vendredi, janvier 14, 2022

Le Nouvel Ordre Mondial serait une extension de l’Empire britannique



Dans son livre "Les Juifs" (1922), (...) Hilaire Belloc écrit que l’Empire Britannique représentait un partenariat entre la finance juive et l’aristocratie britannique.

"Après Waterloo (1815) Londres est devenu la place mondiale du marché de l’argent et la chambre de compensation du monde. Les intérêts du Juif comme courtier financier et les intérêts de ce système politique commercial se rapprochèrent de plus en plus. On peut dire que dans le dernier tiers du XIXème siècle, ils étaient devenus pratiquement confondus."

La confluence des intérêts juifs et Britanniques s’étendit au mariage.

"Les mariages commencèrent à prendre place, en gros, entre ce qui avait autrefois été les familles aristocratiques territoriales de ce pays et les fortunes juives commerciales. Après deux générations, à l’orée du XXème siècle, celles parmi les grandes familles territoriales anglaises au sein desquelles il n’y avait pas de sang juif étaient l’exception."

"Chez la plupart d’entre eux la souche était plus ou moins marquée, chez certains de manière si forte que, bien que le nom soit encore anglais et les traditions celle d’une lignée au long passé, le physique et le caractère était devenu entièrement juif..."

Si le mariage de la fille d’Al Gore avec le petit fils de Jacob Schiff est une indication, ce mélange de l’élite juive et des Gentils s’étend aussi à l’Amérique.

L’objectif britannique et juif de domination du monde était donc synonyme et utilisa la franc-maçonnerie comme un instrument. Belloc écrit, "les institutions spécifiquement juives, telles que la franc-maçonnerie étaient particulièrement fortes en Grande-Bretagne, et de là démarra une tradition politique active, et qui s’avéra finalement d’une grande importance, de sorte que l’Etat britannique fut tacitement accepté par les gouvernements étrangers comme le protecteur officiel des Juifs dans les autres pays.

"C’était la Grande-Bretagne qui était tenue d’intervenir (où que la persécution des juifs ait lieu) et de soutenir les énergies financière juives à travers le monde, et de recevoir en retour le bénéfice de cette connexion."

Si Belloc voit juste, le Nouvel Ordre Mondial est une extension de l’Empire britannique, dans laquelle les intérêts impériaux de l’élite britannique, américaine et juive sont indiscernables. 

Henry Makow


La solution Belloc contre l'indigestion politique :


La dissolution des parlements et à leur remplacement par des corporations d'Ancien Régime


Joseph Hilaire Pierre René Belloc (né à La Celle-Saint-Cloud le 27 juillet 1870 et mort à Guildford le 16 juillet 1953) est un écrivain et historien anglo-français, naturalisé sujet britannique mais conservant sa nationalité française en 1902. Il est l'un des écrivains britanniques les plus prolifiques des années 1920. Il se consacra tout autant à la satire et la polémique qu'à la poésie et au roman. Il était en outre très engagé en politique et fut un militant catholique opiniâtre, aux côtés de G. K. Chesterton. D'abord président de l’Oxford Union Society, il fut ensuite député de Salford de 1906 à 1910. Représentant du catholicisme libéral, il proposa une alternative au socialisme dans son livre "L'État servile".

Ses trois essais les plus célèbres sont "L’État servile" (1912), "L’Europe et la Foi" (1920), et "Les Juifs" - The Jews - (1922).

Belloc rejetait le capitalisme débridé ainsi que de plusieurs aspects du socialisme.

Retour à l'ordre ancien

(...) Belloc avait imaginé une sorte de troisième voie socio-économique, le distributionnisme. Dans "L’État servile", qu'il composa alors que sa carrière politique venait de s’achever, puis dans d’autres essais, sa critique de l’ordre économique moderne et du parlementarisme l'amène à proposer cette nouvelle doctrine, non comme une perspective ou un programme économique novateur, mais plutôt comme un retour à l'ordre ancien, celui des sociétés catholiques européennes traditionnelles. Il appelle à la dissolution des parlements et à leur remplacement par des syndics des différents secteurs de la société civile, idée que l'on retrouve chez d'autres penseurs de la révolution conservatrice sous le nom de corporatisme ; cependant il faut dire que l'idéal de Belloc, comme celui des chrétiens sociaux de l'Entre-deux guerres, est bien davantage une réminiscence du corporatisme d'Ancien Régime (« paléo-corporatisme »), référence à un Moyen Âge idéalisé, qu'un corporatisme au sens des idéologues fascistes, qui est une synthèse de productivisme d’État et de capitalisme paternaliste. 

(Extraits de Wikipédia)






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