dimanche, mai 10, 2020

Les Allemands ne croient pas au coronavirus

(Durée 29:12)


Depuis l'Allemagne, Laurent Glauzy nous dit :


Les Allemands désobéissent et les manifestations se multiplient !

Ce que la presse française vous cache


Alors que le peuple français donne l’impression de la plus grande soumission, fort heureusement bon nombre de pays se réveillent, dont l’Allemagne, qui multiplie les manifestations dans la majorité de ses villes.

Alors qu’en France, la pseudo-dissidence liée entre autres à la défense du pédomaniaque Matzneff lance ses vidéos dans l’intérêt de relancer son chiffre d’affaires, en Allemagne le rappeur Xavier Naidoo, qui avait rédigé l’hymne de la sélection nationale de football, appelle à manifester. Ses prochains concerts ont d’ailleurs été interdits.

Alors qu’en France, aucun nationaliste n’est capable de dire que le coronavirus est une mascarade, en Allemagne, les dirigeants de l’AFD, premier parti nationaliste dans les anciens Länder de la RDA, manifestent aux côtés des militants de QAnon.

Ces réalités s’expriment aussi dans la vie quotidienne : les Allemands ne croient pas au coronavirus. Dans les bureaux de poste, la moitié de la clientèle ne porte pas le masque ou le porte mal, sans que celui-ci recouvre le nez ou la bouche. Il en va de même dans les grandes surfaces, où bon nombre franchissent la porte d’entrée en plongeant leur visage dans une écharpe ou un pull avant de la ressortir dans les rayons. Les pancartes qui interdisaient l’accès aux aires de sport il y a à peine une semaine, ont disparu. Et, alors que la messe est interdite en France jusqu’au 2 juin, celle-ci est autorisée en Allemagne et sans masque à condition de respecter 1,50m de « sécurité ».

Bref, la France entière est bien atteinte d’une attitude que l’on pourrait appeler le « syndrome du Marseillais » : « Je parle mais je ne fais jamais rien »…

En témoignage de mes propos, voici un article traduit pourtant du très conventionnel journal Neueste Nachrichten du Land du Bade-Würtemberg du 8 mai 2020, titré « Corona-Proteste in Karlsruhe, Pforzheim und Offenburg: Geht´s nur um Grundrechte? » (Manifestations anti-Corona à Karlsruhe, Pforzheim et Offenburg : ne s’agit-il que de droits fondamentaux?)



Les protestations contre les règles du coronavirus se développent en Allemagne. 

Les gens descendent dans la rue pour protéger leur pouvoir économique et leurs droits fondamentaux. 

Et puis il y a des gens qui voient le coronavirus comme une grande conspiration. Quel rôle jouent-ils ? 

Samedi dernier, une centaine de personnes se sont réunies à Ettlingen pour protéger leurs droits fondamentaux

La veille au soir, environ trois fois plus de gens étaient descendus dans les rues de Karlsruhe. Ils manifestaient contre le port de masques faciaux ou l’introduction de la vaccination

À Pforzheim, les humanistes ont vanté les propos de la vedette nationale, le rappeur Xavier Naïdoo parlant de complot et du canular du coronavirus

Les manifestants étaient aussi présent à Offenburg

Le plus petit dénominateur commun de toutes ces protestations est le profond malaise suscité par le coronavirus et par les mesures politiques que le gouvernement fédéral et les gouvernements des États en tirent. 

Cette Allemagne qui manifeste met en avant son scepticisme quant à l’exactitude des informations officielles sur la pandémie. 

« Je comprends de moins en moins pourquoi il existe des restrictions aussi massives », explique Yvonne Gukelberger-Seele, co-organisatrice du rassemblement d’Ettlingen. Elle pense que trop peu d’experts honnêtes sont entendus dans les débats sur la pandémie du corona. Les médias publics ne lui fournissent que des informations très limitées. Si vous voulez en savoir plus, vous devez faire des recherches sur Internet.

Fondamentalement, il y en a pour tous les goûts. Il y a des scientifiques qui critiquent les statistiques d’infection et les mesures politiques, par exemple, ou qui mettent en garde contre les conséquences économiques. Si vous le souhaitez, vous pouvez également trouver des voix qui déclarent que la pandémie est une punition divine ou une mise en scène de l’élite financière mondiale qui veut cacher un crash économique. 


Dans ces manifestations, Bill et Melinda Gates sont nommés responsables du virus. Ils contrôlaient l’OMS et voulaient subjuguer l’humanité par la vaccination obligatoire – le chanteur soul Xavier Naidoo et le chef de la télévision Attila Hildmann le croient également. 

 Tout cela va un peu trop loin pour Yvonne Gukelberger-Seele d’Ettlingen. Le coronavirus existe sans aucun doute. Et quand il s’est propagé en Allemagne, le verrouillage était probablement la bonne mesure. Cependant, elle est arrivée à la conclusion que le danger de la pandémie est gérable. Par conséquent, elle va dans la rue – tout d’abord avec tous ceux qui le voient de cette façon : « Je ne peux pas évaluer les motivations des participants et les théories auxquelles ils sont attachés. » 

 Alfred Bamberger, qui siège pour le parti nationaliste de l’AfD au conseil municipal de Pforzheim et a participé samedi dernier au rassemblement pour les droits fondamentaux. 

Il y a aussi des gens affirmant que les politiciens s’imprègnent d’un agent rajeunissant obtenu à partir du sang des enfants dans des cavernes souterraines, contre lequel Donald Trump fera campagne. 

À l’évidence, ces propos ne dérangent pas Alfred Bamberger. 

Par exemple, Kraus, qui habite à Achern, un entrepreneur qui dans la crise du coronavirus a perdu de nombreuses commandes et qui a dû travailler dans un grand hôpital régional, déclarait : « Il ne se passait pas grand-chose. Cela m’a un peu intrigué. »


Le dernier ouvrage de Laurent Glauzy :


Gioele Magaldi, qui devait devenir Grand-Maître du Grand Orient d’Italie en 2014, poursuit ses révélations analysées par Johannes Rothkranz, docteur en théologie.

Ainsi, apprenons-nous que la révolution sexuelle de 1968 fut totalement contrôlée par les super-loges, et déjà préparée des décennies auparavant par Sigmund Freud, membre de la franc-maçonnerie juive, le B’naï-B’rith, affirmant en outre : « Je ne crains pas les nazis. L’ennemi est la religion et l’Église catholique. »

Magaldi dévoile comment la démocratie américaine est entièrement tenue par les super-loges, par quels procédés elles œuvrent dans le choix des candidats, jouant pour leur part des rôles de concurrents prétendument sincères. Ces pages exposent quels sont les présidents américains qui n’appartenaient ni à la franc-maçonnerie ni aux super-loges et par quels moyens ils dépendaient de ces dernières. Ce jeu démocratique démontre bien qu’il existe deux mandats, celui qui compte, octroyé par les loges, et celui qui ne compte pas, issu des urnes.

Ces pages exposent de récents secrets d’État : comment Donald Trump est parvenu à la Maison-Blanche, pourquoi le clan « Bush » a fondé une super-loge dissidente, l’« Hathor Pentalpha » ? Le présent volume révèle également les noms des super-loges participant à la création et au financement du « terrorisme islamiste » international avec des groupes comme l’ISIS et DAESH, nébuleuse dans laquelle est mentionné le nom du talmudiste Larry Fink, directeur de BlackRock (société multinationale spécialisée dans la gestion d’actifs), reçu à l’Elysée et soupçonné en France de pousser le Président de la République à effectuer la réforme des retraites pour ses propres intérêts. Le président des fonds de pension BlackRock France, Jean-François Cirelli, fut quant à lui élevé au rang d’officier de la Légion d’honneur par le premier-ministre Édouard Philippe dans la promotion du 1er janvier 2020. Ce genre d’information ne saurait surprendre quand nous constatons que plusieurs présidents français et chefs d’État européens sont initiés à ces mêmes super-loges impliquées donc dans le « terrorisme islamiste ».

Ce livre nous conduit précisément à des analyses permettant de comprendre les enjeux réels de la géopolitique, dans un univers opaque – caché par la grande presse -où les super-loges font la politique mondiale en tenant les manettes du pouvoir et en organisant les groupes terroristes les plus redoutables dirigés par des chefs « initiés ».

Le lecteur découvrira que les super-loges sont le fondement du mouvement théosophique et que notamment la Chancelière Merkel adhère à « Parsifal », où fut initiée la célèbre sataniste et I’lluminati Helena Blavatsky.


SOURCE :

Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...