jeudi, décembre 08, 2022

Les Prédateurs


Des injectés et des non-injectés

Par Prajñâ


Être informé de ce qui détermine les comportements humains qui produisent la souffrance, l’insatisfaction, peut permettre de mieux les comprendre pour ensuite être capable de s’en libérer. Il n’est d’ailleurs aucune autre possibilité que la « compréhension de l’abandon » vers l’abandon, du moins et au minimum : apprendre à simplifier. « Il me suffit de peu. Il me suffit d’un rien. Il me suffit de pas un » écrira Montaigne. Cette compréhension est réservée à ceux qui sont capables de pratiquer le « doute libérateur » et de « pouvoir ne pas croire ». La souffrance affirme l’ego davantage que le bonheur et l’origine de la souffrance sont les soifs surtout par confusion entre les besoins et les désirs ; ces soifs viennent de l’ignorance, de l’aveuglement, de la non-connaissance de soi : la soif ou désir ardent des plaisirs sensuels, la soif d’existence par l’affirmation de soi à tout prix et la soif de non-existence encore plus erronée. L’homme à l’intelligence fermement établie est l’homme intérieur qui a le courage de réfléchir, hors esprit de troupeau, ni dominant ni dominé. Nous nous contenterons ici d’exposer quelques données essentielles comme des pistes d’investigation à développer et à vérifier « par sa propre recherche ».

Il serait bénéfique de connaître l’influence des cerveaux reptilien, mammifère et néocortex humain pour comprendre combien les deux premiers déterminent les comportements, le néocortex associatif, très développé chez l’humain, étant constamment sous influence des deux premiers.

Quatre comportements conditionnés sont vérifiables chez l’animal comme chez l’animal-humain par « action-réaction » et « inhibition de l’action ».

Deux sont innés :

1 – le comportement de l’action immédiate de consommation, simple et banal : boire, manger, copuler.

2 – Le comportement de fuite et le comportement de lutte.

Deux sont acquis :

1 – Le comportement de l’action récompensée ou permettant d’éviter la punition.

2 – Le comportement par « inhibition de l’action » qui résulte de l’action empêchée, punie ou non récompensée. Cette « inhibition de l’action » résulte de l’impossibilité de fuir ou de lutter qui entraîne la plupart des « maladies organiques et mentales de l’inhibition comportementale », expression plus juste que « maladies psychosomatiques ».

C’est ainsi que des dominants psychopathes se sont emparés de ces notions et de bien d’autres pour établir la manipulation et le contrôle mental des masses, afin de satisfaire leurs « soifs » ce qui ne peut que les conduire à leur propre perte. Les techniques de manipulation existaient bien avant ces découvertes scientifiques comme dans l’antiquité puis comme dans l’inquisition. Nous pouvons constater que les dominants n’ont jamais de limite dans la monstruosité de leurs actes.

Mais il faut pour les « infantiles », y compris dominants, un « ordre », et c’est ainsi que l’on voit apparaître au fil des temps des organisations de maintenance, « religions » surtout, appuyant, confortant les systèmes politiques avec tous les excès, et ils sont nombreux, que ces maintenances sont obligées d’assumer pour un « ordre » avec, toujours, reconnaissance et punitions, ciels et enfers, … sociétés harmonieuses (!). Constatons l’apparition d’un ego, d’un « moi », que l’humain ignorant voit comme autonome, essentiel, perdurant. De là, les catastrophes positives ou négatives : possession-rejet, amour-haine, acceptation des autres et refus des autres ; de cette obnubilation, de cette obsession, de cette « folie » vont sortir : luttes, massacres, inquisitions, guerres, tortures, passions, etc., … ou bien sacrifices, dévouements, martyrs, etc., … et ceci de tout temps.

Après ces quelques propositions voyons maintenant ce que Alexandra Henrion-Caude, meilleure généticienne française, vient de déclarer récemment :

« Ils injectent un code génétique dans votre organisme. Ce n’est ni un vaccin, ni une thérapie génique. C’est une injection de code génétique sur des gens sains qu’on veut reprogrammer.
Moderna appelle cela le « software of life … ».


Le médecin chef de Moderna dira en 2017 : « Je suis ici aujourd’hui pour vous dire que nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie ».

Comprenez-vous maintenant pourquoi ils parlent de Grande Réinitialisation ?!

C’est donc bien une « expérience » sur les humains comme les médecins nazis le faisaient. Ce dont parle Alexandra H.C., c’est de « l’expérience » actuelle et les injectés sont l’expérience ! Tout a été programmé depuis des décennies. Les conséquences de ces injections sont déjà visibles partout. C’est criminel. Les intentions cachées se révèlent diaboliques. Les injectés qui survivraient seraient modifiés et leur cerveau perdrait certaines de ses facultés humaines essentielles. Mais ce ne serait pas le fantasme de l’homme augmenté mais plutôt de l’humain diminué. Il n’y aurait même pas besoin d’interdire de réfléchir puisque cette faculté humaine aurait disparue. Nous nous orienterions alors vers une humanité de zombis obéissants et asservis et ce serait cela le Trans–humanisme de Julien Huxley, de Henri Kissinger, de Klaus Schwab, de Jacques Attali, de … etc … Macron & Co. ?

« Donnez-leur du pain et des jeux ». (adage Romain pour gouverner l’empire).

« Répétez 1000 fois le même mensonge, il devient une vérité ». Joseph Goebbels sera nommé par Hitler en mars 1933 ministre de l’éducation du peuple et de la propagande du Reich pour mettre en place la dictature nazie. La presse allemande sera organisée par lui pour devenir « un piano » sur lequel le politique pourra jouer à sa guise !

Les temps n’ont pas changé mais en pire ; de plus : « Pourquoi mentir avec des mots quand il est si facile de mentir sans rien dire ».

« Le mot complotisme n’a aucun sens, c’est une insulte », dira Ariane Bilheran. Ce mot sera inventé par la C.I.A après qu’ils eurent assassiné J.F. Kennedy suite à son discours mémorable aux américains, pour ensuite empêcher les gens de penser. C’est toujours le cas et ce que nous vivons au quotidien.

Les marques d’infamie du politique et du religieux ont toujours été le mensonge et la corruption. MAIS, si parfois, il arrive que :

Quand le politique ne ment pas c’est qu’il est éclairé.
Quand le religieux ne ment pas c’est qu’il est éveillé.
Quand les deux se rejoignent, le peuple est alors éduqué par et pour la dignité.

Se contenter de la psychologie occidentale est insuffisant. Si elle garde sa valeur, elle est cependant dépourvue de la Vision stéréoscopique de l’humain que donne seulement l’Intuition Métaphysique qui dévoile les limites des concepts, limites dont les sciences parfois éclairantes souffrent aussi et toujours. Le scientifique cherche, c’est la manie d’un malade de la recherche à trouver toujours un nouveau « truc » et ainsi de suite… au final pour des résultats misérables plus entropiques que néguentropiques. Ce n’est nullement l’I.A. qui pourrait donner cette Vue Profonde car l’Intuition métaphysique ne pourra jamais être constituée par quelque algorithme !! C’est un mythe, un fantasme stupide, et voilà la médiocratie de la recherche profane. C’est pour cela que tous les fous qui nous dirigent touchent à leur fin qui sera leur karma infernal dans le monde de leurs désirs inassouvis. « Ils ne savent pas qu’ils ne savent pas », ils croient savoir, ils ne connaissent rien tant qu’ils ne se connaissent pas. Cette Vue profonde dont nous parlons se rapporte à l’intemporel, l’atemporel, l’impersonnel, l’a– conceptuel, le préfixe « a » signifiant « absence de » qui n’est ni affirmation ni négation. Elle ne peut être connue qu’à partir d’une éthique fonctionnelle incontournable ou la notion d’Amour est, elle aussi, métaphysique en développement de la Connaissance métaphysique qui est impersonnelle, car si elle appartenait à un « moi » elle serait mensongère.

La métaphysique occidentale est devenue intellectuelle, vague et noyée dans un dualisme incompris, sans aucun contenu Libérateur ; elle a quasi disparue d’Occident ; pour des Chrétiens subtils par leur Tradition primordiale, elle est encore retrouvable, si recherchée, dans un hésychasme érémitique oriental aussi et surtout chez Maître Eckhart en Occident. Ne cherchez pas une quelconque métaphysique au Vatican car elle a quitté définitivement les lieux depuis Vatican II. Peut-être est-elle encore existante chez des Chartreux ou autres ?

La psychologie de l’Inde antique, essentiellement bouddhique, est développée dans « l’Abhidarma : Dharma suprême » ; c’est dans cet Abhidharma que sont rassemblées, en quasi-totalité, les notions psychologiques, aucunement comparables à la psychologie occidentale tant dans la démarche dialectique que dans l’utilisation des termes, difficiles ou même impossibles à rendre en langage occidental d’autant que les langues dites vivantes deviennent des langues appauvries, incapables, quasi mortes, contrairement au Sanskrit par exemple qui est toujours vivant et éveillant. L’hébreu, le grec ancien et le latin sont aussi toujours des langues vivantes éclairantes, n’en déplaise aux modernes.

La connaissance de cette psychologie orientale serait éminemment intéressante pour les psychologues, les psychanalystes et les psychiatres, bien que le Dharma ne soit pas fait pour guérir des malades, ainsi nommés par rapport à l’homme ordinaire, mais bien pour guérir les hommes ordinaires considérés comme malades par rapport à l’homme Libéré. Mais peut-être ces spécialistes pourraient-ils y trouver l’occasion de cette guérison, ce qui leur permettrait de guérir aussi les soi-disant bien portants ?!

Le mot grec « persona » signifie « masque » et les acteurs grecs sur l’Agora, lorsqu’ils jouaient une pièce de théâtre, portaient un masque derrière lequel se trouvait l’individu avec ses caractéristiques psychologiques, aussi dans un théâtre Tibétain pour éduquer le peuple.

Le mot grec « phainomenon » signifie « apparence », les phénomènes n’étant que des apparences. Ne dit-on pas : quel curieux « phénomène » cet « homme de paille » « cet homme d’apparence » ! Quand un gouvernement est composé « d’hommes et de femmes de pailles » on voit le résultat très actuel.

Depuis le Covid inventé et fabriqué, beaucoup de « masques » sont tombés ou en cours de tomber. La « personne » ne pourra plus que difficilement cacher l’individu qui la caractérise. Il est dit que ceux qui ont fabriqué cet immense scandale sanitaire, et qui sont responsables des conséquences meurtrières des injections, par exemple, ne pourront plus marcher dans les rues. S’ils ont voulu imposer leurs mensonges et leurs corruptions et cherchent à en faire « leur norme invraisemblable », leur moyen de gouvernance, attendons de voir la suite… sans crainte.

La racine sanskrite « men » a donné le mot sanskrit « manas : mental », Le mot sanskrit « manusya : être humain », d’où les « manouches » venus d’Inde, le mot anglais « man : homme » et le mot « mensonge » … le mot « manipulation » en serait peut-être dérivé …

Le mot « corruption » dont Ariane Bilheran parle avec clarté dans sa conférence sur « la corruption philosophique et psychologique, aussi fraudes épistémologiques », vient du latin « corrumpere », de « rumpere : rompre », donc « rompre ensemble, avec… ».

Le mot corruption signifie aussi :

1– Altérer ce qui est considéré comme juste, sain, correct ; des spectacles stupides qui corrompent le goût ; corrompre la langue en falsifiant le sens des mots. Déformer, gâter, troubler. Le contraire c’est assainir ou purifier.

2 – Pervertir quelqu’un, un groupe, altérer ce qu’il y a de sain et d’honnête en eux ; l’argent facilite les trafics et corrompt. Débaucher, dégrader, dépraver, gangrener, pervertir, vicier. Le contraire est de respecter une éthique dont la morale est une branche nécessaire aux équilibres.

3 – Séduire quelqu’un par des présents ou des promesses, l’amener à agir contre sa conscience ou les devoirs de sa charge ; soudoyer, suborner, tenter de corrompre un fonctionnaire pour obtenir un marché. Acheter quelqu’un, stipendier.

4 – Gâter une matière par décomposition, par putréfaction comme la chaleur corrompt la viande. Abîmer, avarier, décomposer, faisander, pourrir, putréfier.

Ces verbes qualifient nos sociétés modernes occidentales matérialistes. Le covid, les faux vaccins, la fausse urgence climatique, la fausse pénurie d’énergie, la folie furieuse et trompeuse d’un passe-carbone à visée totalitaire, etc … concrétisent et valident le champ sémantique du mot « corruption » dont chacun peut voir les effets multiples.

La corruption et le mensonge se sont révélés au grand jour des pandémies systémiques pour inhiber le sens critique, sidérer, empêcher d’agir. La peur, la crainte et la terreur ont envahi beaucoup de disposés à accepter l’inacceptable, la peur se mélangeant à la bêtise entretenue par « la lâcheté de pantins : media, politique, religieux égaré, universitaire ambitieux, médecin et pharmacien avides, juriste vendu ou acheté, etc.

Le mot « lâcheté » vient du latin « ignavia » qui signifie aussi paresse. Manque de dignité, défaut de courage, action basse et indigne d’un homme d’honneur, couardise, pleutrerie, poltronnerie, faiblesse, manque d’énergie, de fermeté, de courage moral qui pousse à des actions viles, voire cruelles.



Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...