mardi, novembre 16, 2021

Au-delà du COVIDISME et de ses faux prophètes



Combien de temps encore cette tromperie des peuples va-t-elle durer ? Combien de temps faudra-t-il à ces peuples pour se réveiller ? Nous ne sommes plus dans un film de science-fiction ou dans un roman d’anticipation, mais dans une réalité très concrète qui les rejoint voire les dépasse. Jusqu’où cette folie ira-t-elle ? Le projet d’une dépopulation programmée est bien réel. Ne vous y trompez pas.

L’humain ignorant ou qui néglige la dimension spirituelle de son existence pourrait-il se réveiller à cette dimension ? Au final, tout dépend de lui.

La métaphysique selon Nisargadatta Maharaj


Les propos de Nisargadatta Maharaj sont essentiellement métaphysiques. Ils peuvent offrir une possibilité d’éveil authentique par l’impact direct qu’ils pourraient avoir sur le cœur. C’est pour cette raison même que nous les avons partagés en souhaitant qu’ils puissent aider.

Les mondes religieux sont attaqués de toutes parts. Le Vatican corrompu, et ses menteurs, participe à une étrange « auto–destruction » du catholicisme. Le politique Dalaï-Lama a rejoint ce Vatican au groupe de Davos de même que Matthieu Ricard, ancien généticien et ami de Jacques Attali, tous en accord, comme un seul monstre, avec leur oligarchie mondialiste. Tant que le pire et ses sordides seront aux manettes, les cerveaux des peuples sidérés seront encore les objets d’une « hypnose collective » qui les conduira bientôt à une mort précoce … s’ils ne se Réveillent pas. Mais un Réveil est en cours … alors … patientons …

Le COVIDISME en devenir se manifeste déjà comme nouvelle religion dont l’objet est de détruire l’histoire religieuse de l’humanité et ce qui existe encore de meilleur au sein de cette histoire. Ce qui apparaît est que des religieux normaux et nombreux ne veulent pas du tout de ce COVIDISME, de cette secte diabolique qui ce jour a ses adeptes covignorants, ses intégristes covidistes, ses ouailles perdues covapeurés, ses prêtres sataniques, sa hiérarchie ecclésiastique et politique organisée en mafias propagandistes terroristes « injecteurs » des consciences obnubilées. Ils font corps vers leur projet d’un TOTALITARISME par ses rejetons : tyrans, despotes, dictateurs, fascistes, dont les vies ne sont qu’une maladie incurable. Le mot « complotiste » est donc et sans aucun doute : « Appellation Contrôlée, Label de Qualité ! ».

Au cours de nos séjours en INDE nous connaîtrons un élève direct et éveillé d’un des plus Grands Sages de l’Inde du 20ème siècle, issu d’une lignée de Sages de l’Advaïta-Vedânta, Nisargadatta Maharaj [1897-1981], élève de Siddharameswar Maharaj à Bombay. Nisargadatta tout comme sa Lignée Indienne depuis plusieurs siècles, lignée totalement imprégnée de la Tradition Hindou du Yoga authentique, vivait très simplement et modestement. Les biens matériels, l’argent, les possessions, tout ce qui se rapporte au monde du désir, ne venaient jamais troubler sa vie quotidienne. Ses enseignements, pendant 45 années, sont très proches de ceux du BOUDDHA. Quand Nisargadatta s’adressait à ses amis et élèves qui vinrent du monde entier le rencontrer à Bombay, il utilisait toujours un langage direct, souvent populaire, toujours ferme et subtil. Jamais il n’accepta une moindre roupie ni aucune faveur. Rien, lui sera suffisant.

Voici certains de ses Propos choisis, non contradictoires mais complémentaires pour proposer un autre angle de Vue profonde à ce contexte de « fausse-pandémie », la plus grande escroquerie médicale de toute l’histoire de l’humanité, escroquerie planifiée et très organisée par des malades mentaux, bien avant 2019 …


1. Votre propre Soi est votre maître ultime. Le maître extérieur n’est qu’un jalon. Seul votre maître intérieur vous accompagnera jusqu’au but, car il est le but.


2. Nous sommes déjà libres. Nous n’avons jamais été aliénés !


3. Finalement, votre argumentation aboutit à ceci : vous ne pouvez pas le saisir en échafaudant des concepts et vous vous sentez impuissants. C’est tout ce dont il s’agit. Vous voulez le capturer par des concepts, associer certains mots et dire c’est ça, et c’est l’échec car vous ne pouvez qu’échouer. Mon état, l’état ultime est ainsi, vous ne pouvez pas le décrire mais il est toujours libre de tout univers.


4. Il n’existe absolument aucune différence entre moi et les autres, excepté que je me connais tel que je suis. Je suis tout et contrairement à vous, j’en ai la certitude. En réalité, je n’entends ni ne répond. Dans le monde des événements, la question arrive et la réponse arrive. Rien ne m’arrive, tout arrive, c’est tout. Dès ma naissance, ma destinée fût d’être un homme simple, de scolarité élémentaire, un modeste commerçant. Ma vie fût ordinaire, avec des désirs et des peurs. Lorsque par la confiance en mon guide et l’obéissance à ses paroles j’ai réalisé mon être véritable, j’ai laissé derrière moi ma nature humaine prendre soin d’elle-même jusqu’à ce que sa destinée soit accomplie. Occasionnellement, il se produit une ancienne réaction émotionnelle ou mentale, mais elle est immédiatement remarquée et écartée. Après tout, tant que l’on est encombré d’une personnalité, on est exposé à ses particularités et à ses habitudes.


5. Voici ce que dira Jack Kornfield de Nisargadatta Maharaj : « Ce qui était tellement extraordinaire en présence de Nisargadatta venait en partie du fait d’être avec quelqu’un qui ne voulait rien de vous. Il ne m’était jamais arrivé d’être avec quelqu’un qui ne voulut rien de moi ou de qui que ce soit. Et cela donnait une impression de liberté et d’amour immense. Parfois il regardait les gens et disait : « Je ne vous comprends pas », « Vous êtes tellement empêtré dans l’illusion du faux que vous ne voulez jamais ce qui est vrai ». Il disait aussi « Vous voulez ce que vous n’avez pas et vous n’avez pas ce que vous voulez. Et alors, vous souffrez, continuez à souffrir ». Puis il ajoutait : « C’est tellement incohérent. Pourquoi ne pas simplement inverser ? Vouloir ce que vous avez et ne pas vouloir ce que vous n’avez pas ! C’est si simple. Vous pourriez être heureux, la liberté disponible ici même. Vous voulez de petites choses alors que vous pourriez avoir l’univers entier, l’éternité, prenez-les … ».


6. Sans la réalisation vous serez consumé par la répétition insensée des désirs et des peurs dans des souffrances sans fin. La plupart des gens ignorent qu’il peut y avoir une fin à la douleur, mais une fois qu’ils ont entendu la bonne nouvelle, il devient évident pour eux que la tâche la plus urgente est d’aller AU-DELA de tous les conflits et de toutes les luttes. Vous savez que vous pouvez être libre et à présent cela dépend de vous. Ou bien vous restez à jamais affamés et assoiffés, à jamais défaits et affligés, ou vous sortez d’ici en cherchant de tout votre cœur l’état de perfection intemporel auquel rien ne peut être ajouté, duquel rien ne peut être retranché. En lui n’existe ni désir ni peur, non parce qu’on n’y a renoncé, mais parce qu’ils ont été vidés de leur sens.


7. Comment procédez-vous pour découvrir quoi que ce soit ? : En y fixant votre cœur vigilant. Il faut de l’intérêt et ne jamais oublier. Se rappeler ce dont il faut se rappeler est le secret du succès. Il vous faut de la ferveur pour y parvenir, rechercher un esprit clair et un cœur limpide. Il vous suffit de demeurer tranquille et vigilant, tout en cherchant au sein de votre véritable nature. C’est le seul chemin de la paix. Tout arrive de lui-même. Ni le chercheur ni le gourou ne font quoi que ce soit. Les choses arrivent comme elles arrivent. Le blâme ou l’éloge sont attribués plus tard, après qu’apparaisse le sens du moi agissant.


8. Vous n’avez pas à régenter la vie. Laissez-vous simplement porter par son flux et consacrez-vous entièrement à cette tâche du moment présent qu’est de mourir maintenant au maintenant, car vivre c’est mourir. La vie ne peut exister sans la mort. On doit en définitive aller AU-DELA du savoir, mais la connaissance doit apparaître et on peut y parvenir grâce à une méditation constante. En méditant, la connaissance de soi se stabilise, fusionne avec la Connaissance universelle et devient ainsi libre comme le ciel et l’espace.


9. Ceux qui viennent ici avec l’idée d’acquérir un savoir, même spirituel, viennent en tant qu’individus visant à obtenir quelque chose. C’est la véritable difficulté. Le chercheur doit disparaître. Lorsque vous connaissez votre véritable nature, la compréhension demeure. Cette Connaissance est sans limite. Il ne vous est pas possible d’acquérir la Connaissance car Vous êtes Connaissance. Vous êtes ce que vous cherchez. Votre être véritable est « antérieur » à l’apparition de tout concept. Plongez profondément en vous-même et vous le trouverez facilement et simplement. Tout existe dans le mental. Le mental et le corps sont tous deux des états intermittents. Le résultat de ces flashs crée l’illusion de l’existence. Cherchez ce qui est permanent dans le transitoire, réel dans le non-réel : c’est la SÂDHANA ou pratique spirituelle ; Tous ceux qui ont atteint la réalisation dans l’instant, par simple contact, regard ou pensée, étaient mûrs pour cela, mais ils sont très peu nombreux. La majorité a besoin de temps pour mûrir. La Sâdhana est une maturation accélérée !


10. En premier lieu vous devez réaliser que vous êtes la preuve de tout, y compris de vous-même. Aucun être ne peut prouver son existence car son existence doit d’abord être confirmée par la vôtre. Votre connaissance et votre existence sont les vôtres. Vous venez de nulle part et n’allez nulle part. Vous êtes présence intemporelle. Développez l’attitude Témoin et vous découvrirez par votre propre expérience que le détachement suscite le contrôle. L’état Témoin est plein de puissance. Rien de ce qui le concerne n’est passif. Gardez simplement présent à l’esprit « Cela » jusqu’à devenir Un avec lui. En renouvelant les tentatives, vous trébucherez sur le juste équilibre de l’attention et votre cœur s’établira fermement.


11. Quand je vois que je ne suis rien, c’est la Sagesse par Intuition Métaphysique. Quand je vois que je suis tout, c’est l’Amour. Et entre les deux ma vie s’écoule.


12. Le concept du « moi » vient spontanément et s’en va spontanément. Quand il apparaît, il est étrangement tenu pour réel. Toutes les méprises survenant ensuite viennent de cette impression de réalité dans le « moi ». A l’instant ou le sentiment de « moi » apparaît, le monde apparaît également. Quelque soit l’image que vous ayez de vous-même, elle n’est pas réelle. La connaissance véritable consiste à comprendre cet état « non-duel » d’unité dans l’Absolu, qui est notre véritable nature … Cet état de « Vacuité », je veux dire, est libre de tout contenu. Je ne suis pour moi-même ni perceptible ni concevable. Il n’y a rien que je puisse désigner, en disant : je suis ceci. Vous vous identifiez à tout si facilement, je trouve cela impossible. L’impression, je ne suis pas ceci ou cela, ou rien n’est mien est si forte en moi, que dès qu’un objet ou une pensée apparaît, il me vient immédiatement le sentiment : ceci, je ne le suis pas. Je découvre qu’en déplaçant d’une manière ou d’une autre, le foyer de l’attention, je deviens la chose même que je suis en train de regarder et je ressens le type de conscience qu’elle possède. Je deviens le Témoin intérieur de la chose. Je nomme AMOUR cette capacité de pénétrer les autres foyers de conscience, mais vous pouvez lui donner le nom que vous voudrez, puisqu’en tous les points du temps et de l’espace, je peux être à la fois le sujet et l’objet de ce qui est vécu. J’exprime cela en disant que je suis les deux et aucun et au-delà des deux.


13. Du point de vue de la réalisation ou éveil, il n’existe pas d’individu. Vos pensées concernant l’individualité ne sont vraiment pas vos pensées. Ce sont des pensées collectives. Vous croyez être celui qui a des pensées. En fait, les pensées surgissent dans la conscience. Au fur et à mesure que se développe notre intuition métaphysique, notre identification avec le corps et le mental diminue et notre conscience se déploie en conscience universelle. La force vitale continue d’agir, mais ces pensées et ces actes ne sont plus limités à l’individu. Ils deviennent la manifestation Totale ; c’est comme pour le vent qui ne souffle pas pour un individu mais pour la manifestation toute entière.


14. Pourquoi vous souciez du monde avant de prendre soin de vous-même ? Vous voulez sauver le monde, n’est-ce pas ? Pouvez-vous sauvez le monde avant de vous sauver vous-même ? Et que veux dire être sauvé ? Sauvé de quoi ? De l’illusion. L’éveil c’est « Voir les choses telles qu’elles sont ». Demeurez tranquille, faites votre travail dans le monde, mais intérieurement demeurez tranquille. Alors, tout viendra à vous. Ne comptez pas sur votre travail pour vous réaliser. Il se peut qu’il profite aux autres mais pas à vous-même. Votre espoir est dans le silence de votre mental et la quiétude de votre cœur. Une action pour laquelle vous n’êtes pas impliqué émotionnellement, qui est bénéfique, qui n’est pas source de souffrance, ne vous lie pas. Vous pouvez être engagé dans diverses directions et travailler avec énormément d’enthousiasme, tout en demeurant intérieurement libre et tranquille, avec un mental comme un miroir reflétant tout sans en être affecté. L’imprévu est certain de se produire, tandis que ce qui est attendu pourrait ne jamais arriver. Réaliser l’Absolu de tout ceci est la Libération.


15. Celui qui s’est examiné à fond, qui a finalement compris, n’essaiera jamais d’intervenir dans le jeu de la conscience. Il n’existe pas de créateur doté d’une intelligence telle que vous pouvez le concevoir. Tout ce jeu se déroule spontanément. Il n’y a aucun intellect derrière cela. Alors, n’essayez pas d’imposer le vôtre en vue d’amener un changement. Laissez cela tranquille. Votre intellect est un dérivé de ce processus. Alors, comment pourrait-il prendre en main ou même évaluer la totale création ? Examinez-vous. C’est cela votre raison d’être. La spiritualité n’est rien d’autre que comprendre ce jeu de la conscience. Essayez de découvrir la nature de cette illusion en cherchant sa source. Il ne peut y avoir de conscience personnelle sans la « Pure Présence », mais il peut y avoir « Pure Présence » sans la conscience personnelle, comme dans le SOMMEIL PROFOND. La « Présence » est absolue, la conscience personnelle est relative à son contenu. Elle est toujours conscience de quelque chose. La conscience personnelle est partielle et changeante. La « Présence » est totale, calme, silencieuse, et elle est la matrice commune de toute expérience. Ce que vous êtes, vous l’êtes déjà. En sachant ce que vous n’êtes pas, vous vous en libérez et vous demeurez dans votre état naturel. Cela se produit tout à fait spontanément en sans effort.


Prajñâ



Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...