dimanche, novembre 27, 2022

La vérité se trouve de l’autre côté du miroir


« Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale…

C’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable "Golem", dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la "caste dominante". »



La vérité se trouve de l’autre côté du miroir


Par François Dubois 


"De l’autre côté du miroir" est la suite d’"Alice au pays des merveilles". 

Le miroir offre un reflet qui n’est pas la réalité. Si cette image paraît semblable en tout point à ce qu’elle reflète, elle en est la représentation symétriquement inversée. Il s’agit là d’une allégorie qui nous montre que tout ce qui est falsifié résulte par essence d’un processus d’inversion du réel, et que ce qui n’est pas réel est par essence trompeur. 

Le miroir matérialise également notre volonté d’aller chercher une réalité non objective à travers le symbole de falsification du réel qu’il représente. Une absence d’objectivité en lien avec l’ego et le narcissisme. C’est le symbole du miroir dans Blanche-Neige où il répond à une question subjective, « Qui est la plus belle ? » comme s’il était pourvoyeur d’une vérité universelle. Il constitue donc le piège hypnotique parfait utilisable par quiconque souhaite se dissimuler derrière lui pour agir à l’abri des regards. Il est l’outil de captation narcissique idéal qui inscrit celui qui le regarde dans un faux attendu au point de lui faire croire que cette représentation inversée du monde est sa propre réalité. 

Or la vérité se trouve de l’autre côté et ne répond pas forcément à une attente ou à quelque chose de souhaité. Elle existe, qu’on le veuille ou non, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Ainsi voir ce qui se passe de l’autre côté du miroir c’est capter la vérité dissimulée en même temps que comprendre les mécanismes utiles à son décodage.

Aujourd’hui, l’écran télévisé est la prolongation spectaculaire du miroir. Grâce à lui, le spectacle peut s’inviter dans l’intimité d’un foyer. Reflet tronqué et subjectif de la réalité, il se fait passer pour ce qu’il n’est pas : une fenêtre objective ouverte sur le monde. L’écran devient à son tour l’objet qui maintient le spectateur dans une interprétation illusoire de la réalité. 

Nous vivons dans un monde où celui qui possède le contrôle des médias télévisés devient détenteur d’une arme de falsification du réel derrière laquelle il peut se dissimuler pour agir en toute liberté. Comme le miroir, il répond aux attentes du spectateur, lui offrant le faux attendu au point de l’instituer comme une vérité nouvelle et acceptée… Et de devenir une véritable fabrique du consentement !
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L’histoire d’Alice au pays des merveilles repose sur cette logique d’inversion et de falsification du réel. Aussi se compose-t-elle en trois strates. 

La première est le monde normal, un monde vécu sans être compris, dans lequel Alice est ancrée par la force des choses. 

La seconde est la représentation inverse et spectaculaire de ce monde : le monde des merveilles, auquel la jeune Alice aspire au début, par volonté de s’affranchir du conformisme et de la rigueur du quotidien. Ce dernier est un monde qui s’érige en faux et qu’elle va expérimenter comme une nouvelle réalité. Agissant comme un leurre, il est destiné à dissimuler la véritable nature du monde (ignorée du profane) par le biais d’un processus d’inversion. Comme le miroir, il est un reflet de la réalité qui conduit le spectateur à la réinterpréter de façon spectaculaire comme un récit burlesque et dénué de sens. La réalité est exactement l’inverse. 

Mon livre offre ainsi au lecteur la possibilité de découvrir la troisième strate, qui se situe de l’autre côté du miroir. Ce regard initié permet d’analyser le sens que revêtent ces symboles spectaculaires rapportés au fonctionnement de notre monde et d’en dévoiler les maux dissimulés. L’ouvrage décode ainsi le parcours initiatique d’Alice et permet de réfléchir sur l’objectif et le sens à donner à cette entreprise de dissimulation. [...]

C’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable "Golem", dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la "caste dominante". 

Ce que vous qualifiez « d’élite » est, par essence, constitutif d’une catégorie de personnes minoritaire et endogame contrainte d’élaborer en permanence des stratégies afin de conserver ses privilèges dans le temps. Cette catégorie de personnes est apatride et nomade, elle exploite les ressources du globe et les richesses des peuples avec une cupidité indispensable au renforcement du caractère absolutiste de son pouvoir. 

Ayant compris que toute richesse est quantifiable, et donc limitée, elle entend mettre toutes les chances de son côté en spoliant les peuples afin de satisfaire sa volonté de toute puissance. C’est un état de faits, la répartition des richesses n’a jamais été aussi inégalitaire qu’à l’heure où nous nous parlons. 

À ce jour, une telle accumulation de richesses devient inaccessible au commun des mortels. C’est pourquoi ceux que nous définissions il y a peu comme appartenant à une « hyperclasse » ne s’assimilent désormais plus à une classe (puisque la notion de classe autorise les transitions) mais à une caste. Ainsi le capital autorise-t-il avec ses propres outils une endogamie, essence même de l’élitisme, qui permet à ce groupe de prospérer dans l’entre-soi et qui a existé autrefois, sous d’autres formes, dans des rapports de domination plus directs (transmission par le sang de la noblesse par exemple). Cette injuste situation, qui se manifeste de surcroît par un parasitisme mortifère, doit pouvoir, malgré tout, continuer à instituer la domination de ce groupe en même temps que contribuer à sa survie. Si elle veut perdurer, cette caste doit donc inscrire l’humanité dans un rapport de domination et d’exploitation non consenti qui doit relever d’un processus de soumission inconsciente des masses. Cela doit être compris pour justifier la nécessité qu’elle a à se faire oublier. Pour fonctionner, cette dissimulation obéit à trois règles : possession, manipulation, contrôle.

Le groupe dominant (je n’aime pas trop l’appeler « élite » car cela sous-entend qu’ils sont les meilleurs d’entre nous) utilise donc en premier lieu les indispensables richesses qu’il possède pour se fondre dans l’ensemble des acteurs constitutifs de la société du spectacle. Ce groupe s’est petit à petit spécialisé dans la création de conglomérats et dispose désormais d’une mainmise sur l’ensemble des secteurs stratégiques clés à travers ses réseaux. Ce que j’avance ici se constate dans les faits,. Il suffit d’observer comment s’est diversifiée l’activité économique des plus grands milliardaires ces dernières années, ou encore d’observer quand les stratégies de défense du spectacle deviennent manifestes et révèlent ce jeu de possession (voir la réaction de Cyril Hanouna lorsqu’on parle des activités occultes de Vincent Bolloré sur sa chaîne). Mais la dissimulation du pouvoir réel, spoliateur et parasitaire, ne peut pas se résumer à un simple jeu de possession et n’est rien sans les outils de la manipulation spectaculaire.

Ainsi, la seconde règle consiste à organiser la manipulation spectaculaire par le biais de leviers utiles à créer des narrations dont le but est de légitimer toutes les actions menées contre l’intérêt des masses. Il est question de porter une idéologie pour dissimuler des intérêts purement économiques utiles au pouvoir réel. C’est là qu’interviennent les pouvoirs d’apparat, c’est-à-dire le politique et les médias. Ils sont les dépossédés victimes de la règle numéro une, transformés par la force des choses en exécutants. Ils ne sont pas choisis mais « placés » par le jeu des soutiens financiers et des cooptations. Ainsi, c’est le réseau Rothschild-Soros-DSK-Attali-Minc qui donne en bout de chaîne Emmanuel Macron, véritable « Golem » dont la mission consiste à élaborer toutes les stratégies narratives qui conduiront à la destruction du modèle social français et de son État providence au profit de la « caste dominante». 

A l’aide des médias complices et subventionnés, appartenant eux-mêmes à des réseaux facilement identifiables, il entend poursuivre l’œuvre dissimulée de ses prédécesseurs depuis la chute organisée du général De Gaulle. Ce président est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale et nous dévoile par ailleurs, la perception eschatologique de la dimension dans laquelle il s’inscrit en évoquant « face-média » la bête de l’événement. Il est aussi intéressant de noter que contrairement au pouvoir réel, le pouvoir d’apparat, dans une grande cohérence spectaculaire, a impérativement besoin d’être vu et de susciter l’adhésion pour participer à l’illusion démocratique.
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Ce qui nous amène à la troisième règle indispensable à la dissimulation : le contrôle des masses. Je ne reviendrai pas sur les stratégies mises en œuvre, mais le contrôle de la pensée devient de nos jours un outil de dissimulation majeur. Cela se produit en détournant les attentions, en horizontalisant les conflits et en réduisant les capacités intellectuelles. J’entendais il y a peu, Jacques Attali, venu faire la promo de son dernier livre qui traite de l’école, expliquer sur France Culture, avec sa suffisance habituelle, que les gouvernements déterminaient les niveaux scolaires en fonction de leurs besoins.
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Pour conclure, je dirais que actuellement un problème plus grave se pose. Cette caste dominante a compris que son unique point faible était son parasitisme, autrement dit, sa dépendance aux peuples et l’obligation qui en résulte de se cacher. Elle compte y remédier en investissant massivement dans les nouvelles technologies, l’I.A, le transhumanisme, la virtualisation et l’automatisation (ne croyez pas qu’Elon Musk est un ami parce qu’il a acheté Tweeter). C’est l’un des objectifs du « great reset ». L’ère du tout numérique sera le « verrouillage final » qui scellera le destin de l’humanité. Comme le souligne Yuval Noah Harari, nous irons ainsi vers un modèle sociétal qui va produire de nombreux « inutiles », entendez en réalité que d’ici là, il ne sera plus nécessaire à cette caste de vampiriser le monde pour exister… Et comprenez que pour autant, elle entendra toujours asseoir sa domination en s’accaparant les richesses et en utilisant les technologies pour exercer un pouvoir absolu. Pourquoi ces futurs « dieux » devraient-ils alors s’embêter à gouverner toutes ses bouches devenues inutiles et se multipliant sans cesse ? Ces paroles s’inscrivent dans un contexte narratif où l’idéologie néo-malthusienne bat son plein, posant désormais la démographie comme une problématique en lien avec le partage des ressources… C’est très inquiétant.

Extraits de l'article du Media en 4 4 2 :


Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...