jeudi, avril 16, 2020

#STOPCONFINEMENT - La pandémie est terminée

(Durée 57:03)



1) La pandémie est terminée

Les mondialistes doublent la mise
De plus en plus de pays mettent fin aux mesures de confinement
Trump coupe les fonds à l'OMS
Les médias et l'OMS ont du sang sur les mains
Rendre des comptes à la population



2) Les gouvernements occidentaux ont pris les peuples en otage

Nous ne sommes plus en démocratie
Les mesures sanitaires sabordées par nos gouvernements



Le 11 mai 2020

Macron, le golem de Rothschild, envisage de libérer (déconfiner progressivement) les Français à partir du 11 mai, la veille de la fête juive de Lag BaOmer. Cette fête célèbre la fin d'une épidémie qui frappa les disciples du grand Rabbi Akiva "parce qu’ils ne se comportaient pas avec respect". 


Gouvernement mondial, sionisme et pandémie 


Au niveau mondial, l’épidémie de Coronavirus a provoqué une crise sanitaire et économique sans précédente. Comment le sionisme pourrait utiliser cette situation à son avantage ?

À ce stade, dit Youssef Hindi, il est encore trop tôt pour y répondre précisément et définitivement.

Faire de la prospective, visuellement, c’est comme prolonger les courbes correspondant à des tendances sur un diagramme.

Cette épidémie accentue certaines tendances. En d’autres termes, elle constitue, non par sa gravité réelle mais par les mesures prises à l’échelle mondiale et leurs effets rétroactifs, une accélération historique, notamment sur les plans géopolitique et économique.

Ceci étant dit, revenons au sionisme et à Israël, et reprenons les faits chronologiquement : deux mois environs après le déclenchement officielle de l’épidémie en Chine (décembre 2019), l’on apprenait, fin février 2020 par les médias israéliens (Jerusalem Post et i24NEWS) qu’une équipe de scientifiques de l’État hébreu étaient déjà en train de mettre au point un vaccin contre le coronavirus, et qu’il serait prêt quelques semaines après l’annonce et disponible 90 jours après la même annonce faite par le ministre israélien des Sciences et de la Technologie, Ofir Akunis.

Or, le docteur Chen Katz, chef du service de biotechnologie du MIGAL, l’organisme israélien qui est en train de produire le vaccin en question, affirme que leur concept de base est de « développer la technologie, et non spécifiquement un vaccin pour ce type de virus », et de conclure « appelons cela de la chance ».

Il y a manifestement là une précipitation israélienne qui relève plus du domaine du marketing que de celui de la science. Ceci traduit une volonté ancienne d’Israël d’apparaître comme la nation messianique qui va « sauver l’humanité ».

Mais depuis, une alternative au vaccin est apparue sur la scène publique : l’hydroxychloroquine et le protocole du professeur Didier Raoult.

Suite à cela, le président des États-Unis a annoncé le jeudi 19 mars que l’hydroxychloroquine serait utilisée dans son pays pour combattre le virus. Et dès le lendemain, le vendredi 20 mars, le géant israélien des médicaments génériques Teva a sauté sur l’occasion et a annoncé qu’il allait fournir gratuitement aux hôpitaux américains dix millions de doses de sa molécule antipaludique hydroxychloroquine.

L’entreprise israélienne a précisé que six millions de doses seraient fournies aux hôpitaux américains avant la fin du mois de mars, et plus de dix millions courant avril.

Mais tout cela reste dérisoire au regard de l’ampleur et des implications du phénomène coronavirus. De plus, le sionisme n’est pas un mouvement historique autonome. Il est, et c’est une de mes thèses, une des branches d’un mouvement messianique globale, au sens où ce messianisme a pour finalité de révolutionner, de bouleverser le monde entier ainsi que tous les aspects de la vie humaine, et ce, bien sûr, au niveau politique également.

Par conséquent, il faut relier, dans notre réflexion, le sionisme à sa branche sœur, le globalisme. Et de ce point de vue, la crise du coronavirus constitue une rupture historique, ce que Karl Marx appelait un « saut qualitatif » ; un concept qu’il a, peut-être à son insu, emprunté au messianisme juif ayant structuré également le globalisme ; il s’agit du bouleversement que j’évoquais, permettant de faire passer le monde dans un nouveau paradigme.

C’est ce dont parlait Jacques Attali en mai 2009 quand il écrivait que « l’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur… La pandémie qui commence (le H1N1) pourrait déclencher une de ces peurs structurantes… », et on en viendrait selon lui « beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. »

Cet utopique gouvernement mondial aurait pour capitale, toujours selon Attali, Jérusalem.

Mais ce que l’on constate pour l’instant avec la crise du coronavirus, ce n’est pas une unification de la planète mais un retour à la nation, et un renforcement de la multipolarité.


Cette crise va donc accentuer l’opposition entre globalisme et souverainisme. Quant aux sionistes, on les trouve dans ces deux camps. Si le sionisme est une émanation du messianisme au même titre que le globalisme, il apporte, par opportunisme, instinct de survie et hypocritement, son soutien aux souverainistes.

Mais à mon sens, la multipolarité et le souverainisme (je ne parle pas du nationalisme israélo-compatible) bien compris se retourneront à terme contre le sionisme qui en est l’ennemi ontologique, de la même manière que les nations syrienne, iranienne et russe, constituent des entraves géopolitiques à Israël.

[...]

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Deux questions sur le sionisme à Youssef Hindi


Faut t-il être de confession juive pour être sioniste ?

Non, bien évidemment il se trouve des sionistes non juifs. Des pro-israéliens opportunistes, qui le deviennent, parfois du jour au lendemain, au bénéfice de leur carrière politique ou médiatique.

Et il existe, historiquement, des sionistes de conviction religieuse qui ne sont pas juifs. Il s’agit des chrétiens sionistes, ces évangéliques protestants qui, depuis le XVIIe siècle, soutiennent le projet de rapatriement du peuple juif en Terre sainte et la refondation du royaume d’Israël.


Justement, comment expliquer l’alliance entre l’évangélisme protestant et le sionisme ?


J’ai consacré quelques pages de mon premier ouvrage, Occident & Islam – Tome I : Sources et genèse messianiques du sionisme (2015, Éditions Sigest), à cette alliance.

Au XVIIe siècle, la kabbale et le messianisme juifs ont pénétré et influencé le protestantisme puritain et millénariste. Ces protestants fanatiques, dont faisait partie Olivier Cromwell, ont adopté le projet messianique du judaïsme, consistant, entre autres choses, à rapatrier le peuple juif en Terre sainte, et ainsi « hâter le retour du Christ ».

Plusieurs chercheurs et historiens, à l’instar de Shlomo Sand, ont alors cru que le proto-sionisme était né dans ces milieux protestants anglais du XVIIe siècle ; or, mes travaux ont démontré que l’origine de ce messianisme actif et sioniste, visant à hâter la fin des temps, est d’origine juive et médiévale (XIIIe siècle) et qu’il a influencé un certain protestantisme.

Ce même protestantisme qui s’est implanté en Amérique du Nord avec les Pères pèlerins britanniques qui s’identifiaient aux Hébreux et voyaient dans cette nouvelle terre vierge à conquérir la nouvelle Jérusalem.

Leurs héritiers contemporains sont les dizaines de millions d’évangéliques, chrétiens sionistes. Pour être plus précis, aux États-Unis on compte 100 millions d’évangéliques, et parmi eux 30 millions se disent « chrétiens sionistes ».

Au sein de l’administration Trump, deux des postes les plus importants sont occupés par des évangéliques fanatiques : le secrétaire d’État, Mike Pompeo, et le vice-président Mike Pence.




Le 11 mai 2020, une date qui n'est pas choisie au hasard. C'est la veille de la fête juive de Lag BaOmer, cette fête célèbre la fin de l'épidémie qui frappa les disciples du grand Rabbi Akiva "parce qu’ils ne se comportaient pas avec respect". 

Le 11 (nombre symbolique de l'action satanique de destruction) serait la signature des talmudo-maçons. Voir la vidéo de Pierre Dortiguier : https://www.dailymotion.com/video/xkmxgg

Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...