dimanche, janvier 24, 2021

Connaître la véritable origine du mondialisme et comprendre la crise actuelle

Les peuples se laissent mener passivement par une force puissante et agressive qui sait exactement ce qu'elle veut et qui, depuis des siècles, a travaillé pour atteindre son but.





Les citoyens de l'orgueilleux Empire Britannique — alors à l'apogée de sa puissance — qui lurent les journaux au matin du 9 février 1883 ne prêtèrent certainement aucune attention à quelques lignes parues dans un hebdomadaire Juif — le Jewish World — lignes redoutables cependant par ce qu'elles annonçaient, à qui aurait su les comprendre.

Le Jewish World disait donc :

« La dispersion des Juifs a fait d'eux un peuple cosmopolite. Ils sont le seul peuple vraiment cosmopolite et en cette qualité, ils doivent agir et ils agissent comme un dissolvant de toute distinction de race ou de nationalité.

« Le grand idéal du Judaïsme n'est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la Terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l'enseignement Juif et que dans une fraternité universelle des Nations — un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparaissent. »

« En tant que peuple cosmopolite les Juifs ont déjà dépassé le stade que représente dans la vie sociale la forme nationale du "séparatisme". Ils ne pourront plus jamais y revenir. Ils ont fait du monde entier leur « home » et ils tendent maintenant leurs mains aux autres nations de la terre pour qu'elles suivent leur exemple.

« Ils font plus. Par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l'activité publique, ils sont en train de couler graduellement les pensées et les
systèmes non-juifs dans des moules Juifs (Jewish World, 9 février 1883). »

Dans « Anthologie juive, article de S. Hirsch », page 261 :

« Au moyen âge — écrit Samuel Hirsch — le Judaïsme ne songea point à se faire admettre dans la société telle qu'elle existait alors, car il se sentira toujours à l'opposé de la conception que l'Église se fait du monde.,.

Le Judaïsme est uniquement orienté vers l'avenir de la Terre ; c'est sur la terre qu'il veut voir régner la connaissance de Dieu ; c'est sur la terre qu'il veut voir se réaliser le royaume céleste de la vérité et de la vertu. C'est pourquoi le Judaïsme se sent si bien en harmonie avec l'esprit de notre époque, c'est pourquoi il éprouve un si profond besoin d'être admis dans la société moderne, car les temps nouveaux
réclament ce qu'il réclame : le règne terrestre de la vérité et de la vertu. »

Werner Sombart 

« C'est un fait incontestable, dit Werner Sombart, que l'Allemagne et les États-Unis sont aujourd'hui les deux seuls pays qui rivalisent pour la réalisation complète, pour l'expression achevée de l'esprit capitaliste. (« Le Bourgeois », publié en 1913, page 174.). »

Ce sont justement, avec la Russie soviétique, les deux pays où l'influence juive est la plus forte, aussi, écrit Werner Sombart en parlant des Etats-Unis, est-on dans une certaine mesure : « En droit d'affirmer que c'est à l'empreinte juive qu'ils doivent d'être ce qu'ils sont, c'est-à-dire leur américanisme ; car ce que nous appelons américanisme n'est que l'esprit juif ayant trouvé son expression définitive (W. Sombart. — « Les Juifs et la vie économique », page 63.). »

« Et — ajoute-t-il — étant donné l'énorme influence que, depuis sa découverte, l'Amérique n'a pas cessé d'exercer sur la vie économique de l'Europe et sur l'ensemble de la culture européenne, le rôle que les Juifs ont joué dans l'édification du monde américain est devenu d'une importance capitale pour toute l'évolution de notre histoire (W. Sombart. — « Les Juifs et la vie économique », page 51.). »

Gorrado Alvaro

Quant à ce qui est de l'Allemagne un des écrivains les plus connus de l'Italie concluait une longue enquête par ces lignes :

« Depuis la guerre l'Allemagne s'américanise ; elle cultive la pénétration américaine.

« A ce fétichisme contraire au génie et à l'histoire du pays, le traditionalisme des conservateurs ne peut opposer qu'une sourde réaction. Le domaine financier et intellectuel a passé entièrement entre les mains des Israélites. Ils forment actuellement l'élément actif qui donne à la vie allemande son caractère (Gorrado Alvaro. —Article de L'Italia Littcraria, reproduit dans le Figaro du 2 septembre 1929.). »

W. Morton Fullerton

A des degrés divers l'on pourrait en dire autant aujourd'hui de bien d'autres pays. N'est-ce pas hier que W. Morton Fullerton pouvait écrire en parlant de l'Angleterre :

« Il faut bien appeler les choses par leur nom et je pose brutalement la question : quels sont aujourd'hui les vrais maîtres de l'Angleterre et quels sont leurs buts ?

« Le cabinet britannique actuel comprend un certain nombre de noms à consonance anglo-saxonne. Mais ce ne sont pas eux qui déterminent la politique britannique. A leur insu ils se laissent mener passivement par une force puissante et agressive qui sait exactement ce qu'elle veut et qui, depuis des années, a travaillé pour atteindre son but. »

Signalant la présence dans le gouvernement national Anglais de quatre ministres juifs : Sir Herbert Samuel, Sir John Simon, Lord Reading (Rufus Isaacs), Sir Philip Sassoon et de Mr, Montagu Norman à la tête de la banque d'Angleterre, il ajoutait :

« C'est dans le groupe dont il s'agit que l'on trouve le véritable gouvernement de l'Angleterre... Tombée aux mains d'un groupe d'internationalistes plus nuisible pour elle — et pour tout ce qui a fait jusqu'ici sa grandeur parmi les nations -— que le gouvernement socialiste même qui l'a menée au bord de l'abîme, elle abandonne l'étalon-or et elle adopte une politique et une attitude qui la conduiront à sa perte (W. Morton Fullerton. — Le Figaro, 17 décembre 1931.). »

Werner Sombart, Corrado Alvaro, Morton Fullerton, oui, Elie Eberlin a raison, les valeurs juives ont triomphé des valeurs chrétiennes et gréco-romaines.

Mais ce n'est pas tout.

Elie Eberlin

Embrasées par leur terrible et millénaire vision messianique :

« Les masses juives s'ébranlent. Elles s'apprêtent à forger leur avenir. Jamais, depuis les prophètes peut-être, le rêve d'une fraternité universelle, d'une justice sociale, jamais le besoin impérieux de contribuer à l'affranchissement humain n'a été plus vivace en Israël qu'à l'heure actuelle. Un souffle de renouveau, un élan de rénovation agite et remue le monde juif (Elie Eberlin. — « Les Juifs d'aujourd'hui », page 196.). »

Et c'est vers des bouleversements cosmiques qu'il veut nous entraîner en soulevant l'Asie.

« Le concours de l'Asie est indispensable pour la réussite du vaste mouvement de libération dont est agitée l'humanité. L'Europe et l'Amérique — cette Europe synthétique — ne suffisent plus à la tâche. 

L'Asie doit donner, l'Asie, ce berceau de la civilisation, l'Asie mystérieuse du bouddhisme, du brahmanisme, du confucianisme, l'Asie, ce monde de races...

« Il faut que l'Europe cesse de convoiter l'Asie comme une proie. L'unité de l'Asie libre sera le prélude de l'unité de l'humanité libre (Elie Eberlin. — « Les Juifs d'aujourd'hui », page 115.). »

Alfred Nossig

« Déjà flambe à l'horizon l'aurore de Notre jour » (Alfred Nossig, « Intégrales Judentum »), écrit un de leurs modernes prophètes au cerveau halluciné par la vision du triomphe proche.

G. Batault

"Le rêve messianique peut, du reste, prendre les formes les plus diverses, seul le but final reste invariablement le même : c'est le triomphe du judaïsme, de la loi, qui est toute vérité et toute justice, le triomphe du peuple juif (G. Batault, « Le problème Juif », publié en 1926, page 135.). »

« Le rêve internationaliste du Juif, c'est l'unification du monde par la loi juive, sous la direction et la domination du peuple sacerdotal : je ne puis que le répéter, un impérialisme généralisé. Cela n'empêche pas M. Loeb, comme MM. Darmesteter, Salomon Reinach, Bernard Lazare et tant d'autres, de considérer cette conception comme celle de la fraternité universelle (G. Batault, « Le problème Juif », page 135.).

« L'universalisme fait tout simplement figure d'un impérialisme de l'exclusivisme juif le plus étroit, qui prétend à régir et à asservir le monde (G. Batault, « Le problème Juif », page 131.). »

Et

« En attendant que viennent les temps messianiques, il paraît tout au moins incontestable que le prophétisme et le judaïsme recèlent une puissance éternelle de révolution (G. Batault, « Le problème Juif », page 142.). »

150 ans de mercantilisme industriel judéo-puritain, et par contrecoup de socialisme, viennent de passer sur le monde ; de passer orgueilleusement, triomphalement, et dans l'accalmie qui suit les premiers souffles de l'orage c'est avec stupeur que nous pouvons relever le bilan des destructions; il tient en quelques lignes, quelques lignes qui renferment un abîme de souffrances, courtes lignes qui sonnent peut-être le glas d'un monde mais à coup sûr la fin d'une époque :

Dix millions d'hommes tués de 1914 à 1918; combien d'autres millions en Russie, en Chine et ailleurs, nul ne le sait et jamais ne le saura ; des ruines financières innombrables ; une impasse économique à laquelle on ne voit pas d'issue et dont un chiffre à lui seul suffira à montrer l'ampleur : 20 millions de chômeurs, soit 60 millions de personnes sans moyen normal de subsistance ; et la haine, la haine rouge Marxiste rongeant scientifiquement le cœur des foules ; et la désagrégation sociale, et l'Asie bouillonnante, et l'Afrique traversée de remous mystérieux, nerveuse, inquiète, prête à se soulever ; que sais-je encore !

Ceci pour le visible, le tangible.

Et dans le domaine plus grave de l'invisible, il y a la spiritualité ébranlée jusque dans ses fondements.

Ces lignes ont été écrites en 1932 par Léon de Poncins. 

"Gabriel Léon Marie Pierre de Montaigne de Poncins, né le 3 novembre 1897 à Civens, Loire, et mort le 18 décembre 1975 à Toulon, était un journaliste et essayiste catholique français." Wikipédia


Les Juifs maîtres du Monde de Léon de Poncins

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