vendredi, septembre 30, 2022

Yuval Noah Harari affirme que les mondialistes ont créé une “arche de Noé technologique” (transhumaniste) pour échapper à l’extinction massive qu’ils sont en train de déclencher.



Le principal conseiller du grand manitou mondialiste Klaus Schwab affirme que les figures de proue de l’”élite” du monde entier ont mis au point une “arche de Noé technologique” qui, selon eux, les sauvera d’une extinction de masse mondiale imminente.

Yuval Noah Harari a récemment pris part à une discussion lors du Warwick Economics Summit en Grande-Bretagne. Il a révélé que les dirigeants mondialistes en charge de la planète à l’heure actuelle prévoient d’échapper – du moins le pensent-ils – à ce qui va bientôt s’abattre sur le monde.

Harari a expliqué que, pendant que des milliards de gens périssent à cause d’une série de catastrophes planétaires qui seront bientôt à leur porte, les globalistes vont engager leur faux concept d’arche de Noé, qui n’est que du transhumanisme sous un autre nom. (Voir aussi : Souvenez-vous quand le Pentagone a admis construire une nouvelle technologie transhumaniste pour l’armée afin de transformer les soldats en robots hybrides-machines).

“La technologie est évidemment la clé“, a déclaré Harari tout en désignant les événements à venir comme le “changement climatique” et en les qualifiant de “menace la plus pressante à laquelle l’humanité est confrontée.”

“Nous avons besoin de personnes pour travailler sur les aspects technologiques, mais nous avons besoin des politiciens pour l’orienter dans le bon sens, au bénéfice du plus grand nombre et de l’ensemble de l’écosystème.”

La plandémie de Covid était une “répétition générale” de l’extinction massive à venir, selon Bill Weir de CNN.

Au cours de la discussion, Bill Weir de CNN, qui a animé l’événement, a évoqué la plandémie de coronavirus de Wuhan (Covid-19), la décrivant comme une “répétition générale” de la “crise climatique” à venir.

Une brève remarque : les calamités que les mondialistes savent à venir – et que, dans certains cas, ils préparent délibérément – sont incluses sous la bannière du changement climatique.

En fait, le terme “changement climatique” est le terme générique que les mondialistes utilisent pour désigner ce qui se prépare.

Selon Weir, la seule façon de surmonter le changement climatique, dans ce contexte, est de “faire confiance à la science.” Harari a également parlé de ce sujet, réitérant que la technologie est la solution pour déjouer le changement climatique – mais elle ne sera mise à la disposition que de quelques privilégiés.

“L’humanité pourrait se diviser en une majorité – peut-être – de personnes qui souffriraient énormément, et une minorité qui aurait les ressources, la richesse, et la technologie pour se protéger, et même prospérer dans une sorte d’Arche de Noé technologique”, a déclaré Harari.

Avec ce genre de rhétorique, ils dévoilent leur programme au grand jour. L’image de ce qu’ils font devient plus claire de jour en jour, et c’est aussi dystopique que possible.

L’objectif est de devenir immortel par des moyens artificiels, ce qui, comme l’écrit l’auteur, n’arrivera jamais. Même s’ils essaient de déjouer leur propre mortalité, ces mondialistes vont se plaindre et grincer des dents lorsque le plan ne se réalisera pas comme ils l’ont prévu.

“Vos bunkers seront vos tombes”, a écrit un commentateur à propos de ce que l’avenir réserve aux mondialistes.

“Oh s’il vous plaît, ces ‘élites’ ne survivront jamais sans des gens pour les servir”, a écrit un autre sur la façon dont le plan est déjà mort à l’arrivée.

“Dans le livre de l’Apocalypse, Dieu nous dit que ceux qui vivent dans leurs cavernes lorsque le jugement viendra y seront mis au tombeau”, a ajouté un autre, réitérant les commentaires du commentateur précédent.

“La science, c’est Satan”, a écrit un autre, de façon claire, simple et directe.

D’autres ont cité d’autres versets de la Bible qui parlent de ce qui se passera à la fin des temps, lorsque les personnes au pouvoir chercheront, sans y parvenir, à éviter le jugement à venir.

Alors que les “élites” tentent en vain de se sauver du jugement divin en se transformant en robots non humains, nous vous tiendrons informés de leurs dernières tentatives insensées à l’adresse suivante Transhumanism.news.


Source Plein Feux (eschatologie chrétienne)


jeudi, septembre 29, 2022

LE BOURBIER vu par la Métaphysique Orientale


Par Nirodha


Cette notion de « Métaphysique » ne peut pas être comprise par l’intellect limité et prisonnier de l’irrationnel, du rationalisme, du scientisme, mais seulement et justement par Intuition métaphysique. Le drame de l’Occident, qui d’ailleurs a bien contaminé l’Orient, est que cette Intuition métaphysique a quasi disparue au profit de salmigondis pseudophilosophiques, pseudo-religieux, pseudo-scientifiques. La situation actuelle est que les « valeurs réelles » guidées par la véritable métaphysique d’une philosophie ancestrale que l’on ne retrouve plus en Occident, d’un religieux « éclairé » car au-delà des religions, d’une véritable science validée par des sages et scientifiques non corrompus, « sont bafouées » par des dominants aux comportements infra–humains qui tirent les humains vers le bas et les plus bas instincts. N’avez-vous pas remarqué que toutes ces « valeurs réelles » sont actuellement inversées, que le bien est enseigné comme le mal et inversement ?! Depuis le début 2020, en particulier, ne les voyez-vous pas à l’œuvre ces monstres qui ont vendu leur âme au diable, qui pensent pour vous, qui vous « injectent », qui vous interdisent de réfléchir par vous-mêmes ? La peur retient dans l’esprit de troupeau mais la compréhension par Intuition métaphysique la supprime. Depuis la nuit des temps, les menteurs dominants politiques et religieux, par leurs pouvoirs temporels illégitimes, entrainent et maintiennent les peuples dans l’ignorance et, curieusement, une majorité dominée semble se satisfaire d’y être maintenue. Le troupeau des moutons est un fait. Chercher à en sortir en est un autre. Mais les dominants et les dominés sont équivalents au sens où les uns comme les autres sont conduits vers la mort stupide qui les attend demain ou sans tarder. Seule l’Intuition métaphysique conduit vers la sortie de ce « bourbier ».

Rappelons que les enseignements religieux quels qu’ils soient ont été si déformés que ce qu’il en reste est bien pitoyable et nous y classons, comme exemple, sans d’ailleurs être irrespectueux puisque c’est un fait aux preuves manifestées, « certains enseignants bouddhistes » qui n’enseignent plus le Dharma du Bouddha. Ne croyez jamais que le monde religieux comprenne nécessairement ce qu’est « l’Intuition métaphysique » puisqu’il l’ignore comme l’inquisition l’ignorait, tout comme l’ignorent ces leaders religieux qui se fourvoient dans le bourbier des jouissances des sens … en vous pardonnant vos « péchés » ! Le sens du sacré n’est pas le sens du secret. Mais le sens du sacré est aussi ce jour inversé par ces mêmes monstres qui gouvernent.

Voyons ce qu’est le « bourbier » des phénomènes, des apparences.

Ce monde est pareil à un bourbier plein de fange et de détritus innommables. Ici et là, de minces courants de miel circulent dans l’ordure. Et toutes les existences sont plongées dans ce bourbier. Nous, les hommes, nous en avons jusqu’au niveau supérieur de la lèvre inférieure.

L’indifférent, tant à l’ordure qu’au miel, reste sans réaction, comme inconscient !

Un autre ressent bien de la répugnance pour l’ordure, mais il aime le miel au point d’en rechercher les plus minces courants. Il entre-ouvre alors la bouche avec délice et la referme l’instant d’après à la fange.

Son voisin, au contraire, aime l’ordure : le voilà qui plonge pour s’en régaler !

Mais en voici un qui prend brusquement conscience de l’incongruité de la situation. Il tente d’échapper au bourbier et d’entraîner tous les autres avec lui, dans un mouvement généreux… Hélas ! Il ne réussit qu’à agiter la fange en grosses vagues, et tous en ont plein la bouche !

A l’écart, cependant, un homme « un peu sage », doucement, sans faire de vagues, cherche à s’approcher du bord. Il voit sur la berge ceux qui ont échappé au bourbier lui tendre la main. S’il la prend et se hisse hors du marécage, il peut à son tour et seulement alors aider les autres à en sortir.


1 – L’ordure, la fange, c’est la souffrance, la douleur, l’angoisse, les guerres, les massacres, les tortures, les maladies, la mort des êtres chers, l’insatisfaction, les « horreurs » du monde … le miel, c’est l’amitié, l’amour, les arts, la beauté des choses …

2 – Ceux qui veulent sortir les autres du bourbier, sans en être sortis eux-mêmes, sont les réformateurs, les politiques, les chefs religieux, les leaders de partis … dont l’action à souvent pour effet d’augmenter le malheur de ceux qu’ils voulaient sauver.

3 – Les « un peu sages » sont les hommes qui, entrés dans une Voie et y progressant, s’approchent de la « rive » – « le sans-naissance, sans-devenir, sans-création, sans-conditions » – l’Absolu, l’au-delà des phénomènes, aidés par ceux qui l’ont déjà atteinte. S’ils « ar–rivent », ils pourront à leur tour aider les autres : « Délivré, délivre : passé sur l’autre rive, fais-y passer les autres ».

Et ne croyez surtout pas que se trouver dans un courant de miel soit plus favorable : combien d’existences, comblées par la fortune, sont malheureuses et finissent stupidement !

Dans l’œil du cyclone, parfaite tranquillité.


mercredi, septembre 28, 2022

Liberté et autarcie



Est-il possible de protéger sa famille contre "le meilleur des mondes" concocté par l'oligarchie politico-financière ?

OUI, une famille de quatre personnes peut vivre en autosuffisance avec 5 000 m² !

1. Le jardin potager (200 m²) :
Si nous consommons par jour et par personne 400 g de légumes, cela représente 600 kg par an pour une famille de quatre personnes. Un bon jardinier peut les produire sur moins de 200 m².

2. Les petits élevages (2 000 m²) :
La chèvre est l’animal idéal pour une famille : peu encombrante, mangeant peu, elle donne tous les jours 1,5 à 3 litres de lait, soit largement de quoi satisfaire les besoins de cinq ou six personnes. Il faut moins de 2 000 m² pour produire l’herbe et le foin nécessaire à sa nourriture.

Des poules fourniront les œufs : trois ou quatre poules suffisent pour une famille ayant un régime céréalien. Une partie du verger pourra servir d’enclos.

3. Les légumineuses (300 m²) :
La culture des légumineuses ne pose aucun problème particulier. Pour les 60 à 80 kg nécessaires pour une famille, il faut environ 300 m². Les légumineuses les plus couramment cultivées au jardin sont les haricots, les fèves (surtout pour la consommation des fèves fraîches) et les pois. Le pois chiche ne réussit bien que dans les régions méridionales. Le soja donne de bons résultats au sud de la Loire, à condition de ne pas choisir des variétés trop tardives, qui ne réussissent que dans les régions franchement méridionales. Au nord de la Loire, sa culture reste possible, sauf peut-être dans le Nord et l’Est, mais il faut choisir des variétés très hâtives, à faible rendement. La lentille peut être cultivée dans toute la France. Elle est peu cultivée dans les jardins potagers car le battage et le triage manuels sont longs et fastidieux.

4. Les céréales (1 200 m²) :
Il faut environ 1 200 m² pour produire 500 kg de céréales. Les céréales demandent peu de travail pour la culture elle-même, mais le battage et le vannage posent des problèmes lorsqu’on n’est pas équipé. On peut cependant conseiller à tous les jardiniers :

- de cultiver du maïs pour la consommation en épis (maïs sucré consommé légèrement avant maturité) ;

- d’essayer la culture du sarrasin : on peut le semer tard, jusqu’en fin juin, et même s’il ne donne pas grand chose, cela fera toujours un excellent engrais vert. Il n’y a pas de problème de battage car le sarrasin s’égrène facilement.

5. Le verger (400 m²)
Le verger exige un peu plus de place, de compétence et de patience que le potager. Un verger de 400 m² suffit amplement à satisfaire les besoins d’une famille, tout en faisant de l’arboriculture relativement extensive.

Il importe de choisir très soigneusement les espèces et les variétés cultivées, en recherchant les variétés rustiques, bien adaptées aux conditions locales et donnant des fruits savoureux, plutôt que les variétés à haut rendement. Un bon échelonnement des variétés permet d’avoir des fruits toute l’année.

6. La maison et le jardin d’agrément (900 m²)
Les plantes médicinales et les plantes ornementales complètent harmonieusement l'ensemble autarcique.

Claude Aubert, Une autre assiette, éditions Debard.

Est-il possible de travailler et vivre en marge de la société orwellienne qui se met en place ?

Le travail doit rendre libre et digne.

- Salariés :
"Dans la Grèce archaïque, connue à travers les textes d’Homère ou d’Hésiode, la hiérarchie des activités s’ordonne selon le plus ou moins grand degré de dépendance par rapport aux autres qu’elles impliquent : au bas de l’échelle, on trouve l’activité de l’esclave et du thète (le mercenaire qui loue ses bras à un propriétaire pour un temps déterminé et qui peut être utilisé pour toutes les tâches, à la différence de l’artisan qui maîtrise un savoir spécialisé). […]

- Artisans :
Viennent ensuite les démiurges, ou encore artisans. Certes, ceux-ci maîtrisent une « technique » mais ils sont également frappés de dégradation sociale, car ils travaillent pour le « demos », le peuple, et sont donc redevables à autrui de leurs moyens d’existence. Artisans et mendiants appartiennent à la même catégorie : celle où l’on ne vit que de la commande et de la rétribution d’autrui.

- Commerçants :
Les activités commerciales sont également condamnées : elles révèlent une avidité indigne de l’homme.

L'homme libre vit de sa terre 

Seules les activités agricoles échappent à la condamnation, car seules elles permettent d’échapper à la dépendance d’autrui. Ainsi les activités laborieuses ne sont-elles pas méprisées en elles-mêmes, mais surtout en raison de la servitude par rapport à autrui qu’elles entraînent. Hésiode ne méprise pas le travail, il le considère nécessaire depuis que les hommes ont perdu l’âge d’or, mais si le travail est obligatoire pour pourvoir aux besoins de la vie, il doit s’opérer dans des conditions qui permettront de sauvegarder l’indépendance, c’est-à-dire la liberté et la dignité."

Dominique Méda, Le travail, une valeur en voie de disparition.


L'habitation :
Une idée de maison d'une grande efficacité thermique et très économique dans le cas d’une auto-construction :
https://bouddhanar.blogspot.com/2012/06/construire-sa-maison-en-terre-paille.html





mardi, septembre 27, 2022

L'immortalité cybernétique



Le Dalaï-lama et Dmitry Itskov à Dharamsala en Inde.


Dmitry Itskov envisage de transférer la personnalité d'un humain  dans un hologramme doté d'une intelligence artificielle. L'immortalité cybernétique à travers la création d'un avatar a suscité l'intérêt du Dalaï-lama.

Dmitry Itskov est un magnat de la presse russe qui a appelé les milliardaires à se joindre à lui afin de parvenir à l'immortalité grâce à la transplantation du cerveau humain dans une parfaite copie numérique, un avatar.

- La première étape du projet de Dmitry Itskov est nommée "Avatar A". Elle envisage de créer une copie du corps humain, un corps robotique contrôlé via une interface cerveau-ordinateur.

- Dans la deuxième étape, "Avatar B", il est prévu de créer un avatar dans lequel le cerveau d'un être humain sera transplanté à la fin de vie de la personne. Cet objectif sera atteint en 2025.

- La troisième étape, "Avatar C", implique la création d'un avatar avec un cerveau artificiel. Une fois créé, la personnalité y sera transférée à la fin de vie. L'étape 3 démarrera en 2030 et se terminera en 2035.

- Durant la dernière étape, "Avatar D", une sorte de corps immatériel, un avatar-hologramme sera réalisé. Cette phase commencera en 2040 et se terminera en 2045.

La DARPA - la branche de recherche du Pentagone - a son propre projet de création d'avatars militarisés, servant de substituts aux soldats sur le champ de bataille.

En 2012, reçu à Dharamsala en Inde, Dmitry Itskov bénéficia du soutien enthousiaste de Tenzin Gyatso, le 14e Dalaï-lama. (photo ci-dessus)



Des spiritualistes considèrent que la cristallisation éternelle de l'ego est une monstrueuse anomalie. Selon eux, c'est en se libérant de l'emprise de l'ego et en s'éveillant à sa réelle identité que l'on parvient à la véritable immortalité.


lundi, septembre 26, 2022

Télécharger son esprit dans un avatar


Logo d'Avatar 2 et logo de la franc-maçonnerie.
"Des loges ont pris une initiative, celle de remplacer le monde naturel par un monde virtuel..."



Chaque film hollywoodien est une opération de guerre. Des millions sont dépensés pour faire entrer un message dans la tête des gens.

L'opération Avatar, film le plus cher de l'histoire du cinéma, a été pensée pour attirer les âmes dans le monde virtuel, alors que, normalement, elles devraient s'ouvrir à la dimension éthérique.

Vous avez aimé Avatar ? Vous aimeriez la dimension éthérique. Le monde virtuel développé actuellement imite le monde éthérique et ses lois. Le film est basé sur des aspirations réelles, des aspirations de l'âme correspondent à l'ère du Verseau : on aspire à être dans la dimension éthérique, on veut être dans la Nature, on veut retrouver ses frères et sœurs d'esprit... Mais ce film est tourné de façon à ce qu'on se dise : « Woah ! La technologie ! Elle peut nous libérer de la matière lourde, de la gravité. » On pense alors que le monde virtuel est positif, qu'on va y rencontrer des gens, y vivre des expériences merveilleuses. Non, le virtuel ne mène pas à l'éthérique, il nous enferme dans une prison électromagnétique. On s'identifie au héros qui peut vivre des choses fabuleuses grâce à un avatar artificiel, alors que dans la réalité - c'est la perversité du film - le héros en question est un handicapé qui décrépit dans un bunker technologique. Le film Avatar est-il en avance ou en retard sur la réalité ? La revue New Scientist nous met au goût du jour, en ce qui concerne les recherches scientifiques sur les Avatars.


Télécharger son esprit dans un avatar


Plusieurs entreprises vous proposent de vivre éternellement en créant votre propre double numérique. Leur objectif de départ : vous permettre de créer une représentation numérique de vous-même, un avatar, qui sera toujours là quand vous n'y serez plus. Un « jumeau » numérique qui pourra dispenser de précieux enseignements à vos arrière-petits-enfants et leur donner une bonne idée de ce à quoi ressemblait leur ancêtre. Le dessein final de tels travaux est de créer un avatar conscient, de l'intégrer à un robot humanoïde et d'atteindre ainsi l'immortalité.

« Si vous réussissez à archiver votre moi dans le cerveau de cet avatar, celui-ci pourra perdurer indéfiniment », explique Nick Mayer, de Lifenaut, société américaine qui étudie différentes techniques pour créer des avatars.

A terme, l'avatar de Lifenaut vous ressemblera, s'exprimera comme vous et pourra décrire des évènements clés de votre vie. Le jour de votre mariage, par exemple. Mais jusqu'où ces technologies permettront elles d'aller ? Jusqu'à quel point notre personnalité et nos connaissances peuvent-elles être téléchargées dans un ordinateur ? Peut-on espérer utiliser ces avatars pour ressusciter les morts ? [...]

Mais il faut savoir qu'aujourd'hui, le contrôle technologique ne s'arrête pas à la traçabilité de votre corps. Il veut archiver votre personnalité. Ainsi, chacun est convié, comme vous l'aurez remarqué, à livrer un maximum d'informations sur lui-même à la machine informatique. Inconsciemment, nous créons tous les jours notre propre avatar. Imaginez que vous êtes le jeune lambda, bien intégré dans le système technologique actuel. Via Facebook, on connaît vos amis, vos goûts musicaux. Via votre blog on connaît vos préoccupations, les films que vous regardez. Mais vous n'avez même pas besoin de tout ça. Avec votre téléphone mobile, connecté en permanence à Internet, vous surfez sans limites. On connaît vos centres d'intérêt, on suit le fil de votre pensée. Vous prenez les photos de votre vie, en filmez les moments forts en émotion. La machine « capture » vos souvenirs. Votre GPS intégré suit vos mouvements. On connaît alors vos déplacements, vos lieux de prédilection. Ces technologies allant bien sûr en s'améliorant, on pourra prochainement enregistrer les émotions. La vie devient un film que l'on peut enregistrer et visionner quand on le souhaite. Tout est enregistré, archivé. Mais attention, Ahriman n'oublie rien, jamais rien. Toutes ces informations une fois rassemblées, reflètent votre personnalité. On obtient un portrait robot multimédia de vous-même. Celui-ci peut être enregistre sur une clé USB. Vous ne le savez pas, mais ce portrait robot prendra toujours plus de vie et, dans le futur, deviendra votre avatar. Que vous le vouliez ou non. Chaque information vous concernant, livrée à la machine, nourrit votre personnage virtuel. Dans un siècle, peut-être moins, il pourra être téléchargé dans la machine qui vous tiendra lieu de corps.

Cet avatar vous servira de personnalité et un organisme artificiel de corps. Le tout sera relié à votre conscience désincarnée, prisonnière de la sphère électromagnétique (cf. La Huitième Sphère). Le pire étant que vous vous reconnaitrez dans cet entité virtuelle.

Lucien Tschabold

Note :

Deux voies bien distinctes : 

- La première consiste a faire un travail pour atteindre l'immortalité (spirituelle), et remonter sur la dimension éthérique. 

- La seconde revient à accepter le programme des Initiés noirs, nous menant dans l'enfer de la Huitième Sphère. Des loges ont pris une initiative, celle de remplacer le monde naturel par un monde virtuel, en rupture avec les lois universelles. C'est leur droit. Elles revivent une fois de plus le mythe de la chute, se retrouvant dans une sphère de vie encore plus emprisonnante que la dimension terrestre.



dimanche, septembre 25, 2022

Le pouvoir est maudit





Louise Michel naquit le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte (Haute-Marne).

"Fille naturelle d'un châtelain et d'une servante, dans la Haute-Marne, elle devient institutrice. À Paris, à partir de 1865, elle se lance dans l'action aussitôt que la Commune est déclarée. Amoureuse de Théophile Ferré, l'un des plus intransigeants Communards, elle secourt les blessés, fait feu sur les barricades, signe des articles dans Le Cri du peuple (sous le pseudonyme d'Enjolras). En réalité, elle ne joue aucun rôle important pendant la Commune. C'est son procès à Versailles, en décembre 1871, où elle est théâtralement vêtue en veuve (veuve de Ferré, fusillé), un voile de crêpe sur le visage, qui la fait entrer dans la légende. Victor Hugo lui consacre un poème : Viro Major.

Déportée en Nouvelle-Calédonie, elle s'affirme anarchiste. Elle avait sans doute été anarchiste d'instinct pendant la Commune, mais dans l'exil, elle va devenir anarchiste consciente.

«Il fallait regarder en face l'échec de la Commune, écrit-elle. Et c'est durant ce voyage que je suis devenue anarchiste. J'avais vu à l'œuvre mes amis de la Commune, si honnêtes qu'en craignant d'être terribles, ils ne furent énergiques que pour jeter leurs vies. J'en vins rapidement à être convaincue que les honnêtes gens au pouvoir sont aussi incapables que les malhonnêtes sont nuisibles. Il est donc impossible que la liberté s'allie jamais avec un pouvoir quelconque.

«Si un pouvoir quelconque pouvait faire quelque chose, c'eût été la Commune, composée d'hommes d'intelligence, de courage, d'une incroyable honnêteté [...]. Le pouvoir, incontestablement, les annihila [...]. C'est que le pouvoir est maudit, et c'est pour cela que je suis anarchiste.»

Anarchiste, donc, pas seulement par opposition au pouvoir «bourgeois», mais en opposition à tout pouvoir, de droite ou de gauche. En Nouvelle-Calédonie, elle entreprend l'alphabétisation des Canaques, revient en France en 1880, après l'amnistie générale, et anime d'innombrables meetings. La foule afflue à ses conférences. Elle publie des poèmes et des romans. Sa célébrité est immense. On la surnomme «Jeanne d'Arc des barricades», «Prêtresse de la révolution », «Grande druidesse de l'anarchie», «Sœur de charité de la révolution». À la tête de quinze mille manifestants en 1883, elle est bientôt inculpée, avec Émile Pouget, sous le prétexte d'un pillage de boulangerie auquel elle n'a évidemment pas participé, à six années de réclusion. Graciée en 1886 par Jules Grévy, elle est en 1888 blessée à la tête d'une balle de revolver et s'emploie à excuser et à protéger son agresseur.

De 1890 à 1904, elle vit en Angleterre où elle fréquente Kropotkine et Malato.

Verlaine lui dédie une Ballade en l'honneur de Louise Michel. En 1895, elle fonde le journal Le Libertaire, avec Sébastien Faure, et la Ligue des femmes, «pour l'égalité entre les sexes». Elle y fait l'éloge du célibat et du malthusianisme.

Lorsqu'elle n'est pas en prison, la police la surveille en permanence. Affiliée à la franc-maçonnerie, son énergie est intacte malgré l'âge, mais elle se tue peu à peu en tournées de conférences épuisantes.

Séverine écrit : «Pauvre fille ! Elle est disgraciée comme la misère, décharnée comme la faim, désexuée par la douleur. On comprend, à la regarder, le drapeau triste qu'elle s'est choisi, étant elle-même un drapeau vivant, avec son maigre corps, qui fait hampe dans les plis flottants de ses vêtements noirs.»

Celle que Léon Daudet appelait «une sœur de charité en carmagnole» meurt le 9 janvier 1905 dans une pauvre chambre d'hôtel à Marseille, où l'avait menée sa tournée de conférences.

À Paris, cent vingt mille personnes accompagnent son cortège funèbre. Dans la foule, on reconnaît Sébastien Faure, Émile Pouget, Malato, Séverine et quelques survivants de la Commune : Vaillant, Camelinat, Beatrix Excoffon."

Michel Ragon



samedi, septembre 24, 2022

Injections Covid, Patrick Sébastien victime d'effets secondaires





Patrick Sébastien révèle avoir eu un cancer du rein cette année. Il s'interroge sur le vaccin contre le Covid-19. "Je ne suis pas complotiste mais je regarde. Avant le vaccin, je n’avais rien. Et après, je me suis retrouvé avec un prédiabète, une prostatite. Je n’accuse pas mais je me pose la question. Autour de moi, c’est pareil, beaucoup de gens se sont retrouvés avec une pathologie."

Patrick Sébastien aborde le sujet du "vaccin" dans son livre "Vivre et renaître chaque jour".


Philippe Guillemant, ingénieur physicien et chercheur au CNRS, explique le véritable objectif des injections à ARN messager, baptisées "vaccins contre le Covid" : 

Le plus grand événement spirituel de tous les temps



"La destruction de ceux qui continuent à défier les Forces de Lumière (luciférienne) travaillant par la voie des Nations Unies (ONU)."


Alice Bailey transmettait l’enseignement d'un maître tibétain du nom de Djwhal Khul.

En 1945, ce maître, représentant d’une mystérieuse confrérie située au Tibet, se réjouit après le bombardement atomique du Japon. 

Dans "Extériorisation de la Hiérarchie", écrit par Alice Bailey, Djwhal Khul fait l’apologie du nucléaire considéré comme quasiment une énergie spirituelle :

"Aujourd’hui, dit Djwhal Khul, je souhaite vous entretenir du plus grand événement spirituel qui se soit produit depuis l’apparition du règne humain, le quatrième règne. Je veux parler de la libération de l’énergie atomique, telle qu’elle est relatée, cette semaine, dans les journaux du 6 août 1945, et ayant trait au bombardement du Japon. 

Il y a quelques années, je vous avais dit qu’une ERE NOUVELLE, serait introduite par les savants et que l’instauration du royaume de Dieu sur terre serait précédée par la réussite de recherches scientifiques. Ce premier pas a été accompli par la libération de l’énergie atomique, et ma prophétie a été justifiée en cette année très importante, l’An de Grâce 1945. 

L’attention de l’homme est généralement braquée sur les aspects externes de la vie. Néanmoins, toutes les découvertes, telles que celles qui impliquent la révélation de la radioactivité, ou celle qui fut annoncée cette semaine, et qui fait époque concernant les premiers pas de la domestication de l’énergie cosmique, sont toujours le résultat d’une pression interne, émanant de Forces ou Vies se trouvant dans les sphères supérieures. Ces pressions elles-mêmes fonctionnent selon les lois de l’Esprit et non seulement selon ce que l’on appelle les lois naturelles ; elles sont le résultat du travail d’impulsion de certaines grandes Vies, en rapport avec le troisième aspect de la divinité, l’aspect intelligence active, et s’attachant à l’aspect substance ou matière de la manifestation. 

La motivation de telles activités est issue de Shamballa. Il y eut un afflux clairement dirigé d’énergie extra-terrestre libérée par les Seigneurs de Libération qui avaient été invoqués avec succès : l’impact de cette énergie sur la substance atomique, base de recherche des savants, y apporta des modifications, ce qui leur permit de réussir. Un effort concerté fut entrepris par un certain nombre de disciples travaillant dans les ashrams de cinquième et septième rayons, ce qui leur permit d’impressionner le mental de disciples moins avancés, du domaine scientifique, et de les aider à surmonter les difficultés infranchissables qu’ils rencontraient. 

La libération de l’énergie de l’atome en est encore à un stade extrêmement embryonnaire : l’humanité ne sait guère l’étendue ou la nature des énergies qui ont été tirées de l’atome et libérées. Il y a beaucoup de types d’atomes constituant "la substance du monde" chacun peut libérer son propre type de force : c’est l’un des secrets que l’âge nouveau révélera. Toutefois un bon et solide début a été fait. 

Je voudrais attirer votre attention sur les mots "libération de l’énergie". C’est cette libération qui est la note-clé de l’ère nouvelle, de même qu’elle a toujours été la note-clé de l’aspirant orienté spirituellement. Cette libération a commencé par libérer un aspect de la matière ainsi que certaines forces de l’âme au sein de l’atome. Pour la matière cela a été une grande et puissante initiation analogue à celles qui libèrent l’âme des hommes. 

Dans ce processus d’initiation planétaire, l’humanité a fait descendre son travail de sauveur du monde dans le monde de la substance, et a affecté les unités primordiales de vie dont sont faites toutes les formes. Vous comprendrez maintenant le sens des mot employés par tant d’entre vous dans la seconde des Grandes Invocations : 

"Pour la force salvatrice, l’heure de servir est arrivée". Cette force salvatrice est l’énergie que la science a libérée, tout d’abord pour la destruction de ceux qui continuent (s’ils le font) à défier les Forces de Lumière travaillant par la voie des Nations Unies. Puis, à mesure que le temps passera, cette énergie libérée introduira la nouvelle civilisation, le monde nouveau et meilleur et des conditions plus délicates et plus spirituelles. Les rêves les plus élevés de ceux qui aiment leurs semblables peuvent devenir des possibilités pratiques, par le juste emploi de cette énergie libérée, si les vraies valeurs sont enseignées, mises en lumière et appliquées à la vie quotidienne. Cette "force salvatrice" vient d’être mise à la disposition de la science, et la prophétie que j’ai faite antérieurement est justifiée."


vendredi, septembre 23, 2022

24 Septembre 2022, le début de la grande tribulation ?

 
 
Les prédictions du lama Kunzang Pascal Treffainguy


Pascal Treffainguy s
e considère comme un auteur guénonien et un praticien traditionnel qualifié en matière d'ésotérisme. Il est aussi lama (བླ་མ་, enseignant du Dharma) dans la lignée Kagyu du bouddhisme tibétain et revendique plusieurs autres initiations : Reiki - franc-maçonnerie - judaïsme - islam. Et, il ne cache pas son appartenance à la communauté LGBT. 

Selon Pascal Treffainguy :

- Le 24 Septembre 2022, la dernière phase et demie du cycle de 147 ans de démocratie atteindra ses 30 ans et vivra ses 6 dernières années. S'ouvre une période qui s'appelle : la grande tribulation de 7 ans. Elle aura comme point de chute la mort de l'Antéchrist en septembre 2028, suivie d'une année de chaos total.

- Comment passer d'un ordre social traditionnel (naturel) à un ordre social artificiel en trois horribles étapes et demi ? 

C'est ce qu'a fait l'Occident de 1871 à 2028 : 147 ans de vertige et de vomissement... au gré d'une nouvelle Babel-Sodome, ivre de ses tours et malade de son système vagal. Cette construction d'une rare ignominie va à sa fin, provoquée par des transmissions radicales de notre environnement naturel. Notre système solaire entre dans une zone de la Voie lactée dont on ignore tout et qui pourrait influer sur nos conditions de vie, voire les bouleverser radicalement. La civilisation actuelle va à sa fin, le déterminisme historique étant implacable. [...]

- Après avoir anéanti toutes les civilisations et après avoir détruit et pillé les ressources, les financiers se rendent compte qu'ils ont mis la planète et les sociétés en sale état. Leur solution ? Vous exterminer et prendre le contrôle de tout : ressources, climat, génétique, pensées intimes, etc...

- Les "Juifs", impliqués dans la conjuration du secteur bancaire, ne sont pas des juifs mai sont des Khazars, une tribu de la descendance de Cham, convertis au talmudisme puis laïcisés, dont le projet est celui de Nemrod (fils de Cham) : conquête spatiale, tours et culte du nom / de la nation - race sur le modèle des Elohim (Anunaki). Cette volonté est contraire au sémitisme (voir l'exemple de Babel). 

- Les "francs-maçons", impliqués dans la conjuration du secteur bancaire, sont des illuminati (et donc non des maçons), une secte créée en Allemagne, qui a infiltré la franc-maçonnerie et repris ses symboles, s'est éteinte dans cette forme et a été reprise par la famille Rothschild et les 12 autres familles anglo-saxonnes et françaises de la finance pour prendre le contrôle de la démocratie américaine (la franc-maçonnerie était la colonne vertébrale de la République américaine) et du monde.


- La promotion sociale de l'inceste, de la pédophilie et de l'infanticide et de ceux qui s'y commettent sont une politique républicaine récurrente, qui a été crescendo de la Révolution de 1789 à mai 1968. Depuis une exposition publique dans le cadre de la révélation du système de "pédocratie à la française" est voulue par le renseignement pour permettre le passage de l'ordre républicain démocratique au nouvel ordre mondial tyrannique. [...]

- L'Antéchrist Harry (le prince Harry d'Angleterre) sera déclaré roi d'Israël et sera ensuite tué par l'Imam Jésus lors de son retour...

- Toute une génération de responsables politiques occidentaux ont été formés selon les méthodes néandertaliennes/édomites de l'Institut Tavistock de la banque R. et ses acolytes au service de la Couronne satanique de Grande-Bretagne. L'objectif est clair : 

- Générer des individus dissociés, 
- Ralentir le vieillissement des dirigeants, 
- Généraliser les états de confusion mentale,
- Détruire toute idée de spiritualité/Dieu.

Leur utilité est cruciale pour les passages charnières en vue de la venue de l'Antéchrist Harry Windsor. [...]

- Que prépare Macron ?

Le Président Emmanuel Macron (de la République de la City of London) a annoncé le 19 Août 2022 que la guerre était programmée contre la Russie et la Chine. Alors que pour la première fois depuis 1958, il n'y aura pas de rentrée parlementaire, le parlement étant maintenu en vacances jusqu'au 5 Octobre sans aucune raison logique.

Macron annonce encore une catastrophe nucléaire possible... que je vous décris comme planifiée sciemment depuis 2015 dans le cadre de l'interprétation à rebours du messianisme juif par les Edomites... et plus généralement de l'agenda de la fondation Rockefeller pour l'émergence d'une gouvernance mondiale, publié en 2010. Y étaient présentés quatre scénarios après une crise sanitaire :

- Lock down de l'économie,
- Identité numérique,
- Guerre avec la Russie suite au hacking d'une centrale nucléaire et
- Faim mondiale... suivis d'une révélation extraterrestre bidon - le tout planifié sciemment pour obtenir cette gouvernance mondiale.

(Gouvernance mondiale) organisée autour de la famille royale de Grande-Bretagne, elle est assistée par un conseil de 13 druides du satanisme et un cercle de 300 familles complices, toutes édomites ou khazares, remontant à l'Egypte antique des pharaons blancs et à Nemrod, fils de Cham, de Babel.

Délire ? On dirait bien qu'Edom joue son dernier va-tout... Alors on en profite pour redire encore ce que je démontre depuis des années. Esaü-Edom se prend pour Jacob-Israël et lit les prophéties à l'envers, servi par des psychopathes occidentaux issus de sa lignée maudite.

L'objectif ? Gouverner le monde depuis Israël au nom de Lucifer - Seth - Elil - Saturne, communiquant depuis les kliphots par le biais de l'IA et allant jusqu'à présenter Harry comme le Messie.

Les prophéties nous annoncent clairement ce cirque : Lucifer/Iblis, la bête électrique, numérique, médiatique et Harry, le fils de la perdition, que le Messie devra assassiner en public pour en finir avec la grande illusion des Edomites. Au passage, nous parlerons de la France, de son apostasie, de son châtiment et de sa rédemption avec le retour du roi et de la noblesse, qui nettoieront le pays des agents du satanisme et de la sorcellerie psychotronique.

Emmanuel Macron sera assassiné par un militaire français.

La police et l’armée recrutent des profils psychiatriques susceptibles de développer des capacités psi, utiles dans le cadre du harcèlement des opposants et en particulier lorsqu’ils sont croyants. Véritable armée au service des démons ou assuras, comme le content la Bhagavad Gîta ou le bouddhisme, elle s’oppose à celle des anges ou dévas.

jeudi, septembre 22, 2022

Il n'y avait alors ni prince ni vassal



Dans le Baopuzi, un vieux texte chinois, un taoïste évoquant un lointain passé dit :

« Il n'y avait alors ni prince ni vassal ; on creusait des puits pour boire et on labourait la terre pour se nourrir. On réglait sa vie sur le soleil [...] De gloire et d'infamie point. Nuls sentiers ni tranchées ne défiguraient les montagnes. Il n'existait ni barques ni ponts sur les cours d'eau. Les vallées ne communiquaient pas et personne ne songeait à s'emparer de territoires. » Le monde était un paradis où « le phénix se posait dans les cours des maisons et les dragons s'ébattaient en troupeaux dans les parcs et les étangs [...] On pouvait marcher sur la queue des tigres et saisir dans ses mains des boas. Les mouettes ne s'envolaient pas quand on traversait les étangs ; les lièvres et les renards n'étaient pas saisis de frayeur quand on pénétrait dans les forêts. Malheurs et troubles, guerres et épidémies étaient inconnus [...] On bâfrait et on s'esclaffait, on se tapait sur le ventre et on s'ébaudissait ! »

Le taoïsme origi
nel décrit un âge d'or où les hommes formaient une grande famille et constituaient ce que l'on appelle de nos jours une société communiste primitive. L'étude du communisme primitif passionna Rosa Luxemburg.

(2:02)
Bande annonce du film "Rosa Luxemburg"


Rosa Luxemburg

Par Michael Löwy


Comment expliquer l'intérêt de Rosa Luxemburg pour les communautés primitives ? 

D'une part, il est évident qu'elle voit dans l'existence de ces sociétés communistes anciennes un moyen d'ébranler et même de détruire « la vieille notion du caractère éternel de la propriété privée et de son existence depuis le commencement du monde . » C'est par incapacité de concevoir la propriété communale et par incompréhension pour tout ce qui ne ressemble pas à la civilisation capitaliste que les économistes bourgeois ont refusé avec obstination de reconnaître le fait historique des communautés. Il s'agit donc, pour Rosa Luxemburg, d'un enjeu du combat théorique et politique sur un aspect essentiel de la science économique. 

D'autre part, le communisme Primitif est à ses yeux un point de repère historique précieux pour critiquer le capitalisme, pour dévoiler son caractère irrationnel, réifié, anarchique, et pour mettre en évidence l'opposition radicale entre valeur d'usage et valeur d'échange. Comme le souligne à juste titre Ernest Mandel dans sa préface, « l'explication des différences fondamentales entre une économie fondée sur la production de valeurs d'usage, destinée à satisfaire les besoins des producteurs, et une économie fondée sur la production de marchandises, occupe la majeure partie de l'ouvrage. » Il s'agit donc pour elle de trouver et de « sauver », dans le passé primitif, tout ce qui peut, jusqu'à un certain point au moins, préfigurer le socialisme moderne.

L'attitude de Rosa Luxemburg n'est pas sans une certaine affinité avec les conceptions romantiques de l'histoire, qui refusent l'idéologie bourgeoise du progrès, et critiquent les aspects inhumains de la civilisation industrielle/capitaliste (d'où, par ailleurs, son intérêt pour l'œuvre d'un économiste romantique comme Sismondi). Tandis que le romantisme traditionaliste aspire à restaurer un passé idéalisé, le romantisme révolutionnaire dont Rosa Luxemburg est proche cherche dans certaines formes du passé précapitaliste des éléments et des aspects qui anticipent l'avenir post-capitaliste.


L'égalitarisme des anciens germains


Marx et Engels avaient déjà, dans leurs écrits et leur correspondance, attiré l'attention sur les travaux de l'historien (romantique) Georg Ludwig von Maurer sur l'ancienne commune (Mark) germanique. Comme eux, Rosa Luxemburg étudie avec passion les écrits de Maurer et s'émerveille du fonctionnement démocratique et égalitaire de la Marche (Mark) et de sa transparence sociale : « On ne peut imaginer rien de plus simple et de plus harmonieux que ce système économique des anciennes Marches germaniques. Tout le mécanisme de la vie sociale est comme à ciel ouvert. Un plan rigoureux, une organisation robuste enserrent ici l'activité de chacun et l'intègrent comme un élément du tout. Les besoins immédiats de la vie quotidienne et leur satisfaction égale pour tous, tel est le point de départ et l'aboutissement de cette organisation. Tous travaillent ensemble pour tous et décident ensemble de tout. » Ce qu'elle apprécie et met en évidence sont les traits de cette formation communautaire primitive qui l'opposent au capitalisme et la rendent, à certains égards, humainement supérieure à la civilisation industrielle bourgeoise : « Il y a donc deux mille ans et même davantage.., régnait chez les Germains un état de choses foncièrement différent de la situation actuelle, pas d'État avec des lois écrites et contraignantes, pas de division entre riches et pauvres, entre maîtres et travailleurs. »


Le communisme Inca

En s'appuyant sur les travaux de l'historien russe Maxime Kovalevsky (qui avait déjà vivement intéressé Marx), Rosa Luxemburg insiste sur l'universalité du communisme agraire comme forme générale de la société humaine à une certaine étape de son développement, qu'on trouve aussi bien chez les Indiens des Amériques, les Incas, les Aztèques, que chez les Kabyles, les tribus africaines et les Hindous. L'exemple péruvien lui semble particulièrement significatif, et là aussi, elle ne peut s'empêcher de suggérer une comparaison entre la Marca des Incas et la société « civilisée » : « L'art moderne de se nourrir exclusivement du travail d'autrui et de faire de l'oisiveté l'attribut du pouvoir était étranger à cette organisation sociale où la propriété commune et l'obligation générale de travailler constituaient des coutumes populaires profondément enracinées. » Elle manifeste aussi son admiration pour « l'incroyable résistance du peuple indien et des institutions communistes agraires dont, malgré ces conditions, des vestiges se sont conservés jusqu'au XIXe siècle. » Une vingtaine d'années plus tard, l'éminent penseur marxiste péruvien José Carlos Mariategui va avancer un point de vue qui présente des convergences frappantes avec les idées de Rosa Luxemburg (dont très probablement il ignorait les remarques sur le Pérou) : le socialisme moderne doit s'appuyer sur les traditions indigènes qui remontent au communisme Inca, pour gagner à son combat les masses paysannes.


La voracité aveugle du capital



Mais l'auteur le plus important dans ce domaine est pour Rosa Luxemburg — comme pour Engels dans L'Origine de la famille — l'anthropologue américain L. H. Morgan. En s'inspirant de son ouvrage classique (Ancient Society, 1877) elle va plus loin que Marx ou Engels et développe toute une vision grandiose de l'histoire, une conception novatrice et hardie de l'évolution millénaire de l'humanité, dans laquelle la civilisation actuelle « avec sa propriété privée, sa domination de classe, sa domination masculine, son État et son mariage contraignants » apparaît comme une simple parenthèse, une transition entre la société communiste primitive et la société communiste du futur. L'idée romantique/révolutionnaire du lien entre le passé et l'avenir apparaît ici de façon explicitée : « la noble tradition du lointain passé tendait ainsi la main aux aspirations révolutionnaires de l'avenir, le cercle de la connaissance se refermait harmonieusement et, dans cette perspective, le monde actuel de la domination de classe et de l'exploitation, qui prétendait être le nec plus ultra de la civilisation, le but suprême de l'histoire universelle, n'était plus qu'une minuscule étape passagère dans la grande marche en avant de l'humanité. »

Dans cette perspective, la colonisation européenne des peuples du Tiers monde lui apparaît essentiellement comme une entreprise socialement destructrice, barbare et inhumaine ; c'est le cas notamment de l'occupation anglaise des Indes, qui a saccagé et désagrégé les structures agraires communistes traditionnelles, avec des conséquences tragiques pour la paysannerie. Rosa Luxemburg partage avec Marx la conviction que l'impérialisme apporte aux pays colonisés le progrès économique, même s'il le fait « par les méthodes ignobles d'une société de classes. » Toutefois, tandis que Marx, sans cacher son indignation devant ces méthodes, insiste surtout sur le rôle économiquement progressiste des chemins de fer introduits par l'Angleterre en Inde, l'accent, chez Rosa Luxemburg, est mis plutôt sur les conséquences socialement néfastes de ce « progrès » capitaliste : « les anciens liens furent brisés, l'isolement paisible du communisme à l'écart du monde fut rompu et remplacé par les querelles, la discorde, l'inégalité et l'exploitation. Il en résulte, d'une part d'énormes latifundia, d'autre part des millions de fermiers sans moyens. La propriété privée fit son entrée aux Indes et avec elle le typhus, la faim, le scorbut, devenus des hôtes permanents des plaines du Gange. » Cette différence avec Marx correspond bien entendu à une étape historique distincte, qui permet un regard nouveau sur les pays coloniaux, mais elle est aussi l'expression de la sensibilité particulière de Rosa Luxemburg aux qualités sociales et humaines des communautés primitives.

Cette problématique est abordée non seulement dans l'Introduction à l'Economie politique mais aussi dans l'Accumulation du capital, où elle critique à nouveau le rôle historique du colonialisme anglais et s'indigne du mépris criminel que les conquérants européens ont manifesté envers l'ancien système d'irrigation : le capital, dans sa voracité aveugle, « est incapable de voir assez loin pour reconnaître la valeur des monuments économiques d'une civilisation plus ancienne » ; la politique coloniale produit le déclin de ce système traditionnel, et en conséquence, la famine commence, à partir de 1867, à faire des millions de victimes en Inde. Quant à la colonisation française en Algérie, elle se caractérise, à ses yeux, par une tentative systématique et délibérée de destruction et dislocation de la propriété communale, aboutissant à la ruine économique de la population indigène.

Mais au-delà de tel ou tel exemple, c'est l'ensemble du système colonial - espagnol, portugais, hollandais, anglais ou allemand, en Amérique Latine, en Afrique ou en Asie - qui est dénoncé par Rosa Luxemburg, qui se place résolument du point de vue des victimes du « progrès » capitaliste : « Pour les peuples primitifs dans les pays coloniaux où dominait le communisme primitif, le capitalisme constitue un malheur indicible plein des plus effroyables souffrances. » Ce souci de la condition sociale des populations colonisées est un des signes de l'étonnante modernité de ce texte - notamment si on le compare avec l'ouvrage équivalent de Kautsky (publié en 1886) dont les peuples non-européens sont pratiquement absents.

De cette analyse découle la solidarité de Rosa Luxemburg avec le combat des indigènes contre les métropoles impérialistes, combat dans lequel elle voit la résistance tenace et digne d'admiration des vieilles traditions communistes contre la recherche du profit et contre « l'européanisation » capitaliste. L'idée apparaît ici en filigrane d'une alliance entre le combat anticolonial de ces peuples et le combat anticapitaliste du prolétariat moderne comme convergence révolutionnaire entre le vieux et le nouveau communisme...

Selon Gilbert Badia, dont le remarquable ouvrage sur Rosa Luxemburg est un des rares à examiner critiquement cette problématique, dans l'Introduction à l'Économie Politique les structures anciennes des sociétés colonisées sont trop souvent présentées de façon figée, « et opposées radicalement, par un contraste en blanc et en noir, au capitalisme ». En d'autres termes : « A ces communautés parées de toutes les vertus et conçues comme quasi immobiles, Rosa Luxemburg oppose la fonction destructrice d'un capitalisme qui n'a absolument plus rien de progressif. Nous sommes loin de la bourgeoisie conquérante évoquée par Marx dans le Manifeste. » Ces objections ne nous semblent pas justifiées, pour les raisons suivantes : 

1) Rosa Luxemburg ne conçoit pas les communautés comme immobiles ou figées : au contraire elle montre leurs contradictions et transformations. Elle souligne que « par sa propre évolution interne, la société communiste primitive conduit à l'inégalité et au despotisme. »

 2) Elle ne nie pas le rôle économiquement progressif du capitalisme, mais dénonce les aspects « ignobles » et socialement régressifs de la colonisation capitaliste ; 

3) Si elle met en relief les aspects les plus positifs du communisme primitif, en contraste avec la civilisation bourgeoise, elle n'occulte nullement ses limitations et défauts : étroitesse locale, bas niveau de la productivité du travail et du développement de la civilisation, impuissance face à la nature, violence brutale, état de guerre permanent entre communautés, etc. 

4) En effet, l'approche de Rosa Luxemburg se situe très loin de l'hymne à la bourgeoisie de Marx en 1848 ; par contre, elle est très proche de l'esprit du chapitre XXXI du Capital (« Genèse du capitalisme industriel ») où Marx décrit les « barbaries » et « atrocités » de la colonisation européenne.

En réalité, au sujet de la commune rurale russe, Rosa Luxemburg a une vision beaucoup plus critique que Marx lui-même. En partant des analyses d'Engels, qui constatait, à la fin du XIXe siècle, le déclin de l'obchtchina et sa dégénérescence, elle montre, par cet exemple, les limites historiques de la communauté traditionnelle et la nécessité de son dépassement. Son regard se tourne résolument vers le futur, et elle se sépare ici du romantisme économique en général et des populistes russes en particulier, pour insister sur « la différence fondamentale entre l'économie socialiste mondiale de l'avenir et les groupes communistes primitifs de la préhistoire. 






mercredi, septembre 21, 2022

Les surréalistes, une secte de "fils de pute lunatiques et tarés"



"Régi par une série de rituels et d’interdits, d’abord autour de Breton, puis, de manière plus stricte encore dans le mouvement dissident de Bataille, le surréalisme avait tous les traits d’une société secrète..."
Jean Clair, "Le surréalisme entre spiritisme et totalitarisme".



"Frida", bande annonce (1:23)
Le film retrace la vie mouvementée de Frida Kahlo, artiste peintre mexicaine du XXe siècle.


En 1939, Frida Kahlo se rend à Paris à la grande exposition sur le Mexique organisée par le gouvernement Lázaro Cárdenas à la galerie Renou et Pierre Colle. Elle écrit :

(...) je n’ai vraiment pas eu de chance depuis que je suis ici. 

D’abord, l’exposition est un sacré bazar. Quand je suis arrivée, les tableaux étaient encore à la douane, parce que ce fils de pute de Breton n’avait pas pris la peine de les en sortir. Il n’a jamais reçu les photos que tu lui as envoyées il y a des lustres, ou du moins c’est ce qu’il prétend ; la galerie à lui. Bref, j’ai dû attendre des jours et des jours comme une idiote, jusqu’à ce que je fasse la connaissance de Marcel Duchamp (un peintre merveilleux), le seul qui ait les pieds sur terre parmi ce tas de fils de pute lunatiques et tarés que sont les surréalistes. Lui, il a tout de suite récupéré mes tableaux et essayé de trouver une galerie. Finalement, une galerie qui s’appelle « Pierre Colle » a accepté cette maudite exposition. Et voilà que maintenant Breton veut exposer, à côté de mes tableaux, quatorze portraits du XIXe siècle (mexicains), ainsi que trente-deux photos d’Alvarez Bravo et plein d’objets populaires qu’il a achetés sur les marchés du Mexique, un bric-à-brac de vieilleries, qu’est-ce que tu dis de ça ? 

La galerie est censée être prête pour le 15 mars. Sauf qu’il faut restaurer les quatorze huiles du XIXe et cette maudite restauration va prendre tout un mois. J’ai dû prêter à Breton 200 biffetons (dollars) pour la restauration, parce qu’il n’a pas un sou. (J’ai envoyé un télégramme à Diego pour lui décrire la situation et je lui ai annoncé que j’avais prêté cette somme à Breton. Ça l’a mis en rage, mais ce qui est fait est fait et je ne peux pas revenir en arrière.) J’ai encore de quoi rester ici jusqu’à début mars, donc je ne m’inquiète pas trop.

Bon il y a quelques jours, une fois que tout était plus ou moins réglé, comme je te l’ai expliqué, j’ai appris par Breton que l’associé de Pierre Colle, un vieux bâtard et fils de pute, avait vu mes tableaux et considéré qu’il ne pourrait en exposer que deux parce que les autres sont trop « choquants » pour le public !! J’aurais voulu tuer ce gars et le bouffer ensuite, mais je suis tellement malade et fatiguée de toute cette affaire que j’ai décidé de tout envoyer au diable et de me tirer de ce foutu Paris avant de perdre la boule. 

Tu n’as pas idée du genre de salauds que sont ces gens. Ils me donnent envie de vomir. Je ne peux plus supporter ces maudits « intellectuels » de mes deux. C’est vraiment au-dessus de mes forces. Je préférerais m’asseoir par terre pour vendre des tortillas au marché de Toluca plutôt que de devoir m’associer à ces putains d’« artistes » parisiens. Ils passent des heures à réchauffer leurs précieuses fesses aux tables des « cafés », parlent sans discontinuité de la « culture », de l’ « art », de la « révolution » et ainsi de suite, en se prenant pour les dieux du monde, en rêvant de choses plus absurdes les unes que les autres et en infectant l’atmosphère avec des théories et encore des théories qui ne deviennent jamais réalité.

Le lendemain matin, ils n’ont rien à manger à la maison vu que pas un seul d’entre eux ne travaille. Ils vivent comme des parasites, aux crochets d’un tas de vieilles peaux pleines aux as qui admirent le « génie » de ces « artistes ». De la merde, rien que de la merde, voilà ce qu’ils sont. Je ne vous ai jamais vu, ni Diego ni toi, gaspiller votre temps en commérages idiots et en discussions « intellectuelles » ; voilà pourquoi vous êtes des hommes, des vrais, et pas des « artistes » à la noix. Bordel ! Ça valait le coup de venir, rien que pour voir pourquoi l’Europe est en train de pourrir sur pied et pourquoi ces gens — ces bons à rien sont la cause de tous les Hitler et les Mussolini. Je te parie que je vais haïr cet endroit et ses habitants pendant le restant de mes jours. Il y a quelque chose de tellement faux et irréel chez eux que ça me rend dingue.


mardi, septembre 20, 2022

Covid (Divoc ou Dybbuk), entité maléfique des kabbalistes

Dybbuk, trailer (0:43)


Synopsis du film :

Mahi, une femme nouvellement mariée, apporte une antique boîte juive dans sa maison. Lorsque Mahi et son mari Sam constatent des phénomènes paranormaux, ils apprennent que la boîte contenait un esprit maléfique, un Dybbuk. Le couple sollicite alors l'aide d'un rabbin...


Réflexion symbolique sur le COVID


Par Marc Guichard


Bogdan Herzog, le mystique roumain de Timisoara, note que si vous écrivez — COVID — en lettres hébraïques et que vous le lisez de droite à gauche — DIVOC — comme se lisent les mots hébreux, vous obtiendrez דיבוק, — Dybbuk — le démon des cabalistes, l'esprit maléfique susceptible de pénétrer et de posséder une personne souffrant d'une intensification des émotions ».

Le Dybbuk est une figure populaire du folklore juif, qui fait l'objet de pièces de théâtre et de films.

Herzog poursuit son analyse : l'analogie avec la possession démoniaque n'est peut-être pas aussi simpliste, voire comporte une certaine profondeur.

Et si le Covid-19 relevait plus de la psychologie que de la biologie ?

Peut-être que par l'induction d'une peur extrême — une « intensification émotionnelle » — les gens se comportent « comme si » ils étaient possédés par le Dybbuk.

De fait, ils semblent bien agir comme s'ils étaient hypnotisés, obéissant sans réfléchir aux injonctions contradictoires des autorités et acceptant des limitations sans précédent des libertés individuelles.

Dybbuk, une figure du folklore juif Pour mieux comprendre ce qu'est un dybbuk, nous nous en remettrons à une autorité des plus solides avec Yoram Bilu, professeur de sociologie et d'anthropologie à l'université hébraïque de Jérusalem et lauréat du prestigieux prix Israël en 2013.

Selon Bilu :

Le terme dybbuk (dibbuq) était utilisé dans les cercles mystiques juifs pour désigner l'esprit d'une personne morte, un pécheur notoire de son vivant, qui prenait possession temporairement d'un être humain [...] la possession dybbuk était toujours conçue comme une affliction ou une maladie et l'agent possesseur comme un intrus étranger et dangereux qui devait être expulsé.
[...]

L'exorciste était toujours un rabbin vénéré qui confrontait l'esprit à diverses mesures d'ordre religieux utilisées dans un ordre fixe et graduel.

Citant les travaux du célèbre kabbaliste Gershom Sholem, Bilu souligne que « les dybbuks, les démons ou les âmes maléfiques possédaient une créature malheureuse ou mentalement malade ».

Les dybbuks semblent viser surtout les femmes et les enfants, et « l'intensification émotionnelle ou l'éveil » sont des conditions préalables à une telle possession démoniaque. Bilu conclut :

"La possession par les dybbuks laissait la victime complètement passive, temporairement dépourvu de conscience et de contrôle d'elle-même vis-à-vis de deux autorités extérieures : l'esprit possesseur qui a privé le possédé de son identité individuelle et le rabbin-exorciste qui a obligé l'esprit à partir."

http://www.seraphim-marc-elie.fr/2020/07/reflexion-symbolique-sur-le-covid.html


lundi, septembre 19, 2022

Little Demon



Lucy DeVito, Aubrey Plaza et Danny DeVito posent pour promouvoir "Little Demon".

Disney a sorti sa nouvelle série animée intitulée "Little Demon". Dans cette série destinée aux enfants, on trouve à foison des symboles sataniques, des pratiques de sorcellerie, des activités démoniaques, des scènes de violence, des allusions sexuelles...

"Little Demon" raconte l’histoire d’une femme, Laura (doublée par Place Aubrey) et de sa fille Chrissy (doublée par Lucy DeVito). Le père n'est autre que Satan (doublé par Danny DeVito) qui aspire à la garde et au contrôle de Chrissy, car sa fille, qui est l'Antéchrist, fait partie de son plan. Satan a besoin de Chrissy pour que ses légions infernales se répandent dans le monde et que son règne arrive.


Des religieux et des experts en eschatologie subodorent que dans "Little Demon" toute ressemblance avec des entités ou des situations actuelles ne saurait être fortuite.


dimanche, septembre 18, 2022

Le bouddhisme tibétain est-il fait pour les Français ?


Des programmes secrets étasuniens seraient derrière le néo-bouddhisme commercialisé en Occident.



Les "bouddhismes" temporels ont occulté le Dharma atemporel du Bouddha

Par Nirodha


L’Enseignement métaphysique et les méthodes libératrices de la Tradition primordiale en vue de l’extinction de la souffrance (dukkha) sont guidés par le Noble Sentier Octuple qui est la Quatrième Noble Vérité. Voilà bien plus important que les fioritures et les imageries de contes appartenant à des mondes culturels qui se sont éloignés au cours des siècles du « Dharma atemporel retrouvé et transmis par le Bouddha ». Que nos propos ne soient pas du goût de certains, nous en convenons. N’en déplaise à ceux-là, nous resterons fidèles à notre démarche d’investigation pour démasquer l’irrationnel et le rationalisme qui submergent encore et depuis des siècles l’Enseignement de celui qui deviendra le Bouddha et qui rendent quasi impossible l’accès à son Dharma au profit de contrefaçons temporelles falsificatrices qui occultent encore à ce jour les données essentielles libératrices par perte du sens métaphysique.

« La disparition de la Bonne Loi n’a pas lieu tant qu’une contrefaçon de la Bonne Loi n’apparaît pas dans le monde. C’est lorsque la contrefaçon de la Bonne Loi apparaît dans le monde que la Bonne Loi disparaît ». Extrait du Samyutta-Nikâya du Canon Pâli.

Avant de mourir les derniers propos du Bouddha seront : « Ne cherchez aucun refuge extérieur ni en personne en dehors de vous-même, cherchez à l’intérieur de vous-même et ne vous appuyez pas sur des béquilles. Ne chérissez aucune croyance. La Loi et la discipline que j’ai transmises seront votre instructeur après ma mort ». Extrait du Dîgha-Nikâya du Canon Pâli.

« Seuls ceux qui ont le courage de réfléchir par eux-mêmes peuvent avoir accès à la Connaissance. Mais la peur retient dans l’esprit de troupeau sans pouvoir quitter le troupeau. La totale Liberté ou Libération est au-delà de l’esprit de troupeau ».

Le Bouddha prendra une position fortement advaïtique et certains à juste titre le considèrent comme le véritable fondateur de l’advaïta.

Le mot « Bouddha » signifie « l’Eveillé ». La racine Sanskrite BUDH = éveil ; le mot BODHI = éveil. Bodhisattva = existence d’éveil (et non pas être). En Anglais BUD = bourgeon (avant l’éclosion de la fleur). En Russe, le mot BOUDilnik = réveil matin.

Le Dharma atemporel n’a jamais été un « -isme, un système »

Le suffixe « -ISME » signifie « système ». Mais le « Dharma atemporel » retrouvé par le Buddha, éveillé à 35 ans en 531 avant notre ère, Homme hors du commun né au Népal en 566 et mort en 486 à 80 ans à Kusinârâ au Népal, n’a JAMAIS été et ne peut pas être un « système » car il est atemporel. Ce Dharma est le support de l’ascèse par le Sentier aux 8 membres. Le mot bouddh-isme ne convient pas et a été inventé par incompréhension et par cette manie des « ismes ». Si on ne le comprend pas il sera difficile de comprendre le Dharma.

« Buddho » est un qualificatif qui se rapporte au fait d’être « Parfaitement et Pleinement Eveillé », ce qui caractérise le Bouddha. Tout système est temporel, imparfait, voué au changement par la loi de l’impermanence. Par convention, effectivement, on parle de Bouddhisme mais c’est une erreur à signaler pour ne pas se fourvoyer ou se faire manipuler par des faux gurus exploiteurs.

Rappelons que ce Dharma est arrivé au Tibet 1300 ans après la mort du Buddha et que cette lignée particulière des Dalaï-lamas commencera fin 16ième siècle de notre ère, soit plus de 2000 ans après la mort du Buddha. Cette étrange lignée (?) sera une théocratie assez tyrannique qui cumulera à la fois pouvoir temporel et pouvoir spirituel, ce qui est aberrant en regard de la Tradition primordiale du temps du Buddha dont l’éthique n’autorise pas cette déviance mais n’enseigne que l’ascèse par l’étude synthétique et la méditation appliquée. Les affaires du monde n’ont pas leur place dans cette ascèse puisque le « monos » est intérieurement et au minimum un retiré du monde.

Le Bouddhisme n’existe donc que pour les ignorants du Dharma qui ne peuvent dépasser le sens littéral et primaire de même que le niveau secondaire polarisant du sens symbolique qui lui-même ne dépasse généralement pas le niveau d’une religiosité stérile, pour ceux qui, par conséquent, ne peuvent accéder ni au sens métaphysique du Dharma ni à sa psychologie très profonde (abhidharma : dharma développé, suprême) éclairée par Prajñâ, l’Intuition métaphysique ou Connaissance transcendante. Sans l’éveil de cette Intuition Suprême, au-delà de l’intellect, il est impossible de comprendre ce Dharma extra-religieux sans aucun dogme et sans aucune croyance. L’instructeur authentique n’est qu’un transmetteur, le véritable guru est le Dharma atemporel.

A l’origine ce Dharma est vigoureux, « Porte-greffe », mais les « greffons » (les bouddhismes) sont de plus en plus éloignés du Porte-greffe par dégradation métaphysique, par occultations des résultats subtils, par difficultés d’atteindre des états de Connaissance transcendante, d’Intuition métaphysique élevés.

Tradition a pour racine indo-européenne DÔ, transmettre la possession de … Cette racine a donné en latin : « traditio : action de transmettre ; tradere : transmettre, livrer ». Le mot tradition a deux sens :

- L’UN caractérise les transmissions des éléments des Voies authentiques.

- L’autre est profane et caractérise la transmission d’éléments SANS articulation métaphysique. C’est à l’honneur de René Guénon d’avoir rétabli le premier sens, effacé par le modernisme, le sens profane ayant prévalu dans l’oubli du troisième composant de l’homme : l’articulation métaphysique, Prajñâ, dans le Dharma atemporel retrouvé par Shâkyamuni.

Quand on parle « d’écoles bouddhiques », il s’agit bien de « greffons » apparus au cours des temps, poussés sur le tronc du Dharma, le Porte-greffe. Ces greffons ont eu pour raison les différentes conformations du citta, le cœur psychologique (qui n’est pas la psyché qui n’est que le « nâma-rûpa » de la tradition hindou ou « l’anima » de la tradition latine), les uns forts et capables de s’en tenir à la Tradition Primordiale, les autres ayant besoin des soutiens du phénoménal subtil, des rites, des cérémonies, des apparats religieux, des mythes, parfois du rappel d’imprégnations religieuses monothéistes passées. Le Dharma en toute tolérance, accepte d’intégrer, mais « scolastiquement », les « traditions » des pays où il s’implante, pourvu que les éléments de ces traditions locales soient en accord (ou à peu près) avec la Tradition primordiale.

Ces écoles se critiquent, chaque école proclamant sa supériorité. Les Theravâdins estiment que leur « école » est la plus proche de l’Enseignement du Bouddha, position niée par le Mahâyâna ; à l’intérieur de celui-ci, les écoles s’affrontent et ont des positions curieusement opposées : dévotion extrême ou intransigeance extrême par action et réaction. Réaction du Ch’an chinois contre l’excessive recherche littéraire ; réaction du Mahâyâna contre le Hînayâna, école de l’Arhat « égoïste !!! » (Comment un éveillé qui n’a plus d’ego pourrait-il être égoïste ?) où le laïc est en mauvaise position ; aussi le Mahâyâna et d’autres écoles « compensent-ils » le laïc par l’idéal du Bodhisattva ou les techniques du Vajrâyâna.

Par la Tradition primordiale nous n’avons pas besoin de poteaux indicateurs ni d’un « culte » rendu à ces poteaux indicateurs le long de la Voie.

Fables, légendes, rites, cérémonies, seraient nécessaires pour compenser le courant subconscient, le courant du devenir aveuglé, l’irrationnel qui existe en tout homme ?! … Quant à nous, nous n’en voulons pas !

Un autre aspect se décèle aussi dans cette nécessité d’une école, particulièrement en ce qui concerne les écoles Tibétaines. Il est indéniable que par leur mystère, leur apparat religieux, leurs techniques, elles ont exercé, de nos temps, une influence importante sur le monde occidental, car elles sont propres à calmer à la fois la soif d’absolu et l’angoisse, la peur archaïque. Ces voies orientales quand elles sont exprimées par des occidentaux dévots font penser à une nostalgie due à l’imprégnation judéo-christo-catholique pendant des siècles : les « wangs » sont appelés des « initiations » ; on parle « d’influences spirituelles » – alors que cette notion est étrangère au Dharma du Bouddha – En celui-ci rien qui rappelle un « spir » ; on parle de bénédictions, on donne à certains moines le titre de sa « Sainteté », typiquement catholique ; mitres, chasubles, trônes, instruments du culte, musique, chants psalmodiés dans des langues « sacrées (?) » … Cet enchantement des dévots est visible. Certains ont besoin de dévotion et, déçus par leur religion d’origine, trouvent là leurs délices. Sont-ce des délices compensateurs aux frustrations temporelles… ?

Nous partageons la conviction d’un Lama Rimpoche tibétain très intelligent et lucide qui enseignera à l’école des Langues Orientales, vivant en France depuis longtemps, solitaire, étudiant et méditant, parlant un Français irréprochable. Lorsque nous lui avons demandé s’il connaissait ses vies antérieures, il éclata de rire !!… Lorsque nous lui avons demandé : « Pourquoi n’enseignez-vous pas le bouddhisme Tibétain ? », il nous a répondu avec humour : « le bouddhisme tibétain est fait pour les Tibétains du pays des devas et des « démons, terre de magie » ; il n’est pas fait pour les Français, mais hélas il y a des Français qui sont devenus Tibétains ! »

En 2022 et au vu de faits antérieurement déjà vérifiés, faits inqualifiables et impardonnables par de graves manquements à l’éthique qui concernent des moines bouddhistes très hauts placés, faits irréfutables récemment dévoilés et prouvés, comme d’autres du même genre et depuis bien longtemps, nous sommes en droit de nous poser des questions comme celle-ci : « Finalement, le bouddhisme tibétain est-il vraiment fait pour les Tibétains ?! » …

Les « bouddhismes » sont donc des systèmes qui occultent plus ou moins le Dharma. Que ce soit le Ch’an ou le Zen, que ce soit le bouddhisme Tibétain, on y retrouve beaucoup d’histoires, de faits délirants. Et comme en tout système, on peut constater : entropie– néguentropie–homéostasie–rétroaction.

L’étudiant prudent fera donc bien de « pouvoir ne pas croire » et de dégager des écritures au cours de son parcours un Dharma cohérent sans aucun mélange superflu et inadapté. Mais nous ne nous faisons aucune illusion !

Conclusion 


Un véritable « guru » (Guide) ne vous humiliera jamais. Jamais il ne vous demandera de l’argent. Jamais il ne vous demandera quelques faveurs douteuses et profanes … du genre « les jeux vulgaires du village » comme dira le Buddha, ou pire lorsqu’il s’agit d’enfants abusés et maltraités ou de jeunes femmes hypnotisées par des manipulations mentales démoniaques. Jamais il n’abusera ni ne profitera de vous, de votre crédulité, de votre candeur, de votre naïveté … voire hélas et parfois de votre propre stupidité ! … etc…


Aussi, s’il advenait le contraire : Alors, FUYEZ-LE et n’y revenez plus jamais ! « Les faux billets attestent des vrais ». Les faux gurus sont très nombreux et bien plus nombreux que les vrais et rares instructeurs… car en effet ces derniers sont effectivement rares… et peut-être les vrais disciples le sont-ils encore plus ?!

La véritable traduction du premier précepte de l’éthique bouddhique à respecter par tous les disciples quel que soit leur statut, moine ou laïc, est la suivante :

« Je m’efforcerai d’observer le précepte de m’abstenir de léser, de nuire, de prendre la vie, le prâna, l’énergie vitale de toute existence, de profiter, de vampiriser, de tourmenter autrui, d’avoir un comportement de prédateur ».

Et pour le moine, le 3ème précepte est de : « Se comporter comme Brahmâ à l’égard des désirs sensuels des six sens, c’est-à-dire « sans désirs sensuels » !


Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...