Un expert sonne l’alarme sur les risques de la vaccination de masse
«Ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, voire très dangereux, lorsqu’il est utilisé dans des campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale», affirme-t-il.
Au centre de ses préoccupations sont les conséquences néfastes d’une nouvelle «fuite immunitaire virale», provoquant à la fois une immunité naturelle affaiblie et une résistance vaccinale aux variants.
«Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que cette fuite immunitaire virale menace maintenant l’humanité ?»
«Il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences d’une intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine.»
Vanden Bossche suggère que l’immunité collective ne sera pas obtenue avec les vaccins actuels, car ils «transforment les receveurs de vaccins en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus».
Il appelle à l’utilisation de vaccins qui seraient complètement différents des vaccins conventionnels en ce qu’ils n’induisent pas les cellules B et T, mais plutôt les cellules tueuses naturelles NK (pour “Natural Killers”).
Selon Vanden Bossche, il existe des preuves scientifiques convaincantes que les cellules NK jouent un rôle clé en facilitant l’élimination complète du COVID-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets infectés asymptomatiques.
Vanden Bossche a déjà mis en garde diverses organisations, dont l’OMS, sur ses conclusions et recommandations.
Pour lui, «l’annulation immédiate de toutes les campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19 étant en cours devrait maintenant devenir l’urgence sanitaire la plus élevée au niveau international.» Il demande instamment un débat international immédiat sur la question.
Notez que l’analyse de Vanden Bossche ne couvre pas la prophylaxie et les protocoles de traitement précoce avec des molécules repositionnées telles que l’ivermectine – un outil souligné comme essentiel, même s’il est largement négligé, dans notre récente interview sur la vaccination avec l’éminent professeur Robert Clancy d’Australie.
Lire le texte complet de Geert Vanden Bossche :