jeudi, novembre 11, 2021

Pourquoi le mal prédomine actuellement



Un Président de la République dira 6 fois à son peuple : « Nous sommes en guerre ! ». Oui, « en guerre » il l’est « contre son peuple ». Son allocution TV du 9 novembre 2021 le prouvera encore. Qualifié par Donald Trump de « mauviette !», ce président fou et prostitué à une oligarchie totalitaire, monstrueuse, titanesque, démoniaque, est un asservi-volontaire à ses « souteneurs » financiers-mafieux, comme d’autres gouvernants et institutions dont la médicale-pharmacie. Diagnostiqué psychopathe et pervers-narcissique par de nombreux psychiatres, ce président « ne sait pas qu’il ne sait pas ». Le mot amour est absent de son lexique car les pervers narcissiques sont « à l’envers », incapables d’aimer normalement. D’une vulgarité surprenante il incarne la haine et la stupidité « par perte totale du sens métaphysique » en son inculture avérée. Ni homme, ni humain, il incarne l’infra–humain des mondes infernaux en-dessous de l’animal. Très malade, « affublé d’un néocortex tordu car tumoral », entouré d’autres malades, son secrétaire-général, son gouvernement sociopathe, ils constituent une secte satanique. Leur fin s’approche à grand pas, inéluctablement, chaque jour davantage.

Un Moine Hindou sera le Guide de notre Instructeur du Dharma. Il enseignera en France de 1937 à 1957. Parmi ses nombreux élèves et amis seront des Indianistes Français et étrangers de grande renommée, des philosophes, des scientifiques, des doyens de diverses facultés dont des Professeurs de médecine non-corrompus, le prix Nobel de Littérature Romain Rolland et d’autres Prix Nobel scientifiques … Il conseillera Nehru en Inde pour lui éviter des erreurs sociales et politiques. Il restera en contact permanent depuis la France avec ses professeurs Indiens dont Sarveppalli Radhakrishnan à Madras qui deviendra Vice-Président de l’Inde de 1952 à 1962 puis second Président de la République Indienne de 1962 à 1967.


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Dune, bande annonce officielle.

"L'histoire de Paul Atreides, jeune homme aussi doué que brillant, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car s'il veut préserver l'avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planète la plus dangereuse de l'univers – la seule à même de fournir la ressource la plus précieuse au monde, capable de décupler la puissance de l'humanité. Tandis que des forces maléfiques se disputent le contrôle de cette planète, seuls ceux qui parviennent à dominer leur peur pourront survivre…" (Allociné)

Nous vivons une guerre métaphysique

Voici quelques points choisis de l’exposé du 21 mars 1953
(sur la Bhagavad Gîtâ, "le Chant du Bienheureux")  par ce Moine Hindou, un des plus grands sages-érudits du 20ème siècle. Nous ne pouvons mettre ici la totalité de cet exposé même si la Gîtâ s’adresse à tous. La suite de l’exposé s’adresse aux ascètes Yogis et moines. Ces points choisis, ici exposés, dévoilaient déjà de la Gîtâ ce que nous vivons tous dans cet éternel présent, pour celles et ceux qui le VOIENT de leurs yeux grands ouverts.

Extraits se rapportant à la Bhagavad Gîtâ : le Chant du Bienheureux

La Bhagavad Gîtâ, « le Chant du Bienheureux », est un sujet inépuisable et nous pouvons dire qu’elle résume l’enseignement intégral de la culture et de la spiritualité indienne.

La Gîtâ est primordialement un DHARMA-SHASTRA, une science de la vie sociale construite sur le principe du DHARMA. Le DHARMA est un grand élan vers la vie spirituelle, la base sur laquelle est cimentée tout l’édifice de la vie, tant spirituelle que profane. Il n’y a pas dans l’Inde cette séparation, ce cloisonnement que nous voyons en Occident entre la vie profane et la vie sacrée. La vie est une unité dans laquelle ces deux aspects s’interpénètrent et sont intimement mêlés. C’est dans son ensemble intégral que nous devons saisir le principe qui active la conscience humaine et l’aide à atteindre le but suprême qui est MOKSHA, la Libération.

Dharma est ce qui nous soutient dans toute notre intégralité. Dharma est la base intégrale de la vie spirituelle. Ce mot Dharma, au champ sémantique si vaste, est intraduisible. Ce n’est pas la Loi ni la Justice, comme on le traduit souvent. C’est ce qui nous soutient dans toute notre intégralité. Le Dharma et la base de toute existence. Quand il s’agit du Dharma sur le plan social, au moment d’un très grand désastre collectif, alors la nécessité d’une lumière se fait sentir. La lumière qui jaillit pour nous aider à voir clair, c’est la Doctrine spirituelle, c’est la Révélation. Et dans la Révélation, dans le verbe, sont contenues toutes les possibilités de régénération. Sans la Révélation il serait impossible de concevoir le Dharma, c’est-à-dire la structure sociale exprimée sur une base spirituelle.

Ce DHARMA a comme première expression ARTHA : les moyens d’existence

L’argent, le gagne-pain ne sont pas considérés comme une souillure et une très grande place est donnée à la vie économique. Toute l’organisation économique a aussi sa base dans le principe spirituel et lorsque la structure sociale est ébranlée, les moyens de vivre et de subsister sont également compromis ; l’homme se trouve alors en plein désarroi. Donc ARTHA a une très grande importance. C’est seulement lorsque le rapport ARTHA et DHARMA entre les moyens d’existence et la structure sociale est harmonieusement équilibré que peut naître le vrai désir. Je n’ai qu’à reproduire ici la pensée de Shamkara (Sage de l’Advaïta-Vedânta au 8ième siècle) quand il commente la GÎTÂ. Le désir n’est pas du tout exclu, « il doit simplement être canalisé dans la vraie direction ». Srî Krishna dit dans la GÎTÂ : “ Je suis le désir qui n’est pas opposé au Dharma ». Ce n’est pas du tout une vie monastique que l’on prêche ici, car elle n’est pas destinée à tout le monde. Ce n’est pas une doctrine qui nous demande de renoncer complètement à nos désirs, mais de les épuiser, d’en changer le courant, au lieu de les laisser couler vers les satisfactions au plan animal égoïste.

Le juste équilibre du désir, KÂMA, est à trouver

C’est seulement quand nous avons édifié notre vie au point de vue social sur une base économiquement saine, que nous pouvons juger quelle doit être la direction de notre KÂMA, de notre désir. Quand ce courant a été suffisamment épuré, clarifié, sanctifié, alors c’est la vie pour la Libération. Celle-ci n’est donc pas une voie qui exclut toute possibilité de désir ou d’acquisition de moyens d’existence par une activité économique. Il ne s’agit plus de renoncer à la société, de s’emmurer dans un couvent. « Je le répète, la vie monastique n’est possible que pour une minorité ». Mais le message spirituel est destiné à la majorité, afin de lui enseigner comment on doit organiser cette vie dans ses différents aspects. Ceci est la notion de Dharma.

Mais, quand la dévalorisation de ce Dharma arrive à produire « une grande confusion parmi les hommes », c’est alors que vient l’Absolu sous une forme humaine, nous dirons une Incarnation.

Selon la tradition indienne, au cours des trois Yugas que l’humanité vient de parcourir, il y eut une dégradation progressive du Dharma (certains parlent de quatre Yugas mais le sens est le même). Retenons que dans le 1er Yuga, « l’âge d’or », le niveau spirituel et éthique était très élevé et la proportion de mal était très faible. Dans le 2ème Yuga, déjà se produit une grande déchéance qui s’accentue de plus en plus dans le 3ème Yuga qui est notre Kali-Yuga, le plus sombre de tous « parce que le Dharma est tombé en désuétude ». C’est pourquoi les incarnations y sont plus fréquentes que dans les autres.

L’Incarnation vient pour régénérer, réorganiser la société en la chargeant d’un nouveau dynamisme par un nouveau courant de spiritualité. Dans la notion de l’Incarnation, nous trouvons harmonieusement réunies l’attitude du JÑÂNI (Celui qui a la Connaissance métaphysique par Intuition métaphysique) et l’attitude de BHAKTI (Dévouement et Amour éclairés par cette Connaissance). La GÎTÂ vient enseigner ce qu’est le Dharma par la parole transmise. Seule une personne qui possède l’autorité peut réajuster la société. Ces personnes sont le Verbe incarné qui donne l’espoir de l’humanité.


Entrons maintenant dans ces quelques explications de la GÎTÂ

Le Premier Chapitre est une mise en scène. Nous y voyons comment, dans un moment de grande crise, Arjuna se laisse aller au désespoir. C’est alors que Krishna vient à son aide. « Le désespoir d’Arjuna provient de la confusion créée par la peur », car lorsqu’il y a la peur, la vision est obscurcie. Selon le Mahâ-Bhârata dont la Gîtâ est un épisode, il y avait un conflit entre deux clans apparentés, et, après avoir subi de part et d’autre des préjudices et des forfaits, la guerre finit par éclater. Certaines personnes, même parmi mes frères moines, ont essayé d’interpréter la Gîtâ dans un sens purement ésotérique. « Je ne suis pas du tout de cet avis ». La guerre a sa place dans le monde. Aucun de nous ne peut dire qu’il puisse en être préservé. Nous sommes tous menacés par les sirènes d’alarme d’une guerre qui peut éclater dans un avenir plus ou moins proche. La guerre n’est jamais une solution. Une guerre est toujours suivie d’une autre guerre. Il n’y a pas d’issue à cet état de choses. Ce n’est pas du tout par « l’AHIMSA, la non-violence », que l’on peut y mettre fin. Comment pouvons-nous alors concevoir que Gandhi ait pu, « tout en commentant la Gîtâ », prêcher et pratiquer la doctrine de non-violence ?


Comment pouvons-nous concilier la non-violence avec la guerre qui est une violence ?

Lorsque les forces du mal prédominent, s’il surgit dans le monde une force spirituelle extraordinaire, un personnage dont la présence et l’influence peut transformer l’entourage, la guerre perd sa raison d’être et ne s’impose plus comme une nécessité. Quand la guerre éclate, c’est à cause du manque de spiritualité en nous. Pour pouvoir vivre sur la base de la non-violence, pour pouvoir faire face aux iniquités sans prendre les armes et arrêter ainsi le cercle infernal de la guerre, il nous faudrait trouver des personnes comme Gandhi, ce qui est impossible. Alors, quand la brutalité atteint son apogée et que le Dharma social chancelle et que les moyens d’existence sont menacés, la guerre a sa place dans notre vie sociale. C’est pour cela que, dans la période traditionnelle de l’Inde, « la caste des Ksatriyas (guerriers) avait été instituée pour défendre l’existence collective menacée », « tandis que dans le monde moderne occidental, cette caste n’existe plus » ; tout le monde est mobilisé, même les prêtres et les moines ; seules existent ce jour deux castes : les esclaves « Shudras » et les commerçants « Vaishyas ».

C’est autour des « conflits d’intérêts » des vaishyas que nous voyons la lutte s’organiser dans le monde entier où l’esclave « Shudra » n’est qu’un simple instrument.

Quand nous étudions le problème d’Arjuna, la guerre qu’il est obligé d’affronter n’est pas du tout une guerre imaginaire ou symbolique que nous pourrions concevoir comme la lutte entre le corps et l’âme, entre les passions et la conscience. C’est une vraie guerre. Il y avait à ce moment-là un grand désarroi dans la société et la caste des Ksatriyas, les guerriers, intervint pour exercer sa fonction et essayer de résoudre le conflit par les armes. Mais le fait de savoir si la guerre a apporté ou non la solution n’est que le point de vue utilitaire immédiat. La question qui se pose est différente.

Sri Krishna dit au chap. IV, verset 7 : « Quand le Dharma tombe en désuétude, alors Je me crée Moi-même ». Si cela est une parole sacrée elle doit être valable pour tous les temps, pas seulement pour la période où elle a été prononcée, c’est-à-dire il y a environ 4000 ans, au début du Kali-yuga.


Quel est le but de cette Incarnation ?

D’abord de réajuster la Société, car c’est seulement quand la société est correctement organisée que l’ARTHA-SHASTHRA, les moyens économiques qui assurent la vie de l’individu et de la collectivité peuvent avoir une base stable. Alors seulement cette vie pourra être dirigée selon la satisfaction de nos désirs légitimes (KÂMA bien compris et équilibré). Alors seulement nous aurons un cadre favorable pour la vie spirituelle. Nous ne devons jamais nous décourager car les forces spirituelles, qui étaient maintenues en veilleuse, viennent à un moment propice pour donner l’impulsion à la collectivité, en particulier à certains hommes et groupes qui vont amener, selon la mythologie indienne, le prochain Yuga de la pureté, le « SatiYuga ». Donc, ce n’est pas que le Dharma puisse être immédiatement rétabli dès l’apparition de l’Incarnation. Nous voyons dans le Mahâ-bhârata, décrits avec une extraordinaire puissance les situations les plus atroces et les événements les plus tragiques qui se déroulent dans la période même de Krishna. Et quel est le résultat de toute cette guerre affreuse ? Rien n’a été dérangé ; la race des Yadhavas fut complètement détruite ; la guerre ne rétablit pas la stabilité dans la société. MAIS elle a apporté une chose qui n’était pas visible : certains grands esprits se sont jetés dans la brèche parce qu’en eux vibrait une confiance et une connaissance totales, tous capables sous la direction d’un véritable chef spirituel d’essayer de créer une nouvelle société, après que la guerre incontournable et désolante vienne à se dérouler et laisse des destructions matérielles. Nous voudrions trouver une réponse immédiate à nos problèmes et obtenir un résultat concret et tangible à brève échéance. Pour l’instant nous ne voyons pas le résultat de tous les sacrifices des grands héros de la résistance qui ont donné leur vie au cours de la dernière guerre pour essayer de sauver la situation. Tous les sacrifices de ceux qui ont participé à la guerre avec un grand enthousiasme contre les atrocités des Allemands ne sont pas perdus. Prenons le cas de Simone Weil [1909-1943] philosophe Française d’origine Juive qui enseignera au Puy-en Velay, « Elle osa vivre dans la vérité… ».

[Notre note que nous ajoutons à cet exposé : Ne surtout pas se méprendre avec Simone Veil [1927-2017] ancienne ministre de la santé, à l’origine de la loi sur l’avortement, initiatrice du démantèlement des hôpitaux, belle-mère d’Agnès Buzin, ministre de la santé sous Macron, avant Veran ! Macron, avec son faste calculé, politique et hypocrite, la conduira au Panthéon en juillet 2017. Pourquoi ?]

… Simone Weil, Elle, sera instruite des textes Hindous dont la Bhagavad-Gîtâ. … Elle refusera de profiter du marché noir et ne pourra manger à sa faim. Elle tombera alors malade et succombera à une tuberculose à 34 ans. Ce sont des caractères comme Simone Veil, vivant dans la complète loyauté envers un idéal et sachant mourir pour cet idéal qui restent l’espoir de l’humanité en oubliant leur ego. Cette attitude est la base intégrale de l’enseignement de la Gîtâ. Croire que « c’est moi qui agis », croire que « c’est moi qui suis l’auteur », sont deux erreurs. Comment pouvons-nous neutraliser les effets néfastes de l’ego ? Voici un message fort de la Gîtâ. Les événements extérieurs comme ceux de la dernière guerre ont le pouvoir de faire surgir du dedans de nous nos meilleures valeurs. Cet éveil ne se produit pas nécessairement d’une discipline personnelle ou d’un entraînement spécial, mais peut se produire par une force vitale spirituelle qui s’éveille en nous au contact des événements extérieurs. Où ces personnes que nous pouvions voir dans la vie courante, obscures et amorphes, ont–elles trouvé subitement la force de leur sublime héroïsme ? C’est qu’au cours d’une situation donnée, « elles ont été agies par un magnétisme intérieur » grâce auquel leur ignorance s’est dévalorisée, la virilité de leur caractère s’est réveillée et leur ego s’est décentralisé.

Une situation similaire est le sujet de la Gîtâ : la société est en péril et tout le monde se précipite pour la protéger sous la direction de Krishna qui propose son enseignement de l’intrépidité par amour pour autrui. Arjuna a perdu la mémoire et c’est pourquoi la peur l’envahit et le rend incapable d’accomplir son devoir militaire pour protéger les pauvres et rester le gardien de la société. Krishna lui dit : « Je suis le gardien du Dharma social ». Il demande alors immédiatement à Arjuna de retrouver sa mémoire. Car la mémoire divine est obnubilée quand l’oubli efface le souvenir du devoir social et abolit le réflexe psychologique naturel en face de l’agresseur. L’intelligence est nécessaire pour la réveiller et dans le second Chapitre, Krishna essaie de donner le schéma entier de cette Intelligence suprême, de cette BUDDHI, de cette Connaissance à Arjuna. Krishna lui dit au verset 3 du Chapitre II : « Ne te laisse pas aller au découragement, ô Partha, cela ne te sied pas. Secoue cette honteuse faiblesse de ton cœur. Relève-toi, ô Parantapa ». Or, quand nous sentons cette « honteuse faiblesse » c’est qu’il y a en même temps en nous le sentiment du pôle opposé, la Connaissance de ce que nous devons faire et de ce que nous ne devons pas faire. Dans cet oubli de notre devoir véritable, nous conservons le souvenir d’une certaine valeur spirituelle à sauvegarder, se confrontant avec notre état actuel de désorientation qui est la cause de notre tremblement intérieur. Si nous n’avions pas la connaissance de cette haute valeur spirituelle, si nous étions seulement sur le plan animal, nous ne sentirions pas cette défaillance intérieure. Quand il y a la « faiblesse du cœur », il y a toujours le sentiment de chute. Plus nous retombons dans l’oubli, plus s’accentue en nous la conscience d’avoir oublié quelque chose. Sans cela nous resterions sur le plan sauvage. Arjuna a oublié ce qu’il devait faire, mais il n’a pas oublié la conscience spirituelle, la Hauteur où il devrait se maintenir et qui lui donne le vertige, sans quoi, il n’aurait pas cette névrose, cette grande souffrance. La souffrance est associée avec la notion d’un manque, d’un oubli de quelque chose.

… Krishna donne au parti opposé de Duryodana, les ennemis d’Arjuna tout ce qu’il possédait de moyens matériels avant que la bataille ne commence. MAIS il restera auprès d’Arjuna comme son guide et conseiller et c’est ainsi qu’Arjuna obtint la Libération, parce qu’il avait auprès de lui la Puissance Spirituelle. Nous voyons ainsi que la puissance matérielle n’est pas la chose la plus importante. C’est ainsi que les Allemands qui se sont lancés dans la guerre 39- 44 avec une suprématie militaire considérable ont fini par s’écrouler dans une défaite totale. Le plus important, c’est la personne capable de transformer et d’élever le caractère. C’est ainsi que Krihna a réussi à éveiller chez Arjuna la mémoire originelle, pré–adamique. Les versets 53 à 72, en particulier, du chapitre II, décrivent la nature de l’homme établi dans la conscience spirituelle, et que Gandhi répétait chaque matin ; on explique en détail quelle est la structure d’une vie spirituelle quand on atteint l’état de Libération.


Notre Conclusion aux propos de Siddheswarânanda

Voilà ce que nous pouvions partager et qui illustre bien les ignominies faussement sanitaires, seulement politiques du clan opposé ici représenté par les armées de Duryodana, qu’Arjuna doit affronter. C’est un message d’espoir et d’espérance légitimes que chacun peut comprendre et assimiler par sa force de confiance qui n’est jamais foi aveugle, éclairée par la force de connaissance du cœur éclairé par la BUDDHI … à suivre …

Prajñâ


Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...