dimanche, avril 26, 2020

Jacques Attali et la symbolique occulte maçonnique de la Gorge Tranchée

(Durée 7:56)



Alexandre Lebreton :

L'homme qui semble se faire menacer/intimider par Attali est Yann Moulier-Boutang, économiste et essayiste français. Possiblement FM. Il se fait menacer au moment où il met sur le tapis l'endettement à la haute finance internationale à 1:10

Au premier degré : après que le Vénérable Maître ait dit : « Voyez-vous un inconvénient a prêter votre serment sur le Volume de la Loi Sacrée » le futur initié reprendra : « Si je devais y manquer, d'avoir la langue arrachée et la gorge coupée, et d'être jugé comme un individu dépourvu de toute valeur morale est indigne d'appartenir à la franc-maçonnerie ». 


Au deuxième degré : Après que le Vénérable Maître ait dit : « Êtes-vous disposé à prêter ce serment » le récipiendaire dira : « Si je manquais à ces engagements, de m'arracher le cœur de la poitrine et le jeter aux rapaces de l'air et aux voraces des champs, comme une proie et de disparaître de la mémoire de mes frères »


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Franc-maçonnerie et schizophrénie (Comprendre les arcanes du pouvoir).


La vidéo fait allusion au livre d'Epiphanius : "Maçonnerie et sectes secrètes - Le coté caché de l'histoire". 

Dans ce livre, il est écrit :

Jacques Attali, affilié à la haute maçonnerie juive du B’nai B’rith, conseiller économique de l’ex-Président français Mitterand et premier Président de la BERD, la banque créée pour financier la reconstruction et le développement dans les pays ex-communistes, écrivait dans son livre « L’avenir de la vie » : « Quand il arrive vers 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et coûte cher à la société [...]. L’euthanasie sera l’un des instruments essentiels de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste de liberté, la liberté fondamentale est le suicide. Le droit au suicide, direct ou indirect, est donc une valeur absolue dans ce type de société. Des machines à supprimer permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse. Je considère donc que l’euthanasie, dans la société du futur, sera une règle. »

Quelques années plus tard, le même personnage reprenait ce thème d’une façon qui n’était qu’apparemment paradoxale, dans une sorte de dictionnaire où il entendait proposer sa vision du monde du XXIe siècle (et donc évidemment celle des initiés). Pour le mot « Euthanasie », il est dit textuellement :

« Certaines parmi les démocraties plus avancées choisiront de faire de la mort un acte de liberté et de légaliser l’euthanasie. D’autres fixeront des limites précises à leurs dépenses pour la santé, en calculant aussi une dépense moyenne en « droit de vie » que chacun pourra utiliser comme il l’entend jusqu’à épuisement. On créera alors un marché des « droits de vie » supplémentaires sur lequel chacun pourra vendre le sien, s’il est affecté d’une maladie incurable ou s’il est trop pauvre. On arrivera même, un jour, à vendre des « tickets de mort », qui donneront le droit de choisir entre les différents types de fin possibles : euthanasie au choix, mort-surprise pendant le sommeil, mort somptueuse ou tragique, suicide sur commission, etc [...] sa mort comme la mort d’un autre ».



AVERTISSEMENT

Dans la lecture des pages qui vont suivre, que le lecteur garde bien présent à l’esprit qu’il n’est pas d’idée plus étrangère au catholicisme que celle de racisme. Voici ce que dit saint Paul :

« Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n'y a plus ni esclave ni homme libre ; il n’y a plus ni homme ni femme : car tous vous ne formez qu'une personne en Jésus-Christ. Et si vous êtes au Christ, vous êtes donc « descendance » d’Abraham, héritiers selon la promesse. » (Gai. 3, 28-29)

Il est cependant indéniable que la révolution s’est servie, et qu’elle se sert ponctuellement d’une façon particulière, de certains peuples ou de groupes politiques, de la même façon qu’il est indéniable que la maçonnerie a son siège depuis plus de deux siècles en Angleterre ; que la France, avec Napoléon, a exporté la révolution dans toute l’Europe, en semant des loges dans les territoires occupés ; qu’en Italie, le Piémont a joué un rôle fondamental dans la destruction de l’ordre ancien. Sans parler du rôle très important de l’Humanisme italien au début de la révolution anthropocentrique, on ne peut contester que ce même Humanisme plonge ses racines dans le judaïsme talmudique, ou encore que les centrales mondialistes actuelles ont presque toutes leur siège aux États-Unis.

Ces éléments ne peuvent être passés sous silence par quiconque veut sérieusement écrire l’Histoire ou écrire sur l’Histoire.



Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...