L'Etat profond

(Durée 13:45)

Choc Vérité :
"Le deep state, la cabale ou l'élite peu importe le nom que vous leur donnez, est une supposée clique de criminels de haut rang ayant la main et le contrôle sur le monde de part leur richesse et leur pouvoir.

La cabale a comme projet de se révéler au grand public d'une manière ou d'une autre... Le meilleur moyen de diluer une Vérité, c’est de la perdre au milieu de multiples mensonges..."

La programmation des enfants 

D’une manière générale, tout ce qui fait habituellement rêver un enfant sera utilisé pour le programmer. Un livre, un film ou un jeu vidéo peut en théorie être utilisé comme support pour une programmation MK, d’autant plus efficacement sur de jeunes enfants. Il s’agit de crypter son esprit avec des thèmes de contes de fées ou autres scénarios fantastiques afin de semer la confusion entre imaginaire et réalité, c’est à dire se faire chevaucher deux mondes.

‘‘Alice au Pays des Merveilles’’ est un script classique de programmation, tout comme ‘‘Le Magicien d’Oz’’ ou certaines productions de Disney comme ‘‘Pinocchio’’ le pantin de bois sculpté et ‘‘Cendrillon’’, la petite esclave crasseuse qui se transforme en une magnifique princesse. Les esclaves Monarch, ou plutôt leurs personnalités alter, sont conditionnés à être placés dans des scénarios de ce genre afin de renforcer l’effet de la programmation. Ils vivent donc dans un monde totalement imaginaire. Certaines phrases du script serviront de langage crypté implanté pour contrôler les esclaves. 

Dans Alice au Pays des Merveilles, la petite fille doit suivre le lapin blanc qui lui permet d’accéder à des un cadre d’une programmation MK, ce lapin blanc est une figure importante, il représente le maître ou le programmeur qui hypnotise sa victime ou l’incite à se dissocier de la réalité pour accéder à un monde alternatif lors des tortures. Le célèbre passage à travers le miroir représente l’accès à un état dissociatif, un changement de réalité. Le programmeur incite l’enfant à traverser le miroir comme Alice, il l’incite à passer la porte vers une autre dimension de son être, le miroir étant la porte qui va faciliter la programmation… [...]

Dans le Magicien d’Oz, le sujet se dissocie de la réalité en allant au-delà de l’arc-en-ciel (‘‘Somewhere over the Rainbow’’, ‘‘quelque part au-delà de l’arc-en-ciel’’ qui est la chanson thématique du film), c’est à dire en allant au-delà de la terreur et de la douleur grâce à la dissociation. L’horreur devient alors un rêve, la réalité devient une fiction et le monde imaginaire devient la réalité. La victime dissociée enregistrera le traumatisme comme une illusion, une réalité qu’elle a pourtant vécue pendant un moment, mais qui est néanmoins enregistré par l’esprit comme une sorte de rêve. Il s’agit d’une crypto-amnésie qui sabote le processus habituel de mémorisation par le trauma et l’hypnose. Le monde intérieur de l’esclave devient sa ‘‘réalité’’ et le monde extérieur devient par exemple le pays d’Oz. [...]

Une autre symbolique importante dans le Magicien d’Oz est la route de briques jaunes. L’esclave doit suivre la route de briques jaunes par laquelle les alter émergent du monde intérieur pour prendre le contrôle du corps. ‘‘Suivre la route de briques jaunes’’ sont des mots clés servant à déclencher une programmation particulière chez un esclave. Un autre exemple concernant le Magicien d’Oz est le personnage Tin Man qui est une sorte de carcasse métallique vide. Ce personnage va servir pour créer une machine bien huilée effectuant parfaitement les commandes, c’est la programmation de l’homme de fer blanc que recevront certains alter.

L’auteur du Magicien d’Oz, L. Frank Baum, occultiste et membre de la société Théosophique, a été selon lui inspiré par un esprit qui lui a donné la ‘‘clé magique’’ pour écrire ce conte pour enfants. En d’autres termes, Baum était médium et a écrit cette histoire en canalisant une entité. Dans le livre ‘‘The Annotated Wizard of Oz’’, Baum a écrit : ‘‘C’était de la pure inspiration… Cela m’est venu d’une manière inexplicable. Je pense que parfois, le ‘‘Grand Auteur’’ a un message à faire passer et qu’il doit utiliser l’instrument qu’il a à portée de main. Il se trouve que j’ai été ce médium, et je crois qu’une clé magique m’a été donnée pour ouvrir les portes de la sympathie, de la compréhension, de la joie et de la paix.’’ 

Le Magicien d’Oz en 14 volumes est sorti en 1900, ce conte que l’on peut qualifier de ‘‘théosophique’’ incorpore ‘‘l’ancienne sagesse’’ des religions à Mystères, que d’autres appellerons sataniques ou lucifériennes… son contenu initiatique a été repris et utilisé comme un support pour le contrôle mental basé sur les traumatismes. Les entités qui ont inspiré cette histoire connaissaient probablement le potentiel qu’elle contenait et l’utilisation occulte qui en serait faite.

Alexandre Lebreton, MK - Abus rituels et contrôle mental.