mardi, mai 31, 2022

Tyrannie technologique et caractère démoniaque du monde moderne



Un rappel de monseigneur Gaume sur la capacité de la technologie de nous trans/déformer à foison.

Gaume évoque les caractères des démons dans son "Traité du Saint-Esprit" : intelligence, agilité (vitesse, puissance ; toutes qualités que nous développons à foison avec les techniques de transport et la technologie de communication ; ces forces magiques transforment les humains en agents ou cibles démoniaques ; de là ce goût pour la bêtise, la dictature, le contrôle, la manipulation, l’hypnose, la lubricité, la passivité (pigritia) que nous avons vu se développer chez tous les hommes et les femmes modernes, y compris en nous-mêmes. Le satanisme est devenu industriel, et cette dictature ubiquitaire est son couronnement. Un petit rappel pour comprendre comment nous avons créé un monde fourmillant de démons. Pensons aussi au visionnaire biblique John Milton et voyez en lien notre texte sur le caractère hypermoderne et industriel du lexique du Paradis perdu.

On a beaucoup parlé des victimes du vaccin. En fait comme dit Bloy leur petit nombre tempère notre joie. La vraie cible du vaccin c’est l’âme soit par l’altération de l’ADN (Adonaï) remplacé par l’Arn (Aaron grand prêtre et magicien), soit par la création d’un réflexe d’obéissance, de passivité te de soumission qui prélude à la grande extermination voulue par les élites bureaucratiques et milliardaires mondialistes. On est entouré des âmes mortes de Gogol, mais au sens propre. C’est le monde moderne automatisé dont ont parlé tous les grands esprits depuis deux siècles. Voyez nos textes sur Poe, Baudelaire, Dostoïevski, Drumont, Bernanos, Céline et les autres.

Nous allons citer Gaume. Pas pour faire une leçon de catéchisme (il n’y a plus assez de bons chrétiens pour ça) mais pour établir une analogie éclairante.

Monseigneur Gaume écrit donc à ce propos dans son Traité à propos du démon :

« Tuer le corps ne lui suffit pas. C’est par l’âme surtout que l’homme est l’image du Verbe incarné, et c’est à l’âme principalement qu’en veut le grand homicide. Son existence n’est qu’une chasse aux âmes : et quel carnage il en fait! Des millions de chasseurs et des millions de bourreaux sont à ses ordres. »

Belle expression, la boucherie d’âmes :

« Qu’est-ce que l’idolâtrie qui a régné et qui règne encore sur la plus grande partie du globe, sinon une immense boucherie d’âmes? Qui en est la cause consommante ? Le grand homicide, caché sous mille noms et sous mille formes différentes. »

Puis il définit le démon. Avant de ricaner, penser aux camps australiens, aux amendes autrichiennes, à votre code QR ou à votre condition de paria (et non de rebelle) ; pensez aussi à ce qui va suivre, à la famine – et au dépeuplement.

« Il est appelé Démon, Doemon. Pour désigner Lucifer, les oracles sacrés disent le Démon, c’est-à-dire le démon le plus redoutable, le Roi des démons. Sa science effrayante des choses naturelles, sa science non moins effrayante de l’homme et de chaque homme, de son caractère, de ses penchants, de ses habitudes, de son tempérament, en un mot de ses dispositions momies, lui ont fait donner ce nom, qui signifie : intelligent, savant, voyant. »

Plus que des boucs émissaires, les non vaccinés et les insoumis sont des calomniés. Et Gaume de rappeler :

« Il est appelé Diable ou plutôt le Diable, Diabolus. Odieux entre tous, ce nom signifie calomniateur. Deux choses constituent la calomnie : le mensonge et l’outrage. A ce double point de vue, Lucifer est le calomniateur par excellence.

J’ai évoqué dans un texte très lu le caractère maçonnique de ces masques, gestes-barrière, de ce lexique monstrueux et de la hiérarchie initiatique qui en découle. 

Gaume rappelle :

« Veut-on savoir ce qu’il y a de profonde philosophie dans les paroles de l’illustre disciple de saint Jean Chrysostome? qu’on se rappelle ce qu’était le monde païen à la naissance du christianisme. Par une foule de pratiques ténébreuses : consultations, évocations, oracles, initiations, sacrifices, le genre humain s’était mis en rapport habituel avec les dieux, c’est-à-dire avec les démons. »

Tout passe par les ondes et les vagues. 

"Notre lutte est contre les puissances du mal qui habitent l’Air…" (Gaume)

Rappelons le propos de notre ami Lucien Cerise : on ne saurait pas qu’il y a épidémie sans les médias. Les médias nous ont rendu esclaves des infos et promptes à tous les délires et toutes les dictatures. La vraie bête dont a parlé Macron c’est eux. J’en reviens au bon musulman de Candide ou à la cuisinière de Flaubert qui ne veulent rien savoir.

Enfin Gaume évoque les qualités des démons :

« Les prérogatives sont, entre autres : l’intelligence, l’agilité, la puissance d’agir sur les créatures matérielles et sur l’homme, par mille moyens divers et jusqu’à des limites inconnues : le tout mis au service d’une haine implacable. Un mot sur chacune de ces terribles réalités. «

Le caractère de l’intelligence moderne est éminemment démoniaque :

« L’intelligence. — Les démons étant de purs esprits, leur intelligence est déiforme. Dès qu’ils perçoivent un principe, ils en appréhendent toutes les conséquences spéculatives et pratiques. Ainsi, sur le monde matériel et ses lois, sur les éléments et leurs combinaisons, sur toutes les vérités de l’ordre purement moral ; en astronomie, en physique, en géographie, en histoire, en médecine, en aucune science ils ne peuvent se tromper : pour eux il n’y a d’erreur possible que dans les choses de l’ordre surnaturel. »

Grimés en experts les démons adorent lire l’avenir (cf. Attali et trois mille autres) :

« Quant à l’avenir, leur connaissance surpasse beaucoup la nôtre. S’agit-il des futurs nécessaires? les démons les connaissent dans leurs causes avec certitude. S’agit-il des futurs contingents qui se réalisent le plus souvent? ils les connaissent par conjecture : comme le médecin connaît la mort ou le rétablissement du malade. »

Ces qualités étranges (comme disait Tolkien) sont donc au nombre de trois. On a ensuite l’agilité :

« L’agilité des démons ne les rend pas moins redoutables que leur intelligence. Pour se transporter d’un lieu dans un autre, il faut à l’homme un temps relativement assez long : des minutes, des heures, des jours et des semaines. Souvent les moyens de transport lui manquent; d’autres fois la maladie ou la vieillesse l’empêchent de se mouvoir. Pas plus que les bons anges, les démons ne connaissent aucun de ces obstacles. »

On retrouve la fameuse citation de Job sur Satan baladeur, qui sera reprise par Goethe dans son Faust (mythologie comme on sait liée aux imprimeurs) :

« En un clin d’œil, ils se trouvent, à volonté, présents aux points les plus opposés de l’espace. De là, cette réponse de Satan, rapportée dans le livre de Job : D’où viens-tu, lui demande le Seigneur? » Satan répond : Je viens de faire le tour du monde : Circuivi terram. » Comme il n’y a pas de distance pour les démons, ce qui se passe actuellement au fond de l’Asie, ils peuvent le dire au fond de l’Europe, et réciproquement. »

Il est étonnant que la Vulgate donne le mot de circuit. Et il est clair pour Gaume que l’électricité est liée aussi à ces étranges phénomènes (pensez à Tesla…) :

« Notre époque matérialiste s’est permis ‘de nier les êtres spirituels et leurs propriétés. Pour la confondre, Dieu lui a réservé la découverte de l’électricité. Grâce à ce mystérieux véhicule, l’homme peut se rendre présent, non-seulement par la pensée, mais par la parole, à tous les points du globe, dans un temps imperceptible. A la vue d’un pareil résultat, comment nier l’agilité des Esprits ? »

Gaume évoque ensuite le venin de Lucifer :

« Essentiellement bienfaisante dans les bons anges, cette puissance est essentiellement malfaisante dans les démons. En s’assujettissant par le péché le roi de la création, Lucifer s’est assujetti la création tout entière. A l’homme et au monde il fait sentir sa tyrannie, inocule son venin, communique ses souillures, et, les détournant de leur fin, les change en instruments de guerre .contre le Verbe incarné. »

Ce venin distille la bêtise. Sur cette affaire retrouvez mon texte sur Villiers de l’Isle-Adam et la crétinisation technologie (années 1880, toujours quand apparaît la grippe partout, et que se multiplient les cas de cancer) :

« De toutes ces grandes réalités, vous n’avez qu’une connaissance vague, confuse, sèche et stérile. Vous avez des yeux, et vous ne voyez pas ; des oreilles, et vous n’entendez pas; une volonté, et vous ne voulez pas. Fruit du don d’entendement, le sens chrétien, ce sixième sens de l’homme baptisé, vous manque.

Il manque à la plupart des hommes d’aujourd’hui et à un trop grand de nombre de femmes. Il manque aux familles, il manque à la société, il manque aux gouvernants et aux gouvernés, il manque au monde actuel. »

La bêtise a aussi été vue par Flaubert (Bouvard et Pécuchet) et elle est venue avec le progrès, comme le racisme, l’impérialisme, l’humanitarisme, l’économisme – le crédit a remplacé le credo, comme dit Marx dans le capital (Livre sur l’accumulation primitive). Monseigneur Gaume :

« Monde de prétendues lumière et de prétendu progrès, il ne reste pour toi qu’un dernier vœu à former, c’est que l’Esprit d’intelligence te soit donné de nouveau et te montre à nu l’abîme inévitable, vers lequel te conduit à grands pas l’Esprit de ténèbres, redevenu, en punition de ton orgueil, ton guide et ton maître. »

Et l’homme comme chez Tocqueville devient le troupeau :

« Politique des éleveurs de bestiaux ! qui ne comprend plus que l’homme ne vit pas seulement de pain, et qu’on ne régénère pas un peuple en l’engraissant. Politique des aveuglés ! qui conduit le monde à une répétition de Ninive avec Sardanapale, de Babylone avec Balthasar, de Rome avec Héliogabale. »

Citons un autre prophète chrétien pour la peine alors, un nommé Tocqueville :

« Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sut leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages, que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ?

Trouble de penser c’est fait. La peine de vivre ça arrive.

Nicolas Bonnal :


PDF gratuits :

Monseigneur Gaume, "Traité du Saint-Esprit", T.1T.2


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BONUS


Ces livres indispensables pour comprendre le Great Reset et le plan du Forum économique mondial de Davos

Alors que la réunion 2022 du Forum économique mondial de Davos a une nouvelle fois rassemblé les oligarques mondialistes, de Klaus Schwab à George Soros, dans le but de voir comment nous imposer leur plan et leur agenda, il est important de bien mesurer ce que veulent vraiment ces représentants du Nouvel Ordre Mondial et ce que signifie leur projet de grande réinitialisation (Great Reset).

Il faut saluer le remarquable travail des éditions Culture & Racines qui ont publié des livres essentiels sur le sujet. Tour d’horizon de trois titres indispensables à toute personne qui veut approfondir cette menace majeure sur notre futur.


Modeste Schwartz est l’auteur du livre "Le Magicien de Davos : verité(s) et mensonge(s) de la grande réinitialisation" qui analyse l’ouvrage publié par MM. Schwab et Malleret à l’été 2020 et intitulé Covid-19. La Grande Réinitialisation.. Modeste Schwartz souligne comment Klaus Schwab déguise ses instructions en constat et pratique l’art de la conspiration. Schwab a une idée tellement précise des modalités de la réorganisation de l’ordre social post-pandémique qu’il ne prend même pas vraiment la peine de formuler divers scénarios. Modeste Schwartz insiste : même un lecteur d’intelligence moyenne comprend au bout de la lecture de quelques pages du livre de Schwab que c’est un programme qu’il a en main. Et que ce programme est déjà en train d’être appliqué. Pour Modeste Schwartz qui a le sens de la formule, il est évident que nous avons face à nous des covidealers qui « ne sniffent pas leur propre dope« . Modeste Schwartz aborde aussi des aspects philosophiques du plan de Klaus Schwab qu’il qualifie de néopaïen, insistant sur le fait que celui-ci, dans le tout dernier paragraphe de sa conclusion, place une sorte d’envoi à « Mère Nature« , explicitement désigné comme telle. Schwartz décortique la prose de Schwab qui prend plaisir à célébrer le hold-up réussi des multinationales numériques sur les économies nationales. Schwartz met aussi en évidence le fait que Schwab sait bien entendu parfaitement de quel côté de l’échiquier politico-idéologique la menace risque de poindre pour lui et ses complices : « Mais il y a un côté plus sombre à tout cela. Cela déclenche également une montée des sentiments patriotiques et nationalistes, avec des considérations religieuses et ethniques troublantes qui entrent également en ligne de compte.« , écrit Klaus Schwab à la page 177 de son programme de Great Reset !

Le Magicien de Davos, Modeste Schwartz, éditions Culture & Racines, 187 pages.


Eric Verhaeghe est ancien élève de l’ENA. Il a quitté l’administration en 2007 pour exercer diverses fonctions patronales. Il anime aujourd’hui « Le Courrier des Stratèges ». Son livre "Le Great Reset : Mythes et Réalités" est suivi d’un dictionnaire critique du Great Reset. Bien sûr, Eric Verhaeghe montre comment le Forum économique mondial de Davos a instrumentalisé le Covid-19. Plus originale est l’analyse par Eric Verhaeghe de l’étrange conversion de Davos à l’écologie ainsi que de la façon dont Schwab et Malleret ont lié le réchauffement climatique, l’effondrement de notre écosystème et la pandémie pour justifier le Great Reset. Eric Verhaeghe décrit aussi comment le Great Reset est synonyme de société de surveillance, le Reset technologique reposant sur la digitalisation de la société et la surveillance généralisée de tous partout et tout le temps.

Le Great Reset : Mythes et Réalités, Eric Verhaeghe, éditions Culture & Racines, 177 pages.


Est-il besoin de présenter Pierre Hillard à nos lecteurs ? Ce docteur en sciences politiques et spécialiste du mondialisme signe un nouveau livre intitulé "Des origines du Mondialisme à la Grande Réinitialisation". Son but est de présenter les grandes lignes directrices du mondialisme ou, plus exactement, les racines de ce mondialisme sans oublier leurs conséquences spirituelles et politiques. Réalisant d’abord une super synthèse de ses livres précédents, Pierre Hillard prolonge ensuite son travail par une succession d’informations suite à l’apparition du Covid-19 et de son utilisation comme outil au service d’une cause supérieure, l’acte sacrificiel étant nécessaire dans la logique de la « rédemption par le péché » animant les acteurs de ce mondialisme. Comme toujours avec Pierre Hillard, ce livre est accompagné d’un impressionnant lot d’annexes contenant des documents récents de première main pour comprendre ce qui se joue en ce moment.

Des origines du Mondialisme à la Grande Réinitialisation, Pierre Hillard, éditions Culture & Racines, 368 pages.


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Klaus Schwab - Thierry Malleret, "COVID-19 La grande réinitialisation", PDF gratuit ICI.



lundi, mai 30, 2022

"Le progrès technique serait signe de décadence"


"La jeune famille" de Patricia Piccinini n'est qu'une œuvre d'art. ... Mais des hybrides animal-humain ont bien été développés en laboratoire

Dans son essai, « Le voile d’Isis », consacré à l’histoire de l’idée de nature, Pierre Hadot rappelle la méfiance des philosophes d’autrefois à l’égard des techniques.

« Dès l’Antiquité, on a élevé des doutes sur la légitimité de toute technique qui force la nature. Xénophon, dans ses « Mémorables » raconte que Socrate doutait que les recherches sur la nature fussent désintéressées et il soupçonnait ceux qui cherchaient à connaître les choses divines de croire que, lorsqu’ils sauraient « par quelles nécessités chaque chose vient à l’être », ils produiraient, quand ils voudraient, des vents, de la pluie, des saisons ou toute autre chose pareille dont ils auraient besoin. 
On pressent ainsi déjà à cette époque les ambitions prométhéennes de la science

Nous avons vu Cicéron évoquer les scrupules des médecins empiristes qui craignent que, mis à découvert par la dissection, « les organes, privés de leurs enveloppes, ne se modifient ». L’aspect des viscères est différent dans un corps vivant et chez un mort. Déjà altéré par les émotions, il l’est à plus forte raison sous l’effet de la mort. Ce point de vue des médecins empiristes est également rapporté par Celse, encyclopédiste latin qui écrit au 1er siècle de notre ère. Pour eux, la vivisection, pratiquée sur des criminels par les médecins dogmatiques Hérophile et Erasistrate, à l’époque hellénistique, est un acte de cruauté : 

« Un art chargé de veiller au salut des hommes inflige à quelqu’un, non seulement la mort la plus atroce », et même un acte de cruauté inutile, « car ce que l’on cherche au prix de tant de violences ne peut être connu ». 

A ces doutes méthodologiques et moraux s’ajoutent des craintes que l’on pourrait appeler écologiques. Les magiciens et les expérimentateurs ont voulu arracher son voile à la Nature. 

Mais si la Nature se cache, n’aurait-elle pas ses raisons ? Ne voudrait-elle pas ainsi nous protéger des dangers qui nous guettent, lorsque, l’ayant dominée et maîtrisée, nous serons menacés par nos propres progrès techniques ? 

Ces craintes se portaient notamment sur l’exploitation des mines et le creusement des galeries souterraines. Dans la perspective de la décadence humaine après l’âge d’or, Ovide avait reconnu dans ces techniques une caractéristique de l'immoralité totale des hommes de l’âge de fer : 

« L’homme ne se contenta plus de demander à la terre féconde les moissons et les aliments qu’elle lui devait, mais il pénétra jusque dans ses entrailles ; il en arracha ce qu’elle y avait caché, […] les trésors qui irritent nos maux. Bientôt le fer pernicieux et l’or, plus pernicieux que le fer, parurent au jour. A leur suite parut la guerre. »

C’est ce que redira Sénèque. A lieu de contempler l’immensité de l’univers, nous fouillons la terre pour en extraire ce qui y est caché, c’est-à-dire ce qui est nuisible, au lieu de nous contenter de ce qu’elle offre de bon : 

« Tout ce qui devait servir à notre bien, Dieu notre Père l’a mis à notre portée. Il n’a pas attendu que nous fassions nos recherches, il nous a spontanément pourvus. Les choses nuisibles, il les a enfouies au plus profond. Nous ne pouvons nous plaindre que de nous-mêmes. Ce qui cause notre perte, nous l’avons mis au jour contre la volonté de la Nature qui nous l’avait caché. » 

A la différence de Posidonius qu’il critique vivement, Sénèque considère en tout cas le progrès technique – pas le progrès des connaissances – comme un danger pour la vie morale, puisque son moteur est l’amour du luxe et du plaisir

Dans la seconde moitié du 1er siècle apr. J.-C., Pline l’Ancien, dans son « Histoire naturelle » , reprendra les mêmes griefs. Il s’inquiète des conséquences morales du progrès technique, qui entraîne au luxe, et finalement à la décadence des mœurs, au lieu de s’en tenir à la satisfaction des besoins essentiels de l’homme. Les recherches minières ont pour motif la cupidité, quand il s’agit de l’or et de l’argent, la haine quand il s’agit du fer. Elles sont d’autant plus inacceptables que la terre nous a offert à sa surface tout ce qui est nécessaire à notre vie et à notre santé : « combien notre vie serait innocente et heureuse, comme même elle serait raffinée, si nous convoitions que ce qui se trouve à la surface de la terre, bref, que ce qui est tout près de nous. » Indépendamment de ces considérations morales, on voit apparaître aussi chez lui des craintes concernant le danger que font courir à la nature les entreprises de l’homme. Il s’inquiète des conséquences qu’auront pour les montagnes les mines creusées dans la terre. Ici intervient d’ailleurs la représentation de la maternité de la Terre. Les tremblements de terre semblent bien être, pour Pline, la manifestation de l’« indignation de cette mère sacrée », car nous pénétrons dans ses entrailles, pour lui arracher les objets de notre convoitise. L’auteur anonyme du poème « L’Etna » déplore, lui aussi, que les hommes, au lieu de se livrer à une recherche scientifique désintéressée qui devrait être leur première préoccupation, préfèrent torturer la terre pour lui arracher ses trésors.

Tout cela correspond à une tendance que l’on a appelée le primitivisme, inspiré par le mythe de l’âge d’or, c’est-à-dire la représentation d’une vie primitive idéale : la perfection de la race humaine se situerait à l’origine des temps, et le progrès technique serait signe de décadence. L’âge d’or, c’est l’âge de kronos, évoqué par Hésiode dans « Les travaux et les jours » (vers 109 ss.). Les hommes y vivaient comme des dieux, sous le règne de Diké, la Justice, le cœur libre de souci. Il n’y avait pas de propriété privée. La terre était féconde et pouvait nourrir les hommes qui n’avaient pas besoin de travailler. Chez Empédocle, les premiers hommes, sous le règne d’Aphrodite, ne connaissent pas la guerre et sont végétariens. Ce thème de l’âge d’or se retrouver chez les Romains. Dans ses « Métamorphoses », Ovide fait l’éloge de ce temps idéal. Sans répression, sans loi, on y pratiquait la bonne foi et la vertu. Il n’y avait pas de juges, ni de navigation, ni de commerce, ni de guerre, ni d’armes. La terre, sans être cultivée, donnait fruits et moissons. Mais après un si beau départ, la race humaine dégénère. A la race d’or succède la race d’argent, la race de bronze, la race de fer. Cette dernière, qui correspond à l’état actuel de l’humanité, est si mauvaise que la Justice, la Bonne Foi et la Vertu s’enfuient et remontent en haut de l’Olympe. Alors commence l’essor de la civilisation : on construit des bateaux, on sillonne les mers, on délimite les champs par l’arpentage. On creuse des mines pour y arracher à la terre ce qu’elle a caché et ont peut ainsi fabriquer des armes. Cette théorie de la dégénérescence est liée à celle d’un vieillissement du monde, qui est admis aussi bien par un épicurien comme Lucrèce, qui parle de la terre « épuisée et lasse d’engendrer », que par un stoïcien comme Sénèque prévoyant le cataclysme final, qui sera suivi d’ailleurs d’une nouvelle période du monde dans laquelle les mêmes âges de l’humanité se reproduiront. 

Sénèque évoque, pour sa part, à la suite de Posidonius, l’âge d’or où la royauté était exercée par des sages, et où les hommes vivaient très simplement, sans techniques et sans luxe. Mais peu à peu la dégénérescence s’est insinuée dans l’humanité. La royauté s’est transformée en tyrannie. Les sages, comme les Sept Sages, dont par exemple faisait partie Solon, ont dû alors inventer les lois. La décadence des mœurs a eu également pour résultat que les hommes ne savaient plus se contenter de la simplicité primitive. Selon Posidonius, ce sont encore les sages qui ont cherché à remédier à ce mal, en inventant les différentes techniques. Sur ce dernier point Sénèque n’est plus d’accord avec Posidonius. Si Démocrite, comme on le rapporte, a inventé la voûte et la clé de voûte, ce n’est pas en tant que sage, mais en tant qu’homme. Car le sage ne doit s’occuper que de la morale et de la connaissance désintéressée de la nature. D’ailleurs, remarque Sénèque, Posidonius doit reconnaître que, si les sages ont inventé des techniques nouvelles, ils ne les ont pas pratiquées, mais les ont confiées à d’humbles artisans. Finalement, il fait une description idyllique de ce que fut l’âge d’or. La nature, comme une mère, protégeait les hommes. Il n’y avait pas de propriété privée. Tout se partageait fraternellement. La terre était plus fertile. Les hommes couchaient en plein air et contemplaient ainsi le ciel nocturne et les mouvements des astres. Mais les premiers hommes n’en étaient pas pour autant des sages, car c’était leur ignorance qui faisait leur innocence. 

Ce primitivisme, cet éloge de la vie simple, était en fait commun à presque toutes les autres écoles philosophiques. Cyniques et épicuriens, notamment s’accordaient à rejeter le superflu, le luxe, la richesse. Diogène le Cynique jette son gobelet après avoir vu un enfant boire dans sa main et déclare que « la vie accordée aux hommes par les dieux est une vie facile, mais cette facilité leur échappe, car ils recherchent gâteaux de miel, parfums et raffinements du même genre ». pour Diogène, Zeus a eu raison de punir Prométhée d’avoir découvert le feu, car le feu a été à l’origine de la mollesse de l’homme et de son goût du luxe. Quant à Epicure, il n’admet que les désirs nécessaires et naturels, ce qui implique un rejet des raffinements de la civilisation. 

Le texte le plus remarquable de l’Antiquité concernant le primitivisme se trouve dans un écrit hermétique qu’il est difficile de dater (peut-être après le 4ème siècle de notre ère), qui a pour titre « Kore Kosmou » (terme désignant Isis, comme « pupille de l’œil du monde »). Mômos, c’est-à-dire la critique personnifiée, reproche à Hermès d’avoir donné aux âmes crées par dieu des corps humains et d’avoir produit ainsi des êtres téméraires et arrogants qui seront capables de voir dans leur audace, les « beaux mystères de la nature ». ils exploreront tout ce qui est caché : 

« Les hommes arracheront les racines des plantes et ils examineront les qualités des sucs. Ils scruteront les natures des pierres et ils les ouvriront par le milieu non seulement ceux des vivants qui n’ont pas de raison, que dis-je, ils disséqueront leurs semblables, dans leur désir d’examiner comment ils ont été formés. » 

Ils s’aventureront sur la mer en construisant des bateaux, ils atteindront les extrémités de la terre, ils s’élèveront jusqu’aux astres. Pour Mômos, il n’y a qu’un seul moyen d’abaisser l’arrogance des hommes et leur audace sans limites, c’est de les remplir d’inquiétudes et de soucis. Ils seront dévorés par la soif de réaliser leur projets et, quand ceux-ci échoueront, ils seront rongés par le chagrin et la tristesse. On pense ici à la fable d’Hygin, que cite Heidegger dans « Etre et Temps », et qui raconte que c’est le Souci qui modèle le limon dont est fait l’homme. Il y a probablement une allusion au nom de Prométhée, considéré communément dans l’Antiquité comme le créateur de l’homme. « Prométhée » veut dire en effet « prévoyant », mais aussi « soucieux ». Quoi qu’il en soit, on est ici en présence d’une profonde vérité psychologique. Car ce sont le désir et le projet, et spécialement le projet technique, « prométhéen », qui engendrent le souci. » 

Pierre Hadot, Le voile d’Isis - Essai sur l'histoire de l'idée de Nature, Gallimard. 


dimanche, mai 29, 2022

En 2004, un livre dévoile l'utilisation de vaccins pour tuer les "mangeurs inutiles"



Final Warning: A History of the New World Order (Dernier avertissement : une histoire du Nouvel Ordre Mondial), ce livre de David Rivera, publié en 2004, traite du gain de fonction et de la recherche de virus pour le dépeuplement (l'élimination des "mangeurs inutiles").

Le Club de Rome (cercle de réflexion rassemblant scientifiques, décideurs économiques et hauts fonctionnaires) se fit mondialement connaître en préconisant de stabiliser la population et la production à l'échelle mondiale, en d'autres termes, un génocide doit être planifié pour éliminer les personnes qualifiées de "mangeurs inutiles".

Ce génocide sera réalisé en recourant à des guerres "ciblées" dans les pays avancés, et même une frappe nucléaire limitée à un emplacement stratégique ; ainsi que des famines et des maladies créées dans les pays du tiers monde.

Dans son roman de 1976, "Ceremony of the Innocent", Taylor Caldwell explique clairement la raison d'être de leurs actions : "... il n'y aura pas de paix dans un monde tourmenté, seulement une série programmée et systématique de guerres et de calamités - jusqu'à ce que les comploteurs atteignent leur objectif : une humanité épuisée prêt à se soumettre à une économie marxiste planifiée et à un asservissement total au nom de la paix."


Ont-ils déjà commencé leurs plans génocidaires ?

En 1969, lors d'une audience sur les crédits parlementaires, l'unité de guerre biologique du ministère de la Défense demanda des fonds pour développer, par épissage génétique, une nouvelle maladie qui résisterait au traitement et détruirait le système immunitaire des victimes. Ils ont reçu 10 millions de dollars, pour produire "un agent biologique de synthèse, un agent qui n'existe pas naturellement et pour lequel aucune immunité naturelle n'aurait pu être acquise".

Dans le Bulletin de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de l'ONU de 1972, volume 47, page 251, il est dit : « Il faudrait essayer de voir si les virus peuvent en fait exercer des effets sélectifs sur la fonction immunitaire. Il faudrait examiner la possibilité que la réponse immunitaire au virus lui-même peut être altérée si le virus endommage, plus ou moins sélectivement, la cellule répondant au virus.

Des dérivés d'ovins et de bovins ont été couramment utilisés pour fabriquer des vaccins, cependant, certains virus communs à ces animaux peuvent interagir indéfiniment, formant une nouvelle souche de virus mortels appelés rétrovirus.

En 1974, l'Académie nationale des sciences a recommandé que "les scientifiques du monde entier se joignent aux membres de ce comité pour différer volontairement les expériences (liant) les virus animaux".

Le Dr Robert Strecker, gastro-entérologue praticien, titulaire d'un doctorat. en pharmacologie, qui a été embauché comme consultant pour travailler sur une proposition de soins de santé pour la Security Pacific Bank, a déclaré : « Je ne pense pas qu'il y ait le moindre doute que le SIDA est un problème créé par l'homme. La question est de savoir s'il a été créé accidentellement ou intentionnellement. Je crois que le virus du sida a été programmé, produit et déployé.

La théorie la plus courante sur l'origine du SIDA était qu'il provenait de singes verts en Afrique. Pourtant, plusieurs virologues ont déclaré que le virus du sida n'est présent naturellement chez aucun animal. De plus, il aurait été statistiquement impossible d'atteindre le point où nous en sommes actuellement, à partir d'un seul épisode. Si le virus du SIDA était originaire des singes, alors la maladie aurait fait surface chez les Pygmées, qui sont plus proches d'eux, et les utilisent comme source de nourriture, pourtant, elle est apparue d'abord dans les villes. Une autre preuve préjudiciable vient du fait que le SIDA s'est produit pratiquement simultanément aux États-Unis, en Haïti, au Brésil et en Afrique centrale.

Les recherches de Strecker ont indiqué que le virus du SIDA (nom de code « MKNAOMI ») a été développé par le Frederick Cancer Research Facility de l'Institut national du cancer, en coopération avec l'OMS, dans leurs laboratoires à Fort Detrick, Maryland (qui jusqu'en 1969 faisait partie de l'unité de guerre bactériologique de l'armée américaine, connue sous le nom d'unité des maladies infectieuses de l'armée, ou division des opérations spéciales) ; en combinant le virus de la leucémie bovine (vache) et le virus visna-maëdi (mouton) et en les injectant dans des cultures de tissus humains.

Le virus de la leucémie bovine est mortel pour les vaches, mais pas pour les humains ; et le virus visna est mortel pour les moutons, mais pas pour l'homme. Cependant, lorsqu'ils sont combinés, ils produisent un rétrovirus qui peut modifier la composition génétique des cellules dans lesquelles ils pénètrent.

Il a déclaré : « Si l'on analyse les gènes du virus du sida humain et les gènes du virus de la leucémie bovine du bétail et du virus visna du mouton, et que l'on les compare, les gènes semblent liés. Comment est-il possible que le virus bovin- qui ressemble au SIDA et produit une maladie semblable au SIDA, et qui a produit une pneumonie à pneumocystis carinii chez les chimpanzés en 1972 - n'a pas été analysée et comparée au SIDA ... jusqu'en 1987 lorsque Matthew Gonda, publie un article dans le magazine Nature qui décrit un virus qui ressemble au SIDA, appelé virus visna bovin, et a suggéré qu'il était le plus étroitement lié au SIDA et pourrait bien être son précurseur ."

Le 11 août 1988, Ted Strecker, le frère du Dr Strecker, a été retrouvé abattu dans sa maison de Springfield, Missouri. Sa mort a été qualifiée de suicide.

Le 22 septembre 1988, le représentant de l'État de l'Illinois, Douglas Huff, de Chicago, a été retrouvé mort à son domicile. L'autopsie a révélé qu'il était décédé d'un accident vasculaire cérébral à la suite d'une overdose de cocaïne et d'héroïne.

Il se trouve que Douglas Huff était un fervent partisan du travail du Dr Strecker pour faire connaître la dissimulation du sida. Coïncidence ou complot ?

(Note : Il y avait un programme de vaccination contre la variole en Afrique par l'OMS. Certains chercheurs pensent que le programme de vaccination contre la variole de 1972 a été utilisé pour introduire le virus dans la population.)

Le 11 mai 1987, le London Times a publié un article intitulé "Smallpox Vaccine Triggered AIDS Virus", écrit par le rédacteur scientifique Pearce Wright, qui a lié le programme de vaccination de masse de l'Organisation mondiale de la santé dans les années 1970 à l'épidémie de SIDA, car l'Afrique centrale était au centre du programme, et elle est devenue la zone la plus touchée au monde.

Extrait du livre de David Rivera :

 A History of the New World Order

PDF GRATUIT ICI


Source : 




samedi, mai 28, 2022

"Vaccin" Pfizer, de plus en plus de victimes d'effets secondaires

 

Témoignage de Prajñâ :

Ce 27 mai 2022, j’ai rencontré un ami de travail que je n’avais pas vu depuis longtemps et dont je m’occupais par ma fonction sur le plan médical dans une grande entreprise française. Sportif accompli, jamais malade, il me témoigne de ceci :

« En juillet 2021 je me suis fait injecter la troisième dose Pfizer. Quelques jours après je me suis senti très mal avec des douleurs dans la poitrine. Mon épouse m’a conduit chez notre médecin de famille qui m’a prescrit en urgence un bilan sanguin, dont les DE-DIMERES. Le taux normal ne dépasse pas 500 microgrammes par litre de sang. Le mien dépassait 5000 … Elle me fait hospitaliser en urgence. Diagnostic : Caillot sanguin d’un ventricule du cœur et début d’embolie pulmonaire par migration d’un fragment de ce caillot sanguin. J’ai été traité pendant 6 mois. Je vais bien mais 20% du ventricule droit est détruit (infarctus local) irréversiblement. J’ai compris que j’aurais pu mourir … ». Il ajoute : « je suis certain que c’est l’injection ! » … La femme médecin de famille n’a pas voulu faire le rapport entre l’injection et l’embolie … mais elle l’a sauvé. Il est reparti sur son vélo en me demandant : « Et toi, j’espère que tu vas bien ? ». « OUI », lui ai-je répondu … sans lui dire que je n’étais pas injecté … ».

RAPPEL

Examens sanguins qui devraient être faits après les injections quelques soient l’occurrence de symptômes inhabituels


Pour évaluer votre immunité, deux examens :

1 – La numération formule sanguine : globules rouges et volume globulaire moyen, plaquettes (il existe en plus des plaquettes 13 autres facteurs interdépendants dans les processus de la coagulation), globules blancs dont le pourcentage des « LYMPHOCYTES » par rapport aux autres types de globules blancs.

2 – Taux des immunoglobulines IgE, IgG et IgM, c’est-à-dire les ANTICORPS naturels. Il ne fait plus doute que les injections détruisent et détruiront l’immunité naturelle au fur et à mesure des injections successives.

Pour évaluer de possibles inflammations :

1 – La Vitesse de Sédimentation ;

2 – Le taux CRP, en particulier.

Pour évaluer une altération hépatique :

1 – les Gamma GT ;

2 – Les Transaminases SGOT et SGPT.

Pour évaluer la coagulation et la présence de caillots de sang (Effet secondaire le plus fréquent après ces injections) :

1 – Le taux des « D-DIMERES » est l’examen le plus important. Son taux normal est aux alentours de 500 microgrammes par litre de sang. Test très fiable, un taux supérieur signe un ou des thrombus provoquant toute embolie pulmonaire, toute thrombose veineuse profonde, toute phlébite. Un taux élevé après les injections signe donc des phénomènes de coagulation intra vasculaires. Il est prouvé que de multiples micro thrombus se forment après ces injections : entrainant des fatigues chroniques inconnues, des infarctus de divers organes, des péricardites, des neuropathies diverses, etc…

2 – Le taux de FIBRINOGENE. C’est une grosse protéine synthétisée par le foie et contenue dans le plasma sanguin. Elle joue un rôle important dans la coagulation sous forme de fibrine dont le taux élevé signe la présence d’un trouble de la coagulation dont les caillots sanguins.

L’ordonnance de votre médecin devrait être :

NFS-lymphocytes T, plaquettes, Immunoglobulines IgE, IgG, IgM, VS et CRP, GGT et Transaminases SGOT et SGPT, D-Dimères et Fibrinogène.

Ces examens permettront de mettre en place « sans tarder » un traitement anticoagulant appointé, accompagné d’une surveillance clinique souvent hospitalière.

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BONUS

Tweet d'Anita : 2200 personnalités espagnoles soupçonnées de fausse vaccination Covid. On se demande bien pourquoi préférer l'illégalité à un vaccin "génial".

Source :
https://euroweeklynews.com/2022/05/27/2200-prominent-spanish-personalties-investigated-for-false-covid-19-vaccination/

"Many questions remain over the false Covid-19 vaccination certificates bought by stars, sports personalities and business leaders."

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Un médecin de haut niveau affirme que des hauts responsables ont reçu de faux carnets de vaccination.

L’ancien conseiller COVID de la Maison Blanche et professeur adjoint à l’Université McMaster, le Dr Paul Alexander, affirme que plusieurs hauts fonctionnaires, dont des médecins de haut rang et des PDG, ont reçu de fausses cartes de vaccination après avoir refusé les vaccins à ARNm.

Lire l'article :
https://lesdeqodeurs.fr/un-medecin-de-haut-niveau-affirme-que-des-hauts-responsables-ont-recu-de-faux-carnets-de-vaccination/



vendredi, mai 27, 2022

"Les banquiers ont franchi toutes les lignes rouges"



"Les banquiers ont franchi toutes les lignes rouges. Ils ont truqué les élections et détruit la démocratie. Ils ont déclenché d'innombrables guerres coûteuses, la dernière en date étant l'Ukraine. Ils ont censuré et persécuté les dissidents."

Je vais faire très simple, écrit l'essayiste juif Henry Makow :

"Pendant des centaines d'années, la communauté juive organisée (c'est-à-dire les Rothschild) a travaillé pour détruire la civilisation chrétienne et tous ceux qui y souscrivent. Avec l'aide de traîtres, les gentils (goyim) francs-maçons, ils se livrent au génocide "blanc".

1. Ils vous empoisonnent, vous et vos enfants, avec un "vaccin" contre une fausse "pandémie" qui n'est rien d'autre qu'une grippe ordinaire... Une "pandémie" avec un taux de mortalité inférieur à un demi pour cent, n'est pas une pandémie.

2. Ils vous remplacent littéralement par des migrants illégaux, principalement de jeunes hommes célibataires qui peuvent être enrôlés et formés pour vous persécuter.

3. Ils promeuvent la "libération sexuelle" pour détruire le mariage et la famille afin que vous ne vous reproduisez pas. Ils enseignent aux jeunes femmes à gaspiller leurs années les plus fertiles à poursuivre leur carrière et à avoir des relations sexuelles (multiples et stériles) parce que c'est "autonomisant". (...)

4. Ils enseignent à vos enfants à remettre en question leur sexe afin qu'ils ne se reproduisent pas. Des professeurs habillent secrètement vos enfants en drag.

Biden offrira aux enfants pauvres des déjeuners scolaires gratuits si leur école ne laisse pas les garçons entrer dans les toilettes et les salles de bain des filles.

5. Ils détruisent le patrimoine culturel de l'Occident avec la "théorie critique de la race" (Critical race theory). Les personnes d'ascendance européenne sont les seules à se voir refuser une patrie nationale. Ce sont des "racistes" et des "suprématistes blancs", mais cela ne s'applique pas aux Chinois, Indiens, Africains, Japonais ou Juifs qui veulent être majoritaires. Croire au mensonge signifie obéissance.

6. Ils ont provoqué deux guerres mondiales pour que les Blancs patriotes s'entretuent.

7. Ils traitent les patriotes d'"extrémistes de droite" et enferment les personnes qui protestent contre les élections truquées. Pour les communistes, quiconque croit en la famille, la race, la religion (Dieu), la nation et la liberté individuelle est un "extrémiste de droite". Ils doivent détruire ces quatre pattes de l'identité humaine afin de nous transformer en esclaves.

C'est le territoire des "crimes contre l'humanité". Les élites politiques et culturelles maçonniques de l'Occident sont des traîtres et des criminels. L'humanité est atteinte d'un cancer en phase terminale.

Bien sûr, tout est pour votre bien. Croyez ce que nous vous disons.

Nos ancêtres corrompus ont donné nos cartes de crédit nationales à nos pires ennemis qui les ont maximisées pour acheter tout et tout le monde, pour mener des guerres injustifiées et coûteuses afin de nous conduire à la faillite.

Le seul peuple qui défie ce mastodonte juif satanique est la Russie de Poutine. C'est la seule raison pour laquelle ils ont levé le pied de la pédale de la pandémie.

Pensez-vous vraiment que le navire de l'État peut être redressé par des élections ?

Les juifs cabalistes et les maçons créent une fausse réalité en fonction de leurs intérêts et de leurs perversions. C'est pourquoi ils possèdent les médias de masse. C'est leur magie noire.

Nous avons besoin d'un véritable renouveau religieux basé sur l'Evangile d'amour... "

D'après un article de H. Makow (extraits) : https://henrymakow.com/2022/05/why-white-people-are-so-stunne.html


George Soros – Le réseau du stratège mondial dévoilé



"Il y a de nombreuses indications que toute la pandémie de Covid et la guerre actuelle entre la Russie et l'Ukraine sont aussi des crises délibérément provoquées par cette secte de domination mondiale."





Qu’est-ce que l’Open Society Foundations ?

L’OSF est un réseau de fondations et d'organisations non gouvernementales créée par George Soros en 1979. Soros est l'un des grands stratèges mondiaux, dont l'objectif est d'établir un Nouvel Ordre Mondial (également appelé NOM) qui assujettit les peuples.

Soros utilise l’OSF comme un outil pour financer des activités politiques visant à mettre en œuvre ce Nouvel Ordre Mondial. Partout où Soros se produit, il en résulte une déstabilisation, un chaos, une guerre ou des changements politiques dans le sens de ses intérêts. On peut reconnaître sa signature aussi bien dans le coup d'État de l'Euromaïdan de 2013-2014 en Ukraine, que dans le mouvement des réfugiés depuis 2015. Mais il existe également des indices concrets montrant que Soros a participé à toutes les « révolutions de couleur » – c'est-à-dire aux renversements de gouvernements – de ces 15 dernières années. Cela va de la Géorgie au Venezuela en passant par le « printemps arabe ». L'OSF est active dans 120 pays à travers le monde. Son fils Alexander Soros est vice-président de l'OSF.

Fin 2015, la justice russe a déclaré indésirables deux organisations non gouvernementales de Soros « parce qu'elles menacent l'ordre constitutionnel de la Russie et la sécurité de l'État ». En Hongrie, Soros est considéré comme un ennemi de l'État pour les mêmes raisons. En Israël également, George Soros n'est pas le bienvenu. Benjamin Netanyahu considère Soros comme un danger pour le pays en raison de ses efforts de déstabilisation antinationaux.

Alors que ces pays considèrent George Soros comme un ennemi de l'État et comme très dangereux, le chancelier autrichien lui ouvre les portes et lui déroule le tapis rouge. Avant la rencontre en question en Autriche, il y avait déjà eu plusieurs rendez-vous avec des chefs d'État autrichiens. Soros a manifestement tenté d'exercer une influence sur l'Autriche. Comme Soros est actif dans le monde entier, souvent de manière invisible pour la population, sa manière d'exercer son influence peut servir de modèle à tout autre pays.

L'Autriche, comment Soros tire les ficelles :

1. Influence sur la politique gouvernementale

Politique autrichienne

Une rencontre avec George Soros ou son fils Alexander Soros, au cours de laquelle on « discute » de la situation politique de l'Autriche, est depuis longtemps une pratique courante chez les chanceliers autrichiens. En 2018, Sebastian Kurz a reçu George Soros à la chancellerie et l'a ensuite rencontré lors de la conférence sur la sécurité à Munich.

Quelques jours seulement après l'entrée en fonction du chancelier Alexander Schallenberg, une rencontre à la chancellerie a également eu lieu entre celui-ci et Alexander Soros en novembre 2021. Dans le cadre de la rencontre de Schallenberg, l'ex-chancelier Kurz a également reçu la visite d'Alexander Soros et a ensuite écrit sur Twitter que c'était « formidable » de renouer avec son « ami de longue date ». Son prédécesseur, Christian Kern, a également rencontré George Soros. Lors d'une conférence de presse, M. Kern a déclaré qu'il « entretenait personnellement une relation étroite avec M. Soros » et qu'il l'avait « rencontré à plusieurs reprises ».

Le président autrichien Alexander Van der Bellen a également reçu George Soros à la Hofburg en 2017, à son bureau en 2019 et son fils au Tyrol en 2021.

Politique de l'UE

Il est prouvé que Soros tente d'influencer les décideurs politiques à travers l'UE. C'est ce que montre un document publié en 2016 sur la plateforme de divulgation « DCLeaks ». On y trouve une liste de 226 députés européens, avec leur nom et leur fiche signalétique, que l'Open Society Foundations de Soros qualifie « d'alliés fiables au Parlement européen ». En font partie, outre les députés européens autrichiens comme Eugen Freund, Monika Vana et Evelyn Regner, les députés allemands Martin Schulz et Elmar Brok. On peut supposer qu'une telle liste n'a pas été établie uniquement en 2016.

L'avocat français Grégor Puppinck vient de dévoiler un type d'influence similaire à la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Rien qu'entre 2004 et 2012, George Soros et Bill Gates ont fait don de deux millions d'euros au total à la Cour. On ne sait pas combien d'argent Soros et Gates ont versé à la CEDH depuis cette révélation, car le Conseil de l'Europe a créé en 2015 son propre fonds pour les dons. C'est pourquoi ces fonds ne figurent plus dans ses rapports financiers.

2. Influence par les médias

Les médias jouent un rôle central dans le réseau Soros. Ils sont les plus à même d'influencer les masses tout en passant sous silence les activités des puissants en arrière-plan. C'est pourquoi George Soros a construit un gigantesque empire médiatique. Il finance notamment le « Project Syndicate » et y apparaît lui-même en tant que rédacteur. Il s'agit d'une association de 430 journaux et magazines de 150 pays, avec un tirage total d'environ 70 millions d'exemplaires. Outre le quotidien britannique « The Guardian » et le journal français « Le Monde », ce sont les quotidiens autrichiens « Die Presse » et « Der Standard » qui sont inscrits comme partenaires officiels.

C'est aussi la raison pour laquelle Der Standard, par exemple, publie des articles écrits par Soros. Il est frappant de constater que la rencontre de Soros avec le chancelier autrichien n'a fait l'objet d'aucun article dans les médias dominants ! Lorsque Soros fait l'objet d'un article, la presse mainstream le défend et le présente toujours, tout comme son allié Bill Gates, comme un philanthrope.

3. Influence par l'éducation et les think tanks

Afin de former les futurs hommes clés dès leurs études, Soros a créé en 1991 une université privée à Budapest et à Prague.

Au milieu des années 1990, le gouvernement tchèque a toutefois mis un terme aux activités de l'université Soros et l'a fait fermer. Tant le Premier ministre tchèque de l'époque, Václav Klaus, que l'actuel président de la République tchèque, Miloš Zeman, ont argumenté leur refus de cette université par l'ingérence extérieure incontrôlable dans la science tchèque.

En 2017, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a également tenté d'expulser l'université du pays en modifiant la loi sur l'enseignement. Le chancelier autrichien de l'époque, Christian Kern, s'est alors fortement engagé pour que l'université Soros soit transférée en Autriche. Depuis 2019, Vienne est le nouveau site de l'université Soros – appelée Central European University (CEU) de Vienne – où les étudiants reçoivent un enseignement conforme à la pensée de Soros. Sur son site web, l'université mentionne un réseau mondial d'environ 400 universités et institutions partenaires. Parmi elles, on trouve par exemple l'université de Mannheim ou l'EPF de Zurich.

Les groupes de réflexion, appelés think tanks, sont des institutions stratégiques permettant d'influencer la politique et la population au niveau national ou mondial. L'un des think tanks les plus puissants est le Council on Foreign Relations.

George Soros n'est pas seulement membre de ce groupe de réflexion élitiste. Il est également l'un des fondateurs de la branche européenne, appelée European Council on Foreign Relations, et en est depuis le principal financier. Les membres de l'ECFR sont entre autres les Autrichiens Sebastian Kurz, Hannes Swoboda et la ministre fédérale autrichienne de l'UE et de la Constitution, Karoline Edtstadler. Les membres allemands sont Annalena Baerbock et Wolfgang Ischinger, le chef de la Conférence sur la sécurité de Munich.

En Autriche aussi il y a des think tanks qui sont au service de Soros. Le forum européen d’Alpbach est une plate-forme européenne pour la science, la politique, l’économie et la culture. Lors des conférences annuelles, les jeunes cadres (entre 30 et 40 ans) sont encouragés et mis en réseaux. Depuis 2021, les fondations Open Society sont le deuxième plus grand sponsor de cette plate-forme. Jusqu’en 2021, le président du forum Alpbach, Andreas Treichl, était même actif dans le conseil d’administration de l’organisation européenne des fondations Open Society. En plus de cela, on retrouve aussi M. Treichl dans l’European Council on Foreign Relations fondé par Soros. L’Institut des sciences humaines (IWM) est une autre création stratégique qui a son siège à Vienne. Son président est Heinz Fischer qui était le président fédéral de l’Autriche jusqu’en 2016. Dans le conseil de soutien et lors d’événements particuliers, c’est Georges Soros en personne qui apparaît.

(Ce) n’est qu’un début de réponse concernant Soros et son influence énorme – non seulement en Autriche – sur les personnages-clés et les décideurs. Son emprise et les intentions derrière elle ont pendant longtemps pu être cachées au grand public.

Beaucoup est encore et toujours dissimulé. Dès qu’un journaliste d’investigation découvre les arrière-plans et les équipes à l’œuvre, ou bien qu’un politicien nous met en garde par rapport à Soros et ses projets, l’accusation d’antisémitisme est immédiatement déclenchée. Il en va de même pour quiconque expose les machinations et les projets de ses alliés, comme Henry Kissinger par exemple, même s'ils ont eux-mêmes écrit des livres entiers sur leurs opinions et leurs intentions. 

Les reproches d’antisémitisme prennent aussi pour cible ceux qui mettent en lumière les véritables arrière-plans et actions de leurs outils comme le forum économique mondial, la fondation Bill et Melinda Gates, le Great Reset ou les réunions Bilderberg.

Conclusion :

L'influence exercée par George Soros et son Open Society Foundations en Autriche et dans le monde doit être considérée comme faisant partie d'un plan ciblé dont le but ultime, en effet, est la domination mondiale dictatoriale. Alors que les stratèges mondiaux du NOM peuvent être classés comme très dangereux, Soros non seulement obtient sa propre université et son admission à la Chancellerie fédérale en Autriche, mais il reçoit même des prix afin de dissimuler ses véritables intentions. Il a ainsi reçu le prix Schumpeter pour ses activités dans le domaine des sciences, de la main d’Ewald Nowotny qui était pendant de longues années gouverneur de la Banque nationale autrichienne.

Nowotny et Soros se connaissaient déjà depuis les réunions secrètes de la Commission trilatérale, un outil supplémentaire pour la réalisation du nouvel ordre mondial. La même année, George Soros a également reçu la médaille d'or d'honneur de l'État de Vienne des mains du gouverneur Michael Ludwig. La distinction lui a été remise lors du transfert de son université privée de Budapest à Vienne.

Il y a de nombreuses indications que toute la pandémie de Covid et la guerre actuelle entre la Russie et l'Ukraine sont aussi des crises délibérément provoquées par cette secte de domination mondiale. C’est pourquoi la communauté mondiale doit absolument savoir à qui elle a réellement affaire ici. Car ces stratèges globalistes se sont mis eux-mêmes aux leviers du pouvoir. Il est temps que la population prenne conscience de cela : avec qui les politiciens de premier rang s’impliquent, quelles forces travaillent dans le monde entier pour construire le Nouvel Ordre Mondial et à travers quels organes ils exercent leur influence.

L'abus de pouvoir caché et les réseaux secrets seront révélés au monde entier grâce aux recherches, aux lanceurs d'alerte, aux observations et aux émissions comme celle-ci, et cela dans tous les pays du monde. Les politiciens seront de plus en plus invités à mettre fin à une telle influence. Cela libèrera à son tour la population sans méfiance du filet de ces dictateurs du peuple.


Voir la vidéo (durée 16:40) :



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BONUS : "Le monde occidental s'enfonce dans un film d'horreur."


ON CHANGE TOUT LE NARRATIF
(Tweet de François Asselineau)

Le Service National de Santé vient de modifier sa fiche sur la "variole du singe", pourtant en ligne depuis plusieurs mois :

1 - La mention "ne se transmet pas facilement entre les personnes" a été remplacée... par son contraire !

2 - La "variole du singe" étant soudain présentée comme contagieuse, la fiche pose une contrainte nouvelle : il faut "EMPÊCHER DE CONTAMINER AUTRUI",

3 - d'où encore une nouveauté, qui ne figurait pas auparavant: "VOUS AUREZ BESOIN D'ÊTRE ISOLÉ(e) si vous êtes diagnostiqué positif" !

4 - Enfin, la version antérieure précisait que "la variole du singe s'améliore d'elle-même, sans traitement". Maintenant, ce n'est plus le cas !

La fiche parle d'un "TRAITEMENT». Sans plus de précision pour l'instant, mais je pense ne pas être seul à imaginer en quoi ça va consister...
(injection d'un prétendu vaccin.)

On pourrait prendre tout ça à la rigolade, tellement c'est pataud et cousu de fil blanc. Mais je suis de ceux qui ne trouvent pas ça drôle du tout.

Mois après mois, la réalité dépasse la fiction et j'ai le sentiment que tout le monde occidental s'enfonce dans un film d'horreur.


jeudi, mai 26, 2022

Les signes précurseurs de l’Apocalypse




La période qui précède le cataclysme qui doit détruire l'espèce actuelle des humains est marquée par des désordres qui sont les signes annonciateurs de sa fin. [...]

Selon la théorie des cycles qui règlent l'évolution du monde, nous approchons aujourd’hui de la fin du Kali Yugä, l'âge des conflits, des guerres, des génocides, des malversations, des systèmes philosophiques et sociaux aberrants, du développement maléfique du savoir qui tombe dans des mains irresponsables. Les races, les castes se mélangent. Tout tend à se niveler et le nivellement, dans tous les domaines, est le prélude de la mort. A la fin du Kali Yugä ce processus s'accélère. Le phénomène de l'accélération est l'un des signes de la catastrophe approchante. Les Purânä décrivent les signes qui caractérisent le crépuscule du Kali Yugä.

D'après le Lingä Purânä :

« Ce sont les plus bas instincts qui stimulent les hommes du Kali Yugä. Ils choisissent de préférence les idées fausses. Ils n'hésitent pas à persécuter les sages. L'envie les tourmente. La négligence, la maladie, la faim, la peur se répandent. Il y aura de graves sécheresses. Les différentes régions des pays s'opposent les unes aux autres.

Les livres sacrés ne sont plus respectés. Les hommes seront sans morale, irritables et sectaires. Dans l'âge de Kali se répandent de fausses doctrines et des écrits trompeurs.

Les gens ont peur car ils négligent les règles enseignées par les sages et n'accomplissent plus correctement les rites.

Beaucoup périront. Le nombre des princes et des agriculteurs décline graduellement. Les classes ouvrières veulent s'attribuer le pouvoir royal et partager le savoir, les repas et les lits des anciens princes. La plupart des nouveaux chefs est d'origine ouvrière. Ils pourchasseront les prêtres et les tenants du savoir.

On tuera les fœtus dans le ventre de leur mère et on assassinera les héros. Les Shudrâ prétendront se comporter comme des Brahmanes et les prêtres comme des ouvriers.

Des voleurs deviendront des rois, les rois seront des voleurs.

Nombreuses seront les femmes qui auront des rapports avec plusieurs hommes.

La stabilité et l'équilibre des quatre classes de la société et des quatre âges de la vie disparaîtront partout. La terre produira beaucoup dans certains lieux et trop peu dans d'autres. Les dirigeants confisqueront la propriété. Ils cesseront de protéger le peuple.

Des hommes vils qui auront acquis un certain savoir (sans avoir les vertus nécessaires à son usage) seront honorés comme des sages.

Des hommes qui ne possèdent pas les vertus des guerriers deviennent rois. Des savants seront au service d'hommes médiocres, vaniteux et haineux. Les prêtres s'aviliront en vendant les sacrements. Il y aura beaucoup de personnes déplacées, errant d'un pays à un autre. Le nombre des hommes diminuera, celui des femmes augmentera.

Les bêtes de proie seront plus violentes. Le nombre des vaches diminuera. Les hommes de bien renonceront à jouer un rôle actif.

De la nourriture déjà cuite sera mise en vente. Les livres sacrés seront vendus aux coins des rues. Les jeunes filles feront commerce de leur virginité. Le dieu des nuages sera incohérent dans la distribution des pluies. Les commerçants feront des opérations malhonnêtes. Ils seront entourés de faux philosophes prétentieux. Il y aura beaucoup de mendiants et de sans-travail. Tout le monde emploiera des mots durs et grossiers. On ne pourra se fier à personne. Les gens seront envieux. Nul ne voudra réciproquer un service rendu. La dégradation des vertus et la censure des puritains hypocrites et moralisateurs caractérisent la période de la fin du Kali. Il n'y aura plus de rois.

La richesse et les moissons diminueront. Des groupes de bandits s'organiseront dans les villes et les campagnes.

L'eau manquera et les fruits seront peu abondants. Ceux qui devraient assurer la protection des citoyens ne le feront pas. Nombreux seront les voleurs. Les viols seront fréquents. Beaucoup d'individus seront perfides, lubriques et risque-tout. Ils porteront les cheveux en désordre. Beaucoup d'enfants naîtront dont l'espérance de vie ne dépasse pas seize ans. Des aventuriers prendront l'apparence de moines avec la tête rasée et des vêtements orangés, des chapelets autour du cou. On volera des stocks de blé. Les voleurs voleront les voleurs. Les gens deviendront inactifs, léthargiques et sans but. Les maladies, les rats et les substances nocives les tourmenteront. Des gens affligés par la faim et la peur se réfugieront dans des « abris souterrains

Rares seront les gens qui vivront cent ans. Les textes sacrés seront adultérés. Les rites seront négligés. Les vagabonds seront nombreux dans tous les pays.

Des hérétiques s'opposeront au principe des quatre castes et des quatre âges de la vie. Des gens non qualifiés passeront pour des experts en matière de morale et de religion.

Les gens massacreront des femmes, des enfants, des vaches et se tueront les uns les autres. » (Lingä Purânä, chap.40)

D'après le Vishnu Purânä (Livre VI, chap.1) : « Les gens du Kali Yugä prétendront ignorer les différences des races et le caractère sacré du mariage (qui assure la continuité d'une race), la relation de maître à élève, l'importance des rites. Durant le Kali Yugä des gens de toutes origines épouseront des filles de n'importe quelle race. Les femmes deviendront indépendantes et rechercheront les beaux mâles. Elles s'orneront de coiffures extravagantes et quitteront un mari sans ressources pour un homme riche.

Elles seront minces, gourmandes, attachées au plaisir. Elles produiront trop d'enfants mais seront peu respectées. Ne s'intéressant qu'à elles-mêmes, elles seront égoïstes, leurs paroles seront perfides et trompeuses.

Des femmes de haute naissance se livreront aux désirs des hommes les plus vils et pratiqueront des actes obscènes.

Les hommes ne chercheront qu'à gagner de l'argent, les plus riches détiendront le pouvoir. Ceux qui posséderont beaucoup d'éléphants, de chevaux et de chars seront rois. Les gens sans ressources seront leurs esclaves.

Les chefs d'états ne protégeront plus le peuple mais, au moyen d'impôts, s'approprieront toutes les richesses.

Les agriculteurs abandonneront leurs travaux de labours et de moissons pour devenir des ouvriers non spécialisés et prendront les mœurs des hors-castes. Beaucoup seront vêtus de haillons, sans travail, dormant par terre, vivant comme des miséreux.

Par la faute des pouvoirs publics, beaucoup d'enfants mourront. Certains auront des cheveux blancs à douze ans.

En ces temps la voie tracée par les textes sacrés s'effacera. Les gens croiront en des théories illusoires. Il n'y aura plus de morale et la durée de la vie en sera raccourcie.

Les gens accepteront comme articles de foi des théories promulguées par n'importe qui. On vénérera de faux dieux dans de faux ashrams dans lesquels on décrétera arbitrairement jeûnes, pèlerinages, pénitences, don de ses biens, austérités au nom de prétendues religions. Des gens de basse extraction revêtiront un costume religieux et, par leur comportement trompeur, se feront respecter.

Les gens prendront leur nourriture sans s'être lavés. Ils ne vénéreront ni le feu domestique ni les hôtes. Ils ne pratiqueront pas les rites funèbres.

Les étudiants n'observeront pas les règles de leur état. Les hommes établis ne feront plus d'offrandes aux dieux ni de dons aux gens méritants.

Les ermites (vanaprasthä) mangeront de la nourriture de bourgeois et les moines (sannyâsî) auront des liaisons amoureuses (snéhä-sambandhä) avec leurs amis.

Les ouvriers (shudrä) réclameront l'égalité avec les savants. Les vaches ne seront sauvées que parce qu'elles donnent du lait. Les pauvres se feront une gloire de leur pauvreté et les femmes de la beauté de leur chevelure.

L'eau manquera et, dans beaucoup de régions, on regardera le ciel dans l'espoir d'une averse. Les pluies manqueront, les champs deviendront stériles, les fruits n'auront plus de saveur. Le riz manquera, on boira du lait de chèvre.

Des gens souffrant de la sécheresse se nourriront de bulbes et de racines.

Ils seront sans joies et sans plaisirs. Beaucoup se suicideront. Souffrant de famine et de misère, tristes et désespérés, beaucoup émigreront vers les pays où poussent le blé et le seigle.

Les hommes de peu d'intelligence, influencés par des théories aberrantes, vivront dans l'erreur. Ils demanderont à quoi bon ces dieux, ces prêtres, ces livres saints, ces ablutions ?

On ne respectera plus la lignée des ancêtres. Le jeune époux ira vivre chez ses beaux-parents. Il dira : que signifient un père ou une mère ? Tous selon leurs actes, leur karmä, sont nés et meurent. (La famille, le clan, la race n'ont donc aucun sens.)

Dans le Kali Yugä les hommes sont sans vertus, sans pureté, sans pudeur, et connaîtront de grands malheurs. » (Vishnu Purânä, VI.1.)

D'après le Lingä Purânä (chap. 40) : « Durant la période de crépuscule qui termine le Yugä, le justicier viendra et tuera les méchants. Il sera né de la dynastie de la lune. Son nom est Guerre (Samiti). Il errera sur toute la terre avec une vaste armée. Il détruira les Mlécchâ (les Barbares de l'Occident) par milliers. Il détruira les gens de basse caste qui se sont saisis du pouvoir royal et exterminera les faux philosophes, les criminels et les gens de sang mêlé. Il commencera sa campagne dans sa trente-deuxième année et continuera pendant vingt ans.

Il tuera des millions d'hommes, la terre sera rasée. Les gens s’entre-tueront furieusement. A la fin il restera çà et la des groupes de gens qui s'entre-tueront pour se voler mutuellement. Agités et confus ils abandonneront leurs femmes et leurs maisons. Ils seront sans éducation, sans lois, sans honte, sans amour. Ils abandonneront leurs champs pour émigrer hors des frontières de leur pays.

Ils vivront de vin, de viande, de racines et de fruits, seront vêtus d'écorce, de feuilles, de peaux de bêtes. Ils n'utiliseront plus de monnaie. Ils auront faim, seront malades et connaîtront le désespoir. C'est alors que quelques-uns commenceront à réfléchir. » (Lingä Purânä, chap. 40.)

Source :

Alain Daniélou

Après la destruction des cités de l'Indus par les Aryens, l'écriture disparut officiellement de l'Inde pendant plus d'un millénaire. Les textes scientifiques, philosophiques et religieux de l'ancienne civilisation furent préservés par des organisations monastiques secrètes. Reconstitués et traduits en sanskrit lors du réveil de l'ancien shivaïsme au début de l'ère chrétienne, ils suscitèrent une prodigieuse renaissance qui dura jusqu'aux invasions islamiques du XIIIe siècle.

Ces textes révèlent des connaissances sur la nature de l'univers, l'origine de la matière et de la vie, sur l'astrophysique, la biologie, l'évolution, les rapports de la pensée et du langage qui rejoignent, voire dépassent les conceptions les plus audacieuses des sciences modernes.

C'est auprès des représentants de l'ancien shivaïsme qu'Alain Daniélou a pu réunir les éléments de ce livre qui présente le plus étonnant document sur la genèse, l'histoire et le destin de l'humanité.


mercredi, mai 25, 2022

Le transfert de souveraineté à l’OMS


12 des 13 amendements du traité, qui donne les pleins pouvoirs à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la gestion des "pandémies", seraient contestés. (Source)

Bolsonaro et quelques autres chefs d'Etat ne trahissent pas leur peuple comme Macron qui livre la santé des Français à l’OMS, dont Bill Gates est l’un des principaux propriétaires. (Dès la Rome antique, le nom Macron est synonyme de trahison. L'histoire de Quintus Naevius Sutorius Macro, dit "Macron".)


Mgr Viganò à propos du transfert de souveraineté à l’OMS la gestion des urgences sanitaires :

"(...) le transfert de souveraineté configure un crime de haute trahison dans toutes les législations nationales, et que les Parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux de leurs citoyens, je crois qu’il n’échappe à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient à chaque État sert à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030, qui dans le secteur de la santé vise aussi substantiellement la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation des systèmes de santé et la prévention des maladies par les vaccins.

La psychopandémie a montré l’asservissement des dirigeants, des politiques, des médias, des magistrats, de toute la classe médicale et du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’un organe supranational en conflit d’intérêts évident. Les désastreux effets indésirables du sérum à l’ARNm expérimental ne sont reconnus que maintenant, alors que nombreux sont ceux qui attendent à juste titre que les responsables de ces décisions soient tenus responsables devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde que l’on veuille en ce moment donner à l’OMS des pouvoirs de décision contraignants, alors que dans la gestion de la récente urgence pandémique et de la campagne de vaccination de masse, il y a eu les plus grands effets néfastes en termes de dommages permanents aux patients et de décès. En plus de l’impunité des crimes commis dans le silence des grands médias, il y a un choix discrétionnaire total sur les urgences à venir, largement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des personnels de santé qui font appel au Serment d’Hippocrate risque de devenir la norme pour éliminer toutes les voix dissidentes.

À cet égard, il est significatif que les nations qui s’opposent au Nouvel Ordre Mondial – comme la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves qu’entraînera la ratification éventuelle des résolutions, et que pour cette raison, elles s’opposent à leur approbation. Même le président Trump, pendant son mandat, a voulu envoyer un signal sans équivoque en coupant les fonds du Trésor américain aux bureaucrates de l’OMS : c’est aussi pour cette raison que l’État profond a empêché sa réélection lors des dernières élections présidentielles, soutenant un personnage compromis et corrompu, dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de biolabs américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens, et notamment aux scientifiques, médecins et juristes qui dénoncent cette menace à la souveraineté nationale des pays adhérents, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences que les décisions de l’OMS ont causé à la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement, qui seront appelés à s’exprimer sur la ratification de ces résolutions, à les rejeter et à les repousser, car elles sont contraires au bien commun et visent à réaliser ce coup d’État mondial que l’ONU et le Forum Économique Mondial planifient depuis des années sous le nom d’Agenda 2030 ou Great Reset. La gouvernance mondiale de la santé, telle que soulignée par des experts hautement autorisés qui ne sont pas compromis avec le système, représente l’un des éléments fondamentaux du NWO (Nouvel Ordre Mondial) et, en tant que telle, doit être rejetée et combattue. La logique de contrôle, de profit et de pathologisation de masse doit être remplacée par la santé publique qui a pour finalité première la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège – qui est Observateur Permanent auprès des Nations Unies et depuis un an également auprès de l’OMS – a le devoir de réaffirmer le droit des individus à la liberté d’accepter ou de refuser un traitement médical, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, en partie encore inconnus, de cette thérapie génique expérimentale. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale ont soutenu les délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de prendre la défense des plus faibles, des enfants à naître sans défense, des enfants et des personnes âgées, ainsi que de ceux qui ont fait l’objet d’un chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs, pour les forcer à s’inoculer un sérum contaminé par des lignes cellulaires fœtales avortées. Le silence du Vatican, après des déclarations hâtives au début de la pandémie et des approbations honteuses à BigPharma, marquera la condamnation du Sanhédrin romain, complice d’un crime contre Dieu et contre l’homme. Jamais au cours de l’histoire la Hiérarchie ne s’était prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que quelques évêques trouvent le courage de prendre leurs distances avec la ligne collaborationniste de Bergoglio et sachent trouver les mots pour ouvrir les yeux des bons jusqu’ici trompés par la propagande mondialiste." 

Source : MEDIAS-PRESSE-INFO.

L’OMS prépare un véritable coup d’État !

(13:58)

mardi, mai 24, 2022

Carlos Castaneda, le Grand Reset et nos prédateurs au pouvoir absolu



« Ils ont découvert que nous ne sommes pas seuls. Venu des profondeurs du cosmos, un prédateur est là, qui toute notre vie nous maintient sous son emprise. Les êtres humains sont prisonniers et ce prédateur est notre seigneur et maître. Il a su nous rendre faibles et dociles. Il étouffe toute velléité de protestation ou d’indépendance et nous empêche d’agir librement… Ils nous tiennent sous leur emprise parce que nous sommes leur source de subsistance. Ils ont besoin de nous pour se nourrir, et c’est pour cela qu’ils nous pressurent implacablement. Exactement comme nous qui élevons des poulets pour les manger, ils nous élèvent dans des poulaillers humains pour ne jamais manquer de nourriture. » 


"Nous avons un prédateur qui est venu des profondeurs du cosmos et a pris le contrôle de nos vies."

Il fut un temps où seul notre argent (disaient-ils) intéressait nos banquiers. Cet heureux temps n’est plus, dirait Jean Racine. Ce qui les intéresse c’est notre âme, notre esprit, notre libre arbitre, notre déplacement, ou pour parler moderne notre ADN et tout ce qui s’ensuit. Comme dit un mien lecteur plus savant que moi sur ce sujet :

« Les chercheurs de vérité ont manqué le paramètre de long terme. Pourquoi réduire la population, la pucer pour la contrôler par le graphène nanométrique qui construit un système d’information connecté, imposer le crédit social, transférer la richesse de l’ouest vers l’est ? Il existe un SUPER PROJET qui nécessite de « leur » point de vue une gestion radicale du troupeau (Christophe). »

Christophe a son explication, que je vous mets en lien. Je reviens à Castaneda.

Avec Gates, Schwab, Fink, Soros, Leyen, Bourla, Draghi et consorts on commence en effet à avoir peur : on sort de la liste des suspects usuels et des élites hostiles et on entre dans la série des entités reptiliennes (pour faire court) ou démentiellement hostiles (c’est pourquoi je vous demande de penser au film "Prédateur" – de 1987) ; pourquoi ont-ils voulu liquider même les sportifs par exemple ? 

On est face, dit un grand auteur à des prédateurs, qui se livrent à des expériences sur nous : le vaccin, le reset, les guerres (cela on connaissait), la pénurie globale organisée, les changements démentiels de paradigmes (avortement après la naissance, changement obligatoire de sexe, haine de telle race ou religion, contrainte médiatique-satanique de type religieux, avec tout un rituel aberrant sorti des sectes ou des loges (pour rester poli).

Un autre lecteur (spécialiste du capitaine Nemo, de Sherlock Holmes et de Phileas Fogg) m’a fait redécouvrir Carlos Castaneda, que je prenais pour un banal gourou New Age (pour certains c’est même un agent de la CIA – mais qui ne l’est pas ? Plein d’imbéciles m’accusent…), mais qui écrit dans "Le Voyage définitif" ceci :

« Nous avons un prédateur qui est venu des profondeurs du cosmos et a pris le contrôle de notre vie. Les êtres humains sont ses prisonniers. Le prédateur est notre seigneur et maître. Cela nous a rendu docile, impuissant. Si nous voulons protester, il supprime notre protestation. Si nous voulons agir indépendamment, il exige que nous ne le fassions pas. »

Pratiquons la paranoïa positive, comme disait le réalisateur (un copte égyptien né en Australie) de The Crow et de Dark City. Nos élites hostiles nous contrôlent, nous manipulent, nous réduisent, nous remplacent, nous ridiculisent. Cela est une évidence pour tous les esprits contestataires du monde moderne, en lutte contre le Mordor (voyez mon Tolkien) ; et l’affaire du virus, du vaccin, du confinement et de cette vraie/fausse guerre (voyez Miles Mathis) ne fait que renforcer cette réorganisation algorithmique du monde.

Comme John Buchan dans "La Centrale d’énergie" (récit encore plus codé que "Les Trente-neuf marches" saccagées par Hitchcock), Castaneda (né à Cajamarca, cité du martyre d’Atahualpa) décrit une ombre :

« Il fait nuit noire autour de nous, mais si vous regardez du coin de l’œil, vous verrez toujours des ombres fugaces sauter tout autour de vous. »

Ces ombres comme nos banquiers et nos politiciens nous fliquent, nous piquent, nous ruinent, nous contrôlent et nous mutilent. Don Juan explique :

« Vous êtes arrivé, par votre seul effort, à ce que les chamans de l’ancien Mexique appelaient le sujet des sujets. J’ai tourné autour du pot tout ce temps, en vous insinuant que quelque chose nous retient prisonniers. En effet nous sommes retenus prisonniers ! C’était un fait énergique pour les sorciers de l’ancien Mexique. »

Pour Don Juan nous leur servons de nourriture – spirituelle pour l’instant ; et le grand initié ne nous compare pas à des moutons mais à des poulets :

« Il y a une explication qui est l’explication la plus simple du monde. Ils ont pris le pouvoir parce que nous sommes leur nourriture, et ils nous pressent sans pitié parce que nous sommes leur subsistance. Tout comme nous élevons des poulets dans des poulaillers, les prédateurs nous élèvent dans des poulaillers humains. Par conséquent, leur nourriture est toujours à leur disposition. »

Fulford nous a récemment expliqué que le T Rex est l’ancêtre du poulet et que ces khazars qui tiennent la planète avec leurs fond de pension et leurs objectifs écologiques nous traitent comme des poulets d’abattoir (pensez à "Chicken run", car le cinéma est codé pour nous dire toujours tout – le diable dit ce qu’il fait ou va faire POUR QU’ON NE LE CROIE PAS).

Castaneda :

« C’est-à-dire que je vais soumettre votre esprit à d’énormes assauts, et vous ne pouvez pas vous lever et partir parce que vous êtes pris. Non pas parce que je te retiens prisonnier, mais parce que quelque chose en toi t’empêchera de partir, tandis qu’une autre partie de toi va vraiment devenir folle. Alors accrochez-vous ! »

La base des prédateurs est de nous rendre idiots comme les poulets ou les moutons. L’abrutissement est la matrice de notre soumission. Il fut un temps (cf. mon livre sur la vieille race blanche - Mal à droite) où l’éducation rendait libre et critique, mettons de 1789 à 1984. Cet heureux temps n’est plus, comme dirait Jean Racine :

« Je veux faire appel à votre esprit d’analyse. Réfléchissez un instant, et dites-moi comment vous expliqueriez la contradiction entre l’intelligence de l’homme ingénieur et la stupidité de ses systèmes de croyances, ou la stupidité de ses comportements contradictoires. Les sorciers croient que les prédateurs nous ont donné nos systèmes de croyances, nos idées du bien et du mal, nos mœurs sociales. Ce sont eux qui ont créé nos espoirs, nos attentes et nos rêves de succès ou d’échec. »




Les grands auteurs et la théorie de la conspiration, Nicolas Bonnal

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BONUS

Carlos Castaneda se serait mis à table avant de mourir. Armando Torres, l'héritier spirituel de Castaneda, fait d’intéressantes révélations au sujet des prédateurs occultes dans son livre Rencontres avec le Nagual, Éditions Alphée.

Torres écrit :

"(...) Carlos affirmait que les êtres humains sont les otages d’un groupe d’entités cosmiques qui se dédient à la prédation et que les sorciers appellent "les Flyers".

Il déclara que ce sujet avait été tenu secret par les anciens voyants, mais que suite à un présage, il avait décidé qu’il était temps de le révéler. Ce présage était une photographie que son ami Tony, un chrétien bouddhiste, avait prise. Sur cette photo apparaissait nettement l’image d’un être obscur et menaçant, flottant au-dessus d’une multitude de fidèles réunis sur le site des pyramides de Teotihuacan…

Lorsque j’en eus l’opportunité, je lui demandai de m’en dire un plus à propos des "Flyers", et il me raconta l’un des aspects les plus terrifiants du monde de don Juan : nous sommes prisonniers d’êtres venus des confins de l’Univers, qui nous utilisent comme nous utilisons des poulets." Lire la suite :




lundi, mai 23, 2022

Rudolf Steiner a prédit le règne de Satan (Ahriman)



Tête d'Ahriman sculptée par Rudolf Steiner.
Vidéo en anglais : "The Advance Preparation of Ahriman for His Future Incarnation By Rudolf Steiner"


Rudolf Steiner a donné 6 000 conférences et écrit 30 livres. Il a lancé un système agricole sans produits chimiques appelé agriculture biodynamique et a créé un système éducatif qui éveille le cœur humain (intelligence émotionnelle) plutôt que de contourner son développement, ce qui est la norme dans l'enseignement officiel.

Steiner a souligné que Satan, qu'il appelait Ahriman à ne pas confondre avec Lucifer, est l'esprit qui étouffe tout ce qui vit et le remplace par le tout artificiel. Son but est d'empêcher l'évolution correcte de l'homme.

Ahriman a inspiré le matérialisme et la technologie, en particulier électrique (tous les médias utilisent l'électricité), qui sont des aspects du domaine minéral mort. Le minéral est constitué de matière inorganique, les minéraux sont sans vie. Le mal est l'inversion du "vivant", d'où la notion d'anti-vie ou d'anti-Christ.

Steiner a appelé Satan ou Ahriman l'archi trompeur, un être qui ment, utilise la distorsion du langage, les tours de l'esprit, les faux drapeaux et les faux de toutes sortes pour atteindre ses objectifs. C'est un intellect sous stéroïdes.

Notre époque n'est-elle pas remplie de mensonges promus par les médias (notamment grâce à électricité et les ondes électromagnétiques) comme des vérités, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Steiner a également déclaré qu'Ahriman inspirerait un vaccin qui rendrait très difficile de penser qu'il pourrait y avoir un royaume invisible intelligent au-delà des cinq sens.

De plus, Steiner a vu que Satan et ses assistants chuchotaient dans la tête des scientifiques depuis les années 1800. De nombreux scientifiques se sont inconsciemment préparés à la toute première incarnation de Satan dans un corps de chair.

En raison de son intellect éblouissant, mais sans cœur, Satan impressionnera, c'est-à-dire trompera la plupart des êtres humains en leur faisant croire que l'intellect humain peut résoudre tous les problèmes, sans l'aide du Ciel. Ahriman peut même se faire passer pour le Christ (...). Il atteint ses objectifs en faisant exploser toutes les unions (familiales, sociales, spirituelles...) en autant de fragments que possible (ordonner à partir du chaos, diviser pour mieux régner, penser politiquement correct...)

La nature et les êtres vivants sont inondés de produits chimiques nocifs créés par des intellects (très orgueilleux mais limités) dans des laboratoires. Le système immunitaire de l'être humain (donné par Dieu) est sournoisement remplacé par des concoctions pharmaceutiques coûteuses (...). Les maladies permettent de fidéliser la clientèle.

Après la guerre, l'activité chimique a été lancée par IG Farben en Allemagne et reprise par le magnat du pétrole Rockefeller. (...) Les pandémies sont d'importantes sources de revenus pour les fabricants de pilules, en particulier lorsque les gouvernements achètent les produits de l'industrie pharmaceutique en utilisant l'argent des impôts et ensuite les imposent à la population par la coercition policière (amendes, brutalité, emprisonnement).

Ahriman vise à abrutir la pensée humaine, à verrouiller la liberté et à induire la peur (émotion paralysante) afin de transformer tous les humains en robots dociles. Des aliments chimiques sans vie, des vaccins dès la naissance et une foule d'addictions aux écrans contrecarrent le développement de la capacité d'imaginer et de réfléchir aux expériences significatives de la vie.

Grâce à des scientifiques comme Darwin, Ahriman a convaincu la plupart des gens qu'ils ne sont que des animaux évolués, que l'existence n'a pas de sens intrinsèque, qu'ils ne sont qu'un corps, qu'il est impossible de fonctionner consciemment sans les 5 sens et qu'il n'y a pas de conscience après la disparition du corps physique. (...)

L'incarnation d'Ahriman sur terre était si réelle pour Steiner qu'il a consacré toute sa vie à décrire ce qu'il a vu et vécu dans la dimension non physique ou spirituelle dans le but de protéger l'humanité de la souffrance. Souffrance qui est maintenant répandue sur cette terre à cause des mensonges répétés par les gouvernements et les médias contrôlés par l'élite. (...)

L'essentiel est que l'humanité d'aujourd'hui établisse des relations réelles et concrètes avec le monde spirituel.

La connaissance intime et pénétrante du domaine spirituel est le seul moyen par lequel les objectifs des Esprits des Ténèbres peuvent être contrecarrés.

Certaines confréries occultes se font un devoir de travailler exactement dans le sens opposé. Elles veulent garder exclusivement la connaissance du domaine spirituel dans leurs propres cercles élitistes, afin de l'exploiter pour assouvir leur soif de pouvoir.

D'après un texte de PETE (extraits) :



BONUS

Le combat des êtres lucifériens et ahrimaniens et la nature humaine

Rudolf Steiner :

"Je vais avoir quelques communications à vous faire sur les puissances et les entités spirituelles qui vivent dans l'environnement suprasensible de l'homme et qui prennent part à son existence terrestre. Vous comprendrez que tout ce qui se passe entre ces entités spirituelles, dans le monde suprasensible, diffère beaucoup de ce que font les hommes terrestres, si bien qu'il est difficile de parler de l'être et de l'activité de ces Intelligences dans le langage humain. Celui-ci a été créé pour les conditions terrestres. Cependant, puisque ces choses doivent être dites actuellement, je les dirai sous la forme d'images. Vous comprendrez pourquoi beaucoup d'expressions que j'emploie ici paraissent avoir été tirées de l'expérience sensible, de la condition humaine, telle qu'elle est ici-bas. Ce que ces expressions veulent traduire est juste, mais elles ne sont que des images empruntées à la condition humaine d'ici-bas." 

PDF gratuit ICI


Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...