dimanche, janvier 31, 2021

Le Christianisme va-t-il être interdit pour complotisme ?

 

(9:04)

"Bientôt, les autorités chrétiennes devront se débarrasser du Christ..."

La censure des Évangiles

Pour se fondre dans la religion planétaire qui consacre le Nouvel Ordre Mondial, l'Église de Rome, autrefois si arrogante, doit effacer les traces de son identité originelle. Et l'un des traits gênants à gommer d'urgence, et qu'on s'efforce de faire disparaître depuis la Révolution Française, c'est la sévérité de Jésus à l'encontre du Judaïsme et de ses chefs qu'il nomme « synagogue de Satan » et« race de vipères». Ces paroles n'engagent que Jésus, dirait-on de nos jours par prudence. La radicalité de la doctrine de Jésus dérange à l'heure de l'œcuménisme du Nouvel Âge.

Race de vipères ! Synagogue de Satan ! Ces mots sont durs à entendre de la part d'un envoyé divin qui doit tout de même savoir de quoi il parle. Il y avait un lourd contentieux avec Israël. Mais les papes ont décidé que le conflit entre Jésus et la Synagogue n'était plus leur affaire. Ils avaient déjà enduré trop de soucis en essayant de tenir le Judaïsme à distance, jusqu'au moment où la Révolution pulvérisa les digues. Le Vatican doit désormais adopter lui aussi la libre pensée jusqu'à remettre en question le fondement de son dogme - la nouvelle alliance qui était censée annuler l'ancienne. Mais non seulement le nouvel Israël du Christ n'a pas survécu, mais c'est l'ancien qui est réapparu, faisant preuve d'une vivacité surprenante. Alors, le nom du Christ finira par être effacé par une interdiction tacite pour faire place au sauveur qui sera mis à la tête de l'Ordre Mondial. En dépit des efforts effectués depuis Vatican II pour rayer de l'Évangile les mots qui fâchent, il semble qu'une puissance supérieure veille les maintenir encore, malgré les sollicitations pressantes des Juifs et des Chrétiens décadents qui voudraient effacer du canon des Écritures les formules politiquement incorrectes. Sans doute, cette toilette théologique aura-t-elle lieu prochainement, car on ne voit pas comment la religion mondiale synthétique pourra voir le jour si les partenaires qui y collaborent ne se mettent pas d'accord sur une doctrine commune parfaitement lisse.

Un Chrétien moderne, qui ignore généralement tout du Christianisme métaphysique, est perplexe lorsqu'on lui montre, preuves évangéliques à l'appui, que la révélation chrétienne n'a jamais été une morale humanitariste à l'eau de rose, mais qu'elle entre en confrontation directe avec la doctrine judaïque matérialisante qui nie la réalité d'un Royaume éternel hors de l'espace-temps. C'est parce que la négation de la vie divine transcendante au profit d'un royaume terrestre risquait de devenir la croyance du monde entier - ce qui devait advenir de toute façon - que l'agent divin appelé Christ est venu ici-bas pour répandre l'antidote. Pour preuve que Jésus avait identifié le problème, voici ce passage de l'Evangile de Jean :

"Jésus dit aux Juifs: si Dieu était votre père, vous m'aimeriez (...) Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge." Évangile selon jean, chapitre 8.

Extrait du livre Kali-Yuga (1ou 2 exemplaires d'occasion ICI)

TABLE DES MATIERES

PRÉFACE 

LA TECHNOLOGIE NOIRE
La télévision 
Le contrôle des consciences par l'alimentation

LE NOUVEL ÂGE SOMBRE 
Les contes de fée du Tibet 

LA DÉMATÉRIALISATION DE l'HUMANITÉ .
L'effet des rayonnements du Verseau
Nouvelle civilisation
Table des matières 
Voyage à Shamballa
Channels 
Les fumées du Nouvel Âge 

ROME, CITÉ DU MENSONGE 
Et l'homme créa le Dieu unique
Le reniement de Pierre 
La piste jésuite
Iftigo et Ahasverus
Roma amor 

OPÉRATION ROCK'N ROLL
Vaudou, services secrets et rock' n roll 
Woodstock

ÉSOTÉRISME ET SPIRITUALITÉ 
Six cent soixante-six .
La création et l'accident
Caïn et Abel 
L'Univers veut ce qu'il y a de mieux 
La Merkavah


RÉVOLTE
Sortir de la soupe globale
Conspiration cosmique
Comment échapper à la puce ? 
Sortir du vortex 

DÉPROGRAMMATION DES IMPLANTS MAJEURS 

Le déconditionnement de la condition humaine 
La foi perdue 
Dies Irae 
Un humain nommé Adam 
Christianisme 
Eden 
Démocratie 
Nationalisme

Comment se procurer un exemplaire neuf du livre (la réédition révisée de Kali Yuga) ? : 




samedi, janvier 30, 2021

Le transhumanisme : une coquille vide !

(3:47)

Mathieu Terence : Le transhumanisme est un intégrisme


 Le transhumanisme :  une coquille vide !


Les apôtres du transhumanisme considèrent que le prochain stade de l'évolution humaine verra l'abolition des quatre fléaux qui existent depuis l'aube des temps : le handicap, la maladie, la vieillesse et la mort. Leur but est de créer une nouvelle humanité où l'Homme sera débarrassé de son corps et des maladies qui vont avec. Il aura échappé à la grande faucheuse et sera immortel. Il sera «Dieu» ou gouverné par de nouveaux Dieux, sans doute semblables aux mégalomaniaques de la Silicon Valley qui encensent le transhumanisme.

D'ailleurs, pour certains, comme Yuval Noah Harari dans son dernier livre Homo Deus, « l'être humain n'est qu'une immense collection d'algorithmes biochimiques». Peut-être ! Mais une fois que l'on a dit ça, pour aller plus loin, il faut être en mesure d'écrire ces algorithmes. Cela suppose non seulement de disposer de l'intégralité des données pouvant rendre compte des mécanismes qui sous-tendent les fonctions supérieures du cerveau (mémoire, conscience, empathie, pensée ... ) et font que chaque cerveau est unique, mais aussi des outils informatiques adéquats. Pour l'instant, ni les unes ni les autres n'existent. Le transhumanisme est bel et bien une coquille vide.

Ses zélotes font fi des critiques en s'appuyant sur les immenses avancées de l'informatique en général, du Big Data et de l'intelligence artificielle en particulier. Certes, la révolution numérique et les progrès de l'IA, en croissance exponentielle, influencent déjà et influenceront encore plus dans les années à venir (quelques dizaines pour les plus pessimistes) toute l'organisation de la société et donc la vie de chaque individu. Les machines font déjà et feront encore beaucoup plus de tâches, plus vite et mieux que nous. Mais l'essence même de l'Homme est-elle reproductible, voire modifiable et même améliorable, comme ils le prétendent? Ce n'est pourtant pas «l'apprentissage supervisé» et le « deep learning» qui permettront de transférer notre esprit, nos pensées et notre capacité d'agir dans une machine. Il faudrait développer dans ce domaine de nouvelles approches, et ce avant 2045, pour respecter les délais annoncés par les transhumanistes !

En outre, aucun des avocats zélés du transhumanisme ne prend en compte ni les limites des connaissances actuelles de la biologie et des neurosciences ni la lenteur potentielle des avancées à venir dans ces domaines. Aucun scientifique digne de ce nom, connaissant un tant soit peu le cerveau, ne peut croire à leurs balivernes. Nous avons vu que le cerveau humain est d'une complexité rare. Ce n'est pas tant par sa connectivité proprement dite qu'il est performant, mais grâce aux réarrangements constants de ses connexions. Contrairement à la machine qui fait ce qu'on lui demande, ou qu'on lui a appris à faire, le cerveau décide de ce qu'il veut faire, plus ou moins bien il faut le reconnaître, mais avec parfois beaucoup de talent et de créativité. De plus, il est abreuvé d'informations aléatoires en provenance de l'environnement auxquelles il s'adapte en permanence grâce à sa formidable plasticité, ce qu'une machine est bien incapable d'imiter. Et si, pour des tâches compliquées, comme jouer une partie de go, l'être humain peut être battu par un robot, ce n'est pas demain la veille qu'il se laissera anéantir par une machine aussi performante soit-elle. De plus, les recherches actuelles sur le cerveau, à l'aide de techniques de plus en plus sophistiquées, permettent certes de mieux comprendre son fonctionnement, mais révèlent en outre des niveaux de complexité insoupçonnés jusqu'à présent, par exemple que chaque neurone pris individuellement est différent de son voisin. Indubitablement, le cerveau d' Homo sapiens ne peut tenir dans une puce.

Les avancées de la recherche en biologie et en médecine, en particulier dans le domaine du vieillissement, sont réelles mais actuellement insuffisantes pour nous faire vivre 300 ou 1 000 ans, surtout en parfaite santé. Pour l'instant, le vieillissement nest inéluctable même s'il y a des espoirs sérieux de vieillir un jour en meilleure santé, y compris en préservant son cerveau, ce qui contribuera à améliorer la longévité globale des populations. Quant aux maladies neurodégénératives, il n'est aujourd'hui pas possible de les traiter efficacement.

Il y a actuellement un véritable verrou dans la recherche dite «translationnelle», sur le cerveau, celle qui conduit à des applications médicales: les progrès des cinquante dernières années permettent une bien meilleure compréhension de cet organe, mais malheureusement ils n'ont entraîné à ce jour que peu de retombées thérapeutiques.

Pour les transhumanistes, peu importe! Ils balayent toutes ces remarques du revers de la main car ils sont fondamentalement dualistes. Le dualisme a été formalisé en 1641 par René Descartes qui a été le premier à distinguer l'esprit (l'âme) du corps. Aujourd'hui, le dualisme s'oppose aux différentes formes de monismes qui affirment l'unité indivisible de l'être et auxquelles adhèrent la plupart des biologistes, et pas seulement eux d'ailleurs. La discussion de ce point sort du cadre de ce livre. Cependant, même si le téléchargement du cerveau dans une puce ou dans le cloud était possible, pourrait-on nl'appliquer à chacun des quelque 10 milliards d'individus sur Terre en 2045? Certainement pas ! Or, c'est bien notre individualité qui intéresse chacun d'entre nous, et en premier lieu, sans doute, les quelques milliardaires qui financent le transhumanisme !

Inéluctablement existeraient alors deux catégories d'humains: ceux qui seraient «augmentés» et ceux qui ne le seraient pas; ceux qui auraient un QI de 150 et ceux qui ne l'auraient pas ; ceux qui seraient malades et ceux qui seraient en forme ; ceux qui seraient immortels et la majorité des pauvres mortels ! Inévitablement, de cette idéologie résulteraient une société totalitaire et une humanité divisée en sous-catégories, au mépris de l'égale valeur de tous les humains. Il y a là un fantasme prométhéen qui pose des questions éthiques considérables : même si le projet transhumaniste était crédible, il resterait profondément injustifiable en regard de la morale collective et individuelle. Bien sûr, les transhumanistes se défendent d'avoir de tels objectifs. Ils disent être sensibles aux risques liés à l'utilisation des nouvelles technologies et attentifs à ne pas favoriser les inégalités sociales, à préserver, la qualité des relations humaines et de l'équilibre écologique.

Récemment, les géants du web - Google, Facebook, Microsoft et Amazon - ont conclu un partenariat visant à définir «les bonnes pratiques», notamment sur ces questions éthiques. Mais peut-on les croire, alors qu'ils distillent en même temps les espoirs les plus fous ? Ne cherchent-ils pas simplement à se donner bonne conscience ? En raison de ce risque, de nombreuses instances, en France ou ailleurs, réfléchissent depuis une quinzaine d'années sur ces thèmes, comme le Département de recherche éthique biomédicale du Collège des Bernardins à Paris. En 2017, un procès fictif du transhumanisme
a même été organisé par des juristes, où ont étén abordées les questions morales et éthiques sous-jacentes, ainsi que d'autres telles que la protection de la vie privée, la conservation des données, etc.

Sur le plan sociologique, un autre point doit nous interpeller. Comment se fait-il que les idées des transhumanistes connaissent un tel succès auprès de certains médias de masse, d'intellectuels et de politiques. Comment des individus, à priori loin d'être stupides, peuvent-ils exprimer une telle naïveté ? Tous prônent le développement technologique. Mais parmi les intellectuels, ceux qui font l'opinion et ont accès aux médias, particulièrement en France, n'ont pas la culture et les connaissances scientifiques nécessaires pour percevoir le caractère erroné des fantasmes transhumanistes. Notre pays fonctionne encore sur un modèle inspiré du philosophe JeanPaul Sartre, où un intellectuel médiatiquement reconnu est souvent un intellectuel «généraliste» et où les scientifiques sont plutôt considérés comme des experts techniques. Pour le philosophe Jean-Marie Besnier: «Les transhumanistes ont la tentation d'opposer deux camps: celui des biotransgressifs, parmi lesquels ils se comptent, et celui des bioconservateurs, avec lesquels ils ferraillent. Il convient de revoir - et même de retourner - les termes du débat. » (Jean-Michel Besnier, «Transhumanistes contre bioconservareurs », article disponible sur le site www.sciences-critiques.fr ). Il ne faut en effet pas confondre les «biocompétents» qui connaissent la complexité des problèmes et sont prêts à les affronter avec un subtil mélange d'ambition scientifique, de persévérance et d'esprit critique, et les «bioignorants» pour qui les affirmations péremptoires et non prouvées tiennent lieu de résultats scientifiques et médicaux. Les premiers, auxquels nous avons la prétention d'appartenir, mettent leur passion au service de la raison et de la connaissance et les seconds, que nous critiquons, mettent leur peu de raison au service de l'irrationnel.

Soulignons aussi que derrière le mythe transhumaniste s'avance masqué un gigantesque business. Les transhumanistes sont le pur produit d'une société où les pouvoirs de l'argent, banques, multinationales industrielles, et les politiques règnent en maître. Les puissances économiques et financières que représentent les GAFA, investissent des sommes considérables dans le développement technologique, et en particulier dans l'intelligence artificielle, au point que la mobilisation des crédits privés tend à détourner la recherche publique d' objectifs plus nobles. Dès lors, le conte de fées des transhumanistes permet de donner du sens au travail des entreprises impliquées, promet un bonheur quasi-éternel aux consommateurs et flatte le narcissisme effréné de dirigeants milliardaires. Or, une recherche fondamentale forte et bien financée est une condition nécessaire (mais malheureusement pas suffisante) pour que les verrous scientifiques actuels soient levés et que de nouvelles pistes de traitement soient développées par la recherche translationnelle fondée sur l'évidence par la preuve.

Inéluctablement, elle aboutira à une meilleure compréhension du fonctionnement du cerveau et donc à un meilleur bien-être et jusqu'à un âge avancé. Ces avancées seront le fruit de recherches pluridisciplinaires où les biologistes, physiciens, chimistes et informaticiens mettront leur savoir en commun. L'intelligence artificielle a toute sa place dans ce défi enthousiasmant pour nos contemporains et nos successeurs.

La folie des humains est ailleurs que dans les croyances des transhumanistes. Les risques dus au réchauffement climatique, aux pollutions diverses, à la destruction des écosystèmes, au retour des pandémies, à la résistance aux antibiotiques, à la surpopulation associée à la pauvreté, aux inégalités et aux migrations ... sont bien plus inquiétants pour notre avenir.

C'est l'ensemble de ces défis et dangers que l'humanité doit affronter en s'appuyant à la fois sur la science, y compris les sciences humaines et sociales, sur la révolution numérique en marche, et, dans le domaine de la santé, sur les progrès de la biomédecine. Les décisions doivent in fine appartenir aux politiques démocratiquement élus par des électeurs avertis, mais la prise de décisions doit être éclairée par des collectifs d'experts auxquels le politique doit faire confiance, à condition que ces experts soient eux-mêmes accessibles au doute qui est le propre de la science !
 
La question est de savoir dans quel monde et dans quelle société nous voulons vivre. Dans un monde en crise, il faut bien sûr de l'espoir. Ce n'est pas évident, mais ce n'est pas une raison pour se laisser séduire par des illuminés.

Allons, le transhumanisme est une imposture. L'Homme tel que nous le connaissons, avec ses forces et ses faiblesses, a encore de beaux jours devant lui.

Danièle Tritsch et Jean Mariani, extrait de leur ouvrage : Ça va pas la tête - Cerveau, immortalité et intelligence artificielle, l'imposture du transhumanisme.

PDF gratuit ICI 


Depuis quelques années un mouvement d'idées, venu des États-Unis, a pris un essor considérable dans le monde au point qu'il a été qualifié de Révolution, la Révolution transhumaniste. 

Demain, on vivra 200 ou 300 ans... et bien sûr en parfaite santé : l'immortalité n'est pas loin. Ces prophéties s'appuient sur les avancées réelles apportées par l'intelligence artificielle et la recherche en biologie, en particulier dans le domaine du vieillissement, passant ainsi allègrement de l'homme préservé et/ou augmenté au post-humain. 

Mais dès que l'on s'intéresse au cerveau, les données sont particulièrement complexes et ne vont pas dans le sens de ces prophéties. Il existe une contradiction criante entre la jeunesse éternelle promise et la réalité actuelle qui reste terrifiante. 

Fort de l'expérience médicale, scientifique et pédagogique des auteurs, ce livre montre que les efforts lents et soutenus de la recherche biologique et médicale, auxquels l'intelligence artificielle apportera sa contribution, restent la seule voie pour non seulement comprendre le fonctionnement du cerveau, mais aussi le maintenir en bonne santé (cerveau préservé), le doter de capacités nouvelles (cerveau augmenté) et, dans un délai non prévisible à ce jour, guérir ou stabiliser les maladies neuro-dégénératives (cerveau réparé). Quant au post-humain, il ne s'appuie à fortiori sur rien de tangible. 

Écrit dans un style accessible et vivant, ce livre est illustré d'exemples puisés dans la vie quotidienne. Il s'appuie sur des données scientifiques biologiques et médicales incontestables pour dénoncer l'imposture que représente le transhumanisme et ses excès ou délires.


vendredi, janvier 29, 2021

La tyrannie électronique universelle se met en place

"Le but est d’en finir avec la politique en général, c’est-à-dire avec la discussion, la polémique, la critique, l’interrogation, c’est-à-dire la régulation des interactions humaines par le langage, pour placer nos existences directement sous pilotage de l’intelligence artificielle, sans qu’il n’y ait plus de discussion possible." Lucien Cerise

(1:48)

I, ROBOT
2035, les robots font partie intégrante de la vie quotidienne. Mais...


Le projet Great Reset, vous connaissez ? Non ? Alors lisez Lucien Cerise ! Spécialiste de l’ingénierie sociale et de la fabrique de l’opinion, il nous explique ce que cache la Grande réinitialisation par le système de nos cerveaux.

Rivarol : Qui sont les auteurs et les promoteurs du projet Great Reset ?

Lucien CERISE : En 2014, Christine Lagarde, alors directrice du FMI, avait déjà parlé de la nécessité d’opérer un « Great Reset » économique, une grande remise à zéro, une grande table rase de l’économie mondiale. En 2020, le fondateur du forum de Davos, Klaus Schwab, reprend ce concept de Grande réinitialisation et lui consacre un livre où il élargit les champs d’application de ce Grand recommencement à tous les domaines de l’existence, au prétexte de l’épidémie de coronavirus, qui doit transformer le monde de manière irréversible et dont doivent émerger une nouvelle normalité, une nouvelle réalité, un nouveau monde, selon les éléments de langage en vigueur.

Ce projet révolutionnaire de couper l’histoire en deux circule donc depuis plusieurs années dans les milieux du capitalisme industriel et financier.

Philosophiquement, le thème de la tabula rasa n’est pas neuf et apparaît déjà dans l’eschatologie monothéiste et sa temporalité linéaire, ascendante, cumulative, avec un avant et un après, qui projettent d’en finir avec le Mal et une condition humaine douloureuse pour nous acheminer vers le Bien et un avenir salvateur.

D’autres cultures ont une conception cyclique du temps et n’envisagent pas d’en finir avec le Mal, ou ce qui est perçu comme tel, ce que Friedrich Nietzsche reprendra à son compte avec le concept d’Éternel retour, du Bien comme du Mal. À l’opposé, le Great Reset appartient à cette tradition utopiste qui rêve d’organiser le monde de manière parfaitement rationnelle, unifiée et centralisée, et d’en finir une bonne fois pour toutes avec le Mal, identifié à la multitude humaine et à l’existence biologique, lesquels induiraient une forme d’irrationalité, c’est-à-dire d’imprévisibilité et d’incertitude.

Dans plusieurs publications et entretiens, Klaus Schwab nous annonce une quatrième révolution industrielle qui va fusionner le biologique et le numérique. Cette dictature technologique et technophile est en gestation depuis des décennies. Les réseaux d’agents dormants ont été pré-positionnés aux postes clés du pouvoir pendant des années, puis activés tous ensemble en 2020. Ce projet a connu divers noms — positivisme, scientisme, progressisme, mondialisme, transhumanisme —, le Great Reset n’est que le dernier en date pour qualifier cette tyrannie électronique universelle qui se met en place un peu partout sur la planète, car personne n’y échappe. La techno-science surdétermine absolument tout, en particulier les rapports de force internationaux.

Les pays qui ne jouent pas le jeu de la rivalité techno-scientifique mondiale s’auto-désarment et se soumettent d’eux-mêmes aux adversaires et concurrents économiques et militaires.

De fait, c’est toujours le complexe militaro-industriel qui fait avancer la recherche scientifique, dont le seul et unique principe tient en peu de mots : tout ce qui est faisable sera fait. Cette hubris prométhéenne de la techno-science ne connaît aucune limite, c’est une fuite en avant permanente induisant une compétition acharnée de tous les acteurs géopolitiques, quel qu’en soit le coût humain. À intervalle régulier, l’instinct de conservation de l’espèce refait surface et l’on assiste à des initiatives pour encadrer éthiquement la recherche.

Mais pour l’instant, il n’y a que dans l’univers fictif de Dune, l’œuvre romanesque de Frank Herbert, que l’intelligence artificielle est interdite définitivement — épisode du Jihad butlérien — en raison de la menace qu’elle fait peser sur l’humanité.

R. : Quel modèle de société doit naître du monde post-covid ?

L.C. : Un modèle de société post-humaine. La grippe covid-19 est un simple prétexte pour en finir avec l’espèce. Comme son nom l’indique, la Grande réinitialisation consiste à appliquer aux sociétés humaines le même traitement qu’à un ordinateur que l’on redémarre.

Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif.

De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire.

Le caractère étatique ou privé est secondaire. Le but est d’en finir avec la politique en général, c’est-à-dire avec la discussion, la polémique, la critique, l’interrogation, c’est-à-dire la régulation des interactions humaines par le langage, pour placer nos existences directement sous pilotage de l’intelligence artificielle, sans qu’il n’y ait plus de discussion possible. Les sujets humains, qui se caractérisent par le goût de la palabre, vont être insérés dans un vaste système de gestion automatisée d’objets connectés. Ce modèle de société est directement issu de la pensée cybernétique, qui ne distingue pas les sujets et les objets.

La cybernétique a été inventée par le mathématicien Norbert Wiener pendant la Deuxième Guerre mondiale comme une méthode de calcul balistique. Sa particularité est de ne pas vraiment différencier les êtres vivants et les non-vivants, tous traités comme des systèmes d’information en interaction.

Les conférences Macy qui réunirent divers scientifiques et intellectuels aux Etats-Unis entre 1942 et 1953 posèrent les bases d’une cybernétique sociale avec des applications en politique dans la gestion des citoyens comme s’il s’agissait de simples automates, remplaçables par des machines. Le projet soutenu sérieusement par certains avocats d’accorder une personnalité juridique aux robots va dans le même sens de lissage des différences ontologiques vivant/non-vivant. La fusion biologique/numérique se fera au détriment du biologique et au bénéfice du numérique, induisant un phénomène de chosification du vivant. Le problème majeur à solutionner pour l’utopie cybernétique est le règne animal, distinct du minéral et du végétal — la “viande” comme on dit dans l’univers cyberpunk de William Gibson. Il faut en finir avec les êtres de viande car ils sont indisciplinés et impossibles à insérer directement en tant que tels dans le cyberespace.

Dans le monde post-covid, il faut donc supprimer la viande, ce qui explique aussi cet engouement étrange que le sommet du capitalisme entretient pour le végétarisme. En 2016, le forum de Davos nous annonçait dans ses « 8 prédictions pour le monde en 2030 » que « nous mangerons beaucoup moins de viande ». La société post-covid est une extension du secteur socio-professionnel tertiaire à toute l’existence, avec ses emplois de bureau en espace climatisé, son télétravail largement répandu et ses faibles dépenses caloriques et énergétiques. C’est le monde morbide et dégénéré du bobo, du geek et du no-life, végane, anti-spéciste, cosmopolite, LGBT, masqué, confiné, vacciné et heureux de l’être. Ce modèle de société post-covid entièrement artificialisé est une révolution de l’artefact, qui devient le nouvel environnement et qui prend le pouvoir sur son inventeur en inversant le contenant et le contenu.

Depuis la nuit des temps, le monde naturel est le contenant, l’artefact culturel est le contenu. Dans la société post-covid, l’artefact culturel doit devenir le contenant au sein duquel le monde naturel et biologique subsistera comme contenu et auquel il devra se plier.

Cette inversion signifie que ce ne seront plus les mécanismes de la sélection naturelle qui présideront à notre existence. La sélection naturelle dit que votre destin est défini par votre adaptation réelle à un environnement réel.

L’adéquation au réel l’emporte sur l’erreur ; les solutions adaptées à l’environnement l’emportent sur les solutions non adaptées, donc erronées, qui sont éliminées. Or, nous entrons dans ce que l’on pourrait appeler une « sélection artificielle », qui dit que votre destin est défini par votre soumission réelle à un environnement virtuel construit par l’Homme, et donc truffé d’erreurs, de bugs et de dysfonctionnements.

Exemple : dans un avenir proche, des centaines de milliers de gens vont rater leur avion ou leur train parce que leur test à la covid-19 sera positif avant d’embarquer, alors que ce test aura en fait produit un faux cas positif.

Les tests PCR et antigéniques produisent en effet jusqu’à 90 % de résultats faux. Notre vie, notre survie seront bientôt suspendues à des technologies qui accumulent les erreurs de diagnostics, ainsi que les possibilités de trucage, de détournement, de piratage, etc.

Notre existence sera entièrement rythmée par la technique et ses multiples problèmes, pannes à répétition, fautes de calcul, falsifications, vols de données, etc. Le tout-numérique fragilise les sociétés en les exposant aux cyber-attaques et aux accidents, comme on le voit déjà avec le compteur Linky.

Nous allons passer d’un monde où ce sont les solutions qui marchent qui sont sélectionnées, retenues, puis qui deviennent majoritaires, normatives et contraignantes, à un monde où ce n’est pas forcément ce qui marche qui deviendra normatif et contraignant. Le monde va donc sombrer dans l’inintelligence artificielle et le stade terminal de l’idiocratie.

L’automatisation complète du globe terrestre, objectif poursuivi par le Great Reset, sera en fait le grand dysfonctionnement généralisé et la grande désorganisation méthodique de la vie sur Terre.

Nous allons entrer dans le royaume de la déglingue définitive et de l’effondrement systémique dans l’abrutissement technophile.

R. : Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Basculons-nous dans le libéralisme sécuritaire avec l’état d’urgence sanitaire ?

L.C. : La peur et le sentiment d’un risque imminent sont des moteurs de l’action que le pouvoir manipule parfaitement. Klaus Schwab, en tant que professeur de management industriel, est parfaitement formé aux techniques du type « conduite du changement », qui visent à fabriquer le consentement au changement en entreprise (et ailleurs) même quand c’est inutile ou nuisible pour les salariés. Comment ? Tout d’abord, en créant un sentiment d’urgence. Telle est la première des huit étapes du changement provoqué selon John Kotter, le pape de cette approche managériale qui trouve évidemment des applications en politique, notamment sous la forme de ce que l’on appelle communément le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution.

En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus — ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. En effet, il existe des virus informatiques réels, mais pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus. Ce que l’on appelle le “risque” est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des
problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Si le coronavirus avait été vraiment dangereux, il y aurait eu un risque réel que Bill Gates, Klaus Schwab et Christine Lagarde en meurent aussi. Il faut donc que le danger réel soit bénin, quasiment inexistant, mais que l’idée du risque soit diffusée le plus largement possible, ce dont les médias se chargent, induisant un vent de panique dans la population, sans aucun fondement réel, mais qui facilite l’acceptation des solutions mises en avant, quelles qu’elles soient, même les plus aberrantes et délirantes, comme les confinements de masse, les masques dans la rue, les vaccins OGM, etc. Chaque virus, réel ou virtuel, sera désormais le prétexte à de nouvelles campagnes de vaccination, mais aussi à des reconfinements et à prolonger les gestes barrières, le port du masque et la distanciation sociale.

Nous basculons donc dans une tyrannie sanitaire et sécuritaire, qui n’est pas tout à fait libérale, au bon sens du terme. Comme souvent en philosophie politique, le même concept peut recevoir deux significations différentes, c’est le cas de “libéralisme”, selon qu’il désigne l’abolition de toute régulation, commerciale ou comportementale, ou simplement la liberté d’entreprendre. Or, le projet de loi visant à pérenniser l’état d’urgence sanitaire qui a été proposé en France le 21 décembre 2020 visait aussi à entraver la liberté d’entreprendre. Les travailleurs indépendants sont particulièrement visés par les mesures de confinement, de couvre-feu, etc., ce qui va provoquer une crise économique qui conduira à des mesures d’expropriation et d’abolition de la propriété privée, ce qui n’est pas très libéral non plus. La première des huit prédictions pour 2030 de Davos est ainsi libellée : « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux. » (You’ll own nothing. And you’ll be happy »).

R. : Quel est le but du plan de vaccination mondiale contre le Covid-19 ?

L.C. : Il y a certes des intérêts lucratifs mais ce n’est pas l’essentiel. En résumé, on peut discerner au moins trois objectifs plus ou moins convergents et entrelacés. Le premier consiste à modifier le matériel génétique humain au moyen de « vaccins OGM » (organismes génétiquement modifiés), en fait des sortes de thérapies géniques consistant à injecter dans nos cellules de l’ADN recombinant ou de l’ARN messager. On nous dit que le vaccin à ARN messager ne modifie pas directement le noyau de la cellule, seulement le cytoplasme ambiant qui l’entoure. Mais c’est comme dire à quelqu’un « N’ayez crainte, je ne modifie pas votre corps, seulement l’air qui vous entoure et que vous respirez », ce qui revient, de proche en proche, à modifier votre corps puisqu’il interagit en permanence avec son environnement immédiat.

Deuxième objectif : généraliser l’identification numérique des êtres humains, et même peser sur leur comportement, en leur injectant une interface cerveau-machine pour les connecter directement depuis l’intérieur de leur corps au cyberespace — le Cloud Computing numérique universel — et les gérer ainsi comme des objets connectés parmi d’autres.

Troisième objectif : réduire la population mondiale au moyen d’une arme biologique sous forme de vaccin. Aux Etats-Unis, l’implication des militaires dans le financement de plusieurs vaccins est officielle, elle a pour nom de code opération Warp Speed. Les projets de vaccination à des fins de meurtre de masse sont documentés historiquement, notamment dans l’Afrique du Sud de l’apartheid. Le cardiologue Wouter Basson était en charge du Project Coast, un programme de recherche sur les armes biologiques et chimiques visant spécifiquement les Noirs, pour les stériliser ou les éliminer au moyen de faux vaccins empoisonnés.

Ce sera donc finalement appliqué aussi aux Blancs, par d’autres Blancs.

R. : Comment la Macronie applique ce plan pour la France ?

L.C. : Les professionnels de la médecine n’agissent pas seulement pour sauver des vies mais aussi pour en prendre. Cette vérité inquiétante est en train d’être comprise par un nombre croissant de Français, ce qui ne facilite pas la vaccination car la confiance est rompue entre le peuple et le corps médical.

Pour surmonter cette méfiance, la Macronie va procéder de manière graduée, tout d’abord par le lavage de cerveau médiatique et la méthode du Nudge, terme anglais qui signifie littéralement « coup de pouce », mais qu’on pourrait traduire dans ce contexte par “encouragement” ou “incitation”. Cette approche de contrôle social en douceur a été théorisée par Cass Sunstein, universitaire américain, inventeur du concept d’infiltration cognitive et ancien conseiller d’Obama. Sunstein a été recruté l’an dernier par l’OMS, dans le cadre d’une cellule de crise qui va travailler main dans la main avec Behavioral Insights, une organisation d’analyses comportementales, qui se présente ainsi sur sa page Wikipédia : « La Behavioral Insights Team (BIT), également connue officieusement sous le nom de “Nudge Unit”, est une organisation à vocation sociale qui génère et applique des informations comportementales, officiellement pour informer les politiques et améliorer les services publics. En suivant la théorie du coup de pouce, en utilisant l’ingénierie sociale, des techniques de psychologie et de marketing, le but de l’organisation est d’influencer la pensée publique et la prise de décision. »

Pour motiver les gens, la vaccination est présentée comme une condition du retour à la normale. En réalité, le port du masque et la distanciation sociale resteront obligatoires même pour les personnes
vaccinées. Avec les enfermements/confinements à répétition, ces nouvelles pratiques sociales doivent définir le nouveau mode de vie normal issu de la crise. En parallèle, des menaces de mort sont assénées par le gouvernement avec le projet de passeport sanitaire, certifiant de votre vaccination et sans lequel vous ne pourrez plus exercer certains métiers, ni accéder à des lieux ou des services, ce qui vous reléguera aux marges de la société et réduira votre espérance de vie. Enfin, si ces stratagèmes et chantages ne marchent toujours pas, le pouvoir appliquera la violence physique directe et la coercition, avec des opérations de vaccination forcée en recourant aux « forces de l’ordre » qui viendront vous chercher chez vous.

R. : Que vous inspire la mobilisation contre les mesures sanitaires un peu partout en Europe ? Pensez-vous qu’une réaction populaire se structure ?

L.C. : Il se passe plein de choses mais c’est encore insuffisant. Nous devons continuer à travailler l’opinion publique pour mettre en minorité les pro-virus et pro-vaccins jusqu’à ce qu’ils se sentent encerclés psychologiquement et ridicules. En France, la réinformation se fait beaucoup sur internet, mais il faudrait plus de démonstrations de rue, de manifestations, de flash-mobs, sans oublier d’occuper l’espace visuel urbain et rural en recouvrant tous les murs, les ponts, les poteaux avec du collage, de l’affichage, des graffiti de slogans anti-vaccins, anti-virus et anti-tyrannie sanitaire pour que cela devienne à la mode et “tendance”.

Inspirons-nous des méthodes compilées par Gene Sharp (voir le post de Bouddhanar sur Gene Sharp), le pape des révolutions colorées. Son livre, "De la dictature à la démocratie", est plein de conseils et de ressources pour déstabiliser un régime comme celui que nous subissons en France. Pour structurer la réaction populaire, il faut aussi l’endurance, afin de soutenir le bras de fer avec le régime sur le long terme. Pour gagner un rapport de forces, il faut durer plus longtemps que l’ennemi.

Et l’endurance vient de la motivation. Il faut comprendre que nous sommes dos au mur. Nous n’avons plus rien à perdre. C’est ce qu’il faut faire comprendre à la population.

Entretien réalisé par Monika BERCHVOK.

A lire : Lucien Cerise, Neuro-pirates, éditions Kontre Kulture. Disponible sur https://kontrekulture





"Asseyez-vous, mangez du pop corn et ayez confiance : l'Alliance militaire et QAnon s'occupent de tout." Or, selon Lucien Cerise, l'un des objectifs de la dictature est la "réduction de la population mondiale au moyen d’une arme biologique sous forme de vaccin. Aux Etats-Unis, l’implication des militaires dans le financement de plusieurs vaccins est officielle, elle a pour nom de code opération Warp Speed. Les projets de vaccination à des fins de meurtre de masse sont documentés historiquement, notamment dans l’Afrique du Sud de l’apartheid. Le cardiologue Wouter Basson était en charge du Project Coast, un programme de recherche sur les armes biologiques et chimiques visant spécifiquement les Noirs, pour les stériliser ou les éliminer au moyen de faux vaccins empoisonnés".


lundi, janvier 25, 2021

Prenez en main votre santé

En 2009, Michel Dogna écrit :

"Le gouvernement mondial occulte qui se met progressivement en place est la plus grande dictature déguisée que l’humanité ait jamais connue. Elle passe par l’O.M.C. (Organisation mondiale du commerce), par l’O.M.S. (Organisation mondiale de la santé), par les semenciers promoteurs des O.G.M. (organisme génétiquement modifié), par la grande industrie pharmaco-chimique, etc."

(5:35)



En novembre 1968, naissait ma seconde fille Nadège qui fut en fait l’initiatrice d’une tournure imprévue de mon destin. En effet, elle révéla rapidement une fragilité pulmonaire qui se manifesta sous une forme bronchitique asthmatiforme gâchant beaucoup de nos nuits. L’année 1969 fut marquée par 27 visites de médecins la concernant. Les recettes antibiotiques en vogue s’avérant de plus en plus inefficaces, la cortisone fut envisagée par le médecin traitant. Et là, le Français moyen sans les options que j’étais à l’époque, commença à se poser des questions…

C’est là qu’une voisine me signala l’existence d’un vieil homéopathe installé en vallée de Chevreuse. Nous le consultâmes… après 15 jours d’attente, et miracle, 8 jours après, notre fille ne toussait plus. À l’époque je ne connaissais l’homéopathie que de nom et je fus très impressionné. Je décidai alors d’abandonner la médecine officielle si décevante, voire dangereuse, et de me convertir au culte de l’homéopathie. Je retéléphonai donc à ce cher docteur en outre un peu grincheux, qui paraissait assez débordé et même surmené, lui demandant comment faire la prochaine fois que ma fille serait malade, vu les délais d’attente. Il me répondit une chose incroyable : « Achetez le répertoire homéopathique de Pommier et débrouillez-vous ! »

C’est ainsi que je me mis à « bricoler » la santé de ma fille, me faisant quelquefois des frayeurs lorsque les résultats n’arrivaient pas assez vite. Aussi, en 1970, nous ne dûmes appeler le médecin que 3 fois, et ensuite jamais, bien que ma fille soit restée durant toute son adolescence un véritable cas d’école sur le plan pulmonaire.

La vision globale de l’ingénieur que j’étais m entraîna rapidement vers des voies adjacentes telles que l’alimentation, la naturopathie et les concepts de la santé holistique. Mon insassiable curiosité et mon enthousiasme sans faille m entraînèrent ainsi dans une avalanche de stages vers une vocation de plus en plus engagée. Il me fallut 12 années pour aboutir en 1984 au diplôme allemand de Heilpraktiker (praticien de santé international).

La version initiale de « PRENEZ EN MAIN VOTRE SANTÉ parut en 1978. C’était mon premier ouvrage, un livre à l’époque innovant dans la mesure où il se présentait comme une check-list basique face aux syndromes courants auxquels que nous devons affronter dans le cadre de la vie familiale. Guy Trédaniel qui avait bien voulu m’éditer, m avait dit à l’époque : « Ce livre pourra tenir 20 ans sur le marché ». Je ne l’ai pas cru sur le moment. Et pourtant, c’est moi qui, 20 ans après, ai décidé d’en arrêter la diffusion alors qu’il se vendait encore bien. La raison fut qu’entre-temps, j’avais effectué un parcours d’évolution thérapeutique si important que le Michel Dogna de cet ouvrage ne correspondait plus à celui que j’étais devenu. Par ailleurs, tout avait tellement bougé dans la médecine, dans la pharmacie et dans l’ambiance médico-sociale de la santé publique que ce livre devait être entièrement repensé, très augmenté, ce que je fis en 2001, et ce que je refais en 2007.

Plus que jamais, un tel ouvrage est nécessaire aux familles et à tous ceux qui veulent échapper à un système médical hypocrite, complètement prisonnier des lobbies pharmaceutiques, entités sans état d’âme essentiellement préoccupées de leur cote en Bourse. Par ailleurs, il s’agit d’arrêter de cautionner une barbarie dite scientifique d’expérimentation animale dont la fiabilité est largement contestée depuis plusieurs décennies, celle-ci n’étant qu’une funeste mascarade pour avaliser des molécules artificielles brevetables pouvant générer des profits colossaux.

L’hypocrisie reste la recette universelle pour endormir le peuple. On sauve deux baleines échouées sur une banquise pour faire oublier que l’on est en train d’exterminer le peu qu’il reste dans les mers. On nous montre comment on a pu préserver quelques espèces rares d’arbres, pendant que l’on abat l’Amazonie, le principal poumon de la planète. Quant au genre humain, il est clair, pour ceux qui veulent bien regarder la situation avec un minimum de lucidité, que nous assistons à une dégradation rapide de la santé publique, ainsi qu’à une extermination insidieuse de certaines populations. Nous subissons en fait un tir croisé de multiples attaques invisibles visant à détruire notre potentiel immunitaire, notre vigilance, voire même notre volonté : vaccinations, tranquillisants, antidépresseurs, hormones de croissance dans la viande et les fruits, irradiations des plantes, des légumes et des fruits, O.G.M., antibiotiques, micro-ondes, pesticides, dioxines, pollution de l’eau, de l’air, de la mer, radioactivité, ondes basse fréquence… Tout est malade ! Oui, la planète entière est malade… surtout de l’homme. L’amorce du III millénaire est bien sombre. Nous avons pourtant tout pour faire de notre planète un véritable paradis. Mais il paraît que l’ombre et la lumière sont toutes deux nécessaires pour que l’univers puisse exister et progresser.

Plus que jamais, il convient de choisir entre les énergies de mort et les énergies de vie. Ce qui n’existe pas dans la nature ne peut être reconnu dans les organismes vivants. Tout soulagement provisoire par des artifices chimiques aboutit souvent à un abonnement médical à vie, ou à un échange avec des maladies plus graves.

Le gouvernement mondial occulte qui se met progressivement en place est la plus grande dictature déguisée que l’humanité ait jamais connue. Elle passe par l’O.M.C. (Organisation mondiale du commerce), par l’O.M.S. (Organisation mondiale de la santé), par les semenciers promoteurs des O.G.M. (organisme génétiquement modifié), par la grande industrie pharmaco-chimique, etc. Les lobbies qui affichent les « sciences de la vie », en fait « sciences de la mort », prétendent contrôler la faim dans le monde, mais pas dans le sens que l’on croit…. Le scénario dans lequel nous entrons est, à la fois, celui du film Le Soleil vert et celui de La Planète des singes. Il est déjà tard pour réagir, car ces systèmes monstrueux ont infiltré tous les gouvernements et détiennent en otage nos politiques, la police, la justice, les médias. Leurs budgets sont cent fois celui d’un État, ils n’ont pas de visage, pas de morale, pas de règles; et nous, insignifiants esclaves, tout ce que l’on nous demande, c’est d’obéir aveuglément à la grande religion scientifique issue de l’irrécusable recherche officielle.

Tout « dérangeur » doit être professionnellement voire socialement écarté. C’est ainsi que nous assistons actuellement au massacre de la phytothérapie, de l’homéopathie, des produits diététiques pour lesquels il est interdit de signaler à quoi ils servent; c’est ainsi que nous assistons aux attaques en règle de la plupart des inventeurs de remèdes ou thérapies hors lobbies pharmaceutiques, de la plupart des médecins innovants soucieux de ne pas empoisonner leurs patients, et à une chasse aux« sectes » digne du Moyen Âge. Les quelques véritables sectes dangereuses que nous connaissons tous sont, elles, soigneusement ignorées. 

Voilà pourquoi il est grand temps de prendre le maquis, d’arrêter d’acheter et de consommer les denrées et les médicaments de ces systèmes diaboliques qui nous méprisent, nous traitent en vache à lait, martyrisent les animaux, maltraitent les plantes et l’écosystème tout entier. Il faut vite organiser des marchés parallèles du bio, réhabiliter la pharmacopée naturelle, mettre sur pied des systèmes d’éducation et d’enseignement permettant à nos enfants d’échapper au lavage de cerveau; il faut échapper à la damnation d’une gigantesque dégénérescence collective. Il s’agit maintenant de survivre au milieu des attaques que nous subissons de toutes parts, de ne pas mourir de faim sur un sac de riz empoisonné, mourir de soif à côté d’un seau d’eau chimiquée, mourir des vaccins que l’on nous impose, des médicaments qu’on nous rembourse.

Extrait du livre de Michel Dogna, Prenez votre santé en main (version papier). PDF gratuit ICI.



dimanche, janvier 24, 2021

Connaître la véritable origine du mondialisme et comprendre la crise actuelle

Les peuples se laissent mener passivement par une force puissante et agressive qui sait exactement ce qu'elle veut et qui, depuis des siècles, a travaillé pour atteindre son but.





Les citoyens de l'orgueilleux Empire Britannique — alors à l'apogée de sa puissance — qui lurent les journaux au matin du 9 février 1883 ne prêtèrent certainement aucune attention à quelques lignes parues dans un hebdomadaire Juif — le Jewish World — lignes redoutables cependant par ce qu'elles annonçaient, à qui aurait su les comprendre.

Le Jewish World disait donc :

« La dispersion des Juifs a fait d'eux un peuple cosmopolite. Ils sont le seul peuple vraiment cosmopolite et en cette qualité, ils doivent agir et ils agissent comme un dissolvant de toute distinction de race ou de nationalité.

« Le grand idéal du Judaïsme n'est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la Terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l'enseignement Juif et que dans une fraternité universelle des Nations — un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparaissent. »

« En tant que peuple cosmopolite les Juifs ont déjà dépassé le stade que représente dans la vie sociale la forme nationale du "séparatisme". Ils ne pourront plus jamais y revenir. Ils ont fait du monde entier leur « home » et ils tendent maintenant leurs mains aux autres nations de la terre pour qu'elles suivent leur exemple.

« Ils font plus. Par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l'activité publique, ils sont en train de couler graduellement les pensées et les
systèmes non-juifs dans des moules Juifs (Jewish World, 9 février 1883). »

Dans « Anthologie juive, article de S. Hirsch », page 261 :

« Au moyen âge — écrit Samuel Hirsch — le Judaïsme ne songea point à se faire admettre dans la société telle qu'elle existait alors, car il se sentira toujours à l'opposé de la conception que l'Église se fait du monde.,.

Le Judaïsme est uniquement orienté vers l'avenir de la Terre ; c'est sur la terre qu'il veut voir régner la connaissance de Dieu ; c'est sur la terre qu'il veut voir se réaliser le royaume céleste de la vérité et de la vertu. C'est pourquoi le Judaïsme se sent si bien en harmonie avec l'esprit de notre époque, c'est pourquoi il éprouve un si profond besoin d'être admis dans la société moderne, car les temps nouveaux
réclament ce qu'il réclame : le règne terrestre de la vérité et de la vertu. »

Werner Sombart 

« C'est un fait incontestable, dit Werner Sombart, que l'Allemagne et les États-Unis sont aujourd'hui les deux seuls pays qui rivalisent pour la réalisation complète, pour l'expression achevée de l'esprit capitaliste. (« Le Bourgeois », publié en 1913, page 174.). »

Ce sont justement, avec la Russie soviétique, les deux pays où l'influence juive est la plus forte, aussi, écrit Werner Sombart en parlant des Etats-Unis, est-on dans une certaine mesure : « En droit d'affirmer que c'est à l'empreinte juive qu'ils doivent d'être ce qu'ils sont, c'est-à-dire leur américanisme ; car ce que nous appelons américanisme n'est que l'esprit juif ayant trouvé son expression définitive (W. Sombart. — « Les Juifs et la vie économique », page 63.). »

« Et — ajoute-t-il — étant donné l'énorme influence que, depuis sa découverte, l'Amérique n'a pas cessé d'exercer sur la vie économique de l'Europe et sur l'ensemble de la culture européenne, le rôle que les Juifs ont joué dans l'édification du monde américain est devenu d'une importance capitale pour toute l'évolution de notre histoire (W. Sombart. — « Les Juifs et la vie économique », page 51.). »

Gorrado Alvaro

Quant à ce qui est de l'Allemagne un des écrivains les plus connus de l'Italie concluait une longue enquête par ces lignes :

« Depuis la guerre l'Allemagne s'américanise ; elle cultive la pénétration américaine.

« A ce fétichisme contraire au génie et à l'histoire du pays, le traditionalisme des conservateurs ne peut opposer qu'une sourde réaction. Le domaine financier et intellectuel a passé entièrement entre les mains des Israélites. Ils forment actuellement l'élément actif qui donne à la vie allemande son caractère (Gorrado Alvaro. —Article de L'Italia Littcraria, reproduit dans le Figaro du 2 septembre 1929.). »

W. Morton Fullerton

A des degrés divers l'on pourrait en dire autant aujourd'hui de bien d'autres pays. N'est-ce pas hier que W. Morton Fullerton pouvait écrire en parlant de l'Angleterre :

« Il faut bien appeler les choses par leur nom et je pose brutalement la question : quels sont aujourd'hui les vrais maîtres de l'Angleterre et quels sont leurs buts ?

« Le cabinet britannique actuel comprend un certain nombre de noms à consonance anglo-saxonne. Mais ce ne sont pas eux qui déterminent la politique britannique. A leur insu ils se laissent mener passivement par une force puissante et agressive qui sait exactement ce qu'elle veut et qui, depuis des années, a travaillé pour atteindre son but. »

Signalant la présence dans le gouvernement national Anglais de quatre ministres juifs : Sir Herbert Samuel, Sir John Simon, Lord Reading (Rufus Isaacs), Sir Philip Sassoon et de Mr, Montagu Norman à la tête de la banque d'Angleterre, il ajoutait :

« C'est dans le groupe dont il s'agit que l'on trouve le véritable gouvernement de l'Angleterre... Tombée aux mains d'un groupe d'internationalistes plus nuisible pour elle — et pour tout ce qui a fait jusqu'ici sa grandeur parmi les nations -— que le gouvernement socialiste même qui l'a menée au bord de l'abîme, elle abandonne l'étalon-or et elle adopte une politique et une attitude qui la conduiront à sa perte (W. Morton Fullerton. — Le Figaro, 17 décembre 1931.). »

Werner Sombart, Corrado Alvaro, Morton Fullerton, oui, Elie Eberlin a raison, les valeurs juives ont triomphé des valeurs chrétiennes et gréco-romaines.

Mais ce n'est pas tout.

Elie Eberlin

Embrasées par leur terrible et millénaire vision messianique :

« Les masses juives s'ébranlent. Elles s'apprêtent à forger leur avenir. Jamais, depuis les prophètes peut-être, le rêve d'une fraternité universelle, d'une justice sociale, jamais le besoin impérieux de contribuer à l'affranchissement humain n'a été plus vivace en Israël qu'à l'heure actuelle. Un souffle de renouveau, un élan de rénovation agite et remue le monde juif (Elie Eberlin. — « Les Juifs d'aujourd'hui », page 196.). »

Et c'est vers des bouleversements cosmiques qu'il veut nous entraîner en soulevant l'Asie.

« Le concours de l'Asie est indispensable pour la réussite du vaste mouvement de libération dont est agitée l'humanité. L'Europe et l'Amérique — cette Europe synthétique — ne suffisent plus à la tâche. 

L'Asie doit donner, l'Asie, ce berceau de la civilisation, l'Asie mystérieuse du bouddhisme, du brahmanisme, du confucianisme, l'Asie, ce monde de races...

« Il faut que l'Europe cesse de convoiter l'Asie comme une proie. L'unité de l'Asie libre sera le prélude de l'unité de l'humanité libre (Elie Eberlin. — « Les Juifs d'aujourd'hui », page 115.). »

Alfred Nossig

« Déjà flambe à l'horizon l'aurore de Notre jour » (Alfred Nossig, « Intégrales Judentum »), écrit un de leurs modernes prophètes au cerveau halluciné par la vision du triomphe proche.

G. Batault

"Le rêve messianique peut, du reste, prendre les formes les plus diverses, seul le but final reste invariablement le même : c'est le triomphe du judaïsme, de la loi, qui est toute vérité et toute justice, le triomphe du peuple juif (G. Batault, « Le problème Juif », publié en 1926, page 135.). »

« Le rêve internationaliste du Juif, c'est l'unification du monde par la loi juive, sous la direction et la domination du peuple sacerdotal : je ne puis que le répéter, un impérialisme généralisé. Cela n'empêche pas M. Loeb, comme MM. Darmesteter, Salomon Reinach, Bernard Lazare et tant d'autres, de considérer cette conception comme celle de la fraternité universelle (G. Batault, « Le problème Juif », page 135.).

« L'universalisme fait tout simplement figure d'un impérialisme de l'exclusivisme juif le plus étroit, qui prétend à régir et à asservir le monde (G. Batault, « Le problème Juif », page 131.). »

Et

« En attendant que viennent les temps messianiques, il paraît tout au moins incontestable que le prophétisme et le judaïsme recèlent une puissance éternelle de révolution (G. Batault, « Le problème Juif », page 142.). »

150 ans de mercantilisme industriel judéo-puritain, et par contrecoup de socialisme, viennent de passer sur le monde ; de passer orgueilleusement, triomphalement, et dans l'accalmie qui suit les premiers souffles de l'orage c'est avec stupeur que nous pouvons relever le bilan des destructions; il tient en quelques lignes, quelques lignes qui renferment un abîme de souffrances, courtes lignes qui sonnent peut-être le glas d'un monde mais à coup sûr la fin d'une époque :

Dix millions d'hommes tués de 1914 à 1918; combien d'autres millions en Russie, en Chine et ailleurs, nul ne le sait et jamais ne le saura ; des ruines financières innombrables ; une impasse économique à laquelle on ne voit pas d'issue et dont un chiffre à lui seul suffira à montrer l'ampleur : 20 millions de chômeurs, soit 60 millions de personnes sans moyen normal de subsistance ; et la haine, la haine rouge Marxiste rongeant scientifiquement le cœur des foules ; et la désagrégation sociale, et l'Asie bouillonnante, et l'Afrique traversée de remous mystérieux, nerveuse, inquiète, prête à se soulever ; que sais-je encore !

Ceci pour le visible, le tangible.

Et dans le domaine plus grave de l'invisible, il y a la spiritualité ébranlée jusque dans ses fondements.

Ces lignes ont été écrites en 1932 par Léon de Poncins. 

"Gabriel Léon Marie Pierre de Montaigne de Poncins, né le 3 novembre 1897 à Civens, Loire, et mort le 18 décembre 1975 à Toulon, était un journaliste et essayiste catholique français." Wikipédia


Les Juifs maîtres du Monde de Léon de Poncins

PDF gratuit ICI




samedi, janvier 23, 2021

Le maquis ou le camp de concentration ?

"Les arrestations d’opposants avec internement secret seront de plus en plus fréquentes." (Captain H.)

Quand l'UE décrétera le confinement perpétuel, l'autorisation de sortie sera d'1 heure par jour.
(En 2020, la docilité de la population a été concluante.)


"Allemagne : les premiers camps de concentration pour les « briseurs de confinement » s’ouvrent un peu partout dans le pays. [...]

La révolution néo-bolchevique se déploie maintenant à pleine vitesse en Allemagne. Les autres Etats ne vont pas tarder à suivre.

Les arrestations d’opposants avec internement secret seront de plus en plus fréquentes.

Certaines seront suivies de liquidations.

Comme je l’ai expliqué au printemps dernier lors de l’euthanasie discrétionnaire des patients hospitalisés décrétée par l’Etat, n’importe qui peut être exécuté entre 4 murs grâce à une injection de Rivotril. Il suffit ensuite aux autorités d’inscrire « Covid19 » sur le certificat de décès. Il n’y aura aucune autopsie, pas de témoins, pas d’obsèques publiques." (Captain Harlock)

Vidéo Bild-Zeitung : CAMP-COVID :


Pour rester libre et vivant, il est encore temps de prendre le maquis. On peut télécharger gratuitement un manuel pour savoir comment survivre dans toutes les situations : ICI 

Se procurer la version papier :



Par leur formation, les forces spéciales sont entraînées pour résister à toutes les situations dangereuses sur tous terrains et par tous les temps. 

Ce guide pratique illustré deviendra rapidement indispensable aux amateurs de randonnée extrême, montagnards, campeurs, baroudeurs de tout poil (et maquisards).

On y apprend à s'orienter avec les étoiles, estimer les distances, prévoir la météo, chasser, faire du feu, trouver de l'eau et de la nourriture dans n'importe quelle condition, se construire un abri de fortune, survivre aux climats extrêmes, porter les premiers secours, etc. 

Découvrez les enseignements essentiels dispensés dans le cadre de la formation des forces d'élite pouvant faire face aux situations les plus extrêmes.

Pour les amateurs de vidéos sur les plantes sauvages alimentaires, une chaîne YouTube entre autres :


(7:52)

Le SCOLYME, plante de survie sucrée. 

https://www.trekeco-survie-aventure.com


vendredi, janvier 22, 2021

Les privilèges dont jouissent les Occidentaux vont leur être ravis


(...) les privilèges dont jouissent les Occidentaux vont leur être ravis par les peuples du tiers monde qui se serviront de la technique comme d’une arme contre la civilisation occidentale.



Les délocalisations & la fin de l’Occident


En 1931, il y a 90 ans, Oswald Spengler termine son livre « L’homme et la technique » qui sera publié en 1933. L’auteur du « Déclin de l’Occident » esquisse dans ce livre une évolution de l’espèce humaine depuis son origine et étudie les phases différentes de la technique jusqu’à l’avènement et la dissolution de la culture machiniste. Oswald Spengler tente de montrer que les privilèges dont jouissent les Occidentaux vont leur être ravis par les peuples du tiers monde qui se serviront de la technique comme d’une arme contre la civilisation occidentale. 


Les signes avant-coureurs d’un cataclysme


Au lieu de garder jalousement pour eux-mêmes le savoir technique qui constituait leur meilleur atout, les peuples « blancs » l’offrirent avec complaisance à tout venant dans le monde entier, dans tout lycée, oralement et par écrit – et l’étonnement admiratif des Indiens et des Japonais les enchanta. La fameuse « décentralisation de l’industrie » s’instaura, motivée par l’idée d’augmenter les bénéfices en transférant la production au cœur même des régions des débouchés. Et ainsi, au lieu de l’exportation exclusive des produits finis, les peuples « blancs » commencèrent à exporter des secrets, des procédés, des méthodes, des ingénieurs et des organisateurs. Les inventeurs eux-mêmes en viennent à émigrer, car le Socialisme, au lieu de les atteler à son chariot comme il pourrait le faire, les expulse. Du coup, les « indigènes » purent pénétrer rapidement nos secrets ; ils les comprirent, les utilisèrent à plein rendement. En trente ans, les Japonais devinrent des techniciens de premier ordre : dans leur guerre contre la Russie, ils révélèrent une supériorité technique dont leurs professeurs surent tirer maintes conclusions. Aujourd’hui, et presque partout, - en Extrême-Orient, aux Indes, en Amérique du Sud, en Afrique du Sud, - des régions industrielles existent ou sont en passe d’exister, qui, grâce au bas niveau des salaires, vont nous mettre en face d’une concurrence mortelle. Les PRIVILEGES intangibles des races blanches ont été éparpillés au hasard, gaspillés, divulgués. Les non-initiés ont rattrapés leurs initiateurs. Peut-être même les ont-ils dépassés, grâce à l’alliage qu’ils ont réalisé entre la ruse de l’«indigène» et la grande maturité atavique de leurs très anciennes civilisations. Partout où il y a du charbon, du pétrole ou de la houille blanche, une arme nouvelle peut être forgée, pointée contre le cœur même de la Civilisation Faustienne. Le monde exploité est en passe de prendre sa revanche sur ses seigneurs. Les multitudes innombrables de mains des races de couleur – au moins aussi capables, mais beaucoup moins exigeantes – anéantiront l’organisation économique des Blancs jusque dans ses fondements vitaux. Le luxe aujourd’hui HABITUEL dont bénéficie, par rapport au coolie, le travailleur blanc sera sa perte. Le LABEUR MEME du travailleur blanc en arrive à être indésirable. Les énormes masses humaines concentrées dans les zones charbonnières septentrionales, les grands complexes industriels, les capitaux qui y sont investis, des villes et des régions entières, tout cela voit surgir la probabilité d’une défaite dans cette compétition. Le centre de gravité de la production s’en éloigne constamment, d’autant plus que le respect même des races de couleur pour les Blancs s’est évanoui dans la Première Guerre mondiale. C’EST TOUT CELA qui constitue la base réelle et irrémédiable du chômage régnant dans les pays des Blancs. Il ne s’agit nullement d’une simple crise, mais bien des PRODROMES D’UN CATACLYSME.    


La fin de la civilisation Faustienne


Pour ces peuples « de couleur » (qui comprennent dans le présent contexte les Russes), la technique Faustienne n’apparaît en rien comme une nécessité intérieure. C’est seulement l’homme Faustien qui pense, ressent et VIT sous cette forme. Pour lui, c’est une nécessité SPIRITUELLE, non basée sur ses conséquences économiques, mais sur les TRIOMPHES qu’elle lui apporte : Navigare necesse est, vivere non est necesse. Pour les « gens de couleur », au contraire, la technique n’est rien de plus qu’une arme dans leur lutte contre la civilisation Faustienne, au même titre qu’une branche d’arbre qu’on jette au rebut, dès qu’elle a rempli son office. Cette technique machiniste disparaîtra avec la Civilisation Faustienne et, un jour, ses débris seront éparpillés de-ci delà, OUBLIES : nos voies ferrées et nos paquebots, aussi fossiles que les voies romaines et que le Mur de Chine, nos cités géantes et nos gratte-ciel en ruine comme ceux de Memphis et de Babylone. L’histoire de cette technique tire rapidement à sa fin inéluctable. Elle sera rongée et dévorée par l’intérieur, tout comme les formes imposantes de n’importe quelle autre Culture. Quand cela se fera-t-il, et de quelle manière ? nous l’ignorons.


Le choix d’Achille 


Confrontés comme nous le sommes à cette destinée, un seul parti pris vital est digne de nous, celui qui a déjà été mentionné sous le nom du « choix d’Achille » : mieux vaut une vie brève, pleine d’action et d’éclat, plutôt qu’une existence prolongée, mais vide. Déjà le péril est si pressant, pour chaque individu, chaque classe, chaque peuple, que vouloir se berner encore d’une illusion quelconque est lamentable. Le Temps ne permet pas qu’on l’arrête. Le pusillanime retour en arrière, comme le précautionneux renoncement, sont exclus. Seuls les mythomanes croient encore qu’il reste une issue possible. L’espérance est lâcheté.


Nous sommes nés à ce temps et devons poursuivre avec vaillance, jusqu’au terme fatal, le chemin qui nous est tracé. Il n’y a pas d’alternative. Notre devoir est de nous incruster dans cette position intenable, sans espoir, sans possibilité de renfort. Tenir, tenir à l’exemple de ce soldat romain dont le squelette a été retrouvé devant une porte de Pompéi et qui, durant l’éruption du Vésuve, mourut à son poste parce qu’on avait omis de venir le relever. Voilà qui est noble. Voilà qui est grand. Une fin honorable est la seule chose dont on ne puisse pas frustrer un homme. 


Munich, 1931. 




Volume I : Forme et réalité. Volume II : Perspectives de l'histoire universelle





jeudi, janvier 21, 2021

Trump a-t-il trahi ?

Face à une dictature, la règle primordiale de la Résistance est l'anonymat. 

QAnon et l'opération "soldats numériques" du général Flynn ont permis, grâce à Internet, le plus grand mouchard de l'histoire de l'humanité, d'identifier tous les opposants au nouvel ordre mondial présents sur les réseaux sociaux.

(0:42)
Trumps arrive in Florida after White House departure.


L'arrivée au pouvoir de Biden inquiète l'essayiste Henry Makow (auteur du livre "Illuminati, le culte qui a détourné le monde") :

"L'opération Covid ne va pas s'arrêter car c'est un prétexte pour instaurer un Etat policier. Nous sommes des souris dans un laboratoire dirigé par des psychopathes.

Un sondage de Twitter montre que près de 45% des abonnés pensent toujours que Donald Trump mettra fin au vol (des élections). Mais, je suis presque certain qu'il ne le fera pas parce qu'il fait partie des Illuminati, le culte satanique qui contrôle le monde. (J'aimerais me tromper.)

Nous ne réalisons pas à quel point notre situation est désastreuse. Trump invoquant la loi sur l'insurrection est un fantasme réconfortant. Cela n'arrivera pas. (...)

L'humanité a donné les clés à son pire ennemi, le cartel sataniste de la banque centrale. Les "clés" désignent le pouvoir de créer le moyen d'échange (argent ou crédit) à partir de rien, avec intérêt... 

(...)

La façon dont les médias, les politiciens, la Cour suprême, les militaires, les grandes technologies et les entreprises ont tous approuvé le coup d'État et présenté la manifestation du Capitole (et non le vol des élections) comme une "sédition" montre que les États-Unis ont été totalement subvertis par le culte Illuminati. 

(...) 

L'argent a acheté l'élection et l'argent a acheté le canular COVID. Or les banquiers Illuminati ont autant d'argent qu'ils le veulent... 

(...)

Les banquiers Illuminati sont des satanistes. Ils sont mauvais... 

Nous voulons aimer les gens riches et puissants. Mais ils ne sont pas sympathiques. Ils sont le mal. Et ils nous détestent.... 

Le satanisme est la religion de la mort...  

Les satanistes ne se reposeront pas tant qu'ils n'auront pas privé la vie de toute sa joie et de son sens. Le but des verrouillages ("sanitaires", économiques, liberticides...) est la destruction de la société civile...

(...) ils ont l'intention de démanteler les États-Unis et de déclencher une guerre civile...

Pour moi, dit Henry Makow, la décision la plus cruciale de toutes a été que les chefs d'état-major interarmées ont envoyé une directive à tous les secteurs militaires indiquant que leur nouveau commandant en chef est Biden le 20 janvier.

(...) cela m'a appris une grande leçon sur les faux mouvements comme Q... (...) les patriotes ont été incités à la passivité, à ne rien faire : "asseyez-vous, mangez le pop corn et regardez l'émission..."

Les patriotes doivent cesser d'écouter les agents de Q maintenant ou ils seront (toujours) induits en erreur pour subir peut-être de pires attaques. Nous ne devons pas confondre Q avec les vrais patriotes..."

Extraits d'un article de H. Makow. Version intégrale :
https://www.henrymakow.com


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Notons que Donald Trump a accordé la grâce à 73 personnes et commué les peines de 70 autres. Parmi elles, ni Edward Snowden ni Julian Assange.

Interviewée mardi par le Washington Examiner, la compagne et mère des deux enfants de Julian Assange estimait :

« Tout président qui croit en la défense du 1er amendement est le bon président pour lui pardonner. Julian n’aurait jamais dû être inculpé pour avoir publié la vérité »



mercredi, janvier 20, 2021

Qui est au-dessus des Rothschild ?


Les véritables maîtres du monde sont des occultistes, ils contrôlent l'ordre des Jésuites. 



Jorge Mario Bergoglio est le premier pape jésuite de l'histoire...


Les Jésuites

par Joël Labruyère


Dès sa fondation, l'Ordre se répand sur la terre, d'abord en Inde, puis au Japon et en Chine. De Chine, les Jésuites sont passés au Tibet, sans doute les premiers (...). A chaque étape, ils se fondent dans la foule "comme un poisson dans l'eau". Cette formule de Mao fut empruntée aux Jésuites, ses véritables maîtres.

Et l'avancée continue durant le 17e siècle. Ils apparaissent en Amérique du Sud, en Afrique et dans tous les pays du monde. En un siècle, ils sont partout, derrière les rideaux de tous les palais. A chaque étape, ils s'incrustent profondément dans la culture locale allant jusqu'à se déguiser en sannyasin, en Inde, et en mandarins confucianistes, en Chine. Ils ne s'en cachent d'ailleurs pas car la dissimulation et l'infiltration font partie de leurs devoirs.

Sur des gravures chinoises représentant des mandarins aux ongles longs et aux moustaches tombantes, on aurait du mal à identifier des pères jésuites, à moins d'un détail comme ce crucifix volontairement disposé dans un coin du décor. Au Tibet, ils disparaissent dans les lamaseries, puis resurgissent au 19e siècle en tant que... Maîtres de la Grande Loge Blanche !

Vous avez compris l'astuce ? Cela n'étonnera que les naïfs qui croient aux contes de fée de la Théosophie façon Nouvel Age. Comment imaginer que la Grande Loge orientale est entre les mains de ceux qui tiennent également le Grand Orient sous leur coupe ? Mais c'est ainsi. Les Jésuites ont investi le Tibet et n'en sont jamais repartis.

Vous voyez le topo ? C'est pourquoi aujourd'hui encore, ils financent le bouddhisme tibétain - ils paient directement le salaire des lamas - après avoir lancé la Chine communiste contre le Tibet. Toujours "diviser pour régner" Car la Chine est l'une de leurs places fortes, et le communisme est leur cheval de Troie. Tout cela est dit en raccourci, mais le chercheur motivé en découvrira les preuves s'il y consacre un peu d'efforts. Car rien n'est caché lorsqu'on sait lire les livres de propagande sur le lamaïsme, par exemple.

Qui sont ces êtres pour détenir une telle puissance ?

Contrairement à la plupart des êtres humains, ils ont un projet de grande envergure, des moyens financiers et intellectuels considérables, et une discipline de fer. C'est une Gestapo avec les pouvoirs occultes en plus. Imaginez une milice de SS déguisés en prêtres, et qui sévissent depuis quatre siècles, cela doit finir par donner des résultats, n'est-ce pas ? Ils ont un système de développement occulte qui les rend totalement déterminés et obéissants.

Ce système de conditionnement psychique est dissimulé dans le sens ésotérique des Exercices Spirituels d'Ignace de Loyola qui fut un initié investi par l'esprit de Mars. C'est la conquête du monde, sous le masque de la religion.

Les Jésuites mènent une guerre terrible depuis plusieurs siècles, et tous les conflits ont été directement ou indirectement déclenchés par leur volonté avec le soutien financier de leur généreuse banque, rien moins que l'honorable maison Rothschild.

Ce sont les Rothschild qui ont financé les Illuminés de Bavière, et encore les Rothschild qui offrent des cadeaux somptueux aux Jésuites, tel le château de Chantilly.

L'origine de la fortune des Jésuites est inconnue, mais si on cherche un peu du côté de la mafia italienne, alors tout s'éclaire, et l'on réalise que les fils d'Ignace de Loyola sont les plus grands trafiquants de drogue et de chair humaine de ce coin du système solaire. Je m'excuse si tout cela sonne un peu comme du David Icke qui voit des reptiliens partout, mais le temps est venu de dire les choses. À chacun d'en faire ce qu'il veut, soit pour rejeter ou pour comprendre.

Lorsqu'on parle de la puissance des Illuminati, on pense souvent à des financiers internationaux comme les Rothschild, mais on n'évoque jamais l'importance des Jésuites.

Au 19e siècle, les Jésuites lancèrent la "mode" de l'antisémitisme afin qu'on rejette la responsabilité de leurs turpitudes sur les Juifs. Les premiers pamphlets et les écrits de l'idéologie antisémite ont été rédigés par des Jésuites qui deviendront ultérieurement des militants de l'anti-racisme. N'oublions pas qu'ils sont toujours des deux côtés à la fois. Diviser pour régner.

C'est pourquoi on pense que les "Protocoles des Sages de Sion" ont été mis en circulation par les Jésuites pour détourner l'attention vers les Juifs qui sont devenus un bouc émissaire idéal, à cause des Juifs célèbres qu'on retrouve aux commandes du système jésuito-Illuminati.

Pourtant, les Juifs de base ne sont pas responsables si des milliardaires et des élites sionistes trempent dans la combine.

Nombre de Juifs doivent se demander ce qui leur vaut autant de succès dans les médias, la finance ou le monde du spectacle. Ils devraient quand même se méfier de leurs parrains et de ces familles puissantes comme les Rothschild qui n'hésitèrent pas à sacrifier leurs congénères durant la Deuxième Guerre mondiale.

Car, quoiqu'en disent les révisionnistes, les Juifs ont souffert sous le joug jésuito-nazi, même si cela ne les autorise pas à s'attribuer le monopole de la souffrance. Rappelons que les Rothschild n'ont perdu aucun de leurs membres, ni souffert du moindre harcèlement depuis l'apparition de l'antisémitisme moderne. On prétend même qu'ils ont financé le régime nazi, lequel entretenait d'ailleurs d'excellents rapports avec le mouvement sioniste. Quoiqu'il en soit, nous ne développerons pas maintenant cette question fort épineuse qui exige du recul et des connaissances que l'on ne trouve pas dans les livres d'histoire. La cause politique des atrocités révolutionnaires et des régimes totalitaires s'explique par la politique des Jésuites Illuminati qui ont été de tous les côtés, trahissant et faisant massacrer leurs opposants sans relâche, assassinant des rois et des chefs d'état, depuis Henri IV jusqu' à J. F. Kennedy.

Et les services secrets ? Qu'il suffise de savoir que le responsable au Vatican des contacts avec la CIA est un Jésuite, le cardinal Dulles, le petit-fils du fondateur de la CIA ! Les secrets des "reptiliens" restent en famille.

Comment peut-on s'appeler "Compagnie de Jésus" et poursuivre un dessein si contraire à la foi chrétienne ?

Cette question démontre notre naïveté. Nous n'avons toujours pas compris que si l'on veut atteindre un but sur le long terme, il faut agir au nom de Dieu et du Bien, en laissant croire aux meilleures intentions du monde. Le loup sait qu'on lui ouvrira la porte s'il se met de la farine sur le museau, et s'il se présente en bêlant des paroles de paix et de fraternité. Il connaît les hommes, dès lors qu'on leur parle gentiment et qu'on vient pour les aider. C'est par le "bien" qu'on trompe vraiment l'humanité, et non par les explosions éphémères de force brutale. Et le meilleur camouflage, c'est le masque de la religion car l'être humain est un enfant qui ne peut percer une telle malice.

Cette candeur humaine est d'ailleurs la preuve de notre bonté originelle, mais cette bonté s'accompagne aussi d'une stupidité indécrottable. Les bons sentiments, l'humanitarisme, le progrès scientifique et social, voilà les meilleures armes des Jésuites. Pourtant, lorsqu'on suit leur action à la trace, il n'y a que des larmes et du sang, depuis le massacre des Indiens d'Amérique jusqu'à la boucherie de Khmères rouges de Pol Pot, en passant par les purges de Staline et les massacres de la révolution culturelle de Mao. C'est signé.

À chaque fois, les Illuminati jésuites sont à l'arrière-plan, et si l'on ne comprend pas la raison d'un génocide, eux le savent. C'est toujours "Pour la plus grande gloire de Dieu" selon leur folle devise dont l'application pratique exige que "la fin justifie tous les moyens".

Quelle drôle d'idée de vouloir ajouter de la gloire à Dieu !

Quel est ce dieu qui aurait besoin qu'on lui ajoute des conquêtes terrestres ? On a compris qui il est.

Comment la Franc-Maçonnerie est-elle tombée sous leur emprise ?

Rien de plus simple. Ils entrent dans une organisation comme le ferait n'importe quelle personne intéressée et, une fois dans la place, ils deviennent les meilleurs et les plus dévoués, jusqu'à prendre naturellement les commandes de l'organisation qu'on leur livre les yeux fermés tellement ils sont devenus indispensables pour l'administration, les finances, etc. Cela devrait éveiller l'intérêt des membres de groupes qui ont pressenti que leur mouvement avait mystérieusement dévié depuis son origine.

C'est souvent "signé Ignace ". Censure et manipulation des écrits originaux, ligne stalinienne du parti avec instauration de la langue de bois, manœuvres politiciennes, luttes de pouvoir, immobilisme ou au contraire activisme, transformation insidieuse de la doctrine initiale... les Jésuites instillent leurs manières dans l'organisation et le tour est joué.

Leur action est devenue aujourd'hui plus occulte que dans le passé. Leur puissant égrégore "magique" peut se greffer sur une sphère psychique collective et y injecter son venin par des canaux subtils. Généralement, ils font pénétrer le poison par des individus télépathiquement sensibles ou dont les points de faiblesse sont restimulables : ambition, sexe, argent... ce sont les failles naturelles par lesquelles on peut facilement détruire une organisation.

Les Jésuites Illuminati font du piratage occulte. Ils ont mis au point les rituels des hauts grades maçonniques pour servir leur propre égrégore. Ils ont inversé les colonnes du « rite français » des loges du Grand-Orient substituant ainsi aux mythiques initiales I et B des colonnes du Temple de Salomon - Jakin et Booz - les initiales B et I de Beatus Ignatius. C'est ainsi que les candides francs-maçons rendent un culte à Saint Ignace tout en accomplissant leur rituel maçonnique. Ce n'est là qu'un exemple parmi de nombreuses manipulations effectuées par les initiés Jésuites, grâce à leur connaissance scientifique des effets occultes de la magie cérémonielle. Dans l'Église catholique, on parle des "rituels jésuites" pour décrire le détournement des rites de Confucius dans un sens jésuitique. À ce sujet, savez-vous qui a traduit la plupart des écrits sacrés de l'Asie ? Lao Tseu aurait bien du mal à se retrouver dans le pseudo-Tao des Jésuites, et que dire des grands sages de l'Inde. Personne ne peut rivaliser. Aucun autre groupe n'est au niveau, et d'ailleurs, la plupart ont été mis sous contrôle ou sont partiellement neutralisés par les Illuminati jésuites qui disposent d'agents - souvent inconscients - dans tous les milieux.

Cela n' empêche personne de faire son chemin sur la voie qu'il a choisi, mais l'on se demande parfois pourquoi autant de difficultés irrationnelles apparaissent ? Nombre de groupes qui piétinent alors qu'ils devraient naturellement se développer, feraient bien de se demander s'ils n'avancent pas avec les freins bloqués ?

À l'opposé, d'autres mouvements ont une progression internationale miraculeuse qui est aussi peu naturelle que la stagnation des précédents... Cela dit, il serait absurde de mettre ses propres erreurs sur le compte d'une influence occulte. L'incompétence, la stupidité et l'ambition demeurent les vices qui rongent la plupart des organisations, mais elles sont d'abord dans leurs membres.

Pour simplifier, nous dirons que l'Ordre secret des Jésuites est une inquisition occulte planétaire et, qu'à ce titre, il a inévitablement le contrôle des polices secrètes de tous les Etats. Ces services ne sont que des départements d'une centrale occulte. Une division apparente permet de motiver les innombrables dupes qui sont au service du système global - par idéologie ou simple besoin de survie.

Deux armées ennemies peuvent être sous le contrôle des Jésuites qui feront livrer des armes aux deux camps, pour la plus grande satisfaction de leur banquier. Mettez-vous à la place des Rothschild ! Quelle aubaine pour ces changeurs de Francfort lorsqu'ils virent de mystérieux inconnus leur proposer de créer les grandes banques européennes au 18e siècle. Une partie du Judaïsme tomba sous la coupe des Jésuites Illuminati, et c'est pourquoi les Juifs de base qui n'y sont vraiment pour rien, ont été littéralement pris en otage et sont devenus la cible de l'antisémitisme.

Les Juifs ne semblent pas décidés à s'émanciper de cette tutelle qui offre des avantages matériels, mais peut les conduire au désastre lorsque le vent tourne.

Extrait du livre Kali Yuga de Joël Labruyère. Les Brigandes ont annoncé la réédition de l'ouvrage. Pour en savoir plus :



Bonus :

Après avoir été grièvement blessé à la jambe par un boulet, au siège de Pampelune, en 1521, Ignace de Loyola, a sublimé son énergie sexuelle de manière contrôlée. Rien de nouveau en cela, car c'est la base même de l'occultisme. Mais il a codifié un système de développement occulte très efficace en liaison avec la force de la planète Mars ou, tout au moins, avec l'un des esprits de cette sphère.

On amuse les gens avec le yoga de la kundalini, mais les hauts initiés jésuites détiennent de puissants secrets. De plus, leurs chefs sont dirigés par des entités occultes supérieures tel celui qui inspira Ignace de Loyola, ainsi que son incarnation suivante, le clairvoyant Swedenborg. Le « Jésus » des Jésuites n'est
qu'un prête-nom, une couverture fallacieuse car jamais le Christ Jésus ne commanda la ruse et le meurtre pour faire avancer le royaume de Dieu.

Loyola était un militaire espagnol du 15e siècle qui rêvait de conquérir le monde, mais qui réalisa que la religion était le meilleur moyen pour entrer chez l'ennemi avec des paroles de paix à la bouche. Blessé, il resta longtemps allongé ce qui lui permit d'analyser ses mécanismes psychiques les plus subtils.

Il sublima l'énergie sexuelle et développa un système de développement psychique qui fabrique des anormaux. Il se fit prêtre pour infiltrer l'Église, débarqua à Rome, promit au pape de sauver son trône du danger de la Réforme, créa une milice totalitaire camouflée en ordre religieux, et partit à la conquête de l'univers « Pour la plus grande gloire de Dieu ». C'est ainsi qu'il devint l'agent du destin, dans l'Âge Noir.

Il se mit au « service du Pape » ce qui signifie exactement le contraire si l'on connaît le langage jésuite. C'est dire que la religion catholique est totalement entre les mains du général de l'Ordre, le pape noir, qui n'est lui-même que la pointe de la pyramide visible.

Tous les Jésuites du monde sont dans une obéissance absolue et, selon leur formule « s'abandonner comme un cadavre », ils sont comme des robots entre les mains de leurs chefs. Ils forment donc un corps militaire d'élite - à la fois prêtres et guerriers - présent dans tous les pays. C'est une armée démoniaque qui a infiltré la terre, et la liaison des Jésuites avec les Gris extraterrestres est plus que probable. Ils contrôlent les polices secrètes, les armées et les organismes internationaux.

À travers ces relais, ils expérimentent ce qu'ils veulent sur les populations. Par exemple, la guerre du Viêt-Nam leur a permis d'éliminer leurs adversaires dans ce pays, et le génocide du Cambodge a « nettoyé » un million de bouddhistes récalcitrants à la conversion chrétienne. Les bouddhistes de la tradition du Petit Véhicule ont particulièrement souffert, alors qu'au contraire les lamas tibétains sont financés par les Jésuites. Sans cette aide, le lamaïsme ne serait pas connu du public et le Dalaï Lama ne bénéficierait pas d'une telle publicité. Il faut un sérieux coup de pouce pour monter aussi haut lorsqu'on est un pauvre réfugié sans patrie ni argent. (Joël Labruyère)



Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...