières et aux aéroports, la défaillance des masques, tests, gants, gels hydro-alcooliques, respirateurs, les campagnes de dénigrement à l’encontre du professeur Didier Raoult constituent des preuves irréfutables de la volonté des pouvoirs (contrôlés par les puissances financières) de saborder délibérément la «santé» économique et sanitaire des pays occidentaux (et, par extension, des autres pays dépendants, notamment les pays pauvres, entraînés malgré eux dans cette débâcle), aux fins d’enclencher cette «mutation» du capital financier, ce virus plus dangereux que le coronavirus. Cette stratégie criminelle dévoile la nature perverse des classes dirigeantes contemporaines. [...]

(...) le Covid-19 a constitué, pour l’oligarchie financière, une opportunité inespérée pour accélérer ce processus de purgation de l’économie et de gouvernance mondialisée assurée par les banques centrales, désormais seules institutions capables de renflouer les trésors publics des Etats, devenant ainsi les nouveaux maîtres et décideurs du monde.

Pour en savoir plus :

"Coup d’Etat planétaire ourdi par l’oligarchie financière" de Mesloub Khider :


vendredi, avril 24, 2020

Le confinement, un coup d’Etat planétaire ourdi par l’oligarchie financière

"Le peuple américain" contre le confinement ?

(Durée 4:01)

"La « fièvre du confinement » qui s’installe et des coûts financiers qui augmentent... Les manifestants américains pensent que reprendre la vie «normale» d'avant vaut le risque d'attraper le Covid-19. Dans cette vidéo s'expriment ceux qui, aux États-Unis, estiment que leur survie économique et leur liberté est menacée. Ils demandent la levée du confinement."


Coup d’Etat planétaire ourdi par l’oligarchie financière

par Mesloub Khider


«Que chaque nation crèverait, qui cesserait de travailler, je ne veux pas dire pendant un an, mais pendant quelques semaines, chaque enfant le sait», Karl Marx, lettre à Ludwig Kugelmann, 11 juillet 1868. Comment les dirigeants les plus éminents, formés dans les plus grandes universités, ont-ils oublié ce truisme ? Quelles sont les véritables motivations de la stratégie politique de confinement totalement préjudiciable aux intérêts économiques et sanitaires des pays ? Aujourd’hui, il est clairement établi, eu égard aux conséquences catastrophiques provoquées par la décision d’arrêter la production (du moins certains secteurs secondaires), qu’il s’agit là d’un véritable sabordage généralisé de l’économie machiné par quelques fractions du capital financier aux intérêts menacés d’éclatement ces derniers mois, consécutivement à la fragilisation de la sphère spéculative.

Aussi ce sabordage de l’économie répond-il à un plan machiavélique et non à une «décision irrationnelle» des gouvernants, ces représentants des peuples censés défendre l’intérêt national et protéger les populations laborieuses des calamités économiques et sanitaires, mais en vrai entièrement soumis aux puissances financières. A l’évidence, les intérêts «sanitaires» ayant présidé à la stratégie de confinement sont totalement opposés aux intérêts vitaux des nations.


Une chose est sûre : le désordre et le cataclysme économiques actuels ne doivent rien au hasard. Ce désordre apparent s’inscrit dans la stratégie de la théorie du «chaos constructif» (ou «destruction créatrice», selon l’expression de Joseph Schumpeter) visant la mise en œuvre accélérée de la gouvernance mondiale du capital financier, dominé par la finance occidentale. A cet égard, dans un contexte de crise économique aiguë et de menace d’éclatement imminent de la «bulle financière», le Covid-19 a constitué, pour l’oligarchie financière, une opportunité inespérée pour accélérer ce processus de purgation de l’économie et de gouvernance mondialisée assurée par les banques centrales, désormais seules institutions capables de renflouer les trésors publics des Etats, devenant ainsi les nouveaux maîtres et décideurs du monde. En effet, ces récentes dernières années, le différentiel entre l’économie réelle anémiée et la sphère financière artificiellement gonflée menaçait d’éclatement. Par cette opération de purge économique, exécutée à la faveur de l’apparition du coronavirus, le capital financier escompte relancer l’économie à son profit, après avoir éliminé les secteurs et les entreprises insuffisamment adaptés à la globalisation contemporaine.

C’est dans cette perspective qu’il faut inscrire cette ultime tentative de sauvetage du capitalisme opérée par les fractions «modernistes» de la finance. Cette opération, effectuée dans une période de paix, donc sans conflits armées, a pour dessein la destruction simultanée d’une grande partie des forces productives (comme lors des deux Guerres mondiales) et d’une partie des capitaux financiers superflus, afin d’éviter, dans ce dernier cas, la réitération rapide de la constitution de la «bulle financière» susceptible de compromettre la reconstruction économique envisagée par les tenants de ce coup d’Etat financier.

De manière générale, le processus de financiarisation du capitalisme, en vigueur depuis plus de trois décennies, ne résulte pas d’un dévoiement politique opéré par des Etats malveillants ou par des investisseurs avides d’argent facile, mais de la chute de la rentabilité des investissements «productifs», autrement dit du secteur de l’économie réelle, seule activité productrice de plus-value. Cette baisse drastique de la rentabilité dans l’économie réelle est due à l’augmentation exponentielle de la rentabilité du travail, obtenue grâce à l’accroissement considérable de l’automatisation des entreprises et de l’extension de la robotisation. Cette augmentation de la rentabilité entraîne inévitablement la réduction de la main-d’œuvre et, corrélativement, la diminution du capital injecté dans le circuit de la consommation via les salariés du secteur productif désormais réduits à la portion congrue, détruisant ainsi la dynamique de croissance du cycle production-consommation. Aussi, faute d’une relance durable de l’économie capitaliste, devenue impossible dans le cadre du fonctionnement actuel du système sclérosé, les fractions les plus «modernistes» du capital financier, se sont-elles résolues à œuvrer à la refondation d’un nouvel ordre mondial entièrement dominé par leur classe financière dominante.

Aujourd’hui, le manque de réactivité des Etats devant la pandémie du Covid-19 s’éclaire à la lumière de l’actualité a posteriori moins dramatique en matière de mortalité que les prévisions catastrophistes annoncées par les médias inféodés aux puissances financières (l’Impérial Collège annonçait insidieusement, au début de l’épidémie, pour créer un climat de psychose légitimant les mesures de confinement et d’arrêt de l’économie, des millions morts).

Tout s’était passé comme si toutes les conditions avaient été délibérément réunies pour favoriser la stratégie de confinement avec son corollaire d’arrêt de l’économie. Ces «défaillances» sanitaires programmées, illustrées notamment par les carences en matière d’urgence médicale et l’absence d’équipements médicaux, dévoilent la stratégie du chaos fomentée par les différents gouvernements inféodés aux puissances financières. L’absence d’adoption de mesures sanitaires précoces, telles que les contrôles aux frontières et aux aéroports, la défaillance des masques, tests, gants, gels hydro-alcooliques, respirateurs, les campagnes de dénigrement à l’encontre du professeur Didier Raoult constituent des preuves irréfutables de la volonté des pouvoirs (contrôlés par les puissances financières) de saborder délibérément la «santé» économique et sanitaire des pays occidentaux (et, par extension, des autres pays dépendants, notamment les pays pauvres, entraînés malgré eux dans cette débâcle), aux fins d’enclencher cette «mutation» du capital financier, ce virus plus dangereux que le coronavirus. Cette stratégie criminelle dévoile la nature perverse des classes dirigeantes contemporaines.

Le Covid-19 n’a constitué qu’un prétexte opportun à la mise en œuvre de cette politique de sabordage économique, opérée «au nom de la sauvegarde sanitaire». Or, d’un point de vue purement comptable, cette stratégie de confinement est dramatiquement coûteuse. Si l’on met en balance le coût de fabrication ou d’achat des matériels sanitaires et médicaux et de construction d’établissements de soins complémentaires, même réalisés dans l’urgence, et le coût économique d’un arrêt complet de la production avec ses désolations collatérales en matière de chômage pandémique et de faillite d’entreprises, on constate immédiatement que la première option d’investissement urgente est plus rationnellement adaptée aux intérêts du pays, tant au niveau sanitaire qu’au niveau économique.

Aussi, compte tenu de ces éléments, il est manifestement évident que le sabordage généralisé de l’économie constitue bien une planification ourdie par les élites financières et non l’œuvre d’une décision «irrationnelle» politique. C’est l’oligarchie financière mondiale dont les capitaux étaient menacés par l’éclatement imminent de la «bulle financière» qui a actionné cette opération de sabordage pour accélérer en sa faveur le processus de financiarisation de l’économie. Cette mutation économique était devenue la priorité primordiale pour les grands financiers mondialistes, bien avant l’intérêt national. Pour preuve de la mainmise des financiers dans ce coup d’Etat économique mené sous couverture sanitaire, la faiblesse de la perte du capital financier enregistrée au niveau des bourses, depuis le début de la crise sanitaire du Covid-19 : comparativement à la crise de 2008, aujourd’hui les pertes sont plus faibles. Et comment expliquer cette faiblesse en matière de pertes boursières ? La réponse est dans la question.

En tout état de cause, cela prouve une chose : l’intérêt du capital financier est radicalement distinct des nations et des peuples.

Le capital financier est, sous le rapport de la «valeur», un capital factice, mais aux capacités réelles de domination économique et politique. Actuellement, placé devant une crise insurmontable, le capital financier, dirigé par une élite cynique, a décidé de régler à sa manière les contradictions du capital. Quitte, comme on l’observe aujourd’hui, à tenter des «solutions» dramatiquement préjudiciables pour les économies nationales et les populations, les premières condamnées à la faillite, les secondes à la famine.

Le capital financier est sans foi, ni loi. Pour pérenniser sa domination de classe au moyen d’une restructuration du capitalisme, il est disposé à sacrifier des pans entiers de l’économie planétaire et à réduire à la misère des centaines de millions de personnes. Quitte à financer la «nouvelle économie», reconfigurée selon les intérêts du capital financier, par les Etats, autrement dit avec l’argent des contribuables (des travailleurs) et l’endettement. Or, l’endettement de l’Etat est assuré par les banques centrales. Aussi, avec l’expansion actuelle de l’endettement des Etats, se profile inéluctablement la perte de contrôle sur le développement de leur économie, aujourd’hui plus que jamais obéré par la crise précipitamment enclenchée par le capital financier. Avec l’aggravation de la crise économique, ces mêmes Etats sont condamnés à recourir au crédit pour renflouer leur trésorerie anémiée afin de subventionner leurs rares survivantes entreprises, assurer la survie de leurs populations affamées par le nouvel ordre économique génocidaire qui se dessine. Inexorablement, pour bénéficier des crédits, les Etats doivent passer sous les fourches caudines des banques centrales. Autrement dit, les Etats vont devoir capituler devant le capital financier, abandonner leur indépendance.

Lentement mais sûrement, le pouvoir de l’oligarchie financière étend sa domination sur tous les pays, y compris contre une grande partie de la petite et moyenne bourgeoisie, aujourd’hui précarisée, paupérisée, prolétarisée, néanmoins toujours pleine d’illusions sur les magnificences du capitalisme.

Qui a dit que le prolétariat avait disparu ? N’est-ce pas plutôt à la disparition définitive des «classes petites et moyennes bourgeoises» que nous assistons. A leur prolétarisation rampante, à leur précipitation irréversible dans la misère et la mendicité, à leur clochardisation. Aujourd’hui, Marx a gagné contre ses détracteurs qui encensaient le capitalisme triomphant, assurant éternellement bonheur et prospérité, élévation constante du niveau de vie, ascension définitive sociale, disparition de la paupérisation, le triomphe irréversible des classes moyennes, signant la fin de l’histoire, etc. (sic). Aujourd’hui ne subsiste sur la scène historique que deux classes antagoniques : la bourgeoisie et le prolétariat. La première nous mène vers l’hécatombe. Le second doit empêcher cette perspective par son devoir de s’atteler à remplir sa mission historique d’émancipation de l’humanité, autrement dit la fin de la société de classes.

Source : 

STOP CONFINEMENT !

(Durée 4:17)

Monsieur K :
STOP CONFINEMENT !

Trouvons une date de sortie avant que nos maîtres nous l'imposent ! 

Mensonge mondialiste dans une France occupée !

ATTALI : "Cette crise est volontaire et choisie ! Seul un vaccin nous en sortira."

(Durée 5:35)

Chez Néo :

"Ecoutez un des chantres du mondialisme ! Vous saurez ce que les globalistes ont décidé pour l'humanité... Vaccin et technologie de surveillance : le projet pour le monde d'après..."

Attali : "Cette crise est volontaire et choisie ! Seul un vaccin nous en sortira..."

[Extrait d'un commentaire sur Attali : "(...) c'est un Sabbataïste (frankiste) luciférien, un criminel de la pire espèce. C'est lui qui nous  a mis Macron, n'oubliez pas ! Ils ne se cachent même plus, c'est dire l'état d'endormissement des masses laborieuses sous sédatif financier..."]

Créer des problèmes, puis offrir des solutions. "Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter."


Les 10 techniques des maîtres du monde pour la manipulation de l'opinion publique et de la société


1. La stratégie de la diversion. 

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. 


2. Créer des problèmes, puis offrir des solutions.

Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


3. La stratégie du dégradé.

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées depuis les années 1980 à maintenant. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.


4. La stratégie du différé. 

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. Exemple: les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.


5. S'adresser au public comme à des enfants en bas-âge. 

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi? Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans.


6. Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion. 

Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…


7. Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise. 

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé entre l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures.


8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité. 

Encourager le public à trouver sympathique le fait d'être bête, vulgaire, et inculte…


9. Remplacer la révolte par la culpabilité. 

Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'autodévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution !


10. Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes. 

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que, dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Source : http://www.wikistrike.com

jeudi, avril 23, 2020

Jérôme Salomon, le Croque-Mort de la Honte


(Durée 2:25)

Alexandre Lebreton :
"Enfumage : le croque-mort de la honte JÉRÔME SALOMON compare le Covid-19 à la grande peste de 1348.

Tremblez les Gueux ! Le Croque-Mort de la Honte, Jérôme Salomon, ose comparer la pandémie minime du Covid-19 avec deux des plus grandes hécatombes sanitaires mondiales : la Grippe Espagnole et la Peste Noire... Quelles sont ses motivations profondes ? Remettons les choses en place en visualisant une représentation à l'échelle des pires pandémies..."


Le "croque-mort de la honte" qui terrorise les Français est-il animé par une haine tribale ? 

Jérôme Salomon est le petit-fils de Simone Lévy qui s'opposa à la politique du maréchal Philippe Pétain durant la Seconde Guerre mondiale. Simone Lévy (1918-2004) était la petite-fille du capitaine Alfred Dreyfus (1859-1935), condamné en 1894 pour espionnage au profit de l'Allemagne, puis réhabilité en 1906.

Jérôme Salomon ne doit pas accepter que, comme l'écrit Monique Delcroix, "d'un point de vue historique la question de l'innocence de Dreyfus n'est pas résolue. [...]

Alfred Dreyfus reste suspect. Incontestablement, son écriture ressemble à celle du bordereau. Incontestablement, il cherchait à connaître des secrets militaires à la limite de son service. Incontestablement, il a été en relation avec une espionne autrichienne. Tout cela est peut-être fortuit, mais peut-être pas.

Pour être sûr de l'innocence de Dreyfus, il faudrait être sûr de la culpabilité d'Esterhazy. Et là, rien ne va plus."

Livre : Dreyfus-Esterhazy : Réfutation de la vulgate de Monique Delcroix.


Mettre fin à la pandémie de la peur !

(Durée 20:14)


Il est temps de nous réveiller ! 


Ce n'est pas un virus qui nous menace mais la peur qui nous fait attendre un secours extérieur, vaccin ou médicament ! Nous sommes des êtres magnifiques et puissants, sortons des prisons des idées reçues et des mensonges des médias.

Comprendre enfin ce qui se passe après
de Johanne Razanamahay (Auteur), 
Christian Tal Schaller (Préface)

Choisissons-nous le moment et les circonstances de notre mort ? Que se passe-t-il vraiment quand nous quittons notre corps physique ? 


Ce livre extraordinaire est le fruit d'une collaboration entre l'auteur et son frère Raffali, assassiné en 1992 à Madagascar. Peu après son décès, il apparut à sa sœur et lui raconta en détail le processus de la mort du corps physique et les étapes qu'il eut à franchir pour atteindre les sphères célestes. Il explique comment nous devons traverser le bas-astral, qui correspond à l'enfer, pour gagner ensuite les mondes de lumière où nous attendent les anges et les guides spirituels. Il montre que chaque être humain est pleinement responsable de ce qui survient dans sa vie et dans son voyage dans l'au-delà. Il est donc vital que chacun soit informé et préparé à ce passage dans d'autres dimensions.


Le plus extravagant coup d’Etat anticatholique de l’histoire



Confiner le christianisme à la sphère privée. "Ce que ni Lénine, ni Trotski, ni Staline, ni Hitler, ni Robespierre, ni Combes, ni Commode, ni Dèce, ni Dioclétien, ni le plus féroce des califes, n’a réussi, le gentil Emmanuel Macron l’a fait."

Après le coronavirus :
éthique, spiritualité et religion


Emmanuel Macron l’a dit : dans la guerre contre le coronavirus nous devons d’abord songer aux « plus vulnérables ». Il est descendu dans le détail de cette sollicitude. En particulier les familles ont désormais la permission d’aller dire au revoir à leurs aînés qui vont passer.

Ici gît un mensonge par inversion [...] : le pouvoir fait le contraire de ce qu’il dit, il embrasse les vieux, mais c’est pour mieux les étouffer. Ce que le coronavirus glisse en effet doucement dans la tête des gens, c’est qu’il va peut-être falloir laisser mourir les malades les plus âgés sans les traiter. Il se dit que la plupart des intubés de longue durée sont des vieux et que plus de la moitié d’entre eux finit mal. Pour la prochaine pandémie, on se demande en conséquence s’il est bien raisonnable de dépenser tant d’argent, de fatiguer le personnel et d’occuper un matériel précieux pour des gens qui n’en ont de toute manière plus pour longtemps, aux dépens de malades qui ont des chances réelles de s’en sortir.

Le décret utilisant le Rivotril par les pharmacies d’officine pour les patients atteints du Covid-19 ressemble à une première étape sur ce chemin. Ce médicament est contre-indiqué dans le cas d’insuffisances respiratoires graves : on a donc parlé de permis d’euthanasie subreptice. Ce n’est pas tout à fait cela mais… Dans "Famille chrétienne", Jean Fontant, médecin conseil d’Alliance VITA, explique que le Rivotril est déconseillé aux malades de BPPCO (bronchopneumo-pathologie chronique obstructive) dont il peut détruire les poumons fragiles, mais qu’il est donné en soins palliatifs à des patients en fin de vie dont les poumons sont déjà détruits pour soulager la souffrance et l’angoisse, comme la morphine ou le Valium. Parfois cela abrège, très peu, la vie, d’autres fois, en mettant les muscles au repos, ça l’allonge un peu.

L’argumentation est recevable, mais, peu à peu, en amenant la réflexion et la pratique sur la limite de la vie, on habitue l’esprit du public à penser que son respect est moins important que la souffrance ou la « dignité ». Ainsi les plus âgés deviennent-ils pour beaucoup une sorte de variable d’ajustement des dépenses de santé. Témoin la toute récente proposition d’une parlementaire néerlandaise, Corinne Ellemeet, des Groenlinks (gauche écolo) de diminuer les traitements médicaux des plus de 70 ans. Or cette façon de voir est approuvée dans certains pays par une part importante de la population. Le grand quotidien belge Le Soir a ressorti un sondage lancé en 2013 par l’INAMI, l’équivalent de la SS belge, où 37,1 % des Belges approuvaient le moyen suivant de réduire le trou de l’INAMI : « en n’administrant plus de traitements coûteux qui prolongent la vie des plus de 85 ans ». 35,2 % le désapprouvaient, et 27,7 % se disaient « neutres ». Il n’y a donc qu’un tiers des Belges qui s’opposaient à l’euthanasie.

L’attention portée aux « plus faibles », aux « plus fragiles », en apparence si conforme aux enseignements chrétiens, ne leur est donc en rien conforme. On en a une autre illustration dans les EHPAD, dont le coronavirus a transformé certains en mouroirs. Leur personnel n’est pas en cause, mais le confinement imposé par le gouvernement, qui n’a pas laissé les familles reprendre provisoirement leurs parents auprès d’elles pour leur éviter la contamination dans l’EHPAD. Ici se remarque un nouveau mensonge par inversion du pouvoir : on parle des familles, mais le confinement aura eu pour effet de les séparer pendant deux mois.

Dernier point, le confinement a été présenté par ses promoteurs comme une occasion de progrès spirituel. Sur le thème : on n’a rien à faire, sans doute est-ce mauvais pour le porte-monnaie, mais on peut en profiter pour faire autre chose. « Lire, se cultiver », comme le proposait Emmanuel Macron. Ou, mieux, se retourner sur soi-même, penser, quitter ses mauvaises habitudes. Edgar Morin l’a dit : « Commencer la détoxication de notre mode de vie ». Vu comme ça, le confinement serait l’occasion d’une conversion.

C’est une imposture. Face à ces mots se dresse la réalité du confinement. Pour beaucoup, l’abus des réseaux sociaux, les jeux vidéo jusqu’à la frénésie, la pornographie gratuite (les médias ont signalé avec complaisance la croissance des ventes des sex-toys). Pour tous, l’éloignement, la distanciation sociale, la raréfaction des contacts physiques, une immersion dans le virtuel, une sorte d’individualisme de masse.

Et, brochant sur tout cela, une rupture des Français avec ce qui leur restait d’habitudes catholiques. Pâques est la plus grande fête chrétienne. La Résurrection du Christ. Le confinement a fermé les églises. Les fidèles n’ont pas communié. Ils ne se sont même pas retrouvés autour de leurs pasteurs pour célébrer la Résurrection. Les cloches n’auront pas sonné à toute volée. Pour les Rameaux, la fête la plus sociale du calendrier liturgique, la commémoration de l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem, les Français étaient cloîtrés chez eux. Et cela aura duré au moins huit semaines. Huit semaines d’interruption de pratique, huit semaines d’interruption du christianisme. Ce que ni Lénine, ni Trotski, ni Staline, ni Hitler, ni Robespierre, ni Combes, ni Commode, ni Dèce, ni Dioclétien, ni le plus féroce des califes, n’a réussi, le gentil Emmanuel Macron l’a fait. Il a supprimé le dimanche. Il a coupé le lien immémorial de l’ouaille à son curé. Le rêve du libéralisme religieux, le seul rêve commun à Bismarck et Jaurès est exaucé par le président de la République : le christianisme est confiné à la sphère privée, à domicile.

Le pire est que l’Eglise l’a accepté. Le pape en son Vatican n’a pas protesté. Nos évêques se sont inclinés. Ils sont même allés au-devant des exigences de l’adversaire : avant que le confinement ne fût déclaré, ils avaient interdit la communion sur la langue, dont on ne voit pas bien en quoi elle favoriserait plus la contagion que la communion dans la main. Pour les enterrements, le gouvernement ayant exigé d’abord que moins de vingt personnes les suivent, la Conférence des évêques de France a renchéri, demandant « aux proches d’être le moins nombreux possible ». Et les familles ont suivi, volens nolens. De même que les fidèles ont suivi, abandonnant la messe et la pratique sans même prendre garde aux fêtes d’obligation.

Le fidèle et le proche sont aussi bons citoyens que le prêtre et le croque-mort. Au-delà même du catholicisme, cet abandon accepté des parents morts est une rupture telle que l’homme n’en avait pas connue depuis qu’il est homme. Babel en construction ne se soucie pas plus du service de Dieu que du devoir des hommes.

Une touche de vilenie caractérisée s’ajoute à la tyrannie du pouvoir et la lâcheté des hommes d’Eglise : les voisins de Saint-Nicolas-du- Chardonnet à Paris, ayant entendu de l’orgue dans l’église en pleine nuit, ont dénoncé la chose au commissariat du quartier, qui a verbalisé. La presse s’est emparée de la chose, disant que les traditionalistes avaient enfreint les lois de la République et défié celle ci, dans une messe clandestine suivie « par de nombreux fidèles » (Le Point). TF1 a même titré : « Coronavirus : la grosse fiesta de Saint-Nicolas-du-Chardonnet ». Renseignement pris, il s’agissait d’une messe de la vigile pascale à laquelle n’assistaient que les desservants et de très rares assistants triés, et qui, transmise sur Youtube, n’avait rien de clandestin. Mais cela a donné lieu à un déluge d’anticatholicisme, la presse quotidienne régionale reprenant massivement les sottises de sa consœur parisienne, et certains hommes politiques se lâchant, tel Jean-Luc Mélenchon.

On regrettera donc que l’Eglise qui est en France se soit pliée, sans exception connue, aux exigences de l’Etat usurpateur, d’autant plus que la soumission n’a pas empêché les agressions. Usurpateur, le mot est fort mais il est approprié : le confinement n’ayant pas de valeur médicale, c’est bien d’un abus de pouvoir, d’une usurpation que s’est rendu coupable l’Etat en demandant aux Eglises (dont le nom signifie assemblée) de ne pas recevoir des assemblées de fidèles. Il s’agit en fait de la subordination de Dieu à César. L’Etat impose son autorité à l’Eglise en prétendant se fonder sur la science, et c’est en plus une imposture puisque la science n’est ici qu’une idole, et que l’analyse scientifique ne conclut pas à la nécessité de confiner. En acceptant la fausse autorité en cascade de l’Etat et de la science, l’Eglise se laisse outrager et voit bafoué son pouvoir spirituel. Elle entérine le plus extravagant coup d’Etat anticatholique de l’histoire.

Extrait de la brochure téléchargeable gratuitement de Reinformation.tv pour décrypter la crise du Covid-19 :



mercredi, avril 22, 2020

Marcel sur le complotisme et l'actualité oubliée

(Durée 7:51)


Hannibal, dans Rivarol : 

"(...) le Covid-19, a travers le confinement, est un choc décisif visant à l’établissement d’un gouvernement mondial. Les “simulations” d’un Bill Gates ou les “anticipations” de la fondation Rockefeller sont en fait des prescriptions adressées aux institutions internationales et aux Etats. Le coronavirus n’a existé que pour amener l’après-coronavirus.

C’est « l’ébranlement » salué par Macron nécessaire à nous “réinventer”, à « bâtir des solidarités et des coopérations nouvelles » et fixer « le détail de l’organisation de notre vie quotidienne ». La révolution arc-en-ciel crée des hommes nouveaux sur une terre nouvelle grâce au Coronavirus.

Le confinement a d’abord été un choc politique, social et culturel. Il touche à tout. Le monde entier, réduit à une seule peur, se conforme aux objectifs de la révolution : ses habitants confinés applaudissent ensemble l’interdiction de la viande d’animaux sauvage en Chine ou la mise en garde de l’OMS contre les billets de banque. Derrière leurs écrans, ils restent ouverts sur l’univers. Ils pleurent, selon le vœu de Macron, « les morts d’un même virus d’Alger à Pékin ». Ils respectent un rituel de distanciation sociale et de gestes barrières qui satisfait aussi bien les musulmans rigoristes que les féministes, et qui est destiné à durer après le confinement. Jusqu’à 2022, prévoit une étude de l’université d’Harvard.

Le peuple en est content. Il se rue dans la servitude volontaire. Trouve normal que les gendarmes empêchent les Français de partir en vacances ou d’emprunter les chemins de forêt. Signe sa propre attestation dérogatoire de sortie. Dénonce le voisin, dans la meilleure tradition du totalitarisme participatif initié sur les réseaux sociaux. On signale un comportement comme on signale un contenu. Des robots et des drones participent à cette chasse au déviant. Cela compose à l’échelle planétaire un exercice de soumission des peuples.


(Un pdf gratuit pour décrypter la crise du Covid-19)

Certains s’étonnent que le grand capital, qui à leur avis mène le monde, consente à gaspiller ainsi des milliers de milliards. On a commencé à calculer la perte du coronavirus. On parle de 8 ou 10 % du PIB mondial, peut-être plus. "Dans la matrice globalitaire" donne une réponse intéressante. La révolution arc-en-ciel n’a pas le profit pour but. Le volet économique du rapport de la montagne de fer dont je vous ai récemment parlé montre que la guerre se caractérise par un gaspillage d’argent : il propose que la lutte contre l’ennemi commun fictif, destinée à la remplacer, entraîne un gaspillage équivalent. Le montant en est même fixé, « 10 % du PIB mondial ». Or c’est « 10 % du PIB mondial » qu’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, a demandé que les Etats mettent à la disposition des Nations Unies pour gérer la crise du coronavirus !

Les héritiers de la montagne de fer organisent depuis plusieurs décennies, à travers les normes imposées par l’écologisme, la destruction de l’économie du Nord jugée injuste, et le pillage du Nord par le Sud. Le gaspillage du coronavirus ajoute un coup décisif à cette ruine et lance la décroissance. Les premières mesures de relance, comme aussi la “solidarité” prônée, annoncent la socialisation de nos économies. La baisse de niveau de vie des pays riches s’accentuant, pour que les peuples d’Europe ne se révoltent pas, leurs gouvernements distribueront des aides sociales. Cela permettra, malgré un simulacre passager de retour aux frontières, de rétablir le libre-échange que Marx jugeait utile à la révolution. Hier nécessaire à la croissance, l’ouverture des frontières le sera demain à la décroissance. Et cette décroissance amènera le gouvernement mondial. Edgar Morin écrit dans son livre Terre-Patrie : « Comment décélérer ? […] C’est un problème qui, à l’ère de l’interdépendance, ne peut être traité par une nation seule, qui sinon se retrouverait dans une autarcie asphyxiante ». L’altermondialisme est un mondialisme : l’arc-en-ciel inclut tout ce qui le sert.

On terminera sur la notion de « désastre idéal ». Les auteurs la tirent d’un livre, La Stratégie du Choc, ou la montée d’un capitalisme des désastres. Son auteur, la Canadienne Naomi Klein, née à Montréal de hippies juifs d’extrême gauche militant contre la guerre du Vietnam, y soutient la thèse suivante : chaque crise mondiale énorme (« désastre ») est l’occasion pour « le capitalisme » d’exercer un choc sur les populations, qui détruit leur identité comme le choc psychologique de la torture détruit la personnalité de celui qui s’y trouve soumis.

Si on remplace capitalisme par révolution arc-en-ciel, cette hypothèse, mise en résonance avec le rapport de la montagne de fer, nous donne une clé : peur systémique et globale, le coronavirus, faisant peur à tout le monde maintenant et partout, et touchant à tout, santé, économie, écologie, est le désastre idéal pour provoquer le choc révolutionnaire.

Le désastre démographique virtuel de la pandémie et le désastre économique réel qu’on organise grâce à lui, mettent le globe en état de choc et détruisent les repères anciens de ses habitants, provoquant une progression brutale de la révolution.

Quant à la nature spirituelle de celle-ci, la place manque pour en parler, mais "Dans la matrice globalitaire" y consacre un grand chapitre : elle est profondément, radicalement, violemment anticatholique. Le lecteur en aura constaté un exemple : pas de grand messe à Pâques cette année, deux mois sans messe. Ni dictateurs ni républicains ni mollahs n’y étaient jusqu’ici parvenus malgré des flots de sang. Tout en douceur la révolution arc-en-ciel y parvient avec un virus. Correctement manipulée, la peur de mourir est une passion toute-puissante. Le Malin est très malin."



La brochure téléchargeable gratuitement de Reinformation.tv pour décrypter la crise du Covid-19 :

Coronavirus : Dans la Matrice globalitaire 



mardi, avril 21, 2020

Microsoft publie (et supprime) une pub avec l'occultiste Marina Abramovic

(Durée 1:58)

DMS Archives a retrouvé la pub de Microsoft

De répugnantes performances artistiques avec sang, sperme, lait maternel, urine... ainsi que des parodies de cannibalisme (Spirit Cooking) ont contribué à la célébrité de Marina Abramovic, surtout parmi les élites dégénérées, probablement adeptes de rites sataniques et pédocriminels.

Microsoft publie (et supprime) une pub avec l'occultiste Marina Abramovic 


Vendredi Saint, Microsoft a publié une vidéo faisant la promotion de son association avec l’artiste préférée de l’élite : Marina Abramovic. Après un contrecoup massif, la vidéo a été définie comme «privée» et toutes les traces de la campagne ont été effacées du site officiel de Microsoft. Voici en quoi consistait ce fiasco.

Pour promouvoir son appareil à réalité mixte Hololens 2, Microsoft s’est associé à l’éminente occultiste Marina Abramovic pour créer un projet artistique nommé The Life. Dans une vidéo promotionnelle publiée sur le compte YouTube officiel de Microsoft, Abramovic est décrit comme "l’artiste de performance la plus légendaire qui travaille actuellement".

Le projet artistique consiste que des personnes portant l’appareil Holohens assistent à une version fantomatique d’Abramovic apparaissant de nulle part en se promenant tout en portant une robe rouge symbolique.

Dans la vidéo, qui a été publiée le Vendredi Saint, Marina dit que le projet lui permet d’atteindre une forme d’immortalité.


"The Life traite de ce qui va rester après que je ne sois plus là, et que je puisse me regarder en face, de cette expérience effrayante. Vraiment comme si vous faisiez face à votre propre fantôme, mais c'est toujours cette grande idée de l'immortalité. Une fois que vous mourrez, l'œuvre ne pourra jamais mourir car l'œuvre d'art peut continuer. En performance, l'oeuvre n'est que dans la mémoire du public et nulle part ailleurs. Ici, je suis conservée pour toujours."

La vidéo n’a pas été bien reçue du tout. Après un flot de commentaires négatifs et environ 90% de pouces vers le bas, Microsoft a défini la vidéo sur “privée”. Comme rien ne peut être vraiment supprimé d’Internet, la vidéo a été re-téléchargée par d’autres sources.

Microsoft a également supprimé toutes les traces de la campagne de son site officiel – bien qu’elle apparaisse toujours dans les résultats de recherche Google.




Dans ce photoshoot magazine, Abramovic se tient devant un modèle avec ses entrailles exposées.


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lundi, avril 20, 2020

Faut-il piquer Bill Gates ?

(Durée 22:16)

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