mercredi, novembre 30, 2022

Balenciaga et la pédocriminalité débridée

 


La marque Balenciaga a lancé une campagne publicitaire mettant en scène des gamins sur le point de subir des sévices sexuels.

Tweet d'Aldo Sterone : "Je vous donne le plan : le but de certaines élites est de banaliser, normaliser puis rendre légale la pédophilie. Être contre la pédophilie, ne sera plus une opinion, mais un délit ou un crime de haine. Balenciaga c’est juste un accident de parcours dans cet effort."

Lotta Volkova, la styliste en chef de Balenciaga, a une obsession maladive pour la torture, Satan, le cannibalisme et la mutilation des enfants.

mardi, novembre 29, 2022

L'Empire du mal




Sur le plan moral les réseaux de la domination par le mensonge et la dissimulation sont déjà le mal.

Mais ce mal peut aller beaucoup plus loin quand ceux qui s'appellent eux-mêmes "les fils de la lumière" - sans doute en référence à l'idéologie des Lumières qui les a portés - y voit un autre sens, plus noir, plus trouble et plus ésotérique.

Lucifer signifiant aussi "porteur de lumière", soit dans le livre d'Isaïe, ce roi babylonien raillé pour avoir voulu s'élever au-dessus de sa condition d'homme et dépasser Dieu.

Une figure prométhéenne associée à l'orgueil et progressivement devenue, dans la tradition chrétienne, le symbole du mal et un des noms du Diable. Personnage que l'Apocalypse selon Saint Jean identifie à Satan le tentateur, Satan le menteur, Satan le diviseur, et désigné aussi par Jésus, dans l’Évangile de Jean, comme "meurtrier" et "Seigneur de la Terre"...

Dès lors, l'existence, au plus haut niveau d'initiation, de maçonneries sataniques type : Illuminati, Skull and Bones et autres sectes vouant un culte aux dieux anti-chrétiens, babyloniens ou égyptiens, tel Moloch, avec cérémonies simulant des meurtres d'enfants comme dans The Cremation of care du Bohemian Club, n'est pas si délirante.

Pas si délirante, puisque pour assumer la cruauté qu'impliquent les décisions prises au plus haut niveau par ces réseaux de domination occultes sur l'humanité souffrante-décisions générant : chômage, famines et guerres - il faut avoir renoncé aux commandements chrétiens d'humilité et de charité et avoir, littéralement, voué son âme au diable !

C'est d'ailleurs ce constat terrifié que faisait le producteur hollywoodien Aaron Russo, suite aux propos que lui aurait tenus le grand initié Nick Rockefeller. Propos révélant les desseins maléfiques de l'oligarchie mondialiste et qu'Aaron Russo osa dénoncer dans une confession vidéo célèbre, quelques mois avant sa mort, parce qu'il se savait condamné...

Extrait de Comprendre l'empire d'Alain Soral (format Kindle) ou :

https://www.kontrekulture.com/achats-livres-subversifs/26-comprendre-empire-alain-soral.html

PDF gratuit ICI



lundi, novembre 28, 2022

Quel avenir spirituel pour l'humanité ?





"Le XXe siècle, écrit Daniel Robin, a assisté à un recul très net des religions monothéistes institutionnalisées (Judaïsme, Christianisme, Islam) issues du "Livre" (la Bible). En revanche, et parallèlement à ce déclin, il a vu naître au sein même de ces trois religions des intégrismes violents et radicaux. L’Amérique puritaine [...] se réclame d’un christianisme pur et dur, et se dit prête à partir en croisade contre les « infidèles musulmans ». De son coté l’Islam a engendré des intégrismes qui font de la haine du non-musulman une profession de foi, et de la mise à mort de l’infidèle, le chemin du paradis.

Autre signe des temps : l’intérêt croissant du public pour tout ce qui touche à l’ésotérisme (magie, alchimie, chamanisme, société secrètes, initiations, etc..), à la parapsychologie, aux anges, aux NDE, aux contacts avec les défunts, et aux ovnis. 

Pour notre part nous pensons (nous espérons), par exemple, que l’étude approfondie des expériences de mort imminente (NDE ou EMI), jouera sûrement un rôle majeur dans le renouveau spirituel dont nous aurons bien besoin pour affronter les épreuves qui nous attendent. 

Cet autre signe des temps est un point très important car il montre que la dimension verticale de l’être humain, qui a été évacuée sans discernement par les élites intellectuelles et scientifiques de nos pays, cherche d’une façon ou d’une autre à s’exprimer, même si elle doit emprunter, pour y parvenir, les voies de la marginalité. Remarquons au passage que ces élites, responsables de l’étouffement systématique et de l’atrophie alarmante de cette dimension verticale, ont toutes été formées dans le creuset de nos universités qui distillent une arrogante idéologie rationaliste et matérialiste.

L
e professeur John E. Mack (décédé le 27 septembre 2004 à Londres) était parfaitement conscient de ce que nous pourrions appeler une "manipulation de la réalité" opérée par les élites intellectuelles des pays occidentaux. Et il était bien placé pour s’en rendre compte puisqu’il était lui-même universitaire (professeur de psychiatrie à Harvard), et parce qu’il eut à endurer les reproches de cette élite inquisitoriale qui voyait d’un mauvais œil ses travaux sur les abductés. Il se demandait à ce propos : « Je n’arrive pas bien à saisir pourquoi nous nous cramponnons tellement à nos conceptions et nos façons d’interpréter le monde. Peut-être doit-on penser qu’un paradigme scientifique compréhensible, comme toute idéologie, rassure en confortant le sentiment de maîtrise et de pouvoir ». Et les raisons de cet attachement suspect au paradigme scientifique en vigueur ne seraient-elles pas à rechercher du côté de "l’élite intellectuelle et politique de nos cultures (qui) semble encore plus que quiconque soucieuse de perpétuer une vision matérialiste de la réalité". Car c’est bien en effet "cette élite scientifique et gouvernementale, sans parler des médias sélectionnés qu’elle contrôle, qui détermine ce que nous devons prendre pour la réalité, et ces institutions monolithiques sont comme par hasard les principales bénéficiaires de l’idéologie dominante." (Mack)

Ce qui signifie que l’élite intellectuelle et politique en place ne souhaite pas voir s’éveiller chez les êtres humains ordinaires la conscience d’une dimension spirituelle de leur existence. Cette prise de conscience collective serait dangereuse car elle risquerait de remettre en question la main-mise que cette élite exerce sur les masses. Mais les temps sont mûrs pour que se produisent des mutations (par mutation nous pensons avant tout à une mutation d’ordre spirituelle), qui renverseront bientôt les pouvoirs en place. Du moins nous l’espérons.

Autre signe des temps encourageant : l’attrait croissant pour les religions orientales (Hindouisme, Bouddhisme, Taoïsme, Zen), et notamment en France pour le Bouddhisme tibétain. 

La mondialisation, qui dans l’esprit de beaucoup de nos contemporains se limite à la seule mondialisation des échanges économiques, se révèle être aussi celle des échanges culturels et religieux. Plus qu’à un « choc » des cultures, c’est plutôt à un processus de mélange et d’interpénétration des cultures auquel nous assistons en ce début du IIIe millénaire. Ce phénomène est déroutant mais il était prévisible. Il ne doit d’ailleurs pas nous effrayer, mais au contraire nous stimuler parce qu’il est sûrement l’annonciateur d’une mutation prochaine. De ce vaste brassage des cultures, des religions et des civilisations, devrait en principe émerger quelque chose de nouveau qui couronnera harmonieusement cet ensemble momentanément disparate..."


Source :

Téléchargement gratuit du livre "Civilisation Type I, sommes-nous prêts ?" :





dimanche, novembre 27, 2022

La vérité se trouve de l’autre côté du miroir


« Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale…

C’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable "Golem", dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la "caste dominante". »



La vérité se trouve de l’autre côté du miroir


Par François Dubois 


"De l’autre côté du miroir" est la suite d’"Alice au pays des merveilles". 

Le miroir offre un reflet qui n’est pas la réalité. Si cette image paraît semblable en tout point à ce qu’elle reflète, elle en est la représentation symétriquement inversée. Il s’agit là d’une allégorie qui nous montre que tout ce qui est falsifié résulte par essence d’un processus d’inversion du réel, et que ce qui n’est pas réel est par essence trompeur. 

Le miroir matérialise également notre volonté d’aller chercher une réalité non objective à travers le symbole de falsification du réel qu’il représente. Une absence d’objectivité en lien avec l’ego et le narcissisme. C’est le symbole du miroir dans Blanche-Neige où il répond à une question subjective, « Qui est la plus belle ? » comme s’il était pourvoyeur d’une vérité universelle. Il constitue donc le piège hypnotique parfait utilisable par quiconque souhaite se dissimuler derrière lui pour agir à l’abri des regards. Il est l’outil de captation narcissique idéal qui inscrit celui qui le regarde dans un faux attendu au point de lui faire croire que cette représentation inversée du monde est sa propre réalité. 

Or la vérité se trouve de l’autre côté et ne répond pas forcément à une attente ou à quelque chose de souhaité. Elle existe, qu’on le veuille ou non, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Ainsi voir ce qui se passe de l’autre côté du miroir c’est capter la vérité dissimulée en même temps que comprendre les mécanismes utiles à son décodage.

Aujourd’hui, l’écran télévisé est la prolongation spectaculaire du miroir. Grâce à lui, le spectacle peut s’inviter dans l’intimité d’un foyer. Reflet tronqué et subjectif de la réalité, il se fait passer pour ce qu’il n’est pas : une fenêtre objective ouverte sur le monde. L’écran devient à son tour l’objet qui maintient le spectateur dans une interprétation illusoire de la réalité. 

Nous vivons dans un monde où celui qui possède le contrôle des médias télévisés devient détenteur d’une arme de falsification du réel derrière laquelle il peut se dissimuler pour agir en toute liberté. Comme le miroir, il répond aux attentes du spectateur, lui offrant le faux attendu au point de l’instituer comme une vérité nouvelle et acceptée… Et de devenir une véritable fabrique du consentement !
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L’histoire d’Alice au pays des merveilles repose sur cette logique d’inversion et de falsification du réel. Aussi se compose-t-elle en trois strates. 

La première est le monde normal, un monde vécu sans être compris, dans lequel Alice est ancrée par la force des choses. 

La seconde est la représentation inverse et spectaculaire de ce monde : le monde des merveilles, auquel la jeune Alice aspire au début, par volonté de s’affranchir du conformisme et de la rigueur du quotidien. Ce dernier est un monde qui s’érige en faux et qu’elle va expérimenter comme une nouvelle réalité. Agissant comme un leurre, il est destiné à dissimuler la véritable nature du monde (ignorée du profane) par le biais d’un processus d’inversion. Comme le miroir, il est un reflet de la réalité qui conduit le spectateur à la réinterpréter de façon spectaculaire comme un récit burlesque et dénué de sens. La réalité est exactement l’inverse. 

Mon livre offre ainsi au lecteur la possibilité de découvrir la troisième strate, qui se situe de l’autre côté du miroir. Ce regard initié permet d’analyser le sens que revêtent ces symboles spectaculaires rapportés au fonctionnement de notre monde et d’en dévoiler les maux dissimulés. L’ouvrage décode ainsi le parcours initiatique d’Alice et permet de réfléchir sur l’objectif et le sens à donner à cette entreprise de dissimulation. [...]

C’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable "Golem", dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la "caste dominante". 

Ce que vous qualifiez « d’élite » est, par essence, constitutif d’une catégorie de personnes minoritaire et endogame contrainte d’élaborer en permanence des stratégies afin de conserver ses privilèges dans le temps. Cette catégorie de personnes est apatride et nomade, elle exploite les ressources du globe et les richesses des peuples avec une cupidité indispensable au renforcement du caractère absolutiste de son pouvoir. 

Ayant compris que toute richesse est quantifiable, et donc limitée, elle entend mettre toutes les chances de son côté en spoliant les peuples afin de satisfaire sa volonté de toute puissance. C’est un état de faits, la répartition des richesses n’a jamais été aussi inégalitaire qu’à l’heure où nous nous parlons. 

À ce jour, une telle accumulation de richesses devient inaccessible au commun des mortels. C’est pourquoi ceux que nous définissions il y a peu comme appartenant à une « hyperclasse » ne s’assimilent désormais plus à une classe (puisque la notion de classe autorise les transitions) mais à une caste. Ainsi le capital autorise-t-il avec ses propres outils une endogamie, essence même de l’élitisme, qui permet à ce groupe de prospérer dans l’entre-soi et qui a existé autrefois, sous d’autres formes, dans des rapports de domination plus directs (transmission par le sang de la noblesse par exemple). Cette injuste situation, qui se manifeste de surcroît par un parasitisme mortifère, doit pouvoir, malgré tout, continuer à instituer la domination de ce groupe en même temps que contribuer à sa survie. Si elle veut perdurer, cette caste doit donc inscrire l’humanité dans un rapport de domination et d’exploitation non consenti qui doit relever d’un processus de soumission inconsciente des masses. Cela doit être compris pour justifier la nécessité qu’elle a à se faire oublier. Pour fonctionner, cette dissimulation obéit à trois règles : possession, manipulation, contrôle.

Le groupe dominant (je n’aime pas trop l’appeler « élite » car cela sous-entend qu’ils sont les meilleurs d’entre nous) utilise donc en premier lieu les indispensables richesses qu’il possède pour se fondre dans l’ensemble des acteurs constitutifs de la société du spectacle. Ce groupe s’est petit à petit spécialisé dans la création de conglomérats et dispose désormais d’une mainmise sur l’ensemble des secteurs stratégiques clés à travers ses réseaux. Ce que j’avance ici se constate dans les faits,. Il suffit d’observer comment s’est diversifiée l’activité économique des plus grands milliardaires ces dernières années, ou encore d’observer quand les stratégies de défense du spectacle deviennent manifestes et révèlent ce jeu de possession (voir la réaction de Cyril Hanouna lorsqu’on parle des activités occultes de Vincent Bolloré sur sa chaîne). Mais la dissimulation du pouvoir réel, spoliateur et parasitaire, ne peut pas se résumer à un simple jeu de possession et n’est rien sans les outils de la manipulation spectaculaire.

Ainsi, la seconde règle consiste à organiser la manipulation spectaculaire par le biais de leviers utiles à créer des narrations dont le but est de légitimer toutes les actions menées contre l’intérêt des masses. Il est question de porter une idéologie pour dissimuler des intérêts purement économiques utiles au pouvoir réel. C’est là qu’interviennent les pouvoirs d’apparat, c’est-à-dire le politique et les médias. Ils sont les dépossédés victimes de la règle numéro une, transformés par la force des choses en exécutants. Ils ne sont pas choisis mais « placés » par le jeu des soutiens financiers et des cooptations. Ainsi, c’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable « Golem » dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la « caste dominante». 

A l’aide des médias complices et subventionnés, appartenant eux-mêmes à des réseaux facilement identifiables, il entend poursuivre l’œuvre dissimulée de ses prédécesseurs depuis la chute organisée du général De Gaulle. Ce président est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale et nous dévoile par ailleurs, la perception eschatologique de la dimension dans laquelle il s’inscrit en évoquant « face-média » la bête de l’événement. Il est aussi intéressant de noter que contrairement au pouvoir réel, le pouvoir d’apparat, dans une grande cohérence spectaculaire, a impérativement besoin d’être vu et de susciter l’adhésion pour participer à l’illusion démocratique.
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Ce qui nous amène à la troisième règle indispensable à la dissimulation : le contrôle des masses. Je ne reviendrai pas sur les stratégies mises en œuvre, mais le contrôle de la pensée devient de nos jours un outil de dissimulation majeur. Cela se produit en détournant les attentions, en horizontalisant les conflits et en réduisant les capacités intellectuelles. J’entendais il y a peu, Jacques Attali, venu faire la promo de son dernier livre qui traite de l’école, expliquer sur France Culture, avec sa suffisance habituelle, que les gouvernements déterminaient les niveaux scolaires en fonction de leurs besoins.
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Pour conclure, je dirais que actuellement un problème plus grave se pose. Cette caste dominante a compris que son unique point faible était son parasitisme, autrement dit, sa dépendance aux peuples et l’obligation qui en résulte de se cacher. Elle compte y remédier en investissant massivement dans les nouvelles technologies, l’I.A, le transhumanisme, la virtualisation et l’automatisation (ne croyez pas qu’Elon Musk est un ami parce qu’il a acheté Tweeter). C’est l’un des objectifs du « great reset ». L’ère du tout numérique sera le « verrouillage final » qui scellera le destin de l’humanité. Comme le souligne Yuval Noah Harari, nous irons ainsi vers un modèle sociétal qui va produire de nombreux « inutiles », entendez en réalité que d’ici là, il ne sera plus nécessaire à cette caste de vampiriser le monde pour exister… Et comprenez que pour autant, elle entendra toujours asseoir sa domination en s’accaparant les richesses et en utilisant les technologies pour exercer un pouvoir absolu. Pourquoi ces futurs « dieux » devraient-ils alors s’embêter à gouverner toutes ses bouches devenues inutiles et se multipliant sans cesse ? Ces paroles s’inscrivent dans un contexte narratif où l’idéologie néo-malthusienne bat son plein, posant désormais la démographie comme une problématique en lien avec le partage des ressources… C’est très inquiétant.

Extraits de l'article du Media en 4 4 2 :


samedi, novembre 26, 2022

Les destins occultes de l'humanité


Documents rares et inédits :

"Dans cette vidéo je lis des extraits du livre "Les Destins Occultes de l'Humanité" par Georges Barbarin."

(Durée 40 minutes)



Georges Barbarin

PDF gratuit ICI

On dit de l'histoire qu'elle est un perpétuel recommencement, mais on n'attache ordinairement à ces mots qu'une signification banale. Pour la plupart des gens, ceci veut dire que les mêmes mobiles font agir les hommes et les conducteurs d'humanité. En réalité, cela représente beaucoup plus et conduit à l'hypothèse de lois inexorables qui conditionnent ce qui sera, par ce qui fut.

Autrement dit, l'histoire est comme une roue tournante : le haut redevient le bas et le bas redevient le haut. Dans la nature, tout se fait circulairement. Les planètes tournent sur leur axe; etc. Mais si vastes que soient ces rotations ou ces révolutions, elles ont un circuit fermé et, dans leur cours astronomique, les mêmes conjonctions et les mêmes passages se reproduisent, de sorte que les phases d'une révolution stellaire, par exemple, sont, dans leur ensemble, une copie fidèle des phases de la précédente révolution. C'est ainsi que, tous les 26.000 ans, se termine une période de nutation de la Terre (ou déplacement de son axe) et recommence une nouvelle période égale de mutation.

La vie des sociétés est régie par de semblables lois et chaque évolution reproduit les caractéristiques principales des évolutions qui l'ont précédée, au point qu'il suffit peut-être d'étudier attentivement les caractéristiques d'un cycle humain révolu pour connaître les caractéristiques du cycle en cours et même des cycles à venir.

Cette observation cyclique n'est pas nouvelle et maint esprit avisé y a cherché l'explication des phénomènes de la Vie. C'est ainsi que des astronomes ont étudié la périodicité des taches solaires et que d'autres ont calculé les retours de températures identiques au moyen de nombres clés.

La mode, l'art, sont sujets, sur un autre plan, aux mêmes variations universelles qui les ramènent sans cesse à leur point initial. Les jeux ou délassements humains disparaissent et reparaissent. Le sang, dans l'organisme humain, accomplit un cycle. Cycles aussi les bombardements atomiques, le mécanisme des moteurs, l'électricité.

Il existerait donc de petits cycles et de grands cycles, les uns se chevauchant ou se succédant au cours d'une ou de plusieurs générations humaines, les autres, comme les déluges dits universels, les périodes glaciaires, les dislocations de continents, etc., se succédant ou se chevauchant sur de longues périodes géologiques et, qui sait, sur plusieurs humanités.

On fut également amené à regarder de près la périodicité des principaux événements historiques en utilisant des chiffres bibliques, mythologiques, astronomiques, etc. Nous citerons notamment. le cas de Nébo qui crut avoir trouvé le rythme approximatif des périodes-mères, soit 39, 58, 117, 347 et 1007 ans. " Dès 1863, le capitaine belge Brück soutenait que les faits historiques présentent des cycles quadriennaux, décennaux, trentenaires, quinquaséculaires et millénaires, tous en rapport avec les variations telluriques magnétoélectriques. S'appuyant sur un nombre de faits considérable, S. Millard a précisé et développé les idées de son compatriote et établi la possibilité d'un déterminisme scientifique de l'évolution des guerres. En France, le colonel Delauney a montré, de son côté, que nos poussées coloniales et nos grandes guerres ont un caractère absolument périodique et en rapport avec les taches du soleil. Des observations de même ordre ont été faites pour d'autres fléaux, comme le choléra et la peste, les famines, les crises économiques et financières, les migrations humaines, etc. "

Malheureusement ces périodicités ne sont pas constantes, soit que l'ordre des événements ne puisse être déterminé d'une manière mathématique, soit que les véritables périodes-clés restent encore à découvrir. Dans tous les domaines, la Nature, c'est-à-dire la Vie, se copie inlassablement. Ce qui nous semble nouveau ne l'est que pour notre esprit humain. Et les anomalies les plus évidentes ont des précédents dans le lointain des âges, sans que nous puissions assigner une limite quelconque à un passé qui se perd dans la nuit.

En résumé, il semble que tout événement ne serait que la répétition d'événements anciens qui s'apparenteraient comme des frères. Ces événements anciens ne feraient, de leur côté, que reproduire les caractéristiques d'événements encore plus reculés. Les détails et l'ordonnance secondaires de ces événements peuvent varier mais l'ossature reste la même. Il y aurait des thèmes généraux sur lesquels brodent tous les âges de l'humanité.


vendredi, novembre 25, 2022

Gates, Epstein, la CIA, les vaccins et l’agenda de contrôle global. Robert F. Kennedy, Jr. et Whitney Webb révèlent comment tout est lié




Les passeports vaccinaux font partie d’un plan mondial visant à relier le statut vaccinal, l’activité économique et l’identité biométrique déclare la journaliste d’investigation Whitney Webb au président de Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Jr. 

Dans ce podcast, elle plonge dans les relations troubles entre le pédophile Jeffrey Epstein, aujourd’hui décédé, le milliardaire Bill Gates et d’autres élites de la Silicon Valley. Il y a une « dissimulation délibérée », selon Mme Webb, des véritables liens entre Gates et Epstein. De nombreuses élites de la Silicon Valley « font partie de quelque chose qui s’appelle la Fondation Edge », ce qui explique comment « Epstein a pu établir des liens si étroits avec un grand nombre de personnes qui deviendraient plus tard l’élite de la Silicon Valley », a déclaré Webb à Kennedy. Beaucoup des grandes entreprises de la Silicon Valley d’aujourd’hui ont des origines liées à la communauté du renseignement, déclare Webb. La branche de capital-risque de la Central Intelligence Agency, In-Q-Tel, investissait dans des technologies jugées utiles aux forces de renseignement, et lorsque c’était le cas, elle avait la main sur le développement des produits de l’entreprise, a expliqué Webb. Mme Webb a également fait part à M. Kennedy de son opinion sur les passeports de vaccination, qui, selon elle, ne servent pas uniquement à tracer les vaccination, mais font partie d’un plan mondial visant à évoluer vers une société sans argent liquide, basée sur la banque numérique, où le statut vaccinal, l’activité économique et l’identité biométrique sont tous liés.

« Ainsi, pour les personnes qui pensent que les passeports vaccinaux seront uniquement destinés au vaccin COVID-19, c’est faux. Ce cadre s’applique littéralement à n’importe quelle vaccination que l’État juge nécessaire. »


Ce qui suit est une transcription de ce podcast.

Robert F. Kennedy Jr. : Bonjour à tous, si vous ne savez pas qui est Whitney Webb, ou si vous ne lisez pas ses articles, alors vous passez à côté de ce qui est probablement la meilleur journaliste d’investigation aux États-Unis aujourd’hui. Whitney, j’aimerai parler avec vous des passeports, mais surtout de Bill Gates et Jeffrey Epstein, car je sais que vous écrivez un livre à ce sujet en ce moment.
Mais avant, j’aimerai vous dire que je ne sais pas comment vous faites Whitney, comment vous faites vos recherches. Vous êtes plus calé que quiconque que je connaisse et vous comprenez la gravité de ce qui se passe, et qui sont tous les personnages. Et le rôle, non seulement de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des banques, de l’industrie financière, des agences de renseignement et d’autres dans ce que les gens appelleraient maintenant la Grande Réinitialisation. [inaudible] est utilisé comme levier que nous voyons de la pandémie pour imposer ces contrôles totalitaires, et ces énormes changements culturels et de valeur et des changements structurels dans la démocratie américaine.

Whitney écrit pour son propre site Web qui s’appelle Unlimited Hangout, et elle écrit aussi souvent pour The Defender, merci de le faire. Et aussi pour The Last American Vagabond. Ses histoires sont le genre d’histoires dont j’attends la sortie avec impatience et qui m’excitent quand je lis une nouvelle que vous dévoilé. Parlons de Bill Gates et de son ami, Jeffrey Epstein. S’agissait-il vraiment d’une amitié ? Que se passait-il ?

Whitney Webb : Eh bien, il est difficile de décrire exactement la nature de la relation dans ce sens, parce qu’il est difficile de qualifier d’amis les personnes qui entouraient Epstein, car ce réseau fonctionne en grande partie par le chantage, même sur des personnes qui sont techniquement de leur côté. Donc, c’est un monde où règne la loi de la jungle. Le terme « amis » est peut-être un peu vague dans le sens où les gens ordinaires le comprennent. Lorsque vous parlez de ce type d’élite dirigeante, ils ont une mentalité très différente et une approche de l’amitié qui diffère beaucoup de celle de la personne moyenne.

Mais ce qui est particulièrement remarquable dans la relation Bill Gates/Jeffrey Epstein, c’est que même maintenant que l’on en parle dans les cercles grand public en rapport avec le divorce des Gates, les médias grand public continuent d’affirmer qu’ils ne se sont pas rencontrés avant 2011. À mon avis, il y a une montagne de preuves qui suggèrent que c’est catégoriquement faux et qu’ils se connaissaient en fait dans les années 1990.

Je suis tombé sur cela pour la première fois en 2019, alors que je faisais une série d’enquêtes sur le scandale Epstein. Il y avait un article épuré du 22 janvier 2001, qui avait été publié à l’origine dans l’Evening Standard, journal britannique très respecté. Parlant du Prince Andrew et de sa relation avec Ghislaine Maxwell et Jeffrey Epstein. Et la partie sur Jeffrey Epstein et la raison pour laquelle elle a été supprimée, elle semble avoir été supprimée pendant la période de sa première arrestation, entre 2006 et 2007, est parce qu’elle mentionne le fait que Jeffrey Epstein, à un moment donné avant la publication de cet article, avait ouvertement affirmé avoir travaillé en collaboration avec la Central Intelligence Agency, la CIA. Alors bien sûr, les révélations qui ont été faites plus tard au sujet d’Epstein, évidemment les pouvoirs en place, l’État de sécurité nationale, ne voulaient pas avoir de liens évidents qui traînent, donc cet article a fini par disparaître.

Mais ce qui était également remarquable à propos de cet article et ce qui m’a frappé, c’est que, comme il a été publié en 2001, il y a une ligne dans cet article qui parle d’Epstein, disant que Epstein était un gestionnaire de fonds ou un promoteur immobilier, ce qui était une sorte de thème à l’époque dans les articles sur Epstein. Mais il est dit que Epstein a gagné ses millions grâce à ses liens d’affaires avec trois personnes, Leslie Wexner, Donald Trump, et Bill Gates étant le troisième. Ce qui est assez significatif quand on considère la proximité de quelqu’un comme Donald Trump et Leslie Wexner, avec Jeffrey Epstein, avoir Bill Gates sur une liste aux côtés de ces deux individus, suggère que les liens étaient plutôt étroits.

Au moins une victime d’Epstein à qui j’ai parlé personnellement, qui était mêlée au réseau d’Epstein de 1995 à 1996, a dit qu’elle a entendu Epstein et Maxwell parler de Bill Gates comme s’ils le connaissaient très bien. Et bien sûr, nous savons que Nathan Myhrvold, qui était directeur de la technologie chez Microsoft tout au long des années 90, l’un des plus proches confidents de Bill Gates qui a co-écrit son livre, The Road Ahead à la fin des années 90, très impliqué dans les affaires de Microsoft et dans la vie de Bill Gate également, était très proche de Jeffrey Epstein pendant les années 90. Il a même voyagé avec lui en Russie dans le cadre d’une conférence de Microsoft sur la Russie. Il y a des photos d’Epstein faisant partie de ce voyage, avec une journaliste, une sorte de journaliste des médias numériques nommée Esther Dyson.

Esther Dyson, Bill Gates, Nathan Myhrvold, ainsi qu’une grande partie de l’élite de la Silicon Valley font partie de quelque chose appelé la Fondation Edge, qui est en fait la façon dont Epstein a été en mesure de se connecter si intimement avec un grand nombre des individus qui deviendront plus tard l’élite de la Silicon Valley. Cela inclut des gens comme Jeff Bezos, Kimbal et Elon Musk, Bill Gates, Nathan Myhrvold, et quelques autres noms également, et explique la façon dont il a fini par avoir des dîners avec des gens comme le co-fondateur de Google, Sergey Brin. Toutes ces personnes étaient liées à la Fondation Edge, qui a été fondée par cet agent littéraire, qui a également des liens avec l’État de sécurité nationale, nommé John Brockman.

De 2001 à 2017 environ, Epstein était à peu près le principal donateur de la Fondation Edge, et c’était essentiellement une opération d’influence pour lui. Il est intéressant de voir que beaucoup de ces noms technologiques qui entourent Epstein ont également Edge en commun. Mais au-delà de cela, lorsqu’il a créé Intellectual Ventures après avoir quitté Microsoft en 2000, Nathan Myhrvold aurait également reçu des « jeunes femmes » et des « mannequins russes » de Jeffrey Epstein dans les bureaux de cette société, ce qui est assez troublant lorsque vous considérez les implications de mannequins russes et ce que toutes ces choses signifient aujourd’hui alors que davantage d’informations sur l’affaire Epstein ont été révélées.

Je pense donc qu’il y a une dissimulation vraiment délibérée des liens Gates/Epstein. Nous savons également que Melanie Walker, qui est actuellement co-présidente du World Economic Forums Futures Council, qui a en quelque sorte joué un grand rôle dans cette prise de contrôle technocratique, était en fait l’une des conseillères de la Fondation Gates, depuis 2005 je crois. Et elle a obtenu ce poste parce qu’avant cela, elle était la conseillère scientifique de Jeffrey Epstein.

En fait, Melanie Walker, lorsqu’elle a obtenu son diplôme universitaire, a été recrutée par Jeffrey Epstein, qui lui a offert un emploi de mannequin à Victoria Secret, puis, dès qu’elle a obtenu son diplôme de médecine, je crois en 1998, elle est devenue son conseiller scientifique personnel, guidant ses investissements scientifiques à l’époque où il a commencé à entrer dans ce réseau de la Fondation Edge. Lorsqu’elle a postulé pour occuper pratiquement le même poste à la Fondation Gates, son CV indiquait qu’elle avait été conseillère scientifique de Jeffrey Epstein. Donc, pour Bill Gates et Melinda, l’engager et ne pas savoir qui était Jeffrey Epstein à l’époque, est honnêtement un peu ridicule. Pourquoi engager une personne dont le CV indique qu’elle a été conseillère scientifique pour cette personne, mais sans savoir qui est cette personne ? Il est évident qu’ils auraient dû enquêter s’ils ne le savaient pas déjà. Mais les faits que j’ai mentionnés précédemment sont également significatifs.

Et à propos d’Epstein, avant que j’oublie. Dans les années 1990, il est définitivement documenté que Bill Gates avait une relation d’affaires confortable avec la sœur de Ghislaine Maxwell, Isabel Maxwell, qui était intimement impliquée dans des opérations de renseignement également, impliquant spécifiquement des entreprises technologiques. Et cela ne concerne pas seulement Bill Gates, mais aussi Paul Allen. Mais dans le cas de Bill Gates, les déclarations d’Isabel sur Bill Gates en l’an 2000 dans un article du Guardian, sont très étranges. Isabel Maxwell parle avec un accent britannique, mais en parlant de Bill Gates à ce journaliste du Guardian, elle adopte un faux accent de belle du Sud. Voici comment le Guardian décrit la situation : « Et se met à ronronner », alors qu’elle raconte comment Bill Gates cherchait à payer peu d’impôts et lui avait offert de l’argent pour la société qu’elle dirigeait à l’époque, Commtouch, qui était profondément liée aux réseaux de renseignements israéliens dans lesquels son père Robert Maxwell avait été intimement impliqué. Et il semble que le transfert d’argent de Bill Gates à Commtouch, pour qu’il soit exempt d’impôts, ne s’est pas fait par l’intermédiaire de Microsoft, mais très probablement par l’intermédiaire de l’un des véhicules d’investissement associés à la Fondation Gates, créée à la même époque.

Donc, les liens aux Maxwell, à Nathan Myhrvold, etc. il y a beaucoup d’indicateurs qui montre que la relation est antérieure à 2011. Je ne fais qu’enquêter avec du matériel open source, évidemment les médias traditionnels ont beaucoup plus de ressources que moi, et ils n’ont montré aucun intérêt à examiner les liens antérieurs à 2011. Je pense donc que c’est très révélateur, même avec ces nouvelles révélations qui sortent sur la relation Bill Gates/Jeffrey Epstein. Ils ne veulent pas examiner la période antérieure à cela, et je pense qu’ils devraient vraiment le faire. J’espère que mon article, qui sortira la semaine prochaine, fera la lumière sur cette question, mais c’est vraiment…

Oh, et avant que j’oublie aussi, Melanie Walker, la conseillère scientifique qui est passée d’Epstein à Gates, est aussi la personne qui a présenté Bill Gates à Boris Nikolic, qui a aussi été son conseiller scientifique quelques années plus tard, je crois. Et Boris Nikolic avait été nommé comme l’exécuteur testamentaire de secours de Jeffrey Epstein après l’annonce de sa mort à l’automne 2019. Donc, il y a définitivement des indications que de nombreux liens intimes, qui ont été décrits par les médias grand public à partir de 2011, existaient en fait définitivement bien avant 2011. Et donc la question est de savoir pourquoi les médias grand public sont si réticents à examiner les origines réelles de cette relation. Je pense qu’il y a là matière à s’inquiéter, c’est certain.

Robert F. Kennedy Jr. : J’ai regardé le documentaire sur Jeffrey Epstein et les jeunes femmes, mais il n’y avait rien dedans sur les modèles russes. Mais la façon dont vous l’avez dit, c’est quelque chose qui, selon vous, est apparemment bien connu. Quel est ce lien ?

Whitney Webb : Jeffrey Epstein était connu pour recruter beaucoup de femmes et aussi pour acheter des jeunes filles mineures à leurs parents, en Europe de l’Est, dans les anciens pays soviétiques. Ainsi, un grand nombre des femmes que l’on voyait autour de lui et dans son entourage dans les années 90 et plus tard, étaient généralement d’origine russe ou d’Europe de l’Est, et étaient souvent décrites comme ses modèles russes. Et bien sûr, il est apparu plus tard que certaines d’entre elles étaient mineures. L’une d’entre elles au moins est devenue une collaboratrice de toute l’opération, et cette femme en particulier, selon le dossier, dit qu’elle a été achetée par Jeffrey Epstein à ses parents, je crois, dans ce qui était autrefois la Yougoslavie, à l’âge de 15 ans.

Robert F. Kennedy Jr. : Vous avez mentionné un grand nombre de dirigeants de la Silicon Valley, vous n’avez pas mentionné Eric Schmidt. Eric Schmidt est probablement la figure dont les liens avec la communauté du renseignement ont été le plus abondamment documentés. Eric a bien sûr été le PDG, je pense, de Google pendant ses premières années, et est maintenant le…

Whitney Webb : Il est partout en ce moment.

Robert F. Kennedy Jr. : Il est partout. Pouvez-vous parler de l’implication de la communauté du renseignement, de la communauté du renseignement américain avec la Silicon Valley et…

Whitney Webb : Oh oui, absolument. Donc, beaucoup de grandes entreprises de la Silicon Valley d’aujourd’hui, en réalité leurs origines auront des liens intimes avec la communauté du renseignement. Quelques exemples évidents que beaucoup de gens connaissent, certains connaissent au moins le cas de Palantir, qui a été créé par Peter Thiel en 2003, ils disent 2004, mais leur dossier montre qu’il s’agissait en fait de 2003. Ils ont été largement financés à la fois par Thiel lui-même, tout juste sorti de la vente de PayPal, et par In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA. Et la CIA a été leur seul client pendant les trois premières années de leur existence.
Une autre grande entreprise de la Silicon Valley, Oracle, la société de Larry Ellison, a commencé comme une retombée d’un projet du même nom de la CIA auquel Ellison participait, avant de devenir l’entreprise qu’elle est aujourd’hui. Google a également pris des fonds d’In-Q-Tel et il y a…

Robert F. Kennedy Jr : Expliquez ce qu’est In-Q-Tel car certaines personnes ne le savent peut-être pas.

Whitney Webb : Bien sûr. Il s’agit de la branche de capital-risque de la CIA qu’elle utilise pour faire des investissements dans la technologie qu’elle pense pouvoir être utile à la communauté du renseignement à l’avenir. Lorsque In-Q-Tel investit dans une entreprise, il ne s’agit pas seulement d’argent sans conditions, les personnes d’In-Q-Tel et de la CIA s’impliquent dans le développement du produit de l’entreprise et d’autres choses. En gros-

Robert F. Kennedy Jr. : In-Q-Tel avait vraiment un pedigree presque double avec de nombreuses entreprises de la Silicon Valley. Lorsque la Silicon Valley a été lancée, l’un des bailleurs de fonds immédiatement, c’est au même moment que la CIA a lancé In-Q-Tel, qui était une société de capital-risque. D’une manière générale, elle a interviewé je pense 3 400 startups pendant les premiers jours de la Silicon Valley et a commencé à mettre de l’argent dans, nous ne savons pas combien, mais dans potentiellement des milliers des startups initiales.

Whitney Webb : Oui, mm-hmm (affirmatif). Et même au-delà de cela, beaucoup d’entreprises qui ont été acquises plus tard par de grandes entreprises comme Google, Microsoft etc, ont elles-mêmes été lancées avec des fonds d’In-Q-Tel. Donc, le financement d’In-Q-Tel a continué depuis lors de manière plus indirecte. Il y a quelques autres entreprises qui méritent d’être mentionnées, mais je pense que pour gagner du temps, je vais souligner que l’État de sécurité nationale dans la Silicon Valley, cette alliance qui, selon moi, a été forgée à l’origine de beaucoup de ces entreprises, est assez évidente aujourd’hui. Vous regardez quelque chose comme la National Security Commission on AI, sur l’intelligence artificielle, qui est essentiellement cette commission qui a été créée pour tracer la voie de la politique du gouvernement américain en matière d’intelligence artificielle et de technologies émergentes. Elle est présidée par Eric Schmidt, le co-président est un ancien secrétaire adjoint à la défense sous Obama, qui était un ami personnel d’Eric Schmidt. Et les membres de cette commission de sécurité nationale sont presque tous des cadres supérieurs des plus grandes entreprises de la Silicon Valley.

Vous en avez un, l’actuel directeur d’In-Q-Tel, un ancien directeur d’In-Q-Tel, des personnes qui dirigeaient l’équivalent de la DARPA dans la communauté du renseignement, et divers autres agents du renseignement, tous réunis pour décider essentiellement de l’avenir de la politique du gouvernement américain, en ce qui concerne l’automatisation et l’intelligence artificielle, la quatrième révolution des investisseurs, quel que soit le nom que vous voulez donner à ce développement. Ils sont assez ouverts sur leurs liens. Et aussi les entreprises de la Silicon Valley aujourd’hui, beaucoup d’entre elles sont des contractants ouverts du gouvernement américain ou de l’État de sécurité nationale, ou de l’armée. Par exemple, l’évolution vers le cloud computing, nous avons Microsoft qui gère le cloud du Pentagone maintenant, Amazon est le webmaster de presque toute la communauté du renseignement. Presque toutes les agences de renseignement et d’autres agences comme le département de la sécurité intérieure utilisent Palantir, qui est, à mon avis, toujours une société écran de la CIA à bien des égards.

Et pour en revenir à Palantir, je pense qu’il est vraiment important de souligner que la raison pour laquelle cette société a été créée était qu’un effort de surveillance raté, lié au 11 septembre et appelé Total Information Awareness, avait été arrêté en raison de l’indignation du public parce que la DARPA, qui est en fait…

Robert F. Kennedy Jr : C’était le bébé de [Poindexter], non ?

Whitney Webb : Oui, oui. Donc Poindexter, qui était le membre le plus haut placé de l’administration Reagan à être arrêté ou condamné pour son rôle dans la contrefaçon iranienne, était la personne qui a été mise en charge de ce Total Information Awareness Office, ou Bureau de sensibilisation à l’information, qui opérait à partir du DARPA pendant une période de quelques mois seulement. À l’époque, les médias grand public, l’ACLU et d’autres organisations se sont opposés à ce programme, car ils ont déclaré, à juste titre, qu’il éliminerait à jamais la vie privée des Américains et qu’il serait utilisé par le gouvernement pour profiler la dissidence nationale.
Et fondamentalement, après que ce programme ait été fermé, il avait plusieurs composantes différentes, mais la composante principale était essentiellement un programme qui synthétiserait toutes ces informations prises de toutes ces sources différentes, et les analyserait et les rendrait intelligibles aux personnes qui travaillent dans l’État de sécurité nationale. Et tout d’un coup, vous avez…

Robert F. Kennedy Jr. : C’était de la méga récolte de données. Ils regardaient chaque texte, chaque e-mail, écoutaient chaque conversation, trouvaient des mots-clés, les archivaient, les classaient par catégories et les transformaient de manière à ce qu’ils puissent être monétisés et utilisés comme des armes, essentiellement.

Whitney Webb : Oui. Et c’était même au-delà de ça aussi, c’était aussi la consommation de médias des gens, leurs abonnements aux journaux. C’était avant qu’Internet ne soit la principale source d’information des gens. Donc les abonnements aux magazines, les livres que vous achetez, ce genre de…

Robert F. Kennedy Jr. : En fait, c’était le premier véritable effort de pré-crime comme dans ce film, Minority Report. Je pense que certaines des personnes qui y ont participé ont fini par faire ce film.

Whitney Webb : Cela ne me surprendrait pas. Ce qui est vraiment intéressant dans Total Information Awareness, c’est qu’il ne s’agissait pas seulement d’empêcher les attaques terroristes avant qu’elles ne se produisent, ce qui était le but initial. Il y avait en fait un aspect appelé bio-surveillance qui visait à arrêter les bio-terroristes avant qu’ils ne puissent frapper dans le sillage des attaques à l’anthrax. Mais il était également question de pandémies avant qu’elles ne se produisent. Et nous avons vu beaucoup de ces politiques être ressuscitées relativement récemment. Mais je ne veux pas trop m’avancer. Mais en gros, après que cela ait été fermé, vers 2003, Palantir a été créé quelques mois plus tard. Il est apparu plus tard que Richard Perle, l’un des architectes de la guerre en Irak, et l’un des néoconservateurs de l’administration Bush et auparavant de l’administration Reagan, aidait Thiel et Alex Karp, qui est maintenant à la tête de Palantir, à mettre en place cette société pour être une conscience totale privatisée de l’information. Et ils ont en fait contacté Poindexter et l’ont invité chez Richard Perle, pour le rencontrer afin de discuter de la façon dont ils pourraient construire ceci d’une manière qui soit du secteur privé et non publiquement associée à l’armée.

Et ce qui s’est passé, c’est que beaucoup de ces différents aspects de Total Information Awareness, n’ont jamais été réellement arrêtés. Quelques activités ont été envoyées à différentes agences de renseignement de l’époque. D’autres ont juste été privatisées. Mais en gros, la façon dont ils ont résolu le problème était de retirer l’armée de l’équation.

Robert F. Kennedy Jr : Exact. Mais je pense aussi que le début de Facebook a été associé au… Je pense que Facebook a commencé le jour où le programme Total Information Awareness a pris fin.

Whitney Webb : Eh bien, c’est presque exact, oui. Donc Total Information Awareness a été arrêté un peu avant, mais il y avait un programme connexe qui fonctionnait dans le même bureau au sein de la DARPA appelé LifeLog. Et LifeLog est essentiellement ce qu’est devenu Facebook, et a également été critiqué et a été arrêté avant de commencer, essentiellement en raison de préoccupations concernant le profilage de la dissidence nationale, entre autres choses, et le suivi de la vie d’une personne entière. Mais en fait, l’un de ses principaux objectifs était de rassembler toutes les données de la vie d’une personne, de sa naissance à sa mort, et de les utiliser pour créer une intelligence artificielle plus humaine, une IA humanisée, etc.

Mais oui, le jour où LifeLog a été complètement arrêté est le jour où Facebook a été officiellement incorporé, et puis quelques mois plus tard, vous avez Peter Thiel qui essaie de reconstruire le Bureau de la connaissance totale de l’information. Il est devenu le premier investisseur extérieur de Facebook, ce qui était essentiel à la survie de l’entreprise, elle ne serait pas devenue ce qu’elle est aujourd’hui sans cet investissement initial de Peter Thiel. Et la personne qui a impliqué Thiel était un homme nommé Sean Parker, qui était également très impliqué dans la Fondation Edge dont je parlais plus tôt, qui, si vous lisez des profils de lui, la CIA a essayé de le recruter à l’âge de 16 ans. Il ne dit pas s’il a dit non, il laisse la question très ouverte. Donc c’est vraiment intéressant, ce lien là.

Et bien sûr, nous avons maintenant Facebook qui collabore ouvertement à cette tentative de lancer une guerre contre le terrorisme intérieur. Ils ont fondamentalement profilé les gens. Et la façon dont cette guerre contre le terrorisme intérieur va se dérouler, c’est qu’elle sera très axée sur les médias sociaux, ce qui est très regrettable. Ils ont présenté et vendu les médias sociaux au public comme une place publique où vous pouvez interagir avec les gens etc, mais ces plateformes sont vraiment devenues beaucoup plus puissantes avec ces objectifs distincts qui servent d’une façon évidente la communauté de Sécurité nationale, et ces objectifs commencent à prendre le dessus.

Robert F. Kennedy Jr. : C’est devenu un instrument, l’instrument le plus puissant jamais utilisé par le totalitarisme, qui est la connaissance totale. Et je voulais vous parler des identifications de vaccins parce que cela fait partie de cette trajectoire, et ce sont tous les mêmes personnages dont vous avez parlé, qui avaient planifié cela depuis des années. Mais permettez-moi de vous poser une petite question idiosyncrasique qui a toujours suscité ma curiosité. Que savons-nous de la relation entre les communautés du renseignement et certains de ces groupes de tests ADN comme 23andMe ?

Whitney Webb : Eh bien, 23andMe appartient, je crois, à Anne Wojcicki, qui est mariée au cofondateur de Google, Sergey Brin. Je ne sais pas exactement comment ils partagent ces données, elles semblent être entre les mains de particuliers et de sociétés privées. Mais je n’ai personnellement pas enquêté sur leurs liens, les liens de sociétés comme 23andMe spécifiquement avec la communauté du renseignement. Mais je sais qu’un autre service similaire, Ancestry.com, qui propose également ces tests ADN, a récemment été racheté par Blackstone Capital, et Steve Schwarzman y est très impliqué avec Eric Schmidt dans un grand nombre de ces organisations adjacentes au renseignement. C’est donc définitivement inquiétant.

Mais je pense que la relation intime et le fait que des entreprises comme Google et Microsoft et toutes ces entreprises sont des sous-traitants des services de renseignement et de la communauté militaire. Lorsqu’elles finissent par accumuler une grande quantité de données génomiques et d’ADN, il est très probable qu’elles finissent par les partager avec la communauté du renseignement, car nous savons, par exemple grâce aux révélations d’Edward Snowden, que dès que l’État de sécurité nationale frappe à la porte de ces sociétés, elles sont plus qu’heureuses de donner vos données au gouvernement.

Donc, penser qu’ils veulent faire ça maintenant est plutôt naïf. Une grande partie des tests COVID qui ont été effectués aux États-Unis l’ont été par le biais de ce que je crois être une filiale de Google appelée Verily, appelée Project Baseline, et c’est pourquoi beaucoup de personnes qui ont dû faire des tests COVID-19 aux États-Unis ont dû s’inscrire via leur compte Google. En participant à des tests qui lient les résultats du test à votre compte Gmail ou à votre compte Google, par exemple, vous liez essentiellement toute votre activité sur Internet à Google maintenant, à votre ADN, en ce qui concerne l’entreprise. Car Google récolte, ou plutôt enregistre, chaque recherche que vous avez effectuée, chaque vidéo sur YouTube que vous avez regardée. Ils lisent et analysent vos e-mails si vous utilisez Gmail, et ils combinent tout cela avec vos données ADN.

Et il y a en fait, je dirais, des preuves qu’ils sont très intéressés à mettre la main sur autant de données ADN que possible en ce moment. On pourrait dire que c’est parce qu’ils cherchent à développer des algorithmes d’intelligence artificielle beaucoup plus axés sur les soins de santé. Par exemple, en septembre dernier, Google s’est associé à une partie du Pentagone, une unité relativement nouvelle du Pentagone appelée Defense Intelligence Unit, pour développer un moyen de diagnostiquer les maladies de manière prédictive grâce à l’intelligence artificielle. Et ils prétendent se concentrer sur le cancer dans un premier temps, mais en gros, cela signifie qu’ils prévoient d’appliquer cela au COVID-19 à un moment donné dans un avenir proche.

Dans mon rapport sur ce sujet, il est devenu assez clair, au fur et à mesure de mes recherches, que la raison pour laquelle Google voulait vraiment ce partenariat était de pouvoir accéder à tous les dossiers médicaux dans les bases de données d’images médicales qui sont détenues par l’armée, qui sont en fait les plus grandes du monde apparemment. Il s’agit donc d’une énorme opportunité d’exploration de données pour les soins de santé, et puisque beaucoup de ces mêmes entités de la Silicon Valley sont très intéressées par cette nouvelle poussée visant à remplacer le système médical existant par ce qu’elles décrivent comme un système médical personnalisé où vous obtenez, vous ne devez même pas aller voir un médecin, et tout est basé sur la technologie portable et adapté à votre ADN, et les thérapies géniques pour le cancer et toutes ces choses, ce qui est en fait l’utilisation principale des vaccins ARNm avant COVID-19, et des choses comme ça. Il devient assez clair qu’ils sont très intéressés par ce type d’information.

Mais malheureusement, il n’y a pas eu beaucoup d’intérêt de la part des médias grand public ou des personnes ayant plus de ressources que des gens comme moi et qui cherchent vraiment à savoir ce qui se passe exactement avec vos données ADN. Honnêtement, je pense qu’ils ne veulent pas que les gens sachent. Malheureusement, aux États-Unis et dans beaucoup d’autres pays, les gens se disent : « Je me fiche que ces entreprises aient mes données », mais je ne pense pas qu’ils réalisent vraiment pourquoi ces entreprises les veulent et à quoi elles comptent les utiliser.

Robert F. Kennedy Jr : Parlons d’ID2020 et de ce que cela a essentiellement apporté ou dévolu aux propositions de passeports vaccinaux. Quelque chose qui, incidemment, lorsque j’ai écrit ceci il y a un an, j’ai été annoncé comme un théoricien du complot.

Whitney Webb : C’est drôle comment cela fonctionne.

Robert F. Kennedy Jr : Voyons ce qu’il en est.

Whitney Webb : Eh bien, en gros, j’ai signalé en janvier qu’il y avait un effort, soutenu en grande partie par des entreprises de la Silicon Valley et certaines entreprises qui gèrent les dossiers médicaux électroniques, de créer le cadre pour tous les passeports vaccinaux au niveau mondial. Cette initiative s’appelait « Vaccine Credential Initiative ». La façon dont elle était mise en place était la suivante : non seulement il s’agirait d’un système de passeport vaccinal, mais il serait également lié à un moment donné à votre activité économique et à d’autres éléments. Et même le développeur de ce cadre, qui travaille pour Microsoft, a déclaré dans son panel Zoom décrivant tout cela, qu’un jour vous pourriez avoir besoin de montrer votre passeport vaccinal pour pouvoir louer une voiture, par exemple, et des choses comme ça.

Au même moment, les personnes qui font la promotion de ce programme encouragent également le passage à la banque mobile, à la banque numérique, à la société sans argent liquide, etc. On s’efforce de faire en sorte que les gens utilisent des portefeuilles numériques basés sur le mobile, ce qui est fortement encouragé, par exemple, par la Commission de sécurité nationale sur l’IA, dont nous avons parlé précédemment.

Donc, pour les personnes qui pensent qu’il ne s’agira que d’un seul, les passeports vaccinaux ne seront que pour le vaccin COVID-19, ce n’est pas vrai non plus. Ce cadre est conçu pour littéralement n’importe quelle vaccination que l’État juge nécessaire. Il s’agit d’un système beaucoup plus large que le système spécifique à la COVID-19. Et j’ai oublié de mentionner ceci, désolé. Il ne s’agit donc pas seulement du statut vaccinal et de l’activité économique, ils essaient de lier tout cela à une identité métrique, ce qui est bien sûr le but ultime de l’Alliance ID2020, à laquelle participent bien sûr des entités financées par Bill Gates, des entreprises de la Silicon Valley et la Fondation Rockefeller, qui semble co-investir assez fréquemment dans ces types d’initiatives avec les Gates.

Robert F. Kennedy Jr : Qu’est-ce que le transhumanisme et pourquoi ces gens, qu’est-ce qui fait que tous ces gens s’y intéressent ?

Whitney Webb : Eh bien, ils sont vraiment tous intéressés en…

Robert F. Kennedy Jr. : Je sais que c’est vraiment bizarre, mais dites d’abord aux gens ce que c’est.

Whitney Webb : Eh bien, c’est…

Robert F. Kennedy Jr : Laissez-moi essayer, c’est une fusion entre des êtres humains en chair et en os, et des êtres humains essentiellement virtuels, ainsi que des machines IA.

Whitney Webb : L’analogie que beaucoup de gens aiment utiliser, du moins celle de la science-fiction qui peut être accessible à beaucoup de gens, est le Borg de Star Trek. C’est en gros le transhumanisme en un mot, du moins pour les personnes qui sont cyniques et critiques à son égard. Ses promoteurs affirment qu’il ouvrira une nouvelle ère d’augmentation humaine et ainsi de suite, mais cela ne semble pas vraiment être le cas pour les personnes qui le défendent ouvertement. Du moins, pas pour la masse des gens.

En fait, des gens comme Klaus Schwab, du Forum économique mondial, et d’autres personnes de ce genre sont vraiment ouverts sur leur vision du transhumanisme, mais ils évitent d’utiliser ce mot. Ils utilisent des choses comme la convergence bio-digitale, l’émergence de nos identités physiques biologiques et virtuelles et des choses comme ça. Et c’est pourquoi une grande partie de cette science qui a été financée en grande partie par des gens comme Jeffrey Epstein et des personnes apparentées à Bill Gates et des philanthropes a créé un type de technologie « plus croustillante » comme celle qui installe un double processeur à l’intérieur de cellules vivantes, et des choses comme ça. Ce sont des développements récents. Pourquoi diable une personne normale voudrait-elle financer, dépenser des millions et des millions de dollars pour financer quelque chose comme ça ? Ces gens sont très intéressés par ce type de technologie pour deux raisons.

Un, ils sont l’élite. Si vous regardez leurs investissements, ils sont très préoccupés par le vieillissement et fondamentalement leur mortalité. C’est pourquoi vous avez quelqu’un comme Peter Thiel qui investit dans ces startups qui fournissent du sang jeune, le sang de jeunes gens à des clients qui achètent, comme un moyen de les garder jeunes. Des choses comme ça qui semblent vraiment folles pour la plupart des gens, mais pour ces gars-là, c’est, « Ah, super. Je peux rester jeune pour toujours. » Et tous ces trucs, et beaucoup de gens aiment… Dans le cas de Jeffrey Epstein aussi, il voulait revenir en tant que transhumanoïde. Selon le New York Times, il voulait avoir sa tête et ses organes génitaux congelés, et ensuite les remettre ensemble dans une sorte de corps formulé pour qu’il puisse vivre éternellement.

Il y a des gens dans l’élite qui ont parlé de la façon dont ils veulent avoir leur esprit téléchargé dans le Cloud, et toutes ces choses. Il ne s’agit en fait que de l’utilisation abusive d’une technologie beaucoup plus avancée qu’elle ne l’a été à aucun autre moment de l’histoire de l’humanité par un groupe d’élites qui, depuis très longtemps, cherchent à obtenir l’immortalité par divers moyens.

À mon avis, ces gens, cette mentalité remonte vraiment à des milliers d’années; à cette vision de la nature comme quelque chose qui doit être conquise et dominée et non quelque chose avec lequel il faut travailler et vivre en harmonie. Je pense que la conclusion logique de ce type de mentalité est de considérer la fusion de l’homme et de la machine, quelque chose fabriqué par l’homme comme l’apogée de l’évolution humaine, l’utilisation de la technologie pour tenir la nature à distance, et pour plier la nature à la volonté de ces personnes et de ces choses. Je pense que c’est essentiellement de là que viennent ces gens. C’est en quelque sorte la conclusion logique de la concentration de toutes ces richesses entre les mains d’une minorité qui pense ces choses.

Mais s’ils veulent l’immortalité pour eux-mêmes, ils sont aussi très ouverts sur les raisons pour lesquelles ils veulent le transhumanisme pour les masses également, et une grande partie de cela a à voir, sans surprise, avec le contrôle. Et il y a en fait un orateur, eh bien c’est un historien israélien nommé Yuval Noah Harari, et c’est l’un des orateurs les plus populaires du Forum économique mondial. Il est très intime avec Mark Zuckerberg, Barak Obama, et diverses personnes célèbres. Il a prononcé un discours très important lors de la réunion de Davos 2020, la réunion du Forum économique mondial, qui, bien sûr, était juste deux mois avant que la crise du COVID-19 ne s’installe vraiment. Et ce qu’il y dit essentiellement, c’est que dès que les gens, les citoyens sont mandatés ou que ces technologies atteignent une utilisation de masse, commencent à utiliser des wearables, permettent au gouvernement de surveiller ce qui se passe dans leur corps et dans leur cerveau, c’est là que nous entrons dans une ère de dictature numérique. Et ce sont ses mots, et que les personnes qui refusent d’en faire partie feront partie d’une nouvelle classe mondiale inutile. Encore une fois, ce sont ses mots. Et il dit qu’il vaut mieux être exploité qu’inutile.

À la fin de son discours, il appelle le Forum économique mondial à utiliser ces technologies pour créer un monde meilleur, mais ce sont des gens comme Eric Schmidt qui assistent à ce genre de choses, ils ne cherchent pas exactement à créer un monde meilleur dans le sens où des gens comme vous et moi l’imagineraient. Donc c’est définitivement très dystopique. Dans ce même discours, Harari décrit l’utilisation de cette technologie en faisant l’analogie suivante : une personne écoute un discours du chef de l’État, elle applaudit extérieurement et semble heureuse, mais une sorte de dispositif de surveillance portable ou plantable peut dire que cette personne est intérieurement en colère lorsqu’elle regarde l’image du chef. Et selon Harari, il finira au goulag le lendemain matin. Ce sont ses mots.

Donc, ça ne pouvait pas être plus flagrant. C’est un type qui expose toute sa vision de la société devant l’élite de Davos, et qui dit en gros : « S’il vous plaît, faites que ce monde… » C’est très inquiétant. Et quand vous prenez la peine de lire les mots de personnes comme Klaus Schwab et d’autres influenceurs dans cette sphère, c’est définitivement très inquiétant. Et le fait que tant d’élites qui ont tant de pouvoir, en particulier l’élite de la Silicon Valley, soient si investies dans ces technologies, et bien sûr leurs liens avec la communauté du renseignement, la structure du pouvoir aux États-Unis à ce stade fait vraiment pression pour cela, et ils le font sous diverses formes. Cette poussée vers les wearables va devenir énorme, probablement même dans les deux prochains mois, voire l’année prochaine.

Ainsi, sous l’administration Biden, le principal conseiller scientifique de Biden est en fait sous le feu des critiques pour ses liens avec, surprise, surprise, Jeffrey Epstein. Et l’affirmation d’Epstein selon laquelle il aurait financé Eric Lander, le principal conseiller scientifique de Biden à –

Robert F. Kennedy Jr. : Et aussi, il était un… Charles Lever qui était à Harvard, je pense qu’il était un collègue de Lander. Mais c’était un autre transhumain. Il a été arrêté…

Whitney Webb : Arrêté, oui.

Robert F. Kennedy Jr. : … Juste après que la COVID-19 ait éclaté pour avoir envoyé la technologie sur laquelle il travaillait. Il faisait partie du groupe [inaudible], pour avoir envoyé cette technologie en Chine. Nous ne savons pas vraiment pourquoi il a été arrêté.

Whitney Webb : Oui, c’est un peu un mystère pour autant que je sache. Mais en ce qui concerne Eric Lander, ce type est très profondément lié à la Silicon Valley. Il a été à la tête du Broad Institute pendant très longtemps. Maintenant, le président du conseil d’administration du Broad Institute est Eric Schmidt, et vous avez des personnes éminentes de la Silicon Valley au conseil d’administration du Broad Institute. Eric Schmidt, en plus d’être le président du conseil d’administration, est également l’un des plus grands donateurs du Broad Institute. Il leur a récemment donné une dotation de 150 millions de dollars pour examiner comment fusionner la biologie avec les machines afin de découvrir les « programmes de la vie » et des choses comme ça. C’est la personne que Biden a élevée, pour la première fois dans l’histoire politique américaine, au rang de conseiller scientifique principal.

Cette agence récemment lancée, la création de cette DARPA de la santé, ou HARPA, Eric Lander est censé en être le responsable et y être intimement impliqué. Ils prétendent se concentrer sur le cancer et la lutte contre différentes maladies, mais j’ai récemment écrit, si vous lisez entre les lignes de cette politique, c’est définitivement une recette pour beaucoup des choses dont nous avons parlé aujourd’hui, ce système technocratique de pré-crime qui cherche à la fois à criminaliser la maladie mentale, la maladie physique et la pensée erronée, quelle que soit la façon dont vous voulez l’envisager, en permettant au gouvernement et au secteur privé de surveiller ce qui se passe dans vos pensées et dans votre corps à tout moment, et en vous surveillant d’une façon que nous n’avons jamais été capables d’imaginer auparavant. C’est définitivement une recette pour un désastre à de multiples niveaux, car le transhumanisme n’est pas seulement une menace pour les libertés civiles et tout cela, c’est vraiment une menace pour l’existence humaine et la société humaine, pour ce que cela signifie d’être humain.

Et donc, c’est définitivement une menace à un niveau énorme, mais vraiment telle que définie par les personnes qui tracent ces politiques, y compris le type Harari que j’ai mentionné plus tôt. Le moment décisif de l’ère où ces dictatures numériques commencent est celui où les masses commencent à utiliser les wearables qui sont récoltés par ces entreprises liées à l’État, ou l’État lui-même…

Robert F. Kennedy Jr. : Je pense à une montre Apple.

Whitney Webb : Ouais. Ou Fitbit, Amazon en a un maintenant appelé Amazon Halo qui ne vérifie pas seulement vos signes vitaux, mais aussi votre état émotionnel tout au long de la journée en fonction de la façon dont vous parlez, et des choses comme ça. Ils ne cherchent donc pas seulement à surveiller votre santé, comme ils vous le disent, ou à vous aider à être plus en forme, mais ils vont beaucoup plus loin, et il est question maintenant, depuis 2018, de lier l’utilisation des wearables aux polices d’assurance maladie. Et certains fournisseurs d’assurance maladie envisagent de rendre cela obligatoire pour une politique particulière.

Donc, que le secteur public ou le secteur privé essaie de rendre ces choses obligatoires, ils vont définitivement de l’avant, et il y a en fait des startups qui sont financées par l’Institut national de la santé, la Fondation nationale des sciences qui visent à utiliser les wearables pour, disent-ils, résoudre la crise des prisons aux États-Unis en fermant toutes les prisons, mais chacun devient un prisonnier dans sa propre maison, et ils doivent tous porter tous ces différents capteurs, pour s’assurer qu’ils ne peuvent pas quitter l’endroit où ils sont. S’assurer qu’ils ne pensent pas à commettre un crime, des choses comme ça. Et même aussi pour la crise des opioïdes, il y a une société qui a pris plusieurs, j’oublie exactement combien d’argent NIH finance, plusieurs centaines de milliers, je crois, pour développer un wearable où si vous avez une overdose d’opioïdes, on vous donne ce wearable et il peut dire si vous avez un besoin ou une rechute. Et pour voir, le gouvernement américain appliquerait évidemment cela à tout autre type de substance illicite.

Il faut également garder à l’esprit que la mentalité générale ici, et ils le disent depuis des années maintenant, est que les données sont le nouveau pétrole, et ce parce qu’ils veulent alimenter autant de données que possible dans ces algorithmes d’intelligence artificielle, car ils pensent que cela les rendra supérieurs. Ces gens sont obsédés par la réalisation d’une IA super intelligente, ce qu’ils appellent la singularité. Ils veulent donc récolter autant de données que possible par citoyen, et c’est à peu près la politique admise de la Commission de sécurité nationale sur l’IA qui dit que la seule façon pour les États-Unis d’être le leader du marché et la première puissance militaire du monde et de battre la Chine, est de récolter le plus de données par citoyen dès que possible. Et c’est pourquoi nous voyons toutes ces poussées se produire maintenant.

Robert F. Kennedy Jr. : Vous avez écrit depuis le Chili pendant un certain temps.

Whitney Webb : Oui.

Robert F. Kennedy Jr : Que s’est-il passé là-bas ? La situation y est devenue folle, non ?

Whitney Webb : Oui, absolument. Donc j’avais en fait vécu…

Robert F. Kennedy Jr. : C’est presque comme un [Pinochet] expurgé.

Whitney Webb : Oui, c’est très similaire et ce n’est vraiment pas une coïncidence si le gouvernement actuel du Chili, le président est en fait le frère du ministre des finances de Pinochet. Et beaucoup de gens dans ce gouvernement avaient des liens passés avec la dictature et des choses comme ça. Mais j’ai en fait vécu au Chili pendant environ sept ans, je ne l’ai quitté que très récemment, et à contrecœur d’ailleurs. Ma fille est née là-bas, toute ma vie s’est déroulée là-bas, mais bien sûr, avec le début de la crise du COVID-19, du jour au lendemain, presque tout s’est arrêté et les choses sont devenues très rapidement, très totalitaires. La situation actuelle au Chili est que si la quarantaine est déclarée dans la ville ou la communauté où vous vivez, vous n’êtes autorisé à sortir de chez vous que deux fois par semaine pendant deux heures. Cela fait donc un total de quatre heures par semaine, et pour tout cela, vous devez avoir des papiers qui sont fournis par la police via un nouveau site Web de la police. Vous ne pouvez donc pas quitter votre domicile sans l’autorisation de la police, et cette autorisation est très limitée dans le temps car elle inclut le temps de déplacement. Donc, si vous n’habitez pas à proximité d’un supermarché ou d’un endroit similaire, vous avez encore moins de temps pour faire vos courses essentielles.

Elles sont nécessaires pour entrer dans la plupart des grands supermarchés. Bien sûr, il existe des stands de fruits et légumes familiaux qui n’en ont pas nécessairement besoin, mais ce n’est vraiment une réalité que dans les petites villes. Heureusement, je vivais dans une zone rurale qui a évité une partie de tout cela pendant un certain temps, mais les services de garde d’enfants et les choses de ce genre sont devenus très difficiles. Et puis, lorsque la quarantaine a été déclarée là où je vivais, j’ai perdu tout accès aux services de garde d’enfants parce qu’avec ces permissions deux fois par semaine, il n’y a vraiment aucun moyen d’aller déposer votre fille ou votre enfant quelque part et de les récupérer dans la même journée, parce que vous utiliseriez ces deux permissions hebdomadaires en une seule journée, juste pour avoir une garde d’enfants. La seule possibilité serait donc de déposer ma fille quelque part le lundi et de la récupérer le vendredi, et comment cela va-t-il fonctionner ? Ce n’est pas vraiment faisable pour une mère qui travaille.

C’est donc une situation malheureuse, c’est sûr, et il y a eu des cas de personnes arrêtées parce qu’elles n’avaient pas les bons papiers, et cela était souvent appliqué par la police. Et puis, là où je vivais, en décembre, c’est devenu l’armée qui a appliqué ces mesures. Et cela se passe ainsi même dans les petites villes. Si j’avais voulu me rendre dans une petite ville située à 20 minutes de l’endroit où je vivais, j’aurais dû passer par ce qui était essentiellement un poste de contrôle militaire, avoir les bons papiers, autorisations, afin d’être autorisé à aller dans la ville suivante. C’est très extrême.

Et fondamentalement, ce système d’autorisation fonctionne à bien des égards comme ce qu’un passeport vaccinal est susceptible de faire. Mais je pense que dans le cas du Chili, ils ont montré que ce type de système totalitaire peut exister sans passeport vaccinal, il peut juste être mis en œuvre de cette façon sous le couvert de la pandémie également. C’est définitivement une situation malheureuse mais les choses sont, je ne les vois pas vraiment s’améliorer, malheureusement. Et dans la région spécifique où je vivais, il y a une majorité de la communauté indigène du Chili, connue sous le nom de Mapuches, et il y a un problème de longue date entre le gouvernement chilien et eux, et le gouvernement chilien a les yeux sur beaucoup de terres indigènes, en particulier dans les montagnes, avec un intérêt pour l’exploitation minière. Le Chili est bien connu comme une économie centrée sur l’exploitation minière, l’un des plus grands producteurs de cuivre au monde, également producteurs de lithium. Un grand nombre de ces minéraux ont également été trouvés dans le Sud vers la Patagonie, qui est généralement vierge. Mais une grande partie de ces terres est inaccessible aux sociétés minières en raison des lois existantes sur les terres indigènes.

Ils sont donc en train de mettre en place, et depuis l’année dernière, ils ont essayé de déclarer la loi martiale spécifiquement dans cette région, comme un moyen de faire passer les Mapuches pour des terroristes, et de faire cette mise en place sois couvert d’une guerre contre le terrorisme domestique dans cette région particulière. Le fait que je vivais à cet endroit précis a fait que, c’était écrit, il me fallait trouver un endroit où aller à la dernière minute. C’est donc une situation malheureuse, mais je pense que le Chili, comme par le passé lorsque Pinochet était dictateur, est souvent utilisé comme laboratoire d’essai par les États-Unis et certaines autres puissances occidentales. Le néo-libéralisme par exemple, le modèle néo-libéral a été développé au Chili par un économiste formé aux Etats-Unis, formé à l’Université de Chicago. Et d’autres choses se sont produites depuis lors, qui ont également été des expériences. Les Chiliens parlent ouvertement de cette réalité, du fait qu’ils sont souvent utilisés comme laboratoire d’essai pour l’Occident. Et je pense que ce qui se passe là-bas maintenant n’est vraiment pas une coïncidence. Que cela puisse réussir dans un pays occidental dépend vraiment du type de résistance que les gens sont prêts à montrer face à ce type de politique.

C’est une situation malheureuse, mais je pense qu’il est vraiment important que les gens sachent ce qui se passe là-bas, car cela pourrait vraiment se produire n’importe où. Cela se passe dans des endroits comme le Canada, et dans certaines parties de l’Australie. Il est donc certain qu’ils vont de l’avant avec ce type de politiques dans les endroits où ils pensent pouvoir les faire adopter.

Robert F. Kennedy Jr. : J’étais au Chili en 1973 sous le régime d’Allende. Je suis allé là-bas [inaudible] au Atlantic Monthly et j’ai fini par faire un article. Mais j’ai pris part à une révolution pendant que j’étais là-bas et je me suis fait tirer dessus en essayant de sortir du Chili, en essayant de passer en Argentine, j’ai été poursuivi par l’armée et j’ai eu beaucoup d’aventures. Lorsque nous sommes revenus, j’ai assisté à des audiences, des audiences de réfugiés avec mon oncle, qui était à la tête du comité des réfugiés et qui avait fait pression sur le Chili à cette époque. Et les membres du régime au Capitole des États-Unis m’ont dit : « Ne reviens pas au Chili tant qu’Allende est au pouvoir. » Je suis donc resté en dehors du pays jusqu’en 1993, puis j’y suis retourné pour travailler sur un projet pour les Mapuches, et j’essayais de [inaudible] River. C’était probablement la plus grande rivière d’eau vive du monde, à part le fleuve Colorado, ici aux États-Unis.

Après cela, j’ai fait partie d’un groupe qui a aidé à ouvrir une petite rivière à faible débit, en Patagonie, à [inaudible], et j’y suis allé presque chaque année en mars pour faire du kayak et du rafting en eau vive. Mais mes enfants étaient là-bas récemment et se sont retrouvés, par un heureux hasard, avec un groupe de Mapuches près de la ville de [inaudible], et ils les ont emmenés à la cérémonie de [inaudible], et c’était vraiment un facteur incroyable de changement de vie, en particulier pour l’un de mes fils. C’était intéressant pour moi d’entendre ces histoires quand je suis revenu.

Mais j’adore le Chili, j’essaie d’y aller autant que possible, et en fait, la présidente du Chili [inaudible], et mon oncle était [Kaddy] était, à l’époque où il était mourant, elle a pris l’avion pour pour lui présenter la plus haute médaille civile du Chili, pour le travail qu’il avait fait en faisant pression sur [inaudible] pour finalement faire les élections qu’il a perdues, et a amené le président Aylwin, qui était le premier président après Pinochet.

Bref, je ne veux pas devenir [inaudible], je pourrais vous parler toute la journée du Chili. Whitney Webb, c’est un tableau effrayant d’un monde effrayant que vous peignez, et merci de continuer à sonder, et de continuer à nous informer. Le site web de Whitney Webb s’appelle…

Whitney Webb : Unlimitedhangout

Robert F. Kennedy Jr. : Vous pouvez lire les reportages d’investigation de Whitney Webb sur son propre site web, et vous pouvez également voir ses écrits sur The Defender, et sur The Last American Vagabond. Allez sur Amazon et achetez dès aujourd’hui son livre sur Bill Gates et Jeffrey Epstein. Faisons en sorte qu’il devienne numéro un sur la liste des meilleures ventes. Et le nom de ce livre est ?

Whitney Webb : One Nation Under Blackmail. Il s’agit en fait de l’union entre le crime organisé et les agences de renseignement, les États-Unis et Israël qui ont donné naissance à Jeffrey Epstein, car il n’est qu’une pièce d’un réseau beaucoup plus vaste.

Robert F. Kennedy Jr : Très bien. Whitney, merci de vous joindre à moi. Continuez à faire du bon travail.

Whitney Webb : Absolument, tout le plaisir est pour moi. Merci beaucoup.


Whitney Webb est l’auteur de « One Nation Under Blackmail », écrit pour son site Web, Unlimited Hangout, ainsi que pour The Last American Vagabond et The Defender, couvrant des sujets sur le renseignement, la technologie, la surveillance et les libertés civiles.
Pour rester en contact avec Webb et son travail, suivez-la sur Twitter ou achetez son livre.

jeudi, novembre 24, 2022

Fin de vie et franc-maçonnerie


Jeudi 24 novembre 2022 à Paris 

Conférence publique organisée par le Grand Orient de  France et la Grande Loge mixte de France avec projection du film "Les mots de la fin" suivie d’un débat sur la fin de vie.


Selon le prof. Lozac'hmeur, les francs-maçons œuvrent à l'avènement d'un monde totalitaire et résolument prométhéen. "Cette civilisation aura pour objectif la divinisation de l'Homme par le développement des sciences et des techniques. Dans cet univers globalisé d'où famille et patrie auront disparu, on pratiquera l'eugénisme et l'euthanasie. L'individu, libéré des règles de la morale, pourra s'adonner aux passions les plus viles. Quant aux religions, elles auront été unifiées au sein d'une Eglise Universelle ayant pour loi la religion de Noé chère aux Kabbalistes."

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BONUS


Le programme canadien d’euthanasie volontaire appelé Aide médicale à mourir ( AMM ) est devenu légal en 2016. Le programme fait partie du système de santé canadien. Pour bénéficier de l’euthanasie, les patients éprouvant des souffrances intolérables doivent signer une demande écrite exprimant leur souhait de mettre fin à leurs jours. En 2021, plus de 10 000 personnes ont choisi l’euthanasie, une augmentation de plus de 32 % par rapport à l’année précédente, ce qui représente 3,3 % de tous les décès au Canada.

Selon le dernier rapport sur l’aide médicale à mourir de Santé Canada, 17,3 % des personnes ont également cité « l’isolement ou la solitude » comme raison de vouloir mourir. Dans 35,7 % des cas, les patients pensaient qu’ils étaient un « fardeau pour la famille, les amis ou les soignants ».

La loi a été modifiée pour rendre le programme accessible aux personnes dont le décès n’est pas médicalement prévisible. Il a également été modifié pour inclure les personnes atteintes de démence qui pourraient ne pas être en mesure de comprendre les implications de leur décision. La décision d’accéder au suicide médicalement assisté concernera également les personnes dont le seul problème médical est un problème mental. Cet amendement entrera en vigueur l’année prochaine. [...]

Aux Pays-Bas , où un quart de tous les décès sont désormais dus au suicide assisté, l’euthanasie est utilisée pour les bébés de moins d’un an présentant des “déformations graves” et des “syndromes médicaux très graves”. Les médecins du Canada font pression pour que le système de santé adopte cette politique.

L’euthanasie, où les médecins utilisent des drogues pour tuer des patients, est légale dans sept pays – Belgique, Canada, Colombie, Luxembourg, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande et Espagne – ainsi que dans plusieurs États d’Australie.

D’autres pays, dont plusieurs États américains, autorisent le suicide assisté – dans lequel les patients prennent eux-mêmes le médicament mortel, généralement dans une boisson prescrite par un médecin.

Tous les pays qui ont légalisé l’euthanasie ont des soins de santé universels financés par le gouvernement .

Mais les services d’euthanasie se développent. Le Dr Philip Nitschke, un médecin suisse qui a fondé le groupe pro-euthanasie Exit International, a récemment demandé aux membres du gouvernement écossais d’adopter des capsules imprimées en 3D pour le suicide assisté. Les “pods Sarco” permettraient aux utilisateurs d’être enfermés dans une chambre hermétique qui est ensuite remplie d’azote gazeux, les rendant inconscients en une minute et morts en dix minutes. L’utilisateur appuierait sur un bouton pour libérer le gaz, mais la nacelle comporte également un bouton d’arrêt d’urgence et une trappe d’évacuation.

Bien que le programme canadien soit décrit comme « Mourir dans la dignité », le gouvernement a un intérêt financier à promouvoir le suicide médicalement assisté. Selon une étude publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne, l’aide médicale à mourir pourrait réduire les dépenses annuelles en soins de santé à l’échelle du pays de 34,7 à 136,8 millions de dollars.

Extraits d'un article d'Adam Eliyahu Berkowitz traduit par Pleins Feux.


Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...