vendredi, décembre 12, 2014

Freud & la kabbale


Dans un curieux ouvrage, le juif américain David Bakan vient de dévoiler que le freudisme est un avatar de la (prétendue) mystique juive, un travestissement laïcisé.

Le Prof. Baruk, et bien d'autres, avaient déjà fait remarquer que la psychanalyse était plutôt une (fausse) religion qu'une science. Elle a ses dogmes et ses rites, et surtout. son interprétation presque mystique, en tout cas, fort peu contrôlée. Le propre de la Science c'est que l'hypothèse doit ensuite être passée au feu de la vérification. Alors seulement elle se transforme en fait scientifique. Dans la psychanalyse, l'hypothèse, c'est-à-dire l'interprétation fournie par son auteur, le médecin doit être contrôlé par le résultat thérapeutique. Or, sur ce point, les résultats sont bien maigres. On ne connaît que très peu de cas d'obsessions guéris par la psychanalyse malgré l'intense propagande de ses disciples.

Au contraire, le prof. Baruk a dû « dé-psychanalyser » des sujets, « c'est-à-dire, recoudre, au sens propre du mot, le tissu mental qui avait été mis en pièces », en vue de les guérir par sa méthode de Justice et de Confiance.

Joseph Breuer avait guéri une jeune hystérique en 1894... Freud s'empara de cette expérience pour en tirer une interprétation sexuelle alors que Breuer avait bien spécifié que jamais l'amour ne s'est manifesté dans la vie mentale de cette jeune fille. Mais Freud, « qui passa toute sa vie dans un monde virtuel, un monde composé presque exclusivement de Juifs » est un névrosé en révolte contre la vérité.

Le Dr F. Pasche, préfaçant l'étude de Bakan, écrit : « Pour Freud, le surmoi avait un visage, celui de Moïse, et un langage, les interdits et les injonctions du Décalogue. N'est-ce pas le dogme kabbalistique d'une énergie divine, créatrice, sexualisée qui est à l'origine du concept de libido ? N'en est-il pas de même des notions freudiennes d'instinct de mort, sécularisation de l'esprit du Mal — de bisexualité — le Dieu de la Kabbale est bisexuel — de l'inceste comme crime mythique, de l'assimilation de la connaissance à l'inceste, etc.... Tous ces délires sont en effet kabbalistiques.

Freud a voulu « tuer Moïse », c'est-à-dire, s'émanciper du Décalogue et, en même temps, laïciser le Zohar. Comme il le prétend, « seul un juif pouvait créer la psychanalyse ». Rectifions. Seul un infra-juif, névrosé, pouvait avoir le toupet de présenter comme science un ramassis de délires. Disons que, vu l'ignorance par les Goïm (christianisés depuis 20 siècles) du satanisme zoharique, seul un infra-juif pouvait être initié au kabbalisme et en profiter pour le transposer.

Freud fut initié par le Dr Wilhelm Fliess avec lequel il entretint une correspondance de 1887 à 1901, correspondance où il fait figure d'adepte.

Ce docteur était un fervent de la numérologie. Pour lui, le cycle mâle était de 23 jours, le cycle femelle de 28. La mort de Goethe est survenue au 30 156 jour de sa vie, soit 1 077 cycles de 28 jours... féminin (type de bisexualité). « Goethe est mort quand la 1 077 menstrue féminine eut épuisé la dernière parcelle de sa merveilleuse constitution » !

Freud finira par « désespérer des extravagances scientifiques de Fliess » mais fit bien pis en introduisant la Kabbale laïcisée dans la médecine. Il l'empoisonna, comme avait été « infecté le judaïsme tout entier » (Théodore Reinach).

Freud, rappelons-le, a connu Adolph Jellinek « le plus grand des prêcheurs juifs modernes » déclare la Jew-Ency qui prêcha à Vienne jusqu'à sa mort en 1883. Or, le premier ouvrage de Jellinek porte sur la Kabbale et fut suivi d'autres sur la prétendue mystique kabbaliste. Le premier auditoire auquel Freud exposera sa théorie. fut, précisément, la loge des B'nai B'rith composée, exclusivement, de juifs kabbalistes.

La pensée freudienne est issue de la pensée juive hérétique, aile de la Kabbale. Freud a-t-il fait un « pacte avec le diable » suivant « l'hypothèse très convaincante » de D. Bakan. Freud s'est-il cru le Messie ? A-t-il vraiment supposé que Moïse était égyptien ? Qu'importe. Freud n'a jamais été qu'un psychopathe et nullement un génie, sauf pour l'exploitation de la crédulité publique. Son équation : religion = névrose, s'applique particulièrement à lui-même. Sa fausse religion n'a pu qu'augmenter sa révolte animale et ses traumatismes le ramenèrent aux instincts les plus primitifs. Mais il y a aussi du « Kanular » chez ce dément... intéressé. Un tel personnage est vraiment une honte pour le judaïsme. La justice fait un devoir de démystifier celui qui, de l'homme debout a fait un homme couché, un chien sur un divan.

Ce qui est infiniment grave dans tous les occultismes, c'est qu'ils désagrègent progressivement les volontés de ceux qui les pratiquent. Le Décalogue, comme tout obstacle aux instincts, développe les « muscles » de la volonté. Lui seul peut faire passer l'espèce humaine du stade animal au stade spirituel. Telle était la leçon que devaient apporter les Hébreux à l'aube de l'Humanité.

N'oublions pas qu'Emil Ludwig a révélé que Freud avait fondé un Ordre secret une fraternité avec réunion et langage secret. Comment David Bakan ose-t-il ne pas le mentionner ? l'escamoter.

Emil Ludwig (dont le père, un ophtalmologue réputé, s'appelait Hermann Cohn) l'a su, étant juif ; son ouvrage a été traduit en plusieurs langues. (Je l'ai connu en portugais, au Brésil). J'ai même reçu un jour la photo officielle de cette loge qui fait partie de la « Collection du Palais de la Découverte ».

En 1920, à 6 de ses disciples, Freud a remis un anneau avec chaton d'Agathe quartz à zones concentriques, de teinte trouble. Cet anneau est le symbole d'une anti-circoncision. Il s'est constitué ainsi une véritable maçonnerie spécialisés, dont les loges secrètes sont réparties dans le monde entier. « Elles se déchaînent dès qu'on attaque le Mage noir » observe Ludwig. Le Prof. Henri Baruk en a su quelque chose. Il m'avait confié n'avoir jamais pu publier un ouvrage contre la psychanalyse par opposition de son entourage israélite.

Vous rencontrez, une fois de plus, le mensonge par omission. On veut bien reconnaître les sources judaïques de la pensée de Freud publiquement exprimées. Mais quant l'organisation secrète, motus. C'est un tabou. Freud est démoniaque mais, hélas, il n'a rien inventé ; le démon étant « le père du mensonge et du meurtre ». Comme il s'entourait de statuettes païennes, il a simplement travesti, sous des mythes grecs, ce qu'il trouvait dans la fausse tradition juive. Statuettes... obsession... magie !

On est effaré de constater que dans le Talmud, les interprétations des songes, par R. Yossé, sont immédiatement sexuelles. Si « l'on arrosait un olivier avec de l'huile... c'est qu'il a des relations avec sa mère » ; si l'autre songe « qu'un de ses yeux baisait son voisin... c'est qu'il a des relations illicites avec sa sœur » ! Voici les exemples fournis par le Talmud de Jérusalem, lequel est bien moins ordurier que celui de Babylone. D. Bakan résume ainsi ce dernier : « les rives sont l'accomplissement d'un désir, ils peuvent s'interpréter à l'aide de jeux de mots, Ils ont une signification sexuelle... Mensonge que Freud a ajouté, faussement, à l'expérience de Breuer. Les rêves manifestent le désordre des influx nerveux, hors l'état de veille.

Comment ne pas en arriver là, d'ailleurs, quand la Kabbale a placé le neuvième Sephiroth dans les organes sexuels de Dieu ? Quelle caricature de l'amour pur, de la Vibration Pure. Si Freud a tout ramené à l'instinct et fait de l'homme une bite, c'est par auto-analyse et parce que la Mytho-magie juive ne procède pas autrement. Elle est le type même de l'anti-Mosaïsme. Elle aussi tue Moïse.

Le prétendu « meurtre du Père » appartient au « règne animal » sangliers ou babouins par ex. où un jeune mâle élimine l'ancien chef d'une harde.

Observons — au passage — que Karl Marx n'a point voulu faire autre chose que « tuer Moise ». Il ne l'a point proclamé explicitement, mais sous forme cachée : « La critique de la religion est la condition de toute critique ». Il est son point de départ satanique. Les commentateurs ont vu là une attaque contre l'Etat luthérien. Ils oublient que Marx avait, derrière lui, vingt siècles d'esclavage rabbinique, pire que « l'opium du peuple ». Et que vouloir expliquer Marx, en dehors de son « hérédité émotionnelle » juive, est un leurre. Marx, par réaction anti-judaïque — comme le fera Freud — choisira comme héros un grec : Prométhée. Marx n'est point athée, il ne hait point simplement « tous les dieux ». Il est anti-Jéhovah sans le dire. Il peut se révolter, mais ce n'est point une révolte de socialiste-à-la-française. Cette révolte vient du zèle pour la justice de tous les Juifs. Non la Justice authentique, surnaturelle d'obéissance à Dieu, mais la Justice toute chamelle, purement naturelle de la Thora déformée. Ce n'est point simple coïncidence si la Ligne Communiste a succédé, en Juin 1847, à la Ligue des Justes. Ce mot aimé par Baruk, ici usurpé.

Le matérialisme dialectique est issu du matérialisme religieux du Talmud. La dialectique marxiste « mouvement indéfini qui traverse une série jamais arrêtée de déterminations successives » n'est qu'une caricature de l'inachevé-achevé de la grammaire hébraïque. Une sécularisation de la Vibration Pure.

Marx, comme Freud, est un sous-produit du Talmud, par révolte contre lui.

Jean-Gaston Bardet, « Qabalah de joie, Kabbale de mort ».



Jean-Gaston Bardet


La pratique du yoga peut-elle aider ou faciliter la prière et la méditation ? Qu’est-ce à dire de toutes ces méthodes de méditation orientale qui s’infiltrent dans l’Eglise ? Représentent-elles un danger pour la vie chrétienne ou bien est-ce la prière de demain ?

S’élever par la montée de la Kundalini (serpent vibratoire subtil), qui part du bas de la colonne vertébrale et va jusqu’au cerveau en ouvrant au passage, successivement les sept chakras (centres vibratoires subtils) de l’ensemble, c’est s’élever comme Satan qui a voulu se faire semblable à Dieu.

Les religions orientales font toujours un gigantesque effort pour se libérer des conditionnements de ce monde afin d’entrer dans la vraie paix et la sérénité parfaite, afin de dépasser tout dualisme entre le moi et le non-moi, entre la conscience de soi et l’univers. Mais il n’y a pas de bonheur sans conscience, sans altérité du sujet par rapport au bien qui le comble. Ce bonheur sans conscience n’est pas la perfection mais une sorte de sommeil ; tout le contraire de l’expérience mystique chrétienne qui est toujours et essentiellement l’expérience d’une Présence, la rencontre au plus intime de Quelqu’un.

Les médecins ayant oublié l’âme, ont dû aller à sa « découverte » comme Jung. Ce fut le rôle de la psychanalyse. La psychanalyse freudienne est le paradis des agnostiques ; tout y est faux : sa conception de l’homme, sa méthode, sa doctrine. C’est l’une des plus belles résurgences de la gnose et du panthéisme, qui emprunte à l’hindouisme comme au transformisme.

Le behaviorisme qui centre tout sur les réflexes conditionnels fait de l’homme un animal bien dressé. La psychologie de l’instinct – d’où dérive la psychanalyse- en fait un animal dont le dressage provoque des maladies.

Tout nous ramène à la conscience et nous voyons clairement que cet inconscient du XXème siècle n’est qu’une pure invention en vue de supprimer les responsabilités morales.

Nous voilà au cœur du problème : la désagrégation méthodique de l’Occident porte sur cette suppression de la responsabilité, fondement même des préceptes chrétiens.

Si la désagrégation est entreprise en Occident par certains personnages d’étiquette tibétaine, c’est parce qu’elle est depuis longtemps réalisée en Inde. Le Yoga, soit par pratique auto-hypnoïde, soit par manœuvre hypnotique du gourou n’a point d’autre but que de libérer la psyché du pneuma, c’est-à-dire de supprimer la responsabilité, la conscience morale.

Par une méthode ou par une autre, par des théories philosophiques, psychologiques, biologiques, par une métaphysique erronée, ou par des pratiques d’ordre hypnotique, il s’agit donc avant tout d’ôter la responsabilité afin d’obtenir des esclaves psychiques, menés par leurs sens.

mardi, décembre 09, 2014

Le règne de la Bête est arrivé

Pour être élu par le peuple français majoritairement hostile aux spéculations de la finance internationale, on conseilla à François Hollande de mentir en déclarant : « mon véritable adversaire, c'est le monde de la finance ». 

Afin d'accélérer la mondialisation et détruire la nation française, la gouvernance mondiale utilise l'imposture socialiste incarnée par François Hollande. Rappelons que la gouvernance mondiale n'est pas un fantasme de complotistes. Il s'agit d'une réalité attestée le 26 septembre 2009 par le médiatique conseiller politique Alain Minc (dont le père naquit dans une communauté juive de Biélorussie) : « On croit, a dit Minc, qu’il n’y a pas de gouvernance mondiale, c’est faux. Il y a une forme de gouvernance mondiale sauf qu’elle n’est pas codifiée, elle est empirique, elle est implicite, mais elle est décisive. » Non élue démocratiquement, la gouvernance révélée par Alain Minc est en réalité la dictature financière qui dirige le monde.

La finance internationale est-ce la Bête de l'Apocalypse ? La Bête représente le système politique dont le pouvoir s'étend sur tous les hommes qui y adhèrent en recevant la marque de la bête.

« Et, s'interroge Pierre Jovanovic, si la Bête de l'Apocalypse était vraiment l'argent, le système financier, le système bancaire ?

Et si sur son front il y avait en fait écrit : « J'accepte la Visa, Mastercard et American Express » ?


Jean ne dit-il pas clairement que « personne ne pourra vendre, ni acheter s'il n'est pas marqué par le nombre de la Bête » ? Après tout, c'est bien un système d'échanges de marchandises, d'achats et de ventes, d'entrées et de sorties d'argent qu'il décrit ! Ce n'est pas un rébus très compliqué. Il dit noir sur blanc que « sans la marque de la [banque] », les gens ne pourront pas prendre de l'argent, et seront mis à mort. Si vous n'avez pas votre Visa, vous êtes quand même bien embêté aujourd'hui... Pire : si vous n'avez pas ou plus de compte bancaire, vous êtes (socialement) mis a mort ! Pour quelle raison personne n'a voulu prendre cette phrase dans son sens propre ? Depuis que l'argent existe, c'est-à-dire depuis 4500 ans, hommes et femmes avaient toujours géré leurs pièces « sonnantes et trébuchantes » en toute liberté. Encore de nos jours, en 1968 par exemple les ouvriers de Renault étaient payés en liquide, de la main à la main s'il vous plaît, par une armée d'aide-comptables chaque 30 du mois.

Oui, mais : à partir des années l970 il y a eu une révolution silencieuse ! Nous avons perdu, sans même nous en rendre compte, la liberté de disposer de notre argent. Avec les nouveaux services proposés par la banque, l'employeur n'avait plus besoin de mobiliser une armée de comptables à chaque fin de mois ; il lui a suffi de déplacer le problème des payes à l'agence du coin en distribuant un bout de papier à la place des billets de 100 FF. Et cela a permis à Renault de licencier les aides-comptables, devenus inutiles.

Au début pourtant, les premiers chèques de paye donnés aux salariés n'avaient pas le coin droit barré par deux traits. Un chèque « non barré » permettait d'aller dans l'agence et de l'encaisser tout de suite en liquide. Certes, cela obligeait les employés à se rendre à la banque émettrice pour retirer leur paye. Pour des raisons pratiques évidentes. cette nouvelle méthode a naturellement forcé les salariés à ouvrir eux aussi des comptes pour ne pas avoir à attendre au guichet pendant une heure à chaque fin de mois (OUI dans les années 1970, nos parents faisaient patiemment la queue dans l'agence, puisque les distributeurs n'existaient pas encore).

Puis progressivement, les banques ont cessé d'imprimer des chèques « non barrés », obligeant les récalcitrants à se soumettre à leur loi s'ils voulaient toucher leur paye. Pour retirer de l'argent, on était alors obligé de signer un chèque à l'ordre « de soi-même ». Là-dessus, une loi obligea particuliers et entreprises à payer par chèque toute transaction dépassant un certain seuil. Trente ans plus tard, des réglementations bancaires sont venues alourdir ce processus et désormais, il vous est impossible de retirer plus de 1.400 euros de votre compte d'un coup : « Il faut prévenir le directeur 48 heures a l'avance ».

Tout a été mis en place pour empêcher le déposant d'un compte de disposer librement de ses fonds. Les banques ont dépossédé les déposants. Le système est maintenant verrouillé. Non seulement vous ne pouvez plus acheter, ni vendre sans une banque et une carte, mais en plus vous ne pouvez plus disposer de votre argent comme vous l'entendez. Vu sous l'angle du texte de saint Jean, on peut affirmer que le système de marquage dont il parle est bien en place. Notez aussi qu'il n'était pas en place en 1970 ni en 1840, ni en 1710, etc. Nous vivons aujourd'hui, et seulement aujourd'hui, ce que Jean a décrit il y a 1900 ans. »

Pierre Jovanovic, « 777, La chute du Vatican et de Wall Street selon saint Jean »



Le 29 septembre 2008, l'index du Dow Jones s'était effondré de 777,7 points, plongeant le monde entier dans la consternation et déclenchant aussitôt une crise économique mondiale, pire que celle de 1929.

Par simple curiosité, Pierre Jovanovic a rapproché le 777 de Wall Street du 777 donné par l'Ange dans l'Apocalypse de saint Jean. Et ce qu'il a trouvé dépasse l'entendement : le texte de saint Jean, qui a presque 2000 ans, annoncerait en réalité la chute du Vatican en même temps qu'une période de confusion totale, due à une... banqueroute universelle !

Dans cette analyse effectuée à partir des propos de l'Ange, Pierre Jovanovic démontre que l'Apocalypse de saint Jean est en réalité un extraordinaire avertissement pour notre époque qui s'apprêterait à connaître des bouleversements sans précédent.

De plus, avec cette nouvelle approche, le texte de l'Apocalypse de saint Jean devient plus clair (le fameux 666 par exemple s'explique de lui même) et l'ensemble recoupe exactement la Liste des papes de saint Malachie ainsi que les prophéties de la Vierge de La Salette.




dimanche, décembre 07, 2014

Que sont devenus Charles et Diane Roche ?

Après leur dénonciation des crimes rituels commis par un groupe secret, Charles et Diane Roche n'ont plus donné signe de vie.

En 2005, dans une vidéo largement diffusée sur Internet, Charles et Diane Roche, enfants du magistrat Pierre Roche, révèlent les perversions sexuelles et les crimes rituels commis par des notables, politiciens, hauts fonctionnaires et magistrats, tous affiliés à un groupe occulte.


« Ce groupe, dit Charles Roche, rassemblait des personnalités de la « bonne société », haut placées dans différentes sphères : notre père a certes mentionné le monde judiciaire (où l'on recrutait paraît-il beaucoup, et pas seulement parmi les magistrats, puisque même certains hauts dignitaires de la police étaient considérés comme des recrues de choix)... Étaient aussi concernés des sphères aussi différentes que la Politique, la Finance ou encore le monde médical, et plus généralement des gens qui comptent dans les secteurs les plus divers – ainsi y aurait-il eu, parmi les participants, et pour prendre qu'un dernier exemple, quelques universitaires... Il réunit plutôt des notables amateurs de sensations fortes dont le hobby consiste à mêler, lors de leurs réunions, des pratiques aussi diverses qu'uniformément dégoûtantes, et où l'on trouve en conjonction et pêle-mêle la sexualité de groupe, le sadomasochisme, l'automutilation et la consommation de drogues... »


Ils pratiquent « des sortes de rituels allant du sacrifice d'un animal à l'homicide pur et simple (c'est en tout cas ce que notre père prétendait avoir vu de ses yeux, précise Charles Roche). [...] Ainsi notre père nous expliquait-il que les proies du groupe en question étaient toujours sélectionnées parmi les couches les plus isolées de la population et les catégories de gens les moins susceptibles de causer un quelconque émoi ou d'attirer une quelconque attention en cas de volatilisation pure et simple. Ce qui revient à dire que, sauf « pêche miraculeuse », nos tortionnaires en col blanc n'avaient pas grand'chose de plus à se mettre sous la dent que des « clodos » (c'est une citation de notre père), des prostituées (parfois mineures, nous a-t-il précisé) et, dans certains cas, des étrangers en situation irrégulière (y compris des enfants) ».


La ritualisation de la sexualité caractérise le tantrisme frelaté et commercial qui s'est vulgarisé en Occident depuis plusieurs décennies. En revanche, le Nang-tcheud, la forme diabolisée du tantrisme tibétain, ne serait pratiqué que par une "élite". Dans ce rituel, « le pseudo-tantrika, explique Jean-Louis Bernard, tue sa partenaire, soit par strangulation, soit en la poignardant dans le dos. Par ce rite horrible, il vise à s’incorporer le double de sa victime qui survivra en son propre organisme, mais à l’état spectral, c’est-à-dire spirituellement mort. » (Jean-Louis Bernard, était un écrivain érudit dans les domaines de l'égyptologie, du tantrisme, du soufisme...)


Le Nang-tcheud désigne aussi un immonde élixir fait de sang et de chair humaine qui permettrait aux lamas dégénérés de prolonger leur vie. Le père Georges Morand (1930-2014) n'ignorait pas que dans le bouddhisme religion et magie sont étroitement mêlées.


Les dérives du système judiciaire français et les pratiques criminelles de notables pervers, dénoncées par Charles et Diane Roche, sont non seulement totalement crédibles mais très largement corroborées par d'autres témoignages et dossiers comparables.


Prêtre catholique et exorciste officiel du diocèse de Paris, le père Morand a dénoncé les groupuscules satanistes criminels "extrêmement redoutables" (précise le prêtre) liés à la mafia et à des personnalités qui tiennent des postes clés dans notre civilisation que ce soit dans le monde de la politique, dans le monde de la finance, dans le monde de la magistrature, dans le monde intellectuel, dans le monde ecclésiastique...


Les accusations du père Morand sur YouTube :
http://youtu.be/54Q9d-ZRtkk

Le père François Brune alerte lui aussi l'opinion sur l'existence des messes noires sacrificielles d'enfants et des « snuff movies » (meurtres réels enregistrés sur vidéos, vidéos revendues par la mafia.) :
http://youtu.be/etksX-SqIdM


Le témoignage de Charles et Diane Roche :
http://youtu.be/EBL4cmwoCa8

mardi, décembre 02, 2014

Les raisons de la crise économique mondiale



La mondialisation des économies, toutes interdépendantes les unes des autres, la suppression imposée des frontières pour favoriser la mobilité des capitaux et ainsi les trafics de la haute finance internationale, entraînent des conséquences incalculables.



C'est le cas des délocalisations, qui aggravent le chômage et détruisent des pans entiers du savoir faire national.



Aujourd'hui la finance mondiale ressemble à un bateau où, sous prétexte d'alléger la structure et favoriser la libre circulation, on aurait supprimé les cloisons étanches conçues pour éviter que le navire soit envahi par l'eau d'une brèche et coule.



On en a vu les conséquences avec les monumentales escroqueries de Enron et World Cam., celle de Vivendi de la paire Messier-Bronfmann, celles des manipulations de Georges Soros…



Celles des "edgesfunds" et des "subprimes" jusqu'au krach de l'automne 2008, comme nous verrons plus loin.



Ces placements bancaires à très hauts risques, fragilisent les marchés mondiaux et ruinent des centaines de milliers de petits épargnants, sans que les banquiers aient à rendre gorge.



C'est cette finance artificielle, sans cloisons de protection, qui fait s'écrouler les bourses mondiales.

On juge de la mentalité mondialiste de ces financiers, par la déclaration d'un J-M.Messier, qui proclamait : "La spécificité culturelle française est morte". Il avait été responsable des 50% de pertes de Vivendi Universal, 13 milliards d'euros en 2001. Plus une dette de 34 milliards ! Cela ne l'a pas empêché de bénéficier d'un très luxueux appartement à New York payé par les Bronfman et d'obtenir 10 millions d'euros d'indemnités et des garanties contre toutes poursuites que pourraient lui intenter ceux qu'il a ruinés. Effectivement en février 2010 le Tribunal fédéral de New-York l'a acquitté alors que la firme était condamnée... !



Tel est l'homme de paille, intouchable, des Bronfman qui ont mis à profit la chute du titre pour les racheter à bon compte.



Rappelons que la tribu Bronfrnann qui avait fait fortune avec la contrebande d'alcool du temps de la prohibition dicte aujourd'hui sa loi par l'intermédiaire du Congrès juif mondial dont l'héritier Edgar, est le président et les Suisses l'ont appris à leur dépend...



Les conséquences de ce capitalisme apatride sont telles que Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne, dénonçait le 11 septembre 2007 devant la Commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen :



"Le degré de complexité de certains produits (financiers) conçus dans le but de vendre des instruments de dette", "le formidable accroissement de la sophistication des instruments financiers" et "le rôle trouble des grandes agences de notation" !



C'est là dénoncer le rôle des grandes firmes Goldman-Sachs, Lehman Brothers, entre autres, qui font monter et descendre les cours selon les intérêts de la Haute finance cosmopolite... ! À force de jouer, ce système financier s'est effondré à l'automne 2008, victime de montages artificiels frauduleux, par recherche de profits toujours plus grand. Et avec, toutes les économies mondialisées.



Révélateur de la main mise financière juive sur l'économie, mondiale, George W. Bush a imposé le "néo cons" Robert Zoellick de la banque Goldmann Sachs , en remplacement son coreligionnaire Paul Wolfowitz, destitué pour concussion, à la tête de la Banque mondiale.



Ainsi avec la nomination de Dominique Strauss-Kahn, au Fond monétaire international - salaire un demi million de $ par an - avec l'appui de Bush et Sarkozy, et de Ben Bemake à la tête de la Federal Reserve, la finance mondiale est entre les mains du clan cosmopolite.



La nomination de la mondialiste Christine Lagarde en remplacement de Strauss-Kahn, n'y changera rien. (Christine Lagarde présidait le Comité de stratégie mondiale et partageait avec Zbiniew Brzezinski, la présidence de la Commission Action USA-Union européenne.) [...]



A la fin de l'été 2008 allait éclater le formidable krach boursier qui devait ravager les économies mondiales du fait de leurs interconnexions, conséquence du mondialisme qui a supprimé les frontières physiques et financières. […]



Des économistes accusent Alan Greenspan ancien patron de la Federal Reserve, d'avoir favorisé la crise par sa politique de taux très bas, puis par ses appréciations pessimistes. Or la Fed, organisme privé aux mains des grandes familles banquières, qui émet la monnaie américaine, a pour mission de superviser le système financier américain.



Ainsi le krach boursier relève de sa responsabilité et il est étrange que les grands financiers juifs qui la dirigent, ne l'aient pas prévue. Ou alors, c'est qu'ils l'ont voulue !



La sanction aurait dû en être la prise en garantie des fortunes colossales de ses membres, acquises par l'effet de délits d'initiés, puisque ce sont eux qui régulent les cours !



Par un effet de dominos, la crise s'est aggravée, les placements pourris contaminant l'ensemble des établissements bancaires mondiaux au travers des prêts mutuels et ainsi, c'est toute la finance mondiale qui s'est effondrée, infestée par la peste américaine.



En cela, la crise actuelle apparaît beaucoup plus grave que celle de 1929, du fait de la mondialisation.



Il faut relever le rôle délétère de deux facteurs aggravants :



- Les agences de notation Baker & Mac Kenzie, Goldmann-Sachs, Lehmann Brothers, J.P. Morgan, Morgan Stanley, Moody's, Standard & Poor's, induisent les cours par leurs analyses biaisées, sans que cela corresponde à une réalité financière tangible.



- Les bilans "trop optimistes", voire faux, des entreprises pour faire monter leur cotation et ainsi pouvoir servir de copieux dividendes à leurs actionnaires, ce qui, à son tour, les fait rechercher par les investisseurs, nouveau facteur de hausse artificielle.



Cela marche tant que le pot aux roses n'est pas découvert.



Depuis que le 15 août 1971, Richard Nixon a supprimé l'"étalon or", tout est virtuel, fonction de la valeur attribuée par les agences de notations et par la "régulation" de la Fed... Ainsi, ou bien elles se sont trompées dans leurs calculs de risques ou bien certains ont misé sur la catastrophe pour jouer à la baisse et imposer une gouvernance mondiale sous prétexte de remettre de l'ordre.



Déjà, en 2003, le sénateur du Texas, Ron Paul, ancien candidat à la Présidence, avait accusé la Federal reserve de "préparer la crise de l'immobilier devant entraîner une crise financière mondiale majeure". À l'appui de cette accusation, le "néoconservateur" Michael Leeden en 2003, prônait "le chaos et l'anarchie pour imposer le Nouvel Ordre Mondial" ! Elle rejoignait celle de Paul Warburg devant le Sénat américain le 17 février 1950 :



"Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non.

"La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement".



Aussi, ce n'est pas par hasard, si profitant de cette crise, Nicolas Sarkozy et son coreligionnaire Jacques Attali, agents du mondialisme cosmopolite, prônent une "gouvernance mondiale''.



C'était déjà ce que Sarkozy demandait à Bernard Kouchner dans sa lettre du 27 août 2007 :



"C'est en définitive vers un ministère de la Mondialisation que nous vous demandons de faire évoluer notre outil diplomatique" et dans son discours à l'Assemblée générale de l'ONU en octobre 2007, Sarkozy confirmait le but :



"Au nom de la France, j'appelle tous les États à se réunir pour fonder un Nouvel ordre mondial du XXIème siècle" !



Le 25 septembre 2008, à Toulon, Nicolas Sarkozy allait réclamer à nouveau une "direction mondiale", le chaos financier étant le prétexte pour remettre de l'ordre, leur ordre. Il y a là, comme avec les "crimes d'Etat" pour imposer les guerres du mondialisme, une volonté de faire accepter aux peuples une politique liberticide, la dictature mondiale.



L'utilisation de l'arme économique n'a rien de nouveau. La famine organisée par la rétention et la spéculation sur les biens de consommation avait déjà permis aux conjurés de la l'Avant Révolution de faire monter la colère populaire contre Louis XVI.



Aujourd'hui, en ruinant les classes moyennes, les seules encore indépendantes financièrement, elle vise à imposer une direction mondiale.



Certains négateurs de l'action maçonnique et cosmopolite diront encore :



"Toujours cette obsession du complot" ... !



Or cette "direction mondiale" invoquée pour parer au chaos financier, évoque la devise maçonnique "Ordo ab chaos" et celle, Novus Ordo Seculorum entourant une pyramide tronquée, symbole maçonnique, sur le billet de 1 $.



Ainsi, en voulant imposer une "gouvernance mondiale" les «néo-cons» américains et les Sarkozy, Attali, Mine, Kouchner, poursuivent le vieux rêve messianique juif de la République universelle.



Lorsque Sarkozy le 25 septembre à Toulon osait promettre "la garantie de l'État en cas de faillite bancaire" et "qu'il n'acceptera pas que les dépôts en banque perdent un euro" à qui fera-t-il croire cela, à part aux éternels naïfs ? N'ont-ils pas déjà perdu 40% de leurs avoirs depuis le début de ce krach, sans qu'il renfloue leurs comptes ? Avec quel argent pourrait-il le faire alors que l'État n'en a plus et n'est pas près de rétablir ses finances avec le train de vie fastueux et ostentatoire que lui impose ce même Sarkozy ? Jusqu'à quand celui qui proclamait : "Je ne vous mentirai pas, je ne vous trahirai pas, je ne vous tromperai pas", fera-t-il illusion ?



Sa proposition de transposer le plan Bush-Paulson de 700 milliards de dollars pour le sauvetage des banques en Europe, a été rejeté par l'Allemagne qui tire son épingle du jeu avec un chômage au plus bas et l'augmentation de sa balance commerciale alors que la France de Sarkozy plonge. Comme le disait récemment un journaliste sur France-Inter, "L'agitation frénétique de Sarkozy est dangereuse car elle laisse entendre qu'il sait des choses sur la gravité de notre économie ce qui risque de déclencher la panique". N'est pas ce qu'il veut à l'instar du "néo-cons" Michael Leeden ?



Remarquons que dans le même temps on tente d'expliquer la faillite financière de l'Irlande par son "refus de voter pour l'Europe", comme si les pays communautaires n'en avaient pas souffert !



Ce que l'on se garde bien de dire c'est que l'Irlande a assaini son système financier par ses fonds propres sans rien demander à personne, au point que les investisseurs anglais se positionnent sur les banques irlandaises. Voilà ce qui dérange les mondialistes. D'où leurs mises en garde contre les pays qui voudraient régler tous seuls l'impact de la crise sur leurs finances, qualifiées de "nationalistes rétrogrades"...



Tout dans cette affaire de krach financier sent la manipulation médiatique et il faut y prendre garde.



Sans la mondialisation des économies, le monde entier n'attraperait pas la peste américaine et l'Irlande, en tant que nation indépendante aurait, sans la trahison de son premier ministre, Brian Cowen, démontré qu'elle pouvait se passer de la finance mondiale.



Avec la réduction des droits civiques depuis les "crimes d'État", de l"'opération Gladio" à ceux du 11 septembre, de Madrid, de Londres, etc .. ., et le fichage des citoyens, le krach boursier apparaît aujourd'hui comme un nouveau prétexte pour imposer la dictature mondiale.



Ceci dit, les meilleurs plans peuvent s'enrayer. Une fois que les choses sont lancées, on ne sait jamais où cela aboutit. C'est le cas des révolutions. Ce ne sont pas les initiateurs qui en profitent en général. Lors de la Révolution dite française, les girondins furent éliminés par les montagnards, les Jacobins. Lors de la révolution russe de 1917, les mencheviks le furent par les bolcheviks, etc … C'est l'éternelle duperie des libéraux qui ouvrent la "boîte de Pandore".



Le plan Bush de 700 milliards de $ pour éponger les dettes des banques, puis celui d'Obama, ont provoqué l'opposition du Congrès, car c'est l'État, donc le contribuable, qui devra payer.



Ainsi ces plans de sauvetage, aboutissent à faire payer par les citoyens, le renflouement des banques qui les ont ruinés !



Ancien dirigeant de la Goldman-Sachs, le ministre des finances américaines, Paulson, annonçait le 8 octobre 2008 de nouvelles faillites de banques, entraînant l'effondrement des marchés.



Il y a là, comme une volonté d'engendrer la panique des épargnants, de provoquer le chaos boursier, comme le prônait le "neocons" Michael Leeden, pour imposer un "nouvel ordre mondial".



Telle est l'hypocrisie et le mépris du peuple d'un Bush, d'un Obama, comme d'un Sarkozy aux ordres de la Haute finance et du messianisme mondialiste cosmopolite.



Si avec l'affaire du Caucase (agression géorgienne contre l'Ossétie du Sud plus ou moins orchestrée par la CIA) et le krach financier mondial, le mondialisme a cru pourvoir utiliser ces deux crises pour progresser, c'est l'inverse qui se produit en révélant aux populations les effets délétères du mondialisme.



L'échec de la campagne mondiale de vaccination contre la grippe HlNl, est un signe évident de la méfiance des citoyens.



J'ai souvent affirmé que le propre des faux principes est de porter en eux les germes de leur autodestruction.



Ce que nous vivons aujourd'hui pourrait bien y aboutir et nous devons y aider, car les portes ouvertes par le mondialisme doivent être refermées pour circonscrire cette peste.



Au lieu de mondialiser toujours plus, il faut rétablir les frontières physiques et monétaires nationales qui préservaient de la contamination de ces catastrophes.



Nous devons pousser au réflexe de défense nationaliste, sur le plan politique comme sur le plan financier. C'est d'ailleurs la grande crainte des mondialistes, dans certains commentaires, prétendant se moquer de cette tentation de défense nationaliste qualifiée de "ringarde". Or, si le nationalisme a émergé du fait de la politique internationaliste de la Révolution dite française et de la démission

de la monarchie, c'était déjà parce que les prémices de cette dictature mondialiste perçaient sous l'idéologie révolutionnaire.



Si "ringards" il y a, ce sont bien les héritiers de ce "système" de spéculation financière, instauré depuis la fin du XVIIIème siècle par la finance cosmopolite et les lobbies, comme moyen de domination mondiale. Pour la survie des peuples et des nations, il doit être détruit.



Philippe Ploncardd'Assac



vendredi, novembre 21, 2014

Le satanisme au Vatican


Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient pape sous le nom de Paul VI. Quatre années plus tard, en 1967, Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou « La Vilaine Lulu », un album de bandes dessinées qui énumère les pratiques criminelles des sectes sataniques. L'ouvrage du célèbre couturier français porte en introduction la mention : « toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels ». Or, Lulu, l'incarnation du mal dessinée par Yves Saint Laurent, parvient au sommet de l'Eglise. C'est précisément ce que des prêtres catholiques dénoncent en ces termes : « L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963 », une semaine après le couronnement du pape
.

29 juin 1963, inauguration du Temps du Prince de ce monde

« À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Événement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique. [...]

Le but ultime n’était pas de liquider l’organisation Catholico-Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs purement humains. […] Son Nom sera « l’Église Universelle de l’Homme ».

En 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur « la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église ». Les célébrations du 15ème anniversaire de Pontificat de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Pourquoi ne pas avoir choisi la date de son couronnement au lieu de celle de l’intronisation de Lucifer ?

Dans son livre « Windswept house », l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493 :

« À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’aimaient ; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux ; des sœurs qui pratiquaient les « Rites Noirs » de la Wicca et qui vivaient en relations lesbiennes … Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seulement étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la permission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques… Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)... Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux : les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puissance et l’influence effrénée de ce réseau ».

L’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy Engel, intitulé: « The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church ». Plus qu’un livre, c’est une « encyclopédie de l’horreur » qui en 1.282 pages, 4.523 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimaginables. [...]

Le livre se termine par la Section V : « Le Vatican et les pièces finales du puzzle » qui finit par ces mots: « Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape ! ».

La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel pape fut Paul VI, le Pape qui changea l’Église!

Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire :

– Satanistes au Vatican ?

« Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sataniques ».

– Et qui en fait partie ? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs ?

« Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardinaux ».

Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le savez-vous?

« Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose « confessée » plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes ».

– Le Pape en est-il informé?

« Bien sûr qu’il en a été informé! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit : j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lorsqu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Bien sûr qu’il y croit !... »

– Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI : que la « fumée de Satan » est entrée dans l’Église?

« C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la « fumée de Satan », Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps, mais cela n’a pas eu de conséquences pratiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques ».

Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican , il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sataniques, « mais il fait ce qu’il peut » !

Paul VI lui aussi savait que la « fumée de Satan » était entrée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même « s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps », cela « n’a cependant pas eu d’effets pratiques ».

On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex-Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel :

«… avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici…», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à « parler sans avoir d’effets pratiques » et à « faire ce qu’on peut », car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur volonté de ne plus gouverner l’Église !

Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège ? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un ? [...]

Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants :

– la décision d’élire Pape le cardinal Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie.

– l’élection du cardinal Montini comme Pape est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.

– le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.

– Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape.

Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.

L’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de « supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes », et ce, grâce à la création d’une « Maison de l’Homme sur la Terre », une « Nouvelle Ère de l’Homme » et « une Église Universelle de l’Homme »...
 

Source : Chiesa viva.

lundi, novembre 17, 2014

Le chaos mondial



Le lama tibétain Kelsang Gyatso est ostracisé par les riches et puissants hiérarques du Vajrayana, le bouddhisme tantrique, et plus particulièrement par le Dalaï-lama lui-même. Kelsang Gyatso n'a jamais approuvé la politique atlantiste du Dalaï-lama, ami de Bush et des autres tristes sires qui plongent le monde dans le chaos. Il dénonce aussi le culte secret qui est à l'origine de l'ascension sociale et de la richesse de certaines personnalités et des « business-lamas » ou des « golden card lamas » sulfureux. En effet, d'après Kelsang Gyatso, ceux qui honorent l'entité la plus puissante de ce monde, Ishvara noir le chef des démons Dévapoutras, voient leur condition matérielle s'améliorer. Cette déviance du bouddhisme rappelle la déviance de la kabbale de Jacob Frank et de son étrange culte du péché et du chaos satanique.

« Je suis venu abolir toutes les lois et les religions et apporter la vie au monde », dit Jacob Frank.

« Selon Frank, écrit Charles Novak, pour abolir toutes les Lois, on doit arriver à la fin des Temps, lorsque la société sera totalement dépravée. Or, Jacob Frank se propose d’accélérer ce processus. En d’autres termes, il veut appliquer le fameux adage talmudique et kabbalistique :

« Pour monter bien haut, il faut d’abord descendre bien bas. »

Pour Frank, le « bien bas » veut dire extrêmement bas. C’est-à-dire vers la dépravation, dans une société où ne régnera que le vice.

« Je ne suis pas venu pour élever, je suis venu pour tout détruire et rabaisser toutes choses jusqu’à ce que tout soit englouti si profond, qu’il ne puisse descendre plus. La route de l’abîme est terrifiante et effrayante. Même notre frère Jacob en fut effrayé et n’osa pas mettre le pied sur l’échelle céleste. Elle consiste en deux parties convergentes qui se rencontrent au fond, une partie conduisant vers le bas, l’autre vers le haut, et il n y a pas d’ascension sans descente préalable. Aussi, le monde devrait-il attendre un autre Jacob. »

Bien sûr, cet autre Jacob, c’est lui. Il se présente comme le Messie tant attendu des Juifs et la réincarnation d’un autre pseudo-messie né cent ans avant lui, le fameux Sabbataï Tsvi de Smyrne. De tout temps, les hérésies et les pseudo-messies, sauveurs du peuple juif, ont jalonné l’histoire juive, Bar Kochbach, David Reubeni, Salomon Molkho, puis Sabbataï Tsvi. Ces hérésies ont en commun la vulgarisation de la Kabbale, une Kabbale à l’origine exclusivement destinée à une élite. L’influence de la Kabbale trouve son paroxysme avec Sabbataï Tsvi. Ce dernier innove en décrétant qu’il est le Messie, un Messie qui vient briser le Talmud et la Loi juive – une Loi selon lui oppressante – et que la Rédemption se trouve dans le contraire des Lois de la Torah, en affirmant que, pour que le vrai « Bon Dieu » apparaisse, il faut précipiter le chaos. Frank, en se proclamant sa réincarnation, va appliquer cet adage.

La précipitation du chaos, nous la devons à la Kabbale d’Isaac Louria Askhenazi d’origine allemande, né en Eretz (terre) Israël, puis installé enfant en Égypte, pour s’installer à Safed en Eretz, ville où il enseigna oralement la Kabbale. Le concept principal est la notion de Tikkun. À savoir, que la Rédemption passe par le péché, par le chaos. Tikkun signifie littéralement « réparation ». Cette réparation doit survenir après la coupure, Schevirah, du Tsimtsoum, qui est la contraction de l’univers et du monde. Le Talmud, traité Sanhédrin chapitre 11, détaille les temps futurs messianiques où ne régneront que chaos, perversion et destruction d’Edom, soit Rome. Par rapport à la Kabbale lourianique, le sabbataïsme innove car, pour lui, l’homme, pour faire venir le Messie plus rapidement, peut provoquer lui-même le chaos et la désolation : « Ce n’est plus une attente mais une provocation des événements futurs qui va à l’encontre du dessein divin ».


Le frankisme s’inscrit donc dans un contexte plus large, à savoir celui du sabbataïsme, hérésie juive officialisée par Sabbataï Tsvi, dans l’Empire ottoman, née un siècle plus tôt, qui trouve sa concrétisation en 1666, lorsque Sabbataï Tsvi se convertit à l’islam (soit quatre-vingt-treize ans avant la conversion de Frank). [...]

Les frankistes, par leur « conversion », ont connu une évolution sociale fulgurante puisqu’ils se sont intronisés dans toute la noblesse européenne : allemande, polonaise, autrichienne et que certains sont même entrés par mariage dans la famille royale d’Angleterre, dans l’entourage familial de la reine Victoria, comme la famille Battenberg-Mountbatten, famille non frankiste mais qui descend du frankiste comte Maurice Hauke. De là même, nous pouvons nous interroger – sans l’affirmer – sur la famille d’Orléans, puisque l’actuelle duchesse d’Orléans descendrait de la famille frankiste Dobrzenski- Dobrzinski. Leur point commun sera une vénération de Jacob Frank, le nouveau Messie et ces familles, bien que l’entrée dans la noblesse de titre et princière soit un fait « appréciable », essaieront d’entretenir la « flamme » en ne se mariant qu’entre elles. Insister sur ce point, c’est remarquer cette fulgurante ascension sociale qui pousse le Juif converti à passer du statut de pauvre juif, à noble, voire prince. »

Il ne faut pas oublier « la famille Rothschild, rappelle Charles Novak, dont tous les indices prouvent une forte complicité avec le mouvement frankiste (de par la proximité de Francfort et d’Offenbach et des déclarations de Moses von Portheim sur le rôle de Meyer Amschel Rothschild comme trésorier frankiste et maçonnique) […]

On peut s’interroger sur l’origine puis sur le rôle de la franc-maçonnerie. Si certains y voient une origine égyptienne ou celtique, elle ne serait, selon nous, que la continuation du sabbataïsme, de la Kabbale et des déviances de cette même Kabbale dans le monde chrétien, à la recherche de la lutte contre le chaos et la rédemption du genre humain. Dans ce sens mystique, l’origine « juive, sabbataïste, frankiste et zoharique » de la franc-maçonnerie, ou le philosémitisme qui s’en dégagerait, serait vrai. Les rôles du Baal Schem Falk, à Londres, de Saint-Germain, de Sabbataï Tsvi, puis de Frank, seraient donc indéniables dans la formation de la franc-maçonnerie dite kabbalistique et la pénétration de rites « égyptiens » de Cagliostro, si l’on reconnaît que le sabbataïsme glorifiait l’Égypte, pays d’origine, selon eux, de la Torah. » […]

Charles Novak rappelle aussi que les adeptes du chaos se sont répandus dans le monde musulman : « Le faux-Messie Sabbataï Tsvi se convertit à l’islam en 1666 pour la restauration du royaume d’Ismaël, véritable successeur d’Abraham. Ses adeptes se convertirent également tout en gardant une identité juive cachée (et sépharade pour leur grande majorité), allant à leur propre synagogue pour le Shabbat transgressif et à la mosquée le vendredi. Fonctionnant par intermariages, les descendants – qui se sont divisés au cours des siècles en quatre sous-groupes - existent encore dans les Balkans (Albanie, Monténégro, Bosnie-Herzégovine ?) et en Turquie (principalement Istanbul, Ankara et Izmir) et peuvent se targuer d’être juifs et musulmans à la fois. Le plus célèbre d’entre eux fut peut-être Kemal Atatürk ou, tout au moins, Djavid Bey, un de ses ministres ».

Charles Novak, « Jakob Frank, le faux messie ».



En 1759, en Pologne, Jakob Frank se présenta comme la réincarnation de Sabbataï Tsvi, le faux messie : il assura être le nouveau Messie et se convertit au catholicisme. Dix mille à vingt mille juifs le suivirent : clandestinité, transgression de la Loi juive, rejet du Talmud et de la Torah tout en restant fidèle, en secret, à la Kabbale et au Zohar. Ses successeurs connurent une ascension fulgurante, le mouvement se transforma en secte hérétique qui dévia vers le nationalisme et l'antisémitisme.

Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...