lundi, janvier 10, 2022

David Smadja et Benjamin Abraham Fellous veulent poursuivre au pénal les non-vaccinés


En France, les mondialistes messianiques tentent la dernière chose qu'il leur reste à faire dans le but de l'emporter, au risque de tout perdre : criminaliser les personnes qui refusent l'injection expérimentale (qui n'est pas un vrai vaccin à virus atténué mais l'inoculation d'une identification numérique). Les docteur et avocat David Smadja et Benjamin Abraham Fellous (militant LREM) appellent à poursuivre pénalement les non-vaccinés pour "empoisonnement" (inversion accusatoire).

Le Midi Libre :

"Voilà une parution qui va faire du bruit. Dans une tribune, publiée en exclusivité sur le site du Parisien, un avocat et un médecin appellent à un durcissement des mesures et considèrent que des poursuites pénales pourraient être le pendant judiciaire d’une obligation vaccinale.

Poursuivre en justice les non-vaccinés pour l’administration d’une substance nuisible, la mise en danger de la vie d’autrui ou pire, pour homicide involontaire en cas de transmission du virus ayant conduit à la mort ?

Cette proposition choc, elle émane ce dimanche 9 janvier de la tribune publiée sur le site du Parisien en exclusivité et est signée par Me Benjamin Fellous, avocat au barreau de Paris et Pr David Smadja, professeur d’hématologie à l’université de Paris."


Le mondialisme messianique


« Faire table rase des nations dont Yahvé ton Dieu te donne le pays, les déposséder et habiter leurs villes et leurs maisons » et, dans les villes qui résistent, « ne rien laisser subsister de vivant (Deutéronome 19:1, 20:16). Ce qui rend ce concept de « peuple élu » bien plus toxique que les formes séculières de racisme – outre sa totale immunité à toute rationalité – est l’autre face de la pièce : l’idée que tout autre peuple sera « maudit » s’il ne sert pas le peuple élu. Le Dieu biblique abattra sa « vengeance » sur ses ennemis, les « peuples qu’il a condamnés », et son épée, après les avoir « dévorés », sera « remplie de sang et repue de graisse » (Isaïe 34:5-6, Jérémie 46:10). 

Ce rêve insufflé par le Dieu biblique à son peuple élu n’est pas seulement un rêve racial national qui déclare les Cananéens (les Palestiniens autochtones) tout juste bons à être « exterminés sans pitié » (Josué 11:20) ou réduits à l’esclavage (Genèse 9:2). C’est très clairement aussi un rêve impérial

On évoque souvent ces vers du deuxième chapitre d’Isaïe (repris dans Michée 4:1-3) comme preuve que le message prophétique est pacifique : « Ils briseront leurs épées pour en fait des socs, et leurs lances pour en faire des serpes. On ne lèvera plus l’épée nation contre nation, on n’apprendra plus à faire la guerre. » Mais on omet généralement les vers précédents, qui indiquent que cette Pax Judaica ne viendra que lorsque « toutes les nations » rendront hommage « à la montagne de Yahvé, à la Maison du Dieu de Jacob », lorsque Yahvé, depuis son Temple, « jugera entre les nations. » Ben Gourion, véritable père d’Israël, était guidé par cette vision prophétique, qu’il reprit à son compte en 1962 dans une déclaration publiée par le magazine américain Look, où il émettait cette prédiction pour 1987 (le prochain quart de siècle) : « Toutes les armées seront abolies, et il n’y aura plus de guerres. À Jérusalem, les Nations Unies (de vraies Nations Unies) construiront un sanctuaire aux prophètes pour servir à l’union fédérale de tous les continents ; ce sera le siège de la Cour Suprême de l’Humanité, où seront réglés tous les conflits entre les continents fédérés, comme l’a prophétisé Isaïe. » 

Cette vision d’un Nouvel Ordre Mondial centré sur Jérusalem inspire aujourd’hui, plus que jamais, de nombreux intellectuels juifs. Jacques Attali, dans l’émission qu’il anime sur la chaîne Public Sénat avec Stéphanie Bonvicini, se prend à « imaginer, rêver d’une Jérusalem devenant capitale de la planète qui sera un jour unifiée autour d’un gouvernement mondial ». Lors du Sommet de Jérusalem qui s’est tenu du 11 au 14 octobre 2003 dans le lieu symbolique de l’hôtel King David, une alliance fut scellée entre sionistes juifs et chrétiens autour d’un projet « théopolitique » faisant d’Israël (selon les termes de la « Déclaration de Jérusalem » signée par les participants), « la clé de l’harmonie des civilisations », en remplacement des Nations Unies, devenues « une confédération tribalisée détournée par les dictatures du Tiers-Monde ». 

Guyénot Laurent, JFK - 11 septembre : 50 ans de manipulations. PDF gratuit ICI.

Tout a foiré

"Leur plan était visiblement trois ans de confinement intermittent, ensuite vaccin qui libère tout le monde et qu'on accueille avec soulagement.

Tout a foiré heureusement. Le vaccin est nul et les gens ne sont pas contents..." (Christian Combaz, alias Campagnol)

Un Ragnarök va-t-il chambouler la planète et mettre fin à la dictature covidiste, balayant toutes les institutions impliquées dans ce complot contre les peuples ? La fin des mondialistes et des européistes semble proche.

(3:37)
Drengr of Ragnarök Welcome to Valhalla




BONUS :

Youssef Hindi explique pourquoi Yahvé et Satan se confondent à plusieurs reprises dans la Bible hébraïque.

(8:09)



Le paradoxe théologique du judaïsme. Comment Yahvé usurpa la place de Dieu ? Loin de remettre en cause le monothéisme, voici un récit historique inédit du dévoiement de l'idée monothéiste par un groupe d'Hébreux qui a crû bon d'adopter puis d'imposer au peuple d'Israël une divinité qui lui était alors inconnue, Yahvé. Celui-ci s'est substitué, à la suite d'un lent processus, à El, le Dieu d'Abraham, des Patriarches et des prophètes. Contrairement à une idée répandue, les Hébreux n'ont pas inventé le monothéisme, mais une partie d'entre eux l'a dévoyé. C'est ce que démontre Youssef Hindi, après avoir remonté la trace de la croyance en un Dieu Unique dans l'Antiquité la plus reculée. L'enquête nous mène aux tous débuts de l'Histoire, aux deux extrémités du Croissant fertile, de Sumer à l'Égypte, en passant par Canaan. Il nous fait découvrir les preuves écrites de la croyance en Dieu, Unique et Universel, antérieures à la Torah de plus d'un millénaire. Malheureusement le monothéisme, présent dans la Torah originelle, fut perverti par la confusion opérée entre un dieu tribal, Yahvé, et le Dieu Universel, El. Cette usurpation a donné naissance au judaïsme et à son paradoxe théologique : l'universalisation d'un dieu tribal, avec des conséquences historiquement dévastatrices.



Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...