mardi, janvier 10, 2017

Benjamin Creme, prophète du Bouddha Christ-Maitreya, est mort




Au mois d'octobre 2016, Benjamin Creme décède prématurément sans achever sa mission au service du Seigneur du Monde, Sanat Kumara, et de son envoyé le Bouddha Christ-Maitreya.



Le prophète abandonné 

La récente performance cycliste de Robert Marchand (105 ans) a rappelé une parole biblique « l'homme n'est que chair. Il vivra 120 ans » (Genèse 6.1-22). Toujours selon la Bible, la longévité des prophètes animés, eux, par l'esprit divin est supérieure à celle de l'homme de chair (Abraham vit jusqu'à 175 ans, Jacob décède à 147 ans, Moïse, quelque peu irrité par les Hébreux adorateurs du veau d'or, s'en va à l'âge de 120 ans...). Comment expliquer qu'un prophète de l'envergure de Benjamin Creme quitte, lui, l'existence terrestre à "seulement" 93 ans sans terminer son apostolat ?



La mission de Benjamin Creme

Benjamin Creme, dans un numéro de son bulletin Transmission-Méditation, a donné à ses lecteurs des instructions précises sur la façon dont ils devaient méditer et visualiser « le Bouddha, l'Incarnation de la Lumière et la Sagesse sur la Planète ». Il les incitait à relier leur esprit à cette puissance supérieure.

Benjamin Creme œuvrait à un événement extraordinaire, une grande initiation de masse. L'humanité devait se soumettre prochainement au Christ-Maitreya, l'envoyé du Seigneur du Monde, Sanat (Satan) Kumara de Shambhala. Une nouvelle religion mondiale devait naître avec l'avènement d'un guide suprême, le Bouddha Christ-Maitreya.



2016, le grand tournant

Le plan de la hiérarchie planétaire (les occultistes mondialistes) vise à instaurer l'empire universel dirigé par le Christ-Maitreya, Messie-souverain de l'humanité. Un nouvel Evangile valorisera la prospérité, le bonheur, l'immortalité terrestre... Christ-Maitreya qui, près avoir quitté Shambhala, vit caché dans la communauté pakistanaise de Londres en attendant son intronisation.

Mais, l'accession officielle du Christ-Maitreya au trône mondial est de plus en plus compromise. La hiérarchie planétaire n'avait pas prévu le réveil des nations, le rejet de l'Union européenne, l'arrivée de l'antimondialiste Trump, les victoires militaires de l'alliance Téhéran-Ankara-Moscou contre les mercenaires du chaos (mercenaires financés par la hiérarchie planétaire)...

Le 24 octobre 2016, Sanat Kumara reprend sa créature. Benjamin Creme n'est plus.



vendredi, janvier 06, 2017

Noëlle Bréham nous mène-t-elle en bateau ?


Noëlle Bréham, animatrice sur France Inter d'Etat d'Esprit et Les P'tis Bateaux, recevra le moine lamaïste Matthieu Ricard.


Depuis les années 1960, le bouddhisme a envahi l'Occident en séduisant d'anciens hippies, des athées et toutes sortes de crédules amateurs de merveilleux et de mystiques exotiques.

Le bouddhisme, se greffant aux doctrines inspirées du Nouvel Âge, racole, charme et rassure. Il annonce une nouvelle ère de paix mondiale. L'humanité connaîtra enfin le bonheur grâce à l'enseignement de maîtres éclairés, de sages tibétains et d'initiés du royaume de Shambhala.

Madame Noëlle Bréham, vous pourriez donner les véritables raisons de l'attribution du prix Nobel au dalaï-lama.

En attribuant le prix Nobel de la paix au dalaï-lama, petit despote et magicien tantrique en exil, les « élites » ont accéléré l'infiltration dans le monde occidental du bouddhisme tibétain ou lamaïsme. Or le lamaïsme, à l'instar des sociétés secrètes occidentales, est un ésotérisme qui ne révèle sa véritable doctrine qu'à quelques élus.

Madame Noëlle Bréham, vous devriez éclairer les auditeurs sur l'enseignement secret du lamaïsme. 

Les arcanes occultes des lamas rejettent la morale et l'ascétisme du bouddhisme originel. De son côté, le plan secret de la franc-maçonnerie est la destruction du catholicisme et de ses valeurs morales. Les initiés orientaux et occidentaux ont en commun une doctrine immorale. 

Madame Noëlle Bréham, parlez-nous des rites pédophiles du lamaïsme.

Les rites pédophiles et criminels sont détaillés dans les tantras dits « supérieurs », dont la lecture est interdite aux simples dévots. « Pour pratiquer le yoga d’une déité il est nécessaire de recevoir du lama une transmission avec trois dimensions : l’initiation (wang) ou l’influence spirituelle de la déité, la lecture rituelle du texte du sadhana de cette déité (lung) et les instructions particulières pour en effectuer la pratique (tri) » explique le lama Denys, un vieux comparse de Kalou Rinpoché, ce hiérarque tibétain dénoncé par June Campbell, une de ses esclaves sexuelles. 

Noëlle Bréham, qui est 
salariée d'une radio de propagande, ne posera pas les questions qui fâchent à son illustre invité. 


Noëlle Bréham

mercredi, janvier 04, 2017

Poutine et Trump, une analyse eschatologique




Poutine et Trump : les deux outils du Ciel


par Louis d’Alencourt




C
ontre toute attente et bien malgré lui, Donald Trump est venu rejoindre Vladimir Poutine dans le camp opposé à la Synagogue de Satan (1).

Poutine avait été choisi par l’empire notamment parce qu’il est né un 7 octobre, date de la victoire de Lépante et fête de Notre-Dame du Rosaire. Lucifer, dans son inversion habituelle, avait probablement pour but d’aligner des anti-Sainte Vierge. C’est le contraire qui s’est passé : la Sainte Vierge a récupéré Poutine, à son insu, et en a fait un des instruments de sa victoire.

Poutine est un des seuls chefs d’Etat ouvertement chrétien et qui défend les valeurs de la civilisation chrétienne face à l’empire luciférien, qui le lui rend bien.

Dans quelles proportions en est-il conscient ? Elles sont probablement faibles mais peu importe, il bloque la synagogue de Satan dans ses velléités de guerre.

Je l’ai déjà dit à de nombreuses reprises : la troisième guerre mondiale était programmée le 21 août 2013 par l’attaque au gaz sarin en Syrie. La reine de la paix, Marie, via Poutine, a bloqué ce projet. Satan n’aura pas sa dernière guerre.



L’affaire Trump : la 5ème coupe ?

Restaient les Etats-Unis ; il était primordial, pour qu’Ishtar-Astarté accomplisse sa mission, que sa figure terrestre (Hillary) soit sur le trône le 20 janvier prochain.

Là aussi, blocage du Ciel, et quel blocage !

Très probablement la 5ème coupe : « Et le cinquième ange répandit sa coupe sur le trône de la bête ; et son royaume devint ténébreux, et les hommes se mordirent la langue dans l’excès de leur douleur; et ils ne firent point pénitence de leurs œuvres. » (Apoc. 16:10).

Je vois dans l’affaire Trump une intervention de sainte Jeanne d’Arc :

Le 45ème président a été élu la 45ème semaine, le 8 du mois de novembre. La plus célèbre bataille de Jeanne fut la délivrance d’Orléans, chef-lieu du 45, un 8 du mois de mai.

Or même les rabbins expliquent que la délivrance viendra de la France ! Et d’autres prophéties parlent d’un retour de Jeanne d’Arc à la fin des temps.

Il y a eu l’anneau en février, puis maintenant l’élection américaine. Elle est là l’intervention divine ! Penser qu’un saint va revenir en personne n’est pas conforme avec les enseignements de l’histoire, de la bible, et avec le sens mystique des prophéties.

Mais Trump c’est mieux que ça : le 45ème président est la réalisation d’Isaïe 45 !

« Yahvé me dit : transmets ces paroles à Cyrus. Car j’ai fait sacrer ce roi. Je l’ai pris par la main pour lui faire terrasser les nations pour qu’à sa vue, les rois en fuite tournent le dos, pour lui ouvrir les portes de toutes les villes sans exception. Dis-lui donc ceci :

C’est moi qui marcherai devant toi et j’aplanirai les obstacles que tu rencontreras.
Ainsi tu sauras que je suis Yahvé et que je t’ai choisi personnellement, moi le Dieu d’Israël.
A cause de Jacob mon serviteur et d’Israël mon préféré, je t’ai désigné sans que tu me connaisses pour qu’on sache de l’Orient à l’Occident qu’en dehors de moi il n’y a rien.
(…)
J’établis la paix et je mets le malheur, c’est moi Yahvé qui fait tout cela.
Cieux répandez votre rosée, que des nuées descende le salut.
Que s’ouvre la terre et qu’elle donne naissance au Sauveur
Qu’elle produise en même temps le salut
C’est moi Yahvé qui en suis l’auteur. »

(Isaïe 45 1-8)

Le dernier verset est le refrain du chant bien connu de l’Avent Rorate Caeli de super, comme quoi il y a un lien direct entre l’Avent, Isaïe 45 et l’avènement du Sauveur.

Alors attention, soyons clairs : Donald Trump n’a pas la moindre idée de son rôle ni de ce qui l’attend. Cyrus est le roi des médo-perses, tombeur de Balthazar, roi de Babylone ; en prenant Babylone il met fin involontairement à l’exil des juifs. Nous sommes dans le livre de Daniel. Cyrus est un païen qui ne se convertira pas pour autant, même s’il fait preuve d’indulgence envers les juifs, qu’il laisse partir. D’ailleurs Yahvé dit bien qu’il l’a choisi sans qu’il le connaisse, et qu’il a suscité ce roi pour faire connaître sa puissance et par égard pour son peuple.

Selon cette interprétation, Donald Trump est un instrument involontaire au service de Dieu pour contrer les plans de la synagogue de Satan. Il n’est pas l’envoyé de Dieu ni un élu pour autant ; il reste païen et idolâtre.

Nous savons que l’élection de Trump bloque l’activation de l’alignement terrestre Ishtar/Astarté avec l’Antéchrist, ce qui pose un gros problème.

Nous savons que la perte de contrôle des deux plus grandes puissances mondiales, la Russie et les Etats-Unis, est la pire des choses qui pouvait arriver à la synagogue de Satan.

Nous savons que l’échéance maintenant est très proche, il ne leur reste plus que trois à quatre mois et ils ne peuvent plus reculer.




1) La Synagogue de Satan désigne tous les ennemis de Dieu qui se sont réunis en diverses officines occultes afin de constituer une société civile et religieuse qui soit contraire à la volonté divine et donc opposée à son peuple : les chrétiens. C’est pour cela qu’elle œuvre pour Satan, que ses membres en soient conscients ou non, cela ne change rien au fond du problème.

Elle n’est pas constituée de tous les juifs bien évidemment mais d’une partie de leurs élites issues du judaïsme talmudique et de leurs alliés protestants (qui sont les judas de la chrétienté) ou athées, et des hauts gradés de la franc-maçonnerie.

Tous ces gens-là fonctionnent selon les principes de la kabbale juive, qu’ils soient juifs ou pas, et veulent parvenir aux promesses divines contenues dans la bible, où Dieu donne la victoire aux juifs et à leurs alliés. Tout ceci est annoncé et détaillé dans le livre d’Isaïe, que je les soupçonne de suivre de près.




Bonne Année !

La guerre mondiale n'éclatera pas en 2017

Contrairement à tous les oiseaux de mauvaise augure qui inondent le Web de leurs vidéos, Louis d'Alencourt affirme : « Satan n'aura pas sa dernière guerre ».


Louis d’Alencourt




mardi, janvier 03, 2017

Vladimir Poutine : À l'Ouest, le nouvel ordre mondial normalise la délinquance pédophile

Sculptures de Gustav Vigeland (1869-1943), Frognerpark, Oslo.

Vladimir Poutine a profité de sa conférence de presse annuelle de Noël pour reprocher aux zélites libérales occidentales d'abandonner les valeurs traditionnelles qui ont fait la grandeur de leurs pays. Au lieu de construire un avenir basé sur les solides valeurs chrétiennes, les zélites occidentales ont créé une culture du « politiquement correct débridée et outrancière » si destructrice, qu'elle entraînera la chute de la civilisation occidentale si elle n'est pas arrêtée. 

Lors d'une séance de questions-réponses de près de quatre heures, le président russe a disserté sur l'état de son pays et du monde. Il a dit qu'il y a un effort international en faveur d'un nouvel ordre mondial qui « supprimera la souveraineté nationale » et « détruira l'identité et la diversité créée par Dieu. »


Poutine affirme que pour atteindre cet objectif, les zélites occidentales ont commencé par rejeter les racines sur lesquelles leur société s'est édifiée.

« De nombreux pays occidentaux ont décidé de nier ou rejeter leurs propres racines, en particulier l'origine chrétienne qui forme le socle de la civilisation occidentale. Dans ces pays, tout précepte moral et identité traditionnelle sont niés - l'identité nationale, religieuse, culturelle et même de genre, sont niés ou relativisées. »

« Dans ces pays, l'administration traite (juridiquement) à égalité les familles avec de nombreux enfants et les duos homosexuels.

« Dans ces pays, la démesure et la licence du politiquement correct conduisent à examiner très sérieusement la légitimité des partis qui encouragent la propagande de la criminalité pédophile.

« Les gens de beaucoup d'États européens ont honte de leur appartenance religieuse et ont vraiment peur d'en parler. »

Poutine dit que la situation est devenue si outrancière dans la civilisation occidentale, que l'on enseigne à présent aux gens que « La foi en Dieu est égale à la foi en Satan ». Dire le contraire risquerait d'être incorrect politiquement : le grand délit de notre époque.

« Les fêtes et les célébrations chrétiennes sont abolies ou rebaptisées de manière neutre, comme si on était honteux de ces fêtes chrétiennes. On cache ainsi les valeurs morales plus profondes de ces célébrations.

« Et ces pays essaient d'imposer ce modèle aux autres pays, mondialement. Je suis profondément convaincu que c'est la voie directe vers l'avilissement et le retour à la barbarie de la civilisation. Cela fait s'aggraver la crise démographique et morale en Occident. Quelle meilleure preuve pourrait-il y avoir de la crise morale de la société humaine (occidentale), que la perte de son devoir de procréation ? »



L'Ouest ne peut survivre par la procréation 

« Aujourd'hui, quasiment tous les pays occidentaux 'développés' ne peuvent pas survivre par la procréation, pas même avec l'aide des migrants.

« Sans les valeurs morales enracinées dans le christianisme et les autres religions du monde, sans les règles et les valeurs morales qui ont été établies et mises en valeur au cours des millénaires, les gens perdront inévitablement leur dignité humaine. »

Poutine est inébranlable quant à la détermination de la Russie à défendre les valeurs occidentales.

« Et nous pensons qu'il est juste et naturel de défendre et de préserver ces valeurs morales (chrétiennes). »



La tentative de créer un gouvernement mondial unique

Poutine a aussi évoqué la tentative de créer un gouvernement mondial qui ferait disparaître les États souverains - un aboutissement qui conduirait « à l'abandon de sa propre identité » et à la perte de la « diversité créée par Dieu ».

« À l'Ouest, en même temps que ce processus au niveau national, on observe au niveau international des tentatives visant à relativiser et supprimer les institutions de droit international et la souveraineté nationale, pour créer un modèle de monde unipolaire unifié.

« Dans ce genre de monde unifié et unipolaire, il n'y a pas de place pour les États souverains. Ce genre de monde n'a besoin que de vassaux.

« Du point de vue historique, ce genre de monde unipolaire impliquerait l'abandon de sa propre identité et de la diversité créée par Dieu. »

Your News Wire, Baxter Dmitry
Original : yournewswire.com/putin-new-world-order-pedophilia-west/
Traduction Petrus Lombard


La femme et le reptile (dragon) 




Révélation 12:17 : « Et le dragon s'est mis en colère contre la femme, et s'en alla faire la guerre contre les autres qui sont de la semence de la femme, qui gardent les commandements de Dieu...»

Le Dalaï-lama : « Certaines femmes sont très belles, mais elles créent aussi pas mal de problèmes dans le monde. »


vendredi, décembre 30, 2016

Nouvel An 2017 au Sheroes Hangout


Jean est en Inde, réveillonnera-t-il dans un restaurant géré par les lamas de Dharamsala ou dégustera-t-il un menu ayurvédique chez les yogis de Rishikesh ?

Finalement, il écoutera du rock soufi à Lucknow, au Sheroes Hangout, un café qui emploie uniquement des femmes défigurées par l’acide.
(Un autre Sheroes Hangout est situé à Agra.)

"Les attaques à l'acide sont monnaie courante en Inde où chaque jour, une femme est brûlée par un liquide corrosif. C'est contre ce fléau que la fondation Chhanv se bat depuis 2013 par le biais de leur campagne "Stop Acids Attacks".

Pour assurer aux victimes une aide financière, des soins médicaux adaptés et surtout un soutien moral, la fondation à ouvert le café Sheroes Hangout en 2014 dans la ville d'Agra, près du Taj Mahal. Là-bas les femmes retrouvent une vie sociale et le courage de se montrer en public.

Le café fonctionne sur le principe du "payez ce que vous voulez" et la recette est reversée aux victimes de ces attaques à l'acide. Cela leur permet de devenir financièrement indépendantes et de payer leurs frais médicaux et judiciaires." 

Source


Photo : Pascal Mannaerts. 


mercredi, décembre 21, 2016

Cadeaux de Noël



L'Occident moderne n'est plus chrétien

« Voici de nouveau la merveilleuse annonce : “CHRISTUS NATUS EST NOBIS !”

Nous ne sommes donc plus abandonnés, nous ne sommes plus seuls, perdus dans un monde possédé du démon. POUR NOUS LE CHRIST EST NÉ, VENEZ ET ADORONS ! Bien sûr, mais pas le “PÈRE NOËL” à base de “panettone et de cadeaux”, mais le Noël de Jésus Christ, vrai “Dieu” et vrai “Homme”, dont les deux natures, divine et humaine, sont unies en une seule Personne, dans la “Deuxième” de la Très Sainte Trinité. Cette union des deux natures en une seule Personne s’appelle “Union Hypostatique”. » 
L'auteur de ces lignes, l'Abbé Luigi Villa (1918-2012), était un infatigable pourfendeur de la franc-maçonnerie. Il dénonçait le plan des loges pour détruire le christianisme. Mais son combat fut vain, l'Occident moderne n'est plus chrétien.

« L'esprit moderne est antichrétien, précise René Guénon, parce qu'il est essentiellement antireligieux ; et il est antireligieux parce que, plus généralement encore, il est antitraditionnel... »



Le bouddhisme est une révolte contre l'esprit traditionnel

René Guénon accuse le bouddhisme de révolte contre l'esprit traditionnel. Et, il constate, « les Hindous, au point de vue de leur propre tradition, ont toujours condamné les bouddhistes... » (« La crise du monde moderne ».)

Dans son livre « Le règne de la quantité », René Guénon précise : « la constitution de la « contre-tradition » et son triomphe apparent et momentané seront proprement le règne de ce que nous avons appelé la « spiritualité à rebours », qui, naturellement, n’est qu’une parodie de la spiritualité... »



Enseignements immoraux et criminels


Le néo-bouddhisme participe à cette parodie de la spiritualité. Il s'est répandu en Occident grâce aux forces politiques qui ont médiatisé et rendu célèbre le dalaï-lama.

Le petit despote du Tibet est un grand menteur. Le bouddhisme qu'il promeut n'est pas fait de compassion. Bien au contraire, les doctrines secrètes enseignées par les lamas tibétains véhiculent une sorte de satanisme oriental.

Les bouddhistes parvenus aux initiations supérieures adoptent une doctrine totalement immorale. Par exemple, la pédophilie est une pratique préconisée par les rites secrets des initiés lamaïstes.



La pédophilie des initiés de Kalachakra

Un lama tibétain, spécialiste des rites de Kalachakra, écrit :

« Le rite commence avec des fillettes de 10 ans. Jusqu'à leur vingtième année, les partenaires sexuelles représentent des vertus positives. Au-delà, elles comptent comme porteuses d'énergie de colère, de haine, etc. et comme femmes-démons. Dans les étapes initiatiques de 8 à 11 du tantra de Kalachakra, l'expérimentation se fait avec une « seule » femme. Pour les étapes de 12 à 15 appelées le Ganashakra, 10 femmes participent au rite aux côtés du maître. L'élève a le devoir d'offrir les femmes comme « présents » à son lama. Les laïcs se faisant initier doivent amener leurs parentes féminines (mères, sœurs, épouse, filles, tantes, etc.). En revanche, les moines ayant reçu la consécration ainsi que les novices peuvent utiliser des femmes de diverses castes qui ne sont pas leurs parentes. Dans le rite secret lui-même, les participants font des expériences avec les semences masculines et féminines (sperme et menstruation) ; les femmes ne sont pour l'initié masculin que des donneuses d'énergie et leur rôle cesse à la fin du rite ».

(Gen Lamrimpa, « Transcending Time, an explanation of the Kalachakra Six-Session », cité par Elisabeth Martens.)



La sorcellerie et le cannibalisme des initiés de Kalachakra


Le kalachakra Tantra, " La Roue du Temps ", est le texte le plus sacré du bouddhisme tibétain. Selon la légende, sa rédaction est attribuée au premier roi du royaume mythique de Shambhala. Ce texte fondamental a été traduit en français, le chapitre six comprend un traité d'alchimie et de démonologie. Par exemple, une recette de sorcellerie peu ragoûtante :

"La consommation de matière fécales et d’urine, de sperme et de sang menstruel, mélangés à la chair humaine, prolonge la vie. Ce sont les cinq ingrédients qui entrent dans la composition des pilules de nectar".

D'après les lamas, c’est le Bouddha lui-même qui aurait expliqué comment préparer et utiliser ces ingrédients pour rajeunir, supprimer toutes les maladies, mettre fin aux difformités corporelles…



D'autres rites secrets des initiés bouddhistes


La sorcellerie est présente dans d'autres textes religieux tibétains, les tantras dits supérieurs. Le Hevajra Tantra, particulièrement vénéré par les Sakyapa, indique les mantras utilisés pour les principales catégories de rites magiques.

Ces rites ignorent totalement la moralité et la compassion bouddhiques. Il sont utilisés pour ensorceler ; arrêter les actions d'autrui, de les pétrifier ; séparer deux amis, des parents, des amoureux, etc., et de créer de l'animosité entre les gens ; faire tomber en disgrâce, détruire les habitations de personnes détestées ; tuer ou blesser à distance...

Cadeaux salutaires

Sans aucun doute, les initiés des doctrines secrètes du bouddhisme tibétain pratiquent un occultisme profondément immoral et criminel. Il est aussi certain que les artisans du monde contre-traditionnel utilisent la fausse philosophie bouddhique, mais vrai spiritualisme frelaté, pour corrompre et détruire l'Occident.

Le Noël 2016 est comme les autres « à base de panettone et de cadeaux ». Pour protéger nos proches de l'occultisme bouddhique, nous devrions penser à des cadeaux instructifs et salutaires.

7 suggestions :

Elisabeth Martens

Cet essai propose une déconstruction des stéréotypes que nous nous faisons du bouddhisme tibétain, à savoir "une philosophie de vie et pas une religion ou une religion athée, sans dogme et non confessionnelle, prêchant le pacifisme, la tolérance et la compassion, non politisée et sans ambitions économiques".

L'instrumentalisation à des fins politiques de cette philosophie religieuse est un des points central du livre. Des thèmes comme "Grand Tibet", "Tibet historique" ou "Tibet culturel" y sont décortiqués avec beaucoup d'attention. Pour autant, l'étude porte principalement sur les XXe et XXIe siècles. Il y est aussi question de l'attitude versatile du dalaï-lama et de l'avenir incertain du Tibet. L'ouvrage s'ouvre par un chapitre sociologique destiné à faire découvrir un Tibet réellement peu connu du public occidental et souvent ignoré par les médias. 





Histoire du Bouddhisme tibétain 
La Compassion des Puissants


Elisabeth Martens


Cet ouvrage rend au Bouddhisme tibétain son statut de religion qui, comme toute autre religion, a connu une évolution en accord avec son environnement social. Loin de la compassion et de la tolérance qui sont, actuellement, les images de marque du Bouddhisme tibétain, l'enseignement du Bouddha a servi à implanter son autorité morale et spirituelle sur les populations tibétaines et à s'entourer de biens matériels. Le bouddhisme tibétain d'aujourd'hui, aseptisé et modelé à nos demandes, a-t-il encore quelque chose à gagner en séduisant un Occident que l'on prétend en "vide spirituel". 





Marion Dapsance

Une enquête de plusieurs années au cœur des milieux bouddhiques occidentaux qui vient faire vaciller tous nos présupposés. Au fil des rencontres, des expériences racontées, des témoignages recueillis, il devient évident que le bouddhisme n'est rien d'autre qu'une religion. Qui plus est, sa version occidentale connaît de très nombreuses dérives : organisation sectaire, dérives sexuelles, pyramides financières, humiliations hiérarchiques... état des lieux. 






Cécile Campergue 

Quelles sont les modalités de diffusion du bouddhisme tibétain dans le contexte social et culturel de la France, pays d'Europe disposant du plus grand nombre de centres bouddhistes tibétains. Le bouddhisme y jouit d'un statut particulier et bénéficie relativement tôt de reconnaissances institutionnelles. Les enjeux de sa diffusion et sa réception sont loin d'être simplement religieux ou spirituels.

 




Maxime Vivas 

Prix Nobel de la paix, le dalaï-lama, abrité sous sa toge safran, incarne le martyre d'un Tibet soumis au joug chinois. Symbole de sagesse, il rassemble les foules partout dans le monde. Sacralisé, adulé: qui remettrait en cause ce dieu vivant qui prétend porter avec lui l'espoir de liberté de tout un peuple ?

Maxime Vivas ose s'attaquer au mythe: et si le dalaï-lama était un théocrate qui remplit d'or les coffres de ses palais tandis que les Tibétains n'étaient que des serfs auxquels on refuse toute éducation ? Et si, en bon opportuniste, il tenait un discours changeant à l'égard des Chinois, tantôt amis, tantôt ennemis ? Et s'il faisait le jeu des Américains et de la CIA davantage que celui des Tibétains qu'il prétend défendre ?

S'appuyant sur les propos mêmes du dalaï-lama, sur les témoignages de prosélytes ainsi que sur son propre voyage au Tibet, l'auteur dresse un portrait au vitriol de « Sa Sainteté » et nous démontre que tout n'est pas si zen au royaume de Bouddha.





Gilles van Grasdorff 

La personnalité charismatique du dalaï-lama, ses actions en faveur de la paix qui lui ont valu le prix Nobel en 1989, son influence morale dans le monde en font un personnage de tout premier plan. Mais paradoxalement, le chef politique du Tibet est entouré de nombreux mystères.

Qui est-il exactement ? Quelle part a pris sa famille dans son accession au pouvoir ? Sa mère est toujours un symbole respecté des Tibétains. Mais son père ? Est-il décédé de mort naturelle ou a-t-il été assassiné ? Quel rôle ont joué les services secrets chinois et la CIA au pays des neiges ? Quels furent leurs agissements, leurs mensonges, leurs ambiguïtés ? Le gouvernement en exil à Dharamsala n'a jamais été reconnu par les autres nations. Pourquoi ? Et que deviendra le Tibet après la disparition de son leader ?

Ce livre, nourri d'informations inédites et d'entretiens avec plusieurs personnalités, notamment le dalaï-lama lui-même, invite à s'interroger sur l'avenir d'une nation et d'une civilisation menacées de disparition. (1ère parution : Plon, 1984) 





Opération Shambhala 
Des SS au pays des dalaï-lamas 



Gilles van Grasdorff 

Le Tibet a toujours fasciné l'Allemagne nazie. Convaincus qu'Adolf Hitler se cacherait dans le royaume mythique de Shambhala, certains néonazis ont même pensé qu'il y conduirait la planète vers le IVe Reich.

1938. SS, ils appartiennent à l'Ahnenerbe, l'institut chargé de trouver ou d'inventer les fondements de l'idéologie nazie.

Ils sont alpinistes, comme Heinrich Harrer, vainqueur de l'Eiger, aventuriers ou scientifiques comme Bruno Beger, chargé de démontrer l'existence des vestiges aryens parmi les populations tibétaines.

Pour Himmler, patron de la SS et de l'Ahnenerbe, ils sont les nouveaux héros de l'aryanisme germain.

Gilles Van Grasdorff révèle le rôle des occultistes nazis de la Société de Thulé ; il raconte les expérimentations sur les Tibétains et Tibétaines, poursuivies à Dachau et à Auschwitz. Il dévoile les liens du SS Heinrich Harrer et de l'actuel dalaï-lama et s'interroge : quelle fut l'influence de Harrer sur le système et les méthodes d'éducation et sur les adoptions des enfants tibétains de l'exil ?





A savoir avant de visiter un centre bouddhiste.


Des tangkas tibétains (peintures religieuses et supports de méditation) sont réalisés sur des peaux humaines. Ce sont des peaux de suppliciés. Quand les lamas capturent un « chef ennemi, ils l'écorchent vif », écrit l'Abbé Desgodins, dont la correspondance et les publications sont beaucoup plus fiables que tous les boniments du dalaï-lama.

En Thaïlande, des moines bouddhistes se livrent à la magie noire. Ils utilisent des fœtus humains et des bébés morts dans leurs rites consacrés aux Kuman Thong.


Vidéo : rite magique de récupération de la graisse d'un bébé par un moine bouddhiste : https://www.youtube.com/watch?v=dh-h7lx_j7E

En Orient, la magie est très répandue, on la trouve dans presque toutes les sectes bouddhistes.




samedi, décembre 17, 2016

Les Cristeros





La persécution du christianisme par un gouvernement socialo-maçonnique a fait 250 000 morts au Mexique.

Le film américano-mexicain « Cristiada », sorti en 2012 aux USA, raconte l’histoire vraie du Mexique des années 1920 dirigé par un président et un gouvernement socialistes et francs-maçons. Il retrace la rébellion paysanne qui souhaitait la liberté religieuse face à l’État anticatholique qui fut responsable de nombreux massacres. « Les victimes furent sans nombre : hommes certes, mais aussi jeunes femmes et enfants, tous assassinés sauvagement. »

Le rappel cinématographique des crimes d'un gouvernement socialo-maçonnique ne pouvait pas être apprécié des instances politiques françaises dans lesquelles les francs-maçons exercent un pouvoir parallèle. Le film fut donc totalement ignoré en France.




Jean Meyer

Entre 1926 et 1929, le Mexique connaît une révolution dans la révolution (1910-1940) : la rébellion des Cristeros, ou Christiade (Cristiada). Dans sa volonté de transformer la société, l'État, sous la présidence Calles, agresse frontalement l'Église catholique qui réagit en suspendant le culte. L'État ferme alors les églises, interdit le culte privé et la distribution des sacrements.

S'agit-il d'un énième épisode d'un conflit séculaire entre deux vieux adversaires, d'une diversion idéologique dans un contexte économique difficile, alors que plane la menace d'un nouveau bras de fer avec l'encombrant voisin américain ? Quoi qu'il en soit, l'épisode débouche sur un fait totalement inattendu : le peuple, blessé dans ses convictions les plus profondes, à bout de patience après avoir épuisé tous les moyens légaux de résistance, se soulève au nom du Christ-Roi (Cristo-Rey). Malgré une répression impitoyable, non seulement l'insurrection ne s'éteint pas, mais elle se structure et se développe. L'État se découvre dans une impasse. Il en sort grâce à la médiation américaine : en 1929, le culte reprend, les Cristeros déposent les armes. Mais le bilan humain est tragique : plus de deux cent mille morts, combattants des deux camps et civils, des centaines de milliers de Mexicains ont fui leur pays. Une chape de plomb tombe alors sur l'événement que l'histoire officielle va s'appliquer à oublier.

C'est un Français, Jean Meyer, qui a réveillé la mémoire de la Christiade. Dans les années soixante, il a sillonné le Mexique à la recherche des survivants des deux camps et des archives. De ce travail, il a publié une thèse, puis des ouvrages qui ont marqué les esprits. La Rébellion des Cristeros, réédition enrichie de La Christiade (Payot, 1975), est la synthèse indispensable pour qui veut comprendre en profondeur la Christiade, un épisode de l'histoire du Mexique dont les leçons sont universelles.


jeudi, décembre 15, 2016

L'expérience de mort imminente (EMI) de Rajâa Benamour


(17:30)



« Première femme de tradition musulmane à avoir raconté dans un livre en français une expérience de mort imminente et les douleurs, les visions, l’exaltation mystique que cela peut induire, Rajâa Benamour a la conviction d’être revenue des frontières de la mort avec une mémoire de ce qui s’est passé en elle. Elle est devenue une autre personne, ou plus exactement, selon ses propres mots, elle est enfin devenue elle-même. De tout cela, elle témoigne dans "Sayf al-Nûr, l’épée de lumière" paru aux éditions Albouraq. »

(France Culture) 



L'interview de Rajâa Benamour dans Le Monde des religions

Le 20 novembre 2009, victime d’une erreur médicale, Rajâa Benamour fait une expérience de mort imminente qui débouche sur un vécu mystique intense. Elle est la première musulmane à en témoigner dans Sayf al-Nûr.

Cette expérience de mort imminente (EMI) a été le catalyseur d’une expérience spirituelle que vous nommez « L’épée de la Lumière ». Pourriez-vous préciser ce dont il s’agit ?

Cette EMI a fait tomber toutes mes barrières psychologiques et libéré mon être. Elle m’a transformée. Elle est à l’origine d’une expérience spirituelle, qui fut incontestablement une expérience de Ta’wil, d’herméneutique [interprétation des textes, ndlr]. Le Ta’wil est l’aboutissement d’effusions spéculatives par lequel le sens caché des textes religieux ou philosophiques se révèle à la connaissance, en dévoilant son contenu essentiel. Rapporté à l’âme, il est son cheminement qui remonte à son sens originel pour faire surgir l’essence la plus insondable de l’être. L’épée de la Lumière n’est pas un titre pour faire joli. J’ai vraiment été transpercée au centre de mon crâne par une épée faite de Sa Lumière, en référence à l’un des 99 Noms Divins, al-Nûr. Elle est arrivée des confins des cieux pour pulvériser mes repères et mes certitudes vainement acquises pendant des années. J’ai alors fait l’expérience de la « gustation », car ce n’est pas tant mon palais qui a été modifié, mais le nectar. J’ai goûté et j’ai cessé d’être une étrangère à moi-même.

Lors de cette expérience, vous dites avoir été « façonnée, transformée, initiée » à la science des lettres arabes.

Pour être exacte, j’ai « revêtu » et je suis devenue chaque lettre : wâw, nûn, kâf, jusqu’à la lettre finale, celle qui contient toutes les autres, alif. Annihilée en moi-même, j’ai perdu ma propre singularité et j’ai été initiée. L’axe central de ce récit est donc la science sacrée des lettres arabes, Ilm al-Hoûroûf. Dans le soufisme, elle est liée à la science des chiffres, Ilm al-Arkâm, et aux 99 Noms Divins, Asma’ al-husna, issus directement du Coran. À travers elle, l’esprit devient lettre, élément divin. Lors de cette expérience, j’ai compris qui nous étions vraiment. Or, savoir qui nous sommes, c’est savoir qui Il est. Comme le dit Socrate : « Celui qui se connaît lui-même connaît son Dieu ». Au bout du compte, nous sommes des attributs divins comme la Beauté, la Miséricorde…

Pourquoi votre livre est-il le premier témoignage, explicite et publié, d’une EMI émanant d’un croyant musulman ?

Je n’en ai pas la moindre idée. Avant d’écrire ce livre, j’étais sceptique. Jusqu’au moment où l’inconcevable est venu me faucher de ce à quoi je tenais : mon « je », qui fut l’objet de ma plus grande bataille. Telle une guerrière, j’ai lutté contre la mort, sans me douter que ce « je », d’où émane mon individualité, devait abdiquer et se rendre. Aussi cette expérience a-t-elle levé les voiles de mon ignorance, de mes illusions prises pour des vérités, qui m’ont longtemps maintenue dans une cécité égotique. J’étais éprise du mensonge inavoué de mon petit « je » humain, inapte à percevoir le « jeu » du fourvoiement de sa suffisance. Sceptique, je ne le suis plus depuis que j’ai été foudroyée par la fulgurance de la « Vérité » du « Je » divin. Cela vaut bien un livre !

Quel éclairage l’islam apporte-t-il sur ces expériences ?

L’islam est assez vague sur ce sujet. L’islamologue Éric Geoffroy cite ce verset du Coran dans la préface de mon livre : « Dieu reçoit les âmes au moment de leur mort, ainsi que celles qui ne meurent pas au cours de leur sommeil. Il retient celles dont Il a décrété la mort, tandis qu’Il renvoie les autres jusqu’à un terme déterminé. Il y a en cela des signes pour qui réfléchit . » La seconde option - « celles qui ne meurent pas au cours de leur sommeil » - laisse en effet un champ assez libre pour accueillir l’expérience de mort imminente.

Cette expérience a-t-elle changé votre vision de la mort ?

Assurément ! Aujourd’hui, je fais la distinction entre « exister » et « vivre ». Leur point commun, c’est « être ». Nous ne cessons jamais d’être à l’image du Nom Divin al-Hayy, le Vivant, qui ne meurt jamais. L’âme est éternelle.




Rajâa Benamour sur France Culture






Rajâa Benamour

Voici un récit saisissant dont la lecture ne laisse pas indifférent. D'une écriture poignante et délicate, l'auteure nous livre un témoignage inédit dont « l'expérience de mort imminente » a été le prélude. Lors d'un choc anesthésique en bloc opératoire, Rajâa reçoit une initiation fulgurante par la science ésotérique des lettres, au cours de laquelle ses repères et ses certitudes sont pulvérisés. Effroi, quiétude. Eclatement, ravissement. Solitude, miséricorde. Brûlure, contemplation. Avec une pudeur touchante, l'auteure nous fait vivre ces allers-retours qui la mènent vers le Beau (al-Jamîl). 

Succombant à la Splendeur, elle devient une amoureuse éperdue et tend ainsi à découvrir son être essentiel. À l'image d'Ibn Arabî, qui, il y a quelques siècles, écrivait : « L'Amour est ma religion et ma foi », l'auteure peut aujourd'hui humblement déclarer : « L'Amour est mon Maître ».


mardi, décembre 13, 2016

Détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…)



La religion sans nom



par Alexandre Lebreton


L’héritage de l’ancienne Babylone, la religion à Mystères suméro-akkadienne avec ses sacrifices de sang et la mise en esclavage d’êtres humains s’est transmis à travers les générations.

La Statue de la Liberté représente la tyrannie luciférienne 

Jay Parker, un survivant d’abus rituels sataniques a révélé que ses grands-parents, descendants de lignées lucifériennes, lui avaient un jour confié à propos de la Statue de la Liberté qu’il s’agissait en fait de Semiramis, la reine de Babylone, l’épouse de Nimrod. C’est Nimrod qui fut le constructeur de la Tour de Babel, il a été le premier homme à avoir voulu établir un Gouvernement Mondial avec une Religion Universelle en opposition à Dieu. Nimrod semble visiblement être un modèle à suivre pour les élites de la Franc-maçonnerie internationale. Dans ‘‘History of Freemasonry’’, publié par la ‘‘Masonic History Company’’, il est écrit que Nimrod a été honoré comme ‘‘Grand Maçon’’ et que sa tentative pour construire un ‘‘Nouvel Ordre Mondial’’ lui a valu la distinction de ‘‘Premier Grand Maître’’.

Le franc-maçon Albert Mackey a écrit que ‘‘La légende attribue à Nimrod la création des Maçons sous la forme d’un corps et il a été le premier à leur avoir donné une constitution ou des lois pour un gouvernement. La Maçonnerie, selon ce que rapporte la légende, a été fondée à Babylone, d’où elle s’est transmise dans le monde entier.’’



La tradition des abus rituels pour créer des esclaves

La tradition des abus rituels pour créer des esclaves viendrait d’une antique doctrine, l’ancienne tradition de l’époque Babylonienne avec son culte aux démons, cette dévotion aux anges déchus, que nous appellerons ‘‘la religion sans nom’’. Dans ces anciennes religions, les dieux maléfiques étaient craints et devaient sans cesse être apaisés. Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était complètement lié aux entités démoniaques.

Le démonisme est la dynamique qui se cache derrière la magie et les pouvoirs spirituels de ces religions primitives et antiques. Les nombreux dieux cananéens, égyptiens, grecques et romains sont du même acabit que les dieux babyloniens. Toutes les pratiques de magie, les quêtes d’immortalité, les sacrifices d’animaux et d’humains, etc, dérivent de ces anciens cultes aux démons. Dans ‘‘Mackey’s Revised Encyclopedia of Freemasonry’’, Albert Mackey nous informe que : ‘‘Selon Warburton, chaque dieu païen reçoit en dehors de ce qui apparaît publiquement et ouvertement, un culte secret dans lequel personne n’est admis excepté ceux qui ont été sélectionnés par des cérémonies préparatoires qui constituent l’initiation. Ce culte secret a été appelé les Mystères.’’

La religion sans nom

Aujourd’hui, ces cultes n’ont plus leur autel sur la place publique, et pour les profanes ils n’existent plus que dans les livres d’histoire, et encore… Mais ont-ils totalement disparus ? L’adoration des démons, les rituels sacrificiels de sang et les pratiques traumatiques initiatiques créant de profonds états dissociatifs sont-ils de l’histoire ancienne ?

Il existe encore de nos jours un culte perpétuant cette tradition, telle une ‘‘religion sans nom’’ transmettant les Mystères de génération en génération. Pourquoi une ‘‘religion sans nom’’ ? Parce qu’elle n’existe pas de manière officielle. Ce culte, ou plutôt cette doctrine, n’est pas censée exister pour le commun des mortels de notre époque. On pourrait tout aussi bien l’appeler la ‘‘religion aux mille visages’’, ses multiples formes n’étant rien d’autre que des manifestations d’une souche de fond qui s’adapte aux époques et aux civilisations humaines. Une souche qui s’extériorise de telle ou telle manière selon les circonstances qui s’offre à elle et qui s’adapte aux aléas matériels, mais qui reste une dans ce qu’elle vise au niveau spirituel.


La décadence des mœurs est planifiée dans les loges


C’est une doctrine clandestine, une Gnose Transhistorique qui n’a donc pas d’appellation précise mais qui façonne pourtant notre société moderne par l’infiltration depuis des siècles. Elle marque son empreinte par une symbolique que les initiés aiment à afficher dans le monde profane, mais aussi par une influence entraînant une décadence des mœurs de plus en plus marquée. C’est une sous-culture qui émerge petit à petit et qui tente d’imprégner les profanes pour devenir une culture hégémonique mondiale. Cette ‘‘religion sans nom’’ est divisée en une multitude de sectes et groupes n’ayant pas au premier abord les mêmes centres d’intérêts, mais qui ont toutes et tous en commun de travailler plus ou moins ardemment à la mise en place d’un gouvernement mondial, un Nouvel Ordre Mondial, berceau de l’Antéchrist.

La ‘‘religion sans nom’’ est le culte à Lucifer, elle se divise en plusieurs branches, Kabbalistes, Martinistes, Rosicruciens, Théosophes, Lucifériens, Gnostiques et Néo-gnostiques, etc. (toutes ces écoles se chevauchant les unes les autres)… Ses véritables adeptes (c’est à dire ceux qui sont conscients des véritables enjeux qu’ils défendent et de la guerre menée ici-bas) descendent de familles lucifériennes transgénérationnelles ou bien sont initiés et corrompus dans les hautes loges de sociétés sécrètes structurées de manière pyramidale. Tous travaillent à l’établissement du règne de leur Prince, l’ange déchu Lucifer, le dieu ‘‘civilisateur’’, tandis le Dieu de la Bible serait pour eux un Dieu ‘‘destructeur’’ qu’il faut renverser. Une de leur méthode est l’infiltration et la subversion des religions, des gouvernements et des organismes importants pour y infuser patiemment et méthodiquement leur doctrine luciférienne. [...]

Le but est de détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…) et d’inverser la moralité et les valeurs traditionnelles pour imposer un nouvel ordre par la destruction : Ordo ab Chao, l’ordre par le chaos. Dans nos sociétés modernes, nous pouvons aujourd’hui constater les résultats de cette doctrine destructrice qui consiste à obtenir la ‘‘rédemption par le péché’’ ou la ‘‘sainteté à travers le mal’’. Il s’agit d’une philosophie particulièrement malsaine visant à une inversion systématique des valeurs morales ou le mal devient le bien et le bien devient le mal. Dans son livre intitulé ‘‘Le Messie Militant’’, Arthur Mandel définit ainsi cette notion de ‘‘rédemption par le péché’’ : ‘‘Ce n’est rien d’autre que la vieille idée paulino-gnostique de la felix culpa, le péché saint de la route vers Dieu passant par le péché, le désir pervers de combattre le mal par le mal, de se débarrasser du péché en péchant.’’

Frankisme et Sabbataïsme

Ce fléau semble trouver ses racines dans les anciennes pratiques Babyloniennes et les cultes à Mystères. Une doctrine ravivée par le Frankisme et le Sabbataïsme, une dégénérescence satanique du judaïsme et de la Kabbale, fondée par les faux messies Sabbataï Tsevi (XVIIème siècle) et Jacob Frank (XVIIIème siècle). Le Sabbatao-Frankisme peut être considéré comme un proche ancêtre des Illuminés de Bavière (secte des illuminati), du sionisme, du communisme, ainsi que du fascisme. Il n’y a pas à proprement parler de culte Frankiste ou Sabbataïste puisqu’il s’agit d’une doctrine et d’une philosophie se propageant par l’infiltration des religions mais également de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes travaillant dans les coulisses des gouvernements et œuvrant derrière des façades démocratiques.

Alexandre Lebreton, "MK, Abus Rituels et Contrôle Mental".


Ceux qui ne reconnaissent aucun suzerain

Les simples contrôles routiers sans aucun motif de suspicion sont-ils une atteinte à la vie privée et au droit de circuler librement, voire ...