par Sigismond De La Chesnaie
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces trois grandes religions monothéistes que sont le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam représentent non pas un éveil spirituel des peuples auxquels elles furent destinées, un éveil qui aurait cherché à les libérer d’une soi-disant barbarie païenne, mais en réalité une continuité chronologique dont le rôle fut de préparer un terrain propice au plan multiséculaire du Nouvel Ordre Mondial.
Les peuples dépositaires de ces trois mouvements, ainsi portés à croire en leur salut par un Dieu devenu unique ne furent alors pas en mesure d’appréhender la subtilité et la puissance du carcan mental dans lequel la « parole de Dieu » allait désormais les enfermer. Afin de mieux faire avaler la pilule, les livres sacrés et les Écritures n’eurent de cesse de faire croire aux masses ignares en la bonté du Créateur, un Dieu infiniment bon et donc insurpassable dans ce domaine. En d’autres termes, le monde autour de soi devenait simplement l’œuvre de cette entité merveilleuse dont les actes de bienveillance et de charité représentent le quotidien de la vie de tout un chacun. Pendant que les peuples croulaient sous les guerres, les conflits de toutes sortes, les maladies et autres pandémies, etc., ceux-ci se devaient donc de continuer à croire en un Dieu miséricordieux et plein d’amour. Une grande subtilité de ces religions dites du Livre, c’est-à-dire inspirées par le monothéisme de l’Ancien Testament, fut d’avoir procédé à une inversion de valeurs quant à la notion même du Bien et du Mal. Ainsi, si Dieu représente le Bien absolu, la quintessence universelle de la Bonté et de l’Amour, son grand ennemi, Satan ou le Diable, devient donc le Prince des Ténèbres, quintessence universelle du Mal et de la Haine.
Satan – Sanatan – Satanama – Satyam
Nous évoquions plus haut la notion de continuation dans l’établissement de ces grands mouvements monothéistes. En effet, en mettant l’accent sur le matérialisme et l’accaparement de richesses, le Judaïsme chercha à asseoir par-là même le pouvoir matériel et la domination des premiers destinataires de cette trilogie monothéiste notamment avec l’émergence du terme de « Peuple Élu ».
Envahissement calculé de l'Occident
Entités immatérielles
Kabbale juive
Cabale chrétienne
La Cabale chrétienne, avec un C, courant inauguré par le théologien et humaniste juif italien Jean Pic de la Mirandole (répertorié à la JVL), consistait à adapter en particulier au Nouveau Testament les techniques d’interprétation kabbalistique.
Qabbale islamique
Et il y eut bien-sûr la Qabbale islamique, avec un Q, agissant selon les mêmes principes.
Aspect diabolique des Écritures
Pour en revenir au Christianisme, si la religion du Christ a contribué grandement à l’édification de la société occidentale par l’intronisation de jolis principes de morale et de conduite, il ne faut pas pour autant faire fi de l’époque où la religion de ce même Christ causa des ravages immenses aux quatre coins du monde au nom d’un Dieu plein d’amour. Dans le contexte de cet ouvrage, on se rappellera par exemple les actions « exemplaires » du roi Charlemagne en terre des Saxons, personnage qui fut réhabilité par nul autre que le chef du IIIe Reich. Plus généralement, cet aspect diabolique des Écritures avait été mis en lumière notamment par l’auteur québécois Normand Rousseau dans trois essais, La Bible immorale, La Bible démasquée et "Le Coran démasqué" (les deux premiers étant parus aux éditions Louise Courteau, le 3ème étant toujours en quête d’un éditeur potentiel – cela est-il curieux dans le contexte actuel ?). Quant à ce fatras d’histoires d’acceptation de l’autre, de pardon ou d’humilité, on est en pleine mesure aujourd’hui d’en apprécier les dégâts sur les populations autochtones d’Europe incapables pour la plupart de riposter autrement que passivement contre la menace islamique.
Holocauste hindou
La « bonté » du Créateur
Pourquoi ne pas plutôt expliquer ce “divin mystère” ainsi : « Si le bon Dieu permet autant d’horreurs, c’est peut-être qu’il n’est pas si bon que çà » ? Est-il alors loisible de se demander à quoi pourrait justement ressembler un tel monde si ce Créateur « infiniment miséricordieux » n’était ne serait-ce qu’un chouia moins bon ?
Il ne faut justement pas se fier au caractère antisémite de la Bible et du Coran ; nous l’avons vu, les Juifs ont aussi cette particularité incroyable de dénoncer ce qu’ils ont eux-mêmes créé et par la même occasion, de se pointer du doigt dans la responsabilité des maux de la terre, ce qui tend à donner un caractère authentique aux Saintes Écritures afin de faire passer tous les versets ou sourates pour pareillement authentiques, les croyants et fidèles étant dès lors convaincus de la sainteté de leur religion et appliquant alors sans réflexion aucune les préceptes et dogmes « divins » de leurs crédos respectifs.
Antisémitisme
Nous l’avons encore souligné, l’antisémitisme est une arme terrible, dès lors qu’il reste entre des mains juives et la Bible et le Coran ne font pas exception à la règle. Par exemple, la dépossession de biens matériels telle que prônée par le Christianisme ne servirait-elle pas dans cette optique la cause du Juif accumulateur de richesses ainsi libre de récupérer ce que le Chrétien estimera nuisible à son salut ? Aussi, la prohibition de l’usure ou vente de biens avec intérêts telle que mentionnée dans la Bible et le Coran permit aux Juifs d’en être par conséquent les seuls jouisseurs, renforçant d’autant leur pouvoir et domination inaugurés par la première grande religion du Livre.
Chevaliers usuriers
Albert Pike
Source :
De La Chesnaie Sigismond, "Malô Lilâk" (Tome II)
Téléchargement gratuit de "Malô Lilak I" et "Malô Lilak II"