mardi, juin 28, 2022

Sexualité talmudique




"St. Paul, écrit Elizabeth Dilling, qui avait été un Pharisien, ennuyait souvent les Chrétiens qui ne comprenaient pas ce à quoi il faisait référence, dans ses discours sur les Pharisiens. Mais ceux qui connaissent le Talmud, peuvent apprécier ses diatribes contre la «souillure» de ceux, «qui ont changé la vérité de Dieu en un mensonge», ainsi que ceux qui tout en «prétendant eux-mêmes être sages, sont devenus fous», jusqu’à ce que «Dieu les dote d’un esprit dépravé… rempli d’injustice, de fornication et de méchanceté…» (Romains 1:22, 25, 28).

Dans les enseignements «sacrés» Talmudique transmis par les «Sages», préservés depuis 500 ap. J.-C. et répandu aujourd’hui plus que jamais au sein des écoles Talmud-Torah aux USA, il n’y a peut-être rien de mieux pour illustrer les «fous» et les «esprits dépravés», que les préceptes d’un chapitre du Talmud, Yebamoth.

Bien que Moïse ait prescrit que si une femme avait des rapports avec une bête, les deux devaient être tués (Lévitique 20:16), et qu’un prêtre ne doit pas épouser une prostituée ou une femme profane (Lévitique 21:7), le Talmud enseigne que les «rapports antinaturels n’empêchent pas une femme d’épouser un Grand Prêtre», car alors «vous ne trouverez pas de femme appropriée…» (Folios 59a-59b). Les règles des «sages» indiquent aussi : «Une femme ayant eu des rapports avec un animal est apte à épouser un prêtre – même un Grand Prêtre.»… Si elle a des rapports avec un Chien pendant qu’elle nettoie le sol, elle doit être également considérée comme pure et tout à fait appropriée. Car, «le résultat de ces rapports est considéré comme une simple blessure, et l’opinion qui ne se formalise pas d’un hymen accidentellement blessé, ne considère pas non plus ces rapports comme tels.»

Rien que cela donne une idée de la déformation systématique des Écritures par les Pharisiens et la pertinence de la dénonciation du Christ leur reprochant d’avoir rendu les commandements de Dieu ineffectifs par leur Tradition. (Matthieu 15:6)


LES BÉBÉS


D’après le Talmud, les bébés garçons peuvent toujours être utilisés pour la sodomie par des hommes plus âgés. (Ici, le subterfuge Pharisaïque consiste dans le fait que jusqu’à ce qu’un enfant atteigne la maturité sexuelle, et soit capable d’avoir des rapports, il ou elle n’est pas considéré comme une personne, d’où le fait que les lois bibliques contre la sodomie (la pédérastie) ne s’appliquent pas. Tout au long du Talmud «neuf ans et un jour» est l’âge fictif de la maturité chez les hommes.

De la même manière, avant «neuf ans et un jour», Talmudiquement parlant, les «premiers rapports» d’un garçon avec sa mère, ou n’importe quelle femme, sont sans danger. Shammai, pour paraître plus «strict», abaisse l’âge à huit ans dans certains cas. (Voir les extraits 82 du Sanhedrin et 69b du Talmud). Un long passage est consacré au montant de la Kethubah (compensation en cas de divorce) qu’une femme est censée toucher si sa virginité a été perdue avec un jeune garçon, voir Kethuboth I 1b dans le Talmud. Et donc, la mère peut se voir considérée comme «pure», en fonction de l’âge de l’enfant. Un tel usage dégradant des enfants était typique des mœurs en vigueur au sein du paganisme du monde ancien.

«Lorsqu’un homme adulte a des rapports avec une petite fille cela n’est rien, car lorsque la fille a moins de trois ans, c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil – les larmes s’écoulent de l’œil encore et encore, ainsi la virginité est reconstituée chez la petite fille lorsqu’elle a moins de trois ans.» (Voir extrait 136, Kethuboth 11b du Talmud) Telle est la doctrine de base du Talmud concernant les bébés filles. La sodomie et les rapports avec les bébés sont les prérogatives de l’homme Talmudique, par contraste avec les merveilleux enseignements du Christ concernant les petits enfants.

Ce qui suit est également représentatif de l’âge fictif de la maturité sexuelle des bébés filles décrétée par les «sages» Pharisiens : «Une jeune fille âgée de trois ans et un jour peut-être prise en mariage par copulation…» Voir extrait 55 (Sanhedrin 55b), extrait 81 (Sanhedrin 69a-69b), extrait 156 (Yebamoth 57b), et extrait 159 (Yebamoth 60b) ; aussi Niddah 44b…


L’INCESTE


Moïse ordonna aux prêtres de «Ne pas prendre pour épouse une prostituée, ou une femme déshonorée… car vous devez rester purs face à Dieu.» (Lévitique 21:7) Les lois contre l’inceste sont presque véhémentes: «La nudité de ta mère, tu ne devras pas découvrir: elle est ta mère… (Lévitique 18:7) Et dans le Talmud, les «sages» Pharisiens inversent les injonctions bibliques: «Si une femme se comporte lascivement avec son jeune fils, un mineur et qu’il commet le premier stade de la cohabitation avec elle – Beth Shammai déclare qu’elle ne peut donc plus accéder à la fonction de Prêtrise.» Là une note de bas de page explique qu’elle ne pourrait pas épouser un prêtre, si cela la rendait impure et la citation du Lévitique 21:7 déjà mentionnée, s’applique précisément. (Voir extrait 82) Nous apprenons ensuite que le problème ne concerne que l’âge du fils, et non la faute de la mère débauchée: «Tout le monde est d’accord sur le fait qu’un garçon âgé de neuf ans et un jour constitue un véritable lien tandis que celui âgé de moins de huit ans n’en n’est rien. [Note de bas de page : "Car s’il est âgé de neuf ans et un jour ou plus, Beth Hillel est d’accord pour affirmer qu’elle n’est plus compatible avec la fonction sacerdotale, tandis que s’il est âgé de moins de huit ans, Beth Shammai indique qu’elle l’est.]…"


Source : Elizabeth Dilling , "The Jewish Religion and Its Influence Today" (La Religion Juive et son Influence de nos jours). Chapitre V : "Talmudic Immorality, Asininity and Pornographie : The Reprobate Mind" (L’immoralité Talmudique, son insanité et sa pornographie : L’esprit dépravé).


Cité par Henry Makow dans son livre Illuminati III - La possession satanique et traduit de l’anglais par David Massada.


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BONUS :

Les préceptes talmudiques sur la pédophilie et la zoophilie commentés par un rabbin (vidéo, durée 3:27) :




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