samedi, septembre 03, 2022

Françoise DOLTO défendait la pédophilie "consentante"






Par Prajñâ


Commençons par cette pétition signée par Françoise Dolto et publiée par le journal Le Monde le 23 mai 1977 : Cette pétition visait à faire modifier certains textes de loi pour aller dans le sens d’une reconnaissance du droit de l’enfant et de l’adolescent à entretenir des relations avec des personnes de son choix. Vous l’avez compris, il s’agissait de relations sexuelles.

Il faut savoir que F. Dolto signera cette pétition à côté de Gabriel Matzneff, écrivain, pédophile notoire, poursuivi par la justice française en 2021, de même qu’avec d’autres intellectuels français pro-pédophiles de l’époque.

D’après Catherine Dolto (médecin pédiatre), fille de F. Dolto, il est impossible que sa mère ait signé à côté de ces gens-là.

F. Dolto, par la suite, n’émettra jamais le moindre regret public et apparemment non plus privé puisque sa fille n’en a (aurait ?) pas entendu parler, non plus de regret d’avoir signé à côté de ces personnes.

La volonté de dépénaliser la pédophilie « consentante » est confirmée dans son livre : « La cause des adolescents : regarder leur liberté et leur différence » chez Pocket.

Mais que pourrait bien signifier le mot « consentant » chez un enfant sans aucune défense ?!

Page 267 : « Ce qu’il faudrait c’est que la loi ne s’occupe plus de l’âge, ne s’occupe seulement que de l’inceste, des relations entre parents proches, frères, sœurs, parents, oncles, tantes, mais qu’il n’y ait absolument rien entre adultes et enfants comme interdiction ». …

F. DOLTO défendait la thèse que si un enfant avait été prévenu dans son éducation, il pouvait se soustraire à une relation pédophile et il devenait responsable à partir du moment où cela arrivait. F. Dolto défend cette thèse en long, en large et en travers dans ce second livre :

« L’Enfant, le Juge et le Psychanalyste », 
Françoise DOLTO et Andrée RUFFO (juriste) :  chez Gallimard.

P. 34 : « Mais le rôle du juge, c’est qu’à partir de là l’enfant se prenne davantage en charge ; c’est surtout, je crois, la prévention, c’est-à-dire la mise au courant des lois de l’enfant, très jeune. Si les enfants savaient que la loi interdit les privautés sensuelles et sexuelles entre adultes et enfants, eh bien, à partir du moment où un adulte le lui demande, s’il accepte, c’est qu’il est complice, il n’a pas à se plaindre. Mais il peut avoir, sans se plaindre, à dire « mais ça m’a fait très mal – Oui. Pourquoi t’es-tu laissé faire puisque tu savais que ce n’était pas permis … ? » A partir du moment où l’enfant est au courant, très jeune, de la loi, il est complice et on peut l’aider beaucoup mieux … »

P. 53 : « Ils sont responsables de laisser les parents commettre un acte qui les avilit dans leur relation à leurs parents … ».

P. 33 :
Q : La juge Andrée Ruffo pose la question à F. Dolto : Non, ce que je veux dire, c’est qu’il arrive souvent avec des enfants de 12, 13 ans, qu’on nous dise : « cet enfant a des troubles du comportement parce qu’il a vécu un inceste, parce qu’il a été rejeté, parce qu’il a été méprisé. Mais moi je refuse de lui accorder la protection pour ses troubles.

F. D. : Mais vous avez tout-à-fait raison parce que l’important c’est : puisqu’il a survécu, qu’est-ce qu’il y a eu de suffisant pour y prendre son pied ? Si un être est vraiment traumatisé, il tombe malade ; si un être n’a pas de quoi vivre, il ne continue pas.

P. 80 :
Cela dépend de chaque enfant, et je crois que ça dépendra de la relation en maturation qu’il va rencontrer avec la famille dans laquelle il sera placé, ou avec l’éducateur avec qui il pourra parler et qui pourra justement lui faire comprendre que l’excitation dans laquelle était son père, peut-être sans l’avoir cherché, l’enfant en était complice. Parce que je crois que ces enfants sont plus ou moins complices de ce qui se passe. L’enfant est dans une ambiguïté : il faut obéir au père, et puis son père, après tout …

P. 83 :
Q : A.R. : Oui, par exemple, un enfant dit « Papa a fait ceci ou cela avec moi… ». R : F.D. : Oui, justement, et les enfants ne pourraient plus le faire s’ils avaient été informés avant. « Eh, là, pourquoi as-tu laissé faire puisque tu savais que tu ne devais pas, pourquoi as-tu laissé faire ? Ton rôle d’enfant c’était de l’empêcher.

P. 84 :
« … les enfants ont des désirs pour des adultes. Ils piègent les adultes à cause de ça. Ils n’ont que ça à penser, à provoquer l’adulte. Je suis sûr que dans les familles d’accueil ils doivent refaire le même grabuge qu’ils faisaient à la maison » …

P. 88 :
Q : A.R. : Et qu’est-ce que vous faites en tant que juge pour enfants ?
R : F.D. : On prévient l’enfant : « ça ne recommencera pas sans ça tu seras complice ».
Q : A.R. : Et le Père, qu’est-ce qu’on fait ?
R : F.D. : Eh, bien, le Père on lui dit la même chose …

Maintenant nous allons toucher le fond avec l’entretien suivant : de F. Dolto dans ce dossier : « Les enfants en morceaux » publié en 1979, N°44 de la revue « choisir la cause des femmes ».

F.D. : L’enfant martyr souffre moins que ses parents maltraitants … Une fille violée par son père est toujours consentante … C’est toujours la Mère qui fournit sa fille dans le lit de son Père …

Q : Donc, la petite fille est toujours consentante ?
R : Tout-à-fait.
Q : Mais enfin, il y a bien des cas de viol ?
R : Il n’y a pas viol du tout. Elles sont consentantes.
Q : Quand une fille vient vous voir et qu’elle vous raconte que dans son enfance, son père a coïté avec elle, et qu’elle a ressenti cela comme un viol, que lui répondez-vous ?
R : Elle ne l’a pas ressenti comme un viol. Elle a simplement compris que son Père l’aimait et qu’il se consolait avec elle parce que sa femme ne voulait pas faire l’amour avec lui.

Catherine Dolto (médecin pédiatre) se montrera troublée (au téléphone …) des documents présentés. Elle a d’ailleurs prétendu n’avoir jamais lu ces entretiens… mais Catherine Dolto est la gérante sur internet des archives de sa Mère Françoise Dolto … alors ?


Une conclusion :


Madame Françoise Dolto,

Vous souvenez-vous de vos visites en Seine-et-Marne dans un centre religieux avec votre mari Boris ? Vous y rencontrerez de nombreux lettrés, des doyens de facultés de médecine de Paris, des savants venus de l’étranger, des religieux et des moines chrétiens et hindous, et bien d’autres … Vous souvenez-vous ? C’était juste après la guerre, entre les années 1946 et 1957. Qu’en avez-vous retenu ?

Je doute fort que vos écrits, s’ils avaient été écrits à cette époque, auraient été acceptés et reconnus. Je suis même certain que l’on vous aurait demandé de ne plus remettre les pieds dans ce lieu saint.

Comprenez-vous ? Non ? Certes, vous n’aviez pas encore écrit vos ignominies dictées par le Satan qui occupera, à travers vos écrits, votre corps mental et le reste de votre curieuse existence. A la mort de Jacques Lacan qui jouait au maître Zen à l’époque de mai 68 ce fut bien la foire d’empoigne entre vous et d’autres de ses élèves. Il parlait du petit « a » et du grand « A » dans ses théories profanes. Avait-il oublié que le mot « âne » commence par « a » avec un chapeau pour cacher des oreilles d’âne ?

Quant à votre fils, le chanteur Carlos (mort à 65 ans en 2008), que lui serait–il donc arrivé s’il lui était arrivé quelque chose ? Considéré comme sympathique, il amusera et occupera la galerie, faisant rire pendant des années les imbéciles heureux du troupeau des moutons abêtis devant leur poste de TV française ; vulgaire, grossier, tartuffe, entre deux fiestas bien arrosées sur les Yachts luxueux au port de St Tropez avec Johnny Halliday & Co… Ah, ça y allait des meilleurs champagnes et le reste … Bien gros et gras, en chemise à fleurs, il devait gagner bien plus d’argent que vous avec la psychanalyse. Ce qui est heureux, au moins, c’est qu’il n’eut pas l’idée d’écrire autant d’âneries que vous. N’oubliez pas que vous avez laissé, par vos ouvrages, aux pervers narcissiques, un héritage particulier qui inspire ce jour même des tas de psychopathes politiques et autres de nos institutions ; sur le plan du karma donc du votre, vous n’étiez pas sans le savoir, ce n’est pas bon du tout …

Vous entendrez parler de la cosmologie hindou, je suppose ? Je ne sais pas si vous êtes « Renée » quelque part dans le monde des désirs du kâma-loka ? Si c’est le cas, peut-être estce sous la destinée d’une petite fille innocente au sein d’une famille équilibrée ? Aussi, si jamais vous veniez à être violée par votre nouveau Père, voici un simple conseil : connectez-vous à internet et cherchez les livres de Françoise Dolto. Je vous assure que vous ne le regretterez pas.

Avec toute mon absence de considération,

Prajñâ


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