jeudi, octobre 14, 2021

Quand un pouvoir vend son âme au diable


(6:19)
"C'est un démon qui habite en moi !"
Comme Ruby Nikara, des politiciens, financiers, scientifiques, artistes... ont-ils vendu leur âme au diable ?



Quand un pouvoir vend son âme au diable

Par Prajñâ


Proverbe du moyen-âge : “Oigniez vilain, il vous poindra, poignez vilain il vous oindra !” …

St Matthieu chapitre VII, verset 6 : “Ne donnez pas aux chiens ce qui est saint, et ne jetez pas vos perles devant les cochons, de peur qu’ils les piétinent avec leurs pattes et se retournent pour vous déchirer”.



Les mots “Diable et Satan”, certes dualistes, mais entendus au “sens étymologique”, qualifient la psychologie perverse-narcissique des tyrans, fascistes, collabos et kapos. Le mensonge et la corruption sont les deux marques principales d’infamie des pouvoirs à la fois prostitués et proxénètes sans aucune éthique qui ont vendu leur âme au diable : Pouvoirs temporels + pseudo-spirituels appuyés par les pouvoirs scientifiques, médicaux-pharmaceutiques, universitaires, médiatiques, juridiques, financiers… C’est ce que nous voyons clairement qui s’expose au grand jour.

En cosmogonie Indienne et Tibétaine, ils sont les « asuras », titans, prédateurs avides et vampiriques, monstrueux. Ils gardent jalousement leurs possessions. Occultant leur propre mort ils se croient invincibles, éternels, et se prennent pour des Dieux qu’ils ne sont pas. Ils maintiennent l’ignorance de leurs esclaves qu’ils exploitent dans la servitude pour leurs uniques profits, entretiennent avec les pseudo-religieux les croyances, la crainte, usent de la terreur, parfois de la violence extrême jusqu’à la cruauté totalitaire exterminatrice. Le mensonge et la corruption concernent aussi chaque humain qui se laisse dominer, perdant d’emblée la dignité, quand il lui faudrait pouvoir sortir des rapports dominant-dominé. Comment le pouvoir, si la peur persiste et signe… ? Ces asuras, jaloux, ne supportent pas l’intelligence d’autrui qui n’appartient pas à leur caste. Ils ne peuvent exister en tant que prédateurs que par le conflit et la violence qu’ils nourrissent constamment, eux-mêmes les esclaves de l’avidité, la haine, et la stupidité par ignorance. C’est qu’il y a plus grave quand le désir arrive à un point extrême : dominance qui peut aller jusqu’à la dictature, dictature des “guerriers”, dominance des politiques, des religieux, des scientifiques ! Et toujours, guerres, massacres, tortures, meurtres. Le désir sensuel lui aussi peut ne pas connaître de limites : drogues, horreurs sexuelles, viols, tortures, etc… Ne le voyons-nous pas ?

Connaissez-vous ce propos ancien, partagé par les “potaches” étudiants en médecine ? “La médecine est une prostituée et la pharmacie est son maquereau”

Le mot “Dieu” vient du sanskrit “Deva”, n’en déplaise à l’Occident, formé sur une double racine DIV/DYU qui signifie “briller”, et donnera en latin dei = “briller”, dies = le jour. En Inde, les DEVA sont nommés les “Rayonnants”, aussi représentés par “Sûrya”, le soleil. Le mot Dieu est donc source d’une confusion millénariste qui demeure chez la plupart des religieux et de superstitions chez leurs adeptes. L’Advaïta-Vedânta hindou et le Dharma bouddhique, enseignements non-dualistes, très proches, transmettent le terme sanskrit Indien : “Sûnya” = “0”, vacuité, vide de tout phénomène (grec phenomena = apparences). Ce mot “vacuité” est lui aussi source de confusion par identification. Dans cette métaphysique orientale le chiffre “0” n’est jamais séparé du chiffre “1”. L’Occident du XIXème siècle sera horrifié de ce chiffre “0” venant d’Orient et qualifiera de nihilistes ceux qui considéraient son importance sur le plan de cette métaphysique orientale, fatale erreur de cet Occident.

Le mot “critique” vient du latin “criticus”, grec “kriticos”, “être capable de discernement, de “krinein”, “passer au crible, au tamis” par une investigation juste, une vigilance efficiente conjointe au doute méthodique, intelligent, non-stérile, au courage de réfléchir pour “Pouvoir ne pas croire”.

C’est l’Inde qui offrira les chiffres “0” et “1” de même que les autres chiffres. Un Sage Indien du Tamil-Nadu dira : “Si vous coupez le chiffre “1” en une infinité de morceaux, il en résultera toujours des “1”. Les Arabes ne sont pas à l’origine des chiffres, mais ils récupérèrent avec intelligence ce système décimal de l’Inde et le transférèrent à Bagdad au 9ième siècle par le mathématicien Ouzbek Al-Khwaerzmi ou Al-Khârismi (nom qui serait à l’origine du mot “algorithme”), puis ils le répandirent partout. Jusque-là, les Arabes, les Hébreux, les Grecs, les Latins, les Perses, utilisaient leurs propres alphabets numériques. Sifr en Arabe signifie “chiffre” et Sifr = Zéro, vide, rien. En Italien ancien “cifra” donnera “zefiro” = vide, rien. Les chiffres manipulés donneront de nombreux “cultes temporels et religieux” irrationnels et parfois délirants dont le plus insidieux est toujours celui voué au matérialisme absolu, dont la laideur est celle de l’adoration des chiffres pour Mamon : l’argent.

Certains moines et religieux à tendance orientale et judéo-catholique appartiennent à l’oligarchie mondialiste et fricotent avec des nazis : médecins, scientifiques, politiques, tous “fous”, qui appartiennent aussi au forum économique mondial, acoquinés à la finance internationale dominée par les Rothschild, Rockefeller, les francs-maçons, Big-pharma, etc …

Les voilà maintenant à utiliser le “0” et le “1” à des fins inavouables mais visibles. Le “0” et le “1” récupérés par des découvreurs informaticiens, seront manipulés jusqu’à ce jour par d’autres qui jouent dangereusement avec les “probabilités” et développent ce qu’ils appellent “Intelligence artificielle”, laquelle porte bien son nom : “artificielle”, sans aucune transcendance, sans aucune intuition métaphysique. Cette I.A. et ses “algorithmes” exponentiels servent ces apprentis-sorciers qui les utilisent maintenant pour mettre en place l’asservissement et le contrôle total des peuples. Leur principal projet diabolique est l’eugénisme et le Transhumanisme !

Ne croyez pas que ces “asuras” souffrent comme les humains. Le mot amour ne fait pas corps avec leurs existences puisqu’ils ont vendu leur âme au diable. Leur seule souffrance est de ne pas pouvoir faire souffrir. Ils jouissent et se nourrissent de la souffrance d’autrui, sans émotions ils ne sont pas des humains.

Le nombre d’humains conscients de ce qui se passe grandit de plus en plus. Alors, Babylone s’écroulera-t-elle ? Ne vendons-pas notre âme au diable. Ne nous laissons pas submerger par la peur car c’est ce que veulent ces asuras. David gagnera contre Goliath.



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