dimanche, mars 07, 2021

Comment le pouvoir occulte contrôle le cheptel humain

Petite vidéo rigolote

Quand le dressage du cheptel humain dérape



Nous avons hâte de rencontrer Djwal Khool (un lama tibétain ascensionné), l'apôtre du Nouvel Age, le messager des grands maîtres.

Nous avons lu ses livres : "Traité sur le feu cosmique", "Les sept rayons" et surtout "Le Retour du Christ", et nous avons consulté les messages qu' il a transmis à des channels (médiums). Nous nous sentons, nous aussi, comme un pur canal prêt à recevoir le verbe sacré de la bouche d'un personnage de la haute hiérarchie tibétaine.

Nous allons enfin boire la vérité à la source. Le voilà qui apparaît. Quel instant sublime.


Dialogue avec Djwal Khool, dit "le Tibétain"


Joël Labruyère : Maître Djwal Khool, je dois vous avouer que j'ai commis une indélicatesse à votre égard. J'ai laissé s'exprimer dans ma revue 
(Undercover) un homme qui se prétend Tibétain mais qui vous traite de vampire de son peuple.

Djwal Khool : Oh, ce n'est rien mon cher ami. Je le connais ce Bhodyoul. C'est un compatriote. Vous a-t-il dit que son nom signifie "Tibet" ? C'est le surnom qu'on me donne aussi : Le Tibétain. Ne gâchons pas notre belle rencontre par une querelle de sherpas. J'ai vraiment d'autres problèmes en ce moment. Notre Seigneur Maitreya est prêt à descendre sur terre depuis un siècle, et il y a toujours un détail qui cloche. D'abord, c'est Krishnamurti, l'enfant élu pour être le véhicule du Seigneur, qui nous a lâchés au dernier moment en refusant d'assumer sa mission.

Et nous n'avions pas de corps aussi pur parmi notre cheptel brahmanique. Un vrai diamant cet enfant Krishnaji. Une perte incomparable. Nous avions déjà annoncé le Messie !

J.L. : Pourquoi a-t-il failli ? Il est passé au-dessus de vous, n'est-ce pas ? On dit qu'il vous a cassé la baraque.

Djwal Khool : C'est très compliqué. Il nous fallait le corps d'un être proche de la libération. Un véhicule sans karma. C'est toujours assez risqué. Souvent les corps de ce type ne veulent plus collaborer avec nous. Nous devenons méprisables à leurs yeux du fait qu'ils empruntent le chemin de la Grande Libération.

Ils nous renient car nous sommes les gardiens de l'évolution des masses. Eux, ces êtres fiers, veulent échapper au karma collectif.

Avec Krishnaji, c'était différent, il était absolument sans ego. Il était si transparent que notre agent Leadbeater avait pu le capter sans peine pour le soumettre à l'éducation requise.

Mais voilà qu'avant ses trente ans, il lui prend l'envie d'entrer dans la libération selon un processus que nous ne pouvons pas contrôler. Et croyez-moi, il l'a fait.

J.L. : Il y aurait donc des voies spirituelles que vous ne connaissez pas, vous les grands initiés ?

Djwal Khool : Ce n'est pas que nous ne comprenons pas. Voyez-vous, notre fonction n'est pas de libérer les âmes, mais de les préparer à attendre d'être prêts ... pour ... enfin, pour essayer de monter un petit cran plus haut. Nous sommes modestes, nous, c'est petit à petit. Pour être tout à fait franc, j'avoue que le processus qu'ils ont utilisé pour la mutation de Krishnamurti nous est inconnu. Cela ne respecte aucune règle occulte protocolaire.

Lorsque notre agent Leadbeater, un bon clairvoyant au demeurant [quoique trop attaché à la beauté des formes ... hum, passons... (Note : Leadbeater était pédophile) c'est un défaut fréquent chez nos disciples] donc, lorsque Sir Charly est venu observer ce qui se passait dans le système atomique de Krishnaji, il nous a fait le rapport suivant :

"Un processus inconnu est à l'œuvre dans le corps du garçon. Le sens des atomes s'est inversé. Cela ne nous concerne plus". Imaginez notre stupeur, car même si le jeune homme montrait des signes d'individualisme et d'un dégoût insondable pour le samsara, il était notre as. C'est ainsi que le Seigneur Maitreya s'est retrouvé privé de véhicule, comme Cendrillon qui a perdu son carrosse parce qu'elle a dépassé l'heure. Où trouver un véhicule comme Krishnaji ? Si vous l'avez connu, vous me comprenez.

J.L. : Oui, je l'ai rencontré en Suisse. Qu'est-il arrivé à Krishnamurti ? Vous avez parlé du «processus qu'ils ont utilisé pour sa mutation ». Qui sont ces initiateurs mystérieux qui passent au-dessus de vous ? Est-ce qu'on ne vous a pas joué un mauvais tour ?

Djwal Khool : Oh, oui ! Un très mauvais tour. C'est la fraternité des Lohans. Toujours eux. Des bouddhistes puristes et manichéens de surcroît. A chaque fois que nous tenons un corps valable, ils l'attirent de l'autre côté de la grande frontière. On ne peut rien contre cela. Ils ne luttent pas et il n'y a aucune prise sur eux. Ils séduisent les âmes comme Krishna avec sa flûte. C'est irrésistible.

Dès qu'une âme ne supporte plus de revenir en incarnation dans notre circuit elle devient sensible à l'appel du grand large, et elle s'en va avec les Lohans. Généralement on sait comment la retenir avec ... heu ... une augmentation de salaire si vous voyez ce que je veux dire, mais les Lohans et d'autres gnostiques sont de bons passeurs d'âmes.

Celui qui traverse la frontière échappe à notre influence. C'est ce qui arrive toujours quand un de nos poulains commence à vibrer trop fort et que la réalité de l'existence lui apparaît pour ce qu'elle est. La réalité terrestre lui devient tellement insupportable que ça le propulse hors du circuit. Ce sont les meilleurs qui s'en vont. Ils quittent la terre et le système solaire pour s'engager sur le chemin des étoiles lointaines. L'appel de la grande libération, mon ami, la grande libération ... Il faut faire cesser cette hémorragie.

J.L. : Il vous reste quand même le grand nombre pour faire tourner la roue de votre évolution. Mais je sais ce que vous pensez des masses ...

Djwal Khool : Vous avez l'air d'en savoir des choses. Est-ce qu'on vous a déjà contacté pour vous proposer une collaboration ? Appartenez-vous à une loge ? Votre petite revue là ... heu ... est-ce qu'elle parle de sujets spirituels ? On pourrait vous aider si vous allez dans la bonne direction ...

J.L. : Ni loge, ni grand maître, Monsieur le Maître. C'est pourquoi c'est plutôt difficile, mais on ne se plaint pas. Je m'intéresse à des sujets spirituels mais d'un point de vue assez inhabituel. Disons que je ne me laisse pas pousser dans le sens du courant.

Djwal Khool : Hum, je vois très bien, mon cher ami. Oui, je comprends. Vous êtes un franc tireur. Très amusant. J'aime beaucoup les rebelles, vous savez. Nous ne les trairons pas comme des ennemis. Nous savons reconnaître les qualités des dissidents. Ils nous dérangent un peu jusqu'au moment où ils s'approchent si près de notre cercle magique qu'il suffit de leur prendre la main pour les faire entrer chez nous en douceur. Ce sont ensuite les meilleurs agents, à condition de les avoir à l'œil.

J.L. : Comme Helena Blavatsky, je suppose.

Djwal Khool : Notre chère dame russe ! Je l'aimais beaucoup malgré son côté fantasque. Quel feu ! Elle nous pose encore bien des problèmes, vous savez. Elle est restée indomptable. Vous vous souvenez lorsque la robe du prêtre orthodoxe s'est enflammée le jour du baptême d'Helena ? Avec elle ça risque de flamber. Il y a toujours un risque avec ces êtres de feu. Nous avons pourtant les moyens de les neutraliser et d'en faire d'excellents serviteurs.

J.L.: Madame Blavatsky est-elle encore sur vos lignes ? Est-elle donc toujours à votre service ?

Djwal Khool : C'est une question trop indiscrète, mon ami. Trop indiscrète. Cherchez par vous-même. Si ce Steiner, ce rose-croix allemand ou autrichien, je ne sais plus, n'avait pas contacté Helena après son transit, elle n'aurait peut-être pas rompu les vœux qui la liaient à notre fraternité. Comment pouvait-elle prendre d'elle-même la décision de nous renier en déclarant à ce... heu.. . ce Steiner que nous l'avions trompée.

Mais, je n'ai pas à discuter de cela avec un profane. Parlez-moi plutôt de vos recherches.

J.L. : Je n'ai pas grand chose à dire. C'est assez compliqué. J'ose toutefois vous avertir que j'ai un préjugé défavorable à l'égard de votre fraternité. Depuis que je sais que vous tenez un double langage et que vous poursuivez un but qui n'est pas celui que vous affichez, je vous ai dans le collimateur, comme on dit.

Djwal Khool : Comme c'est amusant. J'aime cette franchise. La sincérité c'est beau, n'est-ce pas ? Mon cher ami, il faudrait que nous collaborions car vous avez de l'originalité. Vous savez, la plupart de nos disciples sont ennuyeux, de vrais lèche-bottes, ou bien des petits gourous prétentieux. Et quelle ignorance !

Quant à nos collaborateurs de haut niveau, ils sont aveuglés par l'orgueil, les plus valables n'ont qu'une idée, d'abord monter jusqu'à nous, et ensuite prendre notre place. Mais il n'y a pas de place pour tous en haut de la pyramide. Quant aux godillots, ils seraient prêts à se faire tuer, et ils peuvent tuer pour nous, mais comme ils sont stupides !

La stupidité, mon ami, la bêtise, la lâcheté, comme tout cela est pénible. Nous travaillons avec des âmes idéalistes mais sottes. Si je dis blanc, ils pensent blanc. Depuis des siècles, nous travaillons avec cette engeance. Ils sont si ignorants et vaniteux. On peut leur faire gober n'importe quoi et je n'ai aucune illusion sur leur compte. Ils nous servent parce que nous sommes les plus forts. Il ne faudrait pas que le vent tourne. Je n'ai aucune illusion sur nos shelas (disciples).

J.L. : Remarquez, Monsieur Le Tibétain, il est préférable qu'ils ne comprennent rien à vos plans réels. D'après ce que j'en sais, cela pourrait les rendre furieux. Vous les menez en bateau sur un océan vide où l'horizon est une toile peinte en bleu. Et ils rament jusqu'à en crever, en vous baisant les pieds, mais sans jamais voir la terre promise. Même vous, ils ne vous voient jamais en vrai. Jamais. Au bout, c'est un mur bleu. Et vous les faites tourner en rond depuis des millions d'années. Excusez l'expression, en français on dirait que c'est dégueulasse. Sauf votre respect Monsieur le Maître.

Djwal Khool : Pas de problème. Vraiment je m'amuse beaucoup avec vous. Vous en connaissez un rayon, mais ça vous sert à quoi finalement ? Etes-vous plus avancé que nos chers disciples ? Avez-vous décroché un statut d'Illuminati parmi la racaille reptilienne des princes de ce monde ? Cela m'étonnerait beaucoup si j'en crois votre absence de pragmatisme ? Où comptez-vous aller sans notre aide ? Vous végétez, voilà tout, et vous tendez vers nous vos poings d'anarchiste impuissant au lieu d'être raisonnable.

En ce monde cruel, il faut collaborer, mon ami. Il y a de la place pour vous. Il y a une situation occulte qui vous attend. Et vous savez ce que j'entends par situation, n'est-ce pas, il ne faut pas viser notre statut à la manière des bourgeois. Vous croyez avoir compris le jeu, mais vous êtes loin du but.

J.L. : Vous me surprenez agréablement par votre franchise. Mais admettez que vous exploitez le genre humain pour faire tourner les turbines d'une évolution dont vous êtes les seuls bénéficiaires. Vous élevez le niveau seulement parce que cela vous fait monter plus haut et que cela vous permet d'échapper au karma. Vous naviguez sur un fleuve de sang, et je pèse mes mots.

Djwal Khool : Ah, ne parlez pas de jugement. Soyons simples. Nous faisons avancer les choses, et il faut bien que quelqu'un s'en charge. C'est une fonction. Je suis un initié de la Fraternité planétaire, et je défends ma maison, mon entreprise, ma caste, et j'ose l'avouer, mes intérêts. Comme vous, mais à une autre échelle.

J.L. : Moi, je ne dis pas aux gens ce qu'ils doivent penser et je ne leur impose pas une existence foncièrement inutile. Vous, par contre, vous entretenez une souffrance infinie.

Djwal Khool : C'est notre fonction, vous dis-je. Si nous ne leur donnons pas des directives et des idéaux, ils se laissent aller à la passivité. Ils stagnent. Vous comprenez ? Ils végètent. Nous les observons depuis si longtemps. Ils ne veulent que la sécurité.

Vous les perturbez avec votre liberté. Ils nous tueraient si nous leur donnions la liberté. Ils deviendraient sauvages et fous. Privés de normes imposées par nous, ils se détruisent. Il faut les faire rêver.

Pourquoi leur enseigner des doctrines de libération dont ils ne veulent pas ? Libérez-vous vous-même, si toutefois vous parvenez à vous glisser entre les mailles du filet.

Que puis-je vous dire d'autre ? Vous voyez, nous ne sommes pas des monstres. Nous sommes des maîtres justes.

J.L. : Puisque vous m'en donnez l'occasion, je vais vous dire quelque chose. J'ai compris vos buts depuis longtemps, et j'ai beaucoup réfléchi à la manière de vous combattre et de vous vaincre. Il y a des failles dans votre système, mais il est vrai que peu d'hommes s'en aperçoivent tellement la lutte pour la survie les empêche d'être lucides. Lorsqu'ils commencent à réaliser dans quel monde ils vivent, l'heure de la mort est proche. Et ils doivent refaire tout le parcours depuis le berceau jusqu'à la combe. Encore et toujours. C'est la grande passivité. Dans cette situation, vous qui êtes si dynamiques, les bergers de la terre, vous menez le troupeau où il ne voudrait pas aller. Vous les égorgez au passage selon vos besoins ce qui ne vous empêche pas de chercher de bons pâturages pour le bétail qui vous engraisse.

Djwal Khool : Vous me faites plaisir. Oui, nous les aimons. Nos doctrines le démontrent. Nous préconisons l'amour et la compassion. Nous voulons qu'ils broutent dans la sécurité en bénissant le ciel.

J.L. : N'allons pas trop vite ! Vous ne faites que répéter ce que les grands sages sont venus enseigner, mais en détournant leurs paroles vers une application terrestre. Vous savez enjôler avec des paroles flatteuses. Et je dirai même que cela est devenu si excessif dans votre programme Nouvel Âge que nombre d'endormis commencent à trouver votre jeu suspect.

Là est la faille. Vous êtes condamné à la surenchère. Vous êtes au bout du rouleau. Tant que des millions de gogos supplient les "maîtres" de descendre sur la terre, vous vous croyez en position de force, mais au moment d'apparaître - votre extériorisation, comme vous dites - je vous promets une surprise.

Djwal Khool : Mon cher ami, vous me décevez. Vous ne vous imaginez tout de même pas que le choc en retour n'a pas été prévu. Croyez-vous que nous aurions été assez sots pour mettre ce programme en action sans un plan B de rechange ? Vous avez une trop mauvaise opinion de la Grande Loge Blanche et
de nos relais supérieurs. Non, la situation est sous contrôle, y compris la perspective d'activer un plan C. Nous avons des ennemis, cela est clairement établi, et nous ne sous-estimons pas notre adversaire. Mais, notre Seigneur va régner sur le monde.

J.L. : Pouvez-vous m'en dire plus sur cet adversaire ? Cela m'intéresse au plus haut point ... Qui donc a décidé de s'opposer à votre programme ? Je croyais que les fraternités spirituelles authentiques n'émettaient aucune résistance à votre encontre.

Djwal Khool : C'est tout à fait ça. C'est blindé de ce côté.

De temps en temps, les Lohans nous dérobent des têtes de bétail qu'ils attirent dans leurs verts pâturages célestes, mais cela n'affaiblit notre système que sur des périodes si étirées que nous avons le temps de voir venir. Je dois quand même vous avouer qu'une seule âme qui nous quitte est enregistrée comme une perte car on ne sait jamais si elle reviendra pour en délivrer d'autres. Ceux-là, les intrépides qui redescendent dans le circuit en bravant les périls pour sauver leurs frères, ils nous font du tort indéniablement. Nous les traquons. Ce sont vraiment des hérétiques. Pas de pitié. L'ordre planétaire en dépend.

J.L. : C'est ce que je voulais entendre, et je vous remercie pour cette franchise. Vous avouez donc que vous retenez l'humanité dans un enclos, en lui donnant l'illusion qu'elle évolue, qu'elle "ascensionne" comme disent vos channels. Mais vous omettez le plus important, non ?

Djwal Khool : Le plus important ? Que voulez-vous dire ? Notre programme est exposé dans les livres de mon médium Bailey et de nos mille channels dans les moindres détails. Nous appelons à créer un Ordre Mondial qui sera l'aube du royaume des cieux sur la terre. Nous en avons convaincu les idéalistes de tous les bords et de toutes les loges. Je n'ai rien dissimulé.

J'ai dit et je confirme que la télévision est notre outil de propagande numéro un. J'ai dit et je confirme que notre Seigneur s'adressera à tous les peuples du monde le jour de la "déclaration". Je n'ai pas caché notre intention de réduire nos adversaires par la violence de l'arme atomique au besoin. Je n'ai pas caché que la vaccination massive des populations était nécessaire à leur ... heu ... bonne santé morale. Peut-on être plus sincère ? Mes disciples auraient pu se détourner de moi, en criant au crime écologique, et d'autres stupidités du même genre, mais non, ils vous maudiront si vous essayez de briser le rêve du meilleur des mondes. C'est leur seule évasion, dans l'Âge Noir. Ils veulent rêver, comprenez-le.

Nous avons imposé le dogme de progrès dans tous les domaines, et vous passerez pour un salaud de réactionnaire si vous tentez de dire le contraire. Nous leur avons profondément implanté l'idée du Grand Soir et des matins qui chantent et, désormais, les masses désirent que le "Royaume des cieux advienne sur la terre".

Allez donc leur dire que c'est une chose impossible dans le règne de la dualité, et ils vous lyncheront. Allez prétendre publiquement que "le Royaume n'est pas de ce monde" et ils vous crucifieront. Vous passerez pour un illuminé. Un dément. Notre Fraternité épouse le courant des instincts collectifs, ce qui est l'art de la haute politique. N'est-ce pas clair ? Pouvez-vous admettre les règles supérieures de la Politique ou voulez-vous rester un naïf ? Vous me décevriez beaucoup dans ce cas. Vous resterez un révolté impuissant. La Politique, c'est chevaucher le dragon des masses humaines et réguler leur instinct bestial par une culture appropriée. Nous instaurons l'ordre à travers le chaos. Notre empire, visible et invisible, n'est-il pas merveilleux ?

Joël Labruyère, extrait de Kali Yuga. Pour se procurer le livre et des numéros de la revue Undercover, contacter :





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