lundi, mai 08, 2017

Le rite d'intronisation de Macron



Macron intronisé devant la pyramide du Louvre, un des symboles de l'oligarchie luciférienne. 

Yannick Jadot, député européen Europe Ecologie-Les Verts, a raillé le ton et le décor du discours d'Emmanuel Macron, qui s'est exprimé le soir de son élection devant la pyramide du Louvre.

"C'était pharaon qui était là, devant sa pyramide. C'était 'Toutânmacron', seul, avec des images hallucinantes qui ne renvoient pas à une République renouvelée, apaisée, horizontale. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de culte de la personnalité", a dénoncé Yannick Jadot.




Une coïncidence, Emmanuel Macron est élu avec 66,06% de voix (résultat définitif). 


Asselineau réagit à la victoire de Macron


dimanche, mai 07, 2017

Ils ont voté






Ils ont voté pour l'Euro-fédération d'Attali 
« C'est un pays qui me débèqu'te
Pas moyen de se faire anglais
Ou suisse ou con ou bien insecte
Partout ils sont confédérés... »










D
ans la préface de son premier recueil de poèmes, Poète… vos papiers !, Léo Ferré livrait l’un de ses écrits les plus beaux et les plus violents. À la recherche de la poésie véritable, ce « manifeste du désespoir » renvoyait dos à dos les révolutionnaires et les bourgeois, leurs idéaux politiques et artistiques et leur conception identique de l’humanité, pour ne plus célébrer que la liberté de l’homme solitaire et insoumis – l’unique poète véritable.


La radicalité de Léo Ferré pose problème jusque dans les cercles anarchistes dont il partageait quelques idées, et son héritage poétique demeure mal compris. Davantage estimé pour avoir su sculpter le verbe avec prodige que pour lui avoir insufflé violence et insoumission, il n’est plus désormais que d’hommage artistique pour commémorer le souvenir du « chanteur ». Trop souvent oubliée, c’est pourtant sa rébellion perpétuelle contre les hommes qui caractérise l’esprit le plus singulier de ses écrits. Il constatait amèrement que « la poésie contemporaine ne chante plus : elle rampe ». Contemporain d’une époque où l’insurrection était « de gauche », « comme on dit d’un fromage qu’il est de chèvre ou d’un vin qu’il est de Bordeaux », il avait en effet été témoin de cette soumission de la poésie aux grands idéaux prétendument libérateurs qui s’arrogeaient le monopole de la pensée révolutionnaire.

Or, loin de la lourdeur racoleuse des poèmes tardifs d’Aragon, bien plus éloignée encore des mots d’ordre pseudo-poétiques de mai 68, la poésie de Ferré célébrait le rejet radical de la révolte populaire, de la clameur de la foule et du cri du peuple. Comme Nietzsche ou Mallarmé, il voulait que sa plume soit éminemment aristocratique, donc solitaire, et il reniflait dans la poésie des salons bourgeois les mêmes effluves rances que dans la poésie faite combattante de la classe ouvrière. « Le poète d’aujourd’hui doit être d’une caste, d’un parti ou du Tout-Paris », ironisait-il. C’est précisément pour cela qu’il refusait les conventions poétiques classiques, affirmant que « les écrivains qui ont recours à leurs doigts pour savoir s’ils ont leur compte de pieds ne sont pas des poètes : ce sont des dactylographes », tout autant qu’il exécrait l’affaissement de l’art démocratisé, raillant la vacuité consternante du dadaïsme qui entendait « poétiser le prolétaire ».


Léo Ferré ne fut jamais non plus partisan de l’avant-garde élitiste, ne confondant pas aristocratie et snobisme : « L’art abstrait est une ordure magique où viennent picorer les amateurs de salons louches qui ne reconnaîtront jamais Van Gogh dans la rue. » Son exigence se caractérisait en réalité par un isolement intransigeant, impropre au compromis moderne, et intolérable aux idéalistes, optimistes et humanistes, finalement naïfs. « Les sociétés littéraires, c’est encore la société : la pensée mise en commun est une pensée commune. »

La solitude est ce qui reste à l’homme de liberté


S’il tenait tant à ce que le poète embrasse pleinement sa condition solitaire et accepte la réclusion, c’est parce que Léo Ferré n’accepta jamais de transiger avec sa conviction éternelle ; il ne fut jamais partisan de l’anarchisme, mais bel et bien de l’anarchie. Méfiant à l’égard des courants politiques qui s’en réclamaient et qui n’aspiraient au fond qu’à renverser l’ordre moral sans toucher à l’ordre politique, il lui accordait un sens bien plus puissant et étendu, qui évoque encore les écrits de Nietzsche : c’était l’ordre du monde même qu’il rejetait. L’ordre de la nature, l’ordre qu’appose sur les chaotiques remous de la vérité la perception ordonnatrice de l’homme, l’autorité du réel sur le rêve. « Divine Anarchie, adorable Anarchie, tu n’es pas un système, un parti, une référence, mais un état d’âme. […] Tu es l’avoine du poète. » Seul, l’homme est libre, et devient poète. Enchaînés à nos semblables, nous ne sommes plus que médiocres et désarmés, contraints de suivre le flot implacable de la multitude, « avec nos âmes en rade au milieu des rues, nous sommes au bord du vide, ficelés dans nos paquets de viande, à regarder passer les révolutions ». La solitude de l’homme noyé dans la masse menace plus pernicieusement et plus dangereusement son âme que la solitude de l’ermite éternellement libre qui s’écarte de ses frères pour mieux les aimer.


Il n’y a donc plus rien à espérer des hommes pris ensemble et la seule révolution qui puisse éclater, l’unique combat qui puisse se livrer, sont intérieurs. Plus rien à espérer de l’Histoire non plus : « Le progrès, c’est la culture en pilules. » Plus cynique encore, la société s’avère même prête à profiter de l’isolement de l’homme des masses qui n’aurait pas encore brisé ses chaînes pour retrouver la solitude et la liberté, à faire fructifier son malheur et à en tirer bénéfice. Elle a déjà prostitué l’art, elle se montrera bien capable d’en faire autant avec ce faux désespoir présenté comme inéluctable. « On vend la musique comme on vend le savon à barbe. […] Pour que le désespoir même se vende, il ne reste qu’à en trouver la formule. Tout est prêt : les capitaux, la publicité, la clientèle. Qui donc inventera le désespoir ? » Le véritable désespoir, à l’inverse, est celui du poète, et c’est un cri d’espoir. C’est ce cri que pousse Léo Ferré dans ce manifeste du désespoir, qu’il achève en souhaitant qu’il constitue pour ses frères libres un manifeste de l’espoir, une fois la liberté retrouvée dans la poésie. Car elle est pour lui « ce no-man’s-land où les chiens n’ont plus de muselière, les chevaux de licol, ni les hommes de salaires ».


Source :

Présidentielle 2017

L'ajnana et le dalaï-lama


Le nazisme économique : faire fonctionner l'économie européenne en fonction des besoins allemands :
https://bouddhanar.blogspot.fr/2011/08/lordre-nouveau-ne-date-pas-daujourdhui.html
 

Christianophobie

  Vintimille, le mystère du visage de Jésus utilisé comme toilettes par des migrants
Ventimiglia, il mistero del volto di Gesù usato come wc dai migranti



Selon le site italien riviera24, dans un camp sauvage le long du lit d’une rivière, le Roja, proche de la ville italienne de Vintimille à la frontière italo-française, des migrants ont utilisé une tête de Jésus comme WC.

Les migrants qui arrivent de l’île de Lampedusa, point d’entrée de l'Europe depuis la Libye sont majoritairement des Soudanais et des Erythréens.

Dans une étrange lettre adressée à Vasile Lovinescu le 19 mai 1936 du Caire, René Guénon écrit :

 
« À propos de la contre-initiation, je pense que vous avez vu ce que j’ai écrit l’an dernier sur les « sept tours du diable », dans le compte rendu du livre de Seabrook où il est question de celle qui se trouverait chez les Yezidis, c’est à dire dans l’Iraq. Pour les autres, on parle de certaines régions situées vers les confins de la Sibérie et du Turkestan ; il y a aussi la Syrie, avec les Ismaïliens de l’Agha-Khan et quelques autres sectes assez suspectes ; puis le Soudan, où il existe, dans une région montagneuse, une population « lycanthrope » d’une vingtaine de mille individus (je le sais par des témoins oculaires) ; plus au centre de l’Afrique, du côté du Niger, se trouve la région d’où venaient déjà tous les sorciers et magiciens de l’ancienne Égypte (y compris ceux qui luttèrent contre Moïse) ; il semble qu’avec tout cela on pourrait tracer une sorte de ligne continue, allant d’abord du nord au sud, puis de l’est à l’ouest, et donc le côté concave enserre le monde occidental.

Naturellement, cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas d’autres centres plus ou moins importants en dehors de ces lignes ; vous parliez de Lyon, et il y a sûrement aussi quelque chose en Belgique. Quant à l’Amérique, le point le plus suspect semble bien être la Californie, où se rassemblent tant de choses hétéroclites ; il est vrai qu’il s’agit surtout d’organisations pseudo-initiatiques, mais il y a sûrement quelque chose d’autre qui les mène, même à leur insu ; l’utilisation de la pseudo-initiation par des agents de la contre-initiation, dans bien des cas, apparaît comme de moins en moins douteuse. »


Dans un autre courrier daté du 22 avril 1932, René Guénon confirme l'existence de cette population de lycanthropes affiliés à la divinité égyptienne à tête d'âne connue sous les noms de Seth et de Typhon : 


 « Cela semble d’ailleurs s’être réfugié en grande partie dans certaines régions du Soudan, ou il y a des choses vraiment peu ordinaires : ainsi, il paraît qu’il y a une région ou tous les habitants, au nombre d’une vingtaine de mille, ont la faculté de prendre des formes animales pendant la nuit ; on a été obligé d’établir des sortes de barrages pour les empêcher d’aller faire au dehors des incursions pendant lesquelles il leur arrivait souvent de dévorer des gens.

Je tiens la chose de quelqu’un de très digne de foi, qui a été dans le pays et qui a eu même un domestique de cet espèce, qu’il s’est d’ailleurs empressé de congédier dès qu’il s’en est aperçu. »



Pour en savoir plus sur René Guénon et les sept tours du diable :
 

jeudi, mai 04, 2017

Les tribus perdues d'Israël et les similitudes entre le judaïsme et le bouddhisme tibétain



Fred Alan Wolf (from the film "Dalai Lama Renaissance") speaks about Tibet being one of the "Lost Tribes" of Israel, and the similarities of Jewish culture (Judaism) and Tibetan culture (and Tibetan Buddhism).


Le pape Pie V justifia l'expulsion des juifs des Etats pontificaux en 1569 de la manière suivante :
« Ils séduisent beaucoup de personnes faibles et imprudentes avec leurs illusions sataniques, leur prédictions, leurs charmes et leurs tours de magie et sortilèges, et leur font croire que le futur peut être prédit, que les produits volés et les trésors cachés peuvent être récupérés, et que tout peut être expliqué. » Source : The Devil and the Jews (Le Diable et les Juifs) du rabbin Joshua Trachtenberg (1904-1959).
Les occultistes tibétains prétendent qu'il est possible d'obtenir le pouvoir de découvrir les trésors cachés, grâce à un onguent sur les yeux (añjana). Comme les rabbins alchimistes, ils cherchent le secret d'une recette magique (rasarasyana) permettant de transmuer les métaux en or...

Les juifs furent accusés de collusion avec les envahisseurs mongols aux frontières orientales. 




Témoignages 

« J'ai grandi juif, je n'ai pas toujours compris le sens réel des traditions familières. Mais après avoir commencé à étudier et à pratiquer le bouddhisme, je suis venu à comprendre les rituels juifs... »

« Les Juifs ont les Dix Commandements. Les bouddhistes ont les dix actions destructrices, les cinq actes odieux et les cinq préceptes... »

« Au niveau le plus ésotérique, de nombreuses pratiques sont similaires... »

mardi, avril 25, 2017

Le peuple et ses représentants

La « race de l'homme fuyant »





L'Etat et le souverain intérieur

Dès les temps antiques on a reconnu qu'il existait une analogie entre l'être humain et cet organisme plus grand qu'est l'État. La conception traditionnelle de l'État - conception organique et articulée - a toujours reflété la hiérarchie naturelle des facultés propres à un être humain au plein sens du terme, chez lequel la partie purement physique et somatique est dominée par les forces vitales, celles-ci obéissant à la vie de l'âme et au caractère, tandis qu'on trouve au sommet de tout l'être le principe spirituel et intellectuel, ce que les stoïciens appelaient le souverain intérieur, l'"egemonikon".

Régression démocratique


En fonction de ces idées, il est évident que toute forme de démocratie se présente comme un phénomène régressif, comme un système dans lequel tout rapport normal est renversé. L'egernonikon est inexistant. La détermination vient du bas. II y a carence de tout centre véritable. Une pseudo-autorité révocable et au service de ce qui est en bas - à savoir l'aspect purement matériel, « social », économique et quantitatif d'un peuple - correspond, selon l'analogie signalée plus haut, à la situation suivante dans le cas d'un être individuel : un esprit et un principe spirituel qui n'auraient d'autre raison d'être que de représenter les besoins du corps, qui seraient en somme au service de celui-ci.

L'avènement de la démocratie est quelque chose de bien plus profond et bien plus grave que ce qu'elle paraît être aujourd'hui du seul point de vue politique, c'est-à-dire l'erreur et la prétention infiniment stupide d'une société qui creuse sa propre tombe. En effet, on peut affirmer sans nul doute que l'atmosphère « démocratique » est telle qu'elle ne peut exercer, à la longue, qu'une influence régressive sur l'homme en tant que personnalité et jusque sous les aspects proprement « existentiels » : précisément parce qu'il y a, comme nous l'avons rappelé, des correspondances entre l'individu comme petit organisme et l'État comme grand organisme.



La race de l'homme fuyant


Cette idée se trouvera confirmée par l'examen de différents aspects de la société naturelle. On sait que Platon disait qu'il était bon que les individus ne possédant pas de maître intérieur en trouvassent au moins un en dehors d'eux-mêmes. Or, à tout ce qui a été présenté comme la « libération » de tel ou tel peuple, mis au pas en réalité, parfois même en recourant à la violence (comme après la Deuxième Guerre mondiale), pour jouir du « progrès démocratique » qui a éliminé tout principe de souveraineté, d'autorité véritable et d'ordre venant d'en haut, correspond aujourd'hui, chez un grand nombre d'individus, une « libération » qui est élimination de toute « forme » intérieure, de tout caractère, de toute droiture ; en un mot, le déclin ou l'absence, chez l'individu, de ce pouvoir central que les Anciens appelaient "egemonikon". Et ce, non seulement sur le plan éthique, mais aussi dans le domaine des comportements les plus quotidiens, sur le plan de la psychologie individuelle et de la structure existentielle. Le résultat, c'est un nombre toujours croissant d'individus instables et informes, c'est l'invasion de ce qu'on peut appeler la race de l'homme fuyant. C'est une race qui mériterait d'être définie plus précisément que nous ne saurions le faire ici, et sans hésiter à recourir à des méthodes scientifiques, expérimentales.

Le type d'homme dont nous parlons n'est pas seulement rétif à toute discipline intérieure, n'a pas seulement horreur de se mettre en face de lui-même, il est également incapable de tout engagement sérieux, incapable de suivre une orientation précise, de faire preuve de caractère. On peut dire qu'en partie il ne le veut pas et qu'en partie il ne le peut pas. En effet, il est intéressant de noter que cette instabilité n'est pas toujours au service de l'intérêt personnel sans scrupules, n'est pas toujours l'instabilité de celui qui dit : « Nous ne sommes pas à une époque où l'on puisse se payer le luxe d'avoir du caractère ». Non. Dans plusieurs cas ce comportement agit même au détriment des personnes en question. II est d'ailleurs significatif que ce type humain affaibli apparaisse aussi bien dans des pays où la race et la tradition ne lui étaient guère favorables (nous pensons surtout à l'Europe centrale et aux pays nordiques et, dans une certaine mesure, à l'Angleterre), que dans des classes, comme l'aristocratie et l'artisanat, dont les représentants surent garder, jusqu'à une époque récente, une certaine forme intérieure.



Le sens de l'honneur

Le déclin de tout « honneur professionnel » - honneur qui a été une manifestation précieuse, dans le domaine pratique, de la conscience morale et même d'une certaine noblesse - relève en effet du même processus de désagrégation. La joie de produire, selon son art propre, en donnant le meilleur de soi-même, avec enthousiasme et honnêteté, cède le pas à l'intérêt le plus immédiat, qui ne recule ni devant l'altération du produit ni devant la fraude. Exemple caractéristique parmi tant d'autres : les fraudes alimentaires, plus répandues et plus cyniques que jamais, qui relèvent moins d'une irresponsabilité criminelle que de la manœuvre louche, de la chute de niveau intérieur, du manque de tout sens de l'honneur, ce sens de l'honneur que possédaient, en d'autres temps, même les corporations les plus humbles. (Dans un autre domaine, on assiste, parallèlement à l'industrialisation, à la prolétarisation et au chantage social de la « classe ouvrière », de ceux qui ne sont plus que de simples « vendeurs de travail »).



L'altération de la structure psychique

Nous avons dit que ce phénomène ne concerne pas seulement le domaine moral. L'instabilité, le côté évasif, l'irresponsabilité satisfaite, l'incorrection désinvolte se manifestent jusque dans les banalités de tous les jours. On promet une chose - écrire, téléphoner, s'occuper de ceci ou de cela - et on ne le fait pas. On n'est pas ponctuel. Dans certains cas plus graves, la mémoire même n'est pas épargnée : on oublie, on est distrait, on a du mal à se concentrer. Des spécialistes ont d'ailleurs constaté un affaiblissement de la mémoire parmi les jeunes générations : phénomène qu'on a voulu expliquer par différentes raisons bizarres et secondaires, mais dont la vraie cause est la modification de l'atmosphère générale, laquelle semble provoquer une véritable altération de la structure psychique. Et si l'on se souvient de ce qu'a écrit Weininger avec pertinence sur les rapports existant entre l'éthique, la logique et la mémoire, sur la signification supérieure, non purement psychologique, de la mémoire (la mémoire est en relation étroite avec l'unité de la personnalité, par la résistance qu'elle offre à la dispersion dans le temps, dans le flux de la durée ; elle a donc aussi une valeur éthique et ontologique, et ce n'est pas pour rien qu'un renforcement particulier de la mémoire a fait partie de disciplines de la haute ascèse, dans le bouddhisme par exemple), on saisira les implications les plus profondes de ce phénomène.

Qui plus est, le mensonge, le mensonge gratuit, sans même un véritable but, fait naturellement partie du style de l'homme fuyant ; on est ici en présence d'un de ses traits spécifiquement « féminins ». Et si l'on fait remarquer à un représentant de cette race de l'homme fuyant un tel comportement, l'individu s'étonne, tant ce comportement lui semble naturel, ou bien se sent agressé et réagit de manière quasiment hystérique. Car on ne veut pas être « dérangé ». Chacun pourra constater, dans le cercle de ses relations, cette sorte de névrose, pour peu qu'il y prête attention. Et l'on pourra ainsi remarquer combien certaines personnes qu'on avait l'illusion de considérer comme des amis sont devenues aujourd'hui, après la guerre, absolument méconnaissables.



Le peuple et ses représentants sont malades


Quant à l'univers des politiciens, avec ses combines et la corruption qui ont toujours caractérisé les démocraties parlementaires mais qui sont encore plus évidentes aujourd'hui, ce n'est même pas la peine d'en parler, tant la race de l'homme fuyant, identique au-delà de toute la diversité des étiquettes et des partis, s'y meut à son aise. Il faut en effet observer que, très souvent, ne font pas exception ceux qui professent des idées « de droite », parce que chez eux ces idées occupent une place à part, sans rapport direct et sans conséquence contraignante, avec leur réalité existentielle. II vaut mieux faire allusion à une certaine corruption courante, dans le domaine sexuel notamment, qui se répand parmi les jeunes générations « émancipées » et qui relève plus ou moins de la « dolce vita ». Elle ne correspond à rien de positivement anticonformiste, elle n'est pas l'affirmation d'une liberté supérieure, d'une personnalité plus prononcée. Elle est l'effet d'un simple laisser-aller, d'une passivité, d'une banale chute de niveau - autant de choses sur lesquelles nous reviendrons lorsque nous examinerons l'arrière-plan de certains courants idéologiques actuels prônant la « liberté sexuelle ». La place où devrait trôner le « souverain intérieur », éventuellement pour opposer la pure loi de son être à toute loi extérieure, à toute hypocrisie et à tout mensonge (Stirner, Nietzsche, Ibsen), cette place est vide. On vit au jour le jour, de manière stupide somme toute. D'où, dans les rares moments de prise de conscience, le dégoût et l'ennui.

Absence d'autorité, de vrais chefs, à l'extérieur, dans le domaine de l'État – et absence de forme intérieure chez les individus : les deux choses sont solidaires, l'une corrobore l'autre, au point de faire penser qu'il s'agit peut-être de deux aspects différents d'un phénomène unique de nos temps évolués et démocratiques.


Julius Evola, L'Arc et la Massue.


Lire un extrait de « Chevaucher le tigre » de Julius Evola :
https://bouddhanar.blogspot.fr/2010/12/le-nouveau-spiritualisme.html



Emmanuel Macron, selon Alain Minc


"Nous ne sommes qu'au premier tour mais Emmanuel Macron veut déjà fêter sa victoire. Ses conseillers les plus proches ont tous reçu le même SMS, les conviant après son discours au restaurant parisien La Rotonde, boulevard Montparnasse (Paris, XIVe). [...]

Étaient notamment présents autour du candidat : Jacques Attali, François Berléand, Stéphane Bern, Daniel Cohn-Bendit, l'écrivain Erik Orsenna, l'architecte Roland Castro et l'actrice Line Renaud."



Présidentielle : Macron fête sa qualification à La Rotonde Montparnasse 
(à droite avec Attali).






jeudi, avril 20, 2017

les Témoins de Jéhovah, un pouvoir occulte agit derrière cette organisation




« Des Témoins de Jéhovah, des faux témoins, nous n'en voulons pas, parce que nous refusons toute relation avec les amis de l'antéchrist ! des Témoins de Jéhovah, nous n'en voudrons jamais ! »
Abbé Paul Lacouline




Dans son livre, « Témoins de Jéhovah, les missionnaires deSatan », Robin De Ruiter aborde « les origines de ses premiers dirigeants, ses fondements historiques, sa doctrine, ses liens avec la Franc-maçonnerie, son rôle précurseur et déterminant dans le sionisme, la collaboration de son élite avec l’Allemagne national-socialiste, ses relations avec l’église de Scientologie, ainsi que les techniques de Contrôle mental, ses rites sataniques et les nombreux cas de pédophilie ».

Une secte pédophile

« Dans le numéro du 1er janvier 1986 de La Tour de Garde (version allemande), page 13, écrit De Ruiter, la direction de la secte reconnaît que des personnalités de la direction ont des attirances homosexuelles, échangistes et pédophiles.

Le journal norvégien Billedbladet NÅ du 5 octobre 1989, avertit que les dirigeants ayant des mœurs sexuelles dépravées, ne sont pas exclus de la hiérarchie. D’après l’article, les Témoins de Jéhovah norvégiens dissimuleraient un problème qui se manifeste dans leur rang. Le journaliste Jan Fiksdal évoque les pratiques pédophiles d’un éminent membre norvégien, qui doit comparaître devant le Comité de justice des Témoins de Jéhovah. Bien que l’homme ait besoin d’une aide médicale, le comité n’en informe pas la police. Le pédo-criminel poursuit donc ses pratiques répugnantes, car la Société de la Tour de Garde n’a jamais puni l’individu par une mesure d’exclusion, ni ne prit aucune sanction disciplinaire. Bien au contraire ! L’année suivante, en 1990, il abusera de treize autres enfants. Le 14 juillet 2002, un documentaire de la BBC, qui sera repris aux États-Unis par les chaînes CBS, CNN et par le très «respectable » New York Times, établit - sur les témoignages de Bill Bowen ayant passé vingt ans au sein de la secte et qui fut élevé à la distinction d’Ancien -, l’existence d’un fichier secret faisant état de 23 720 cas de pédophilie au sein de la Société de la Tour de Garde. Bill Bowen déclare que les « pédophiles sont protégés par le système [la secte]. »

Une justice parallèle pour les Témoins de Jéhovah pédophiles 


Par Pasquale Turbide

Ils sont polis et cognent à votre porte le samedi matin. Mais on en connaît peu sur eux. Saviez-vous que les Témoins de Jéhovah ont leur propre système de justice? Des tribunaux internes qui interprètent la Bible de façon stricte… et qui ont parfois pour effet de protéger des pédophiles.

Mélanie Poirier avait 10 ans lors de son premier cours de piano. La séance a duré une heure et elle a changé sa vie. C’est ce jour-là que son professeur l’aurait agressée sexuellement pour la première fois.

« Semaine après semaine, à tous les cours de piano, il se masturbait devant moi. Et il me demandait de le toucher », se souvient-elle. Pendant ce temps, son père attendait dans la pièce à côté, sans savoir ce qui se passait.

Les cours de piano ont duré cinq ans, et les agressions présumées aussi, selon Mélanie, qui ne se sentait pas capable de dénoncer son professeur, Témoin de Jéhovah lui aussi : « Si j’étais allée raconter cette histoire seule, ça n’aurait rien donné du tout. Je n’aurais pas été crue, les anciens ne se seraient même pas arrêtés à écouter mon histoire ».

Les « anciens » sont un groupe d’hommes qui forme le premier palier de la structure de pouvoir des Témoins.

Elle conservera son secret près de 20 ans jusqu’à ce qu’elle rencontre une autre victime présumée de son professeur de piano. Ensemble, elles le dénonceront à leur congrégation.

Un « comité judiciaire » est alors convoqué pour chacune. Il s’agit d’un tribunal interne où un panel de trois anciens doit déterminer si des principes bibliques ont été enfreints. Les dénonciations, à la police ou à la Direction de la protection de la jeunesse, ne sont pas expressément interdites. Mais elles ne sont pas encouragées à moins que les lois locales ne les rendent obligatoires.

Avant d’obtenir justice devant les siens, Mélanie devra toutefois subir une autre épreuve : confronter son présumé agresseur, un décret basé sur une citation biblique.

« Je pensais que ça serait difficile. Ça n’a pas été difficile. Ça a été la catastrophe », se rappelle-t-elle.




Son professeur était un ancien, l’un des membres les plus influents de la congrégation en banlieue de Montréal à laquelle appartenaient aussi Mélanie et sa famille.

Ce sont les anciens, des ministres laïques, qui guident la congrégation et mènent la prière. Ils décident aussi du sort des fidèles accusés de péchés graves, et peuvent recommander leur expulsion.

Mais grâce au témoignage de Mélanie, et à celui de la seconde présumée victime, son professeur est banni des Témoins de Jéhovah, la punition usuelle pour les délits graves. Elle devra toutefois le confronter trois fois, car deux appels ont été nécessaires.

Son professeur a été rapidement réintégré dans une autre congrégation. Pourtant, il n’a jamais avoué ni démontré de repentir, des conditions nécessaires à sa réintégration.

Pour Mélanie et son père Benoît, ce retour en grâce ajoute l’insulte à l’injure.


Selon Mélanie, les Témoins de Jéhovah sont toujours une organisation dangereuse pour les enfants.

Nous avons contacté l’ancien professeur de piano de Mélanie. Il a nié ces allégations et a refusé de répondre à nos questions. Une plainte à la police de Laval a été déposée contre lui il y a quelques semaines.


« As-tu aimé ça ? »


Agressée pendant plusieurs années par une personne de son entourage, Marie-Claude Lavoie avait 14 ans lorsqu’elle s’est confiée à des copines Témoins de Jéhovah comme elle.

À l’époque, un comité judiciaire est convoqué, auquel son présumé agresseur ne sera pas convié, car il n’est pas Témoin lui-même. Marie-Claude doit donc se présenter seule, sans l’appui de sa mère. Les femmes n’ont pas le droit d’assister à ces comités ni d’accéder à quelque poste décisionnel que ce soit.

Les trois anciens, tous dans la quarantaine, auraient commencé la rencontre en lui rappelant qu’elle aurait dû se battre jusqu’à la mort et qu’elle ne semble pas assez traumatisée.

Les choses ne seraient pas améliorées par la suite. On lui demande de tout raconter… et même plus.



« Est-ce que tu as aimé ça? », une question humiliante, mais qui ressemble étrangement à une autre question que les anciens étaient tenus de poser dans ce genre de forum. La question numéro 9 du formulaire Abus sexuel d’enfant : « Combien d’anciens estiment que la victime est à blâmer ou a volontairement participé aux actes? »

Une copie d’un formulaire plus récent doit être envoyée au quartier général des Témoins de Jéhovah de chaque pays lorsqu’une victime fait des allégations de ce type.

La règle des deux témoins


La « règle des deux témoins », un des principes fondamentaux des Témoins de Jéhovah : il faut deux témoins – ou un aveu - pour qu’une dénonciation soit retenue par les anciens.

C’est ce qu’a constaté - avec horreur - la mère d’un petit garçon de cinq ans qui aurait été victime d’agression sexuelle par un ancien lors d’un voyage de pêche avec son père. Elle nous raconte le retour de son fils et ce qu’il aurait subi ensuite…




Personne n’avait été témoin des incidents et l’abuseur présumé n’a pas été inquiété.

La mère a contacté les autorités, puis a retiré son signalement, craignant de traumatiser son fils à nouveau. Incapable d’accepter la décision des anciens, elle a fini par quitter les Témoins de Jéhovah. Son fils en fait toujours partie et elle n’a plus de contact avec lui.

Ceux qui salissent l’organisation


Mélanie et son père Benoît ne sont plus Témoins de Jéhovah. Benoît, lui-même ancien pendant plus de 10 ans et ex-ami de l’agresseur, ne s’est jamais remis de la façon dont sa fille a été traitée par l’organisation.

Il lance aujourd’hui un émouvant appel à ceux et celles qui hésitent encore à parler.


Qui sont-ils ?


Les Témoins de Jéhovah sont un mouvement religieux apocalyptique, qui fait la promotion d’un mode de vie conservateur basé sur le respect des principes bibliques. Ses fidèles sont convaincus que la fin du monde, l’Harmaguédon, est à nos portes. Ils se mélangent peu au reste de la société, mais ne vivent pas dans des communautés fermées. En général, leurs enfants fréquentent les écoles de leur quartier.

Ils sont 8 millions dans le monde, 115 000 au Canada.

C’est un mouvement hautement hiérarchisé. Il est contrôlé par la société Watchtower, dont le quartier général était situé dans le quartier new-yorkais de Brooklyn, jusqu’à son récent déménagement dans une partie plus rurale de l’État.

Watchtower vaut plus d’un milliard de dollars. C’est un empire financier construit sur un impressionnant portefeuille immobilier et sur la publication des célèbres magazines La Tour de garde.

Les instructions aux fidèles émanent du Collège central, un groupe de sept hommes âgés considérés comme le canal de Dieu sur Terre. Ces instructions, qui régissent les moindres aspects de la vie des Témoins, font l’objet de révisions constantes contenues dans des documents confidentiels destinés aux fidèles, et surtout aux anciens.

Chaque salle du Royaume, leurs lieux de cultes, contient des dossiers sur les transgressions des fidèles, mais qui leur sont inaccessibles. Les rares dossiers obtenus l’ont été grâce à des mandats de perquisition.

Ailleurs dans le monde

En Australie, une commission royale d’enquête a fait une découverte étonnante en ouvrant les dossiers d’agressions sexuelles présumées conservés dans les coffres du quartier général des Témoins de Jéhovah de Sydney. Sur 1006 cas d’abuseurs sexuels présumés, aucun n’avait été dirigé vers la police ou la protection de l’enfance.

En Californie, la cour a ordonné cette année à la société Watchtower de remettre sa liste de pédophiles, construite à partir des documents détenus par la société. Depuis 1997, la direction des Témoins exige que chaque dénonciation d’un fidèle soupçonné de pédophilie soit envoyée au quartier général.

Dans un mémo confidentiel aux anciens, Watchtower leur demande même d’envoyer ces informations dans des « enveloppes bleues spéciales ».

C’est d’ailleurs en Californie que la première décision civile reconnaissant la responsabilité des Témoins de Jéhovah dans l’abus sexuel d’un enfant a été rendue. Des dommages de 28 millions de dollars – réduits en appel - ont été accordés à la plaignante Candace Conti, agressée par un Témoin pédophile connu qui faisait du porte-à-porte avec elle.

Depuis le 1er août 2016, certains assouplissements ont été décrétés dans les instructions aux anciens. Par exemple, une victime d’abus sexuels ne serait plus obligée de confronter son agresseur présumé.

Nous avons rejoint le quartier général des Témoins de Jéhovah à Toronto. On a refusé de répondre à nos questions et on nous a redirigés vers leur site Internet.

vendredi, avril 14, 2017

Le mormonisme « compatible avec les valeurs de la République »

Le premier temple mormon de France, l'entrée est interdite aux non-initiés.



La République satano-maçonnique de France accueille les enfants des veuves (le prophète du mormonisme avait entre 30 et 40 femmes).


A deux pas du Château de Versailles, les mormons ont inauguré leur premier temple en France le vendredi 7 avril 2017, en présence de Mitt Romney, candidat républicain à la présidentielle américaine de 2012, l'un des fidèles les plus célèbres du mouvement.



Un bâtiment de 7000 mètres carrés pour une religion "compatible avec les valeurs de la République", selon le maire LR du Chesnay qui accueille le temple.




L'Eglise des Mormons




par Robin De Ruiter




« La Chase Manhattan Bank des Rockefeller a donné beaucoup d'argent au mouvement des Mormons !

L'Eglise des Mormons, dont le siège est à Salt Lake City, porte aussi le nom de « Church of Jesus Christ of Latter Day Saints. »


Les Rothschild, Rockefeller, l'Eglise de Scientologie, le B'nai B'rith et même le Prieuré de Sion entretiennent des liens étroits avec l'Eglise des Mormons ! [...]

Joseph Smith Jr. a subi l'initiation formelle de Sight, le 15 mars 1842. Le jour suivant, il était accepté au 33e grade du Rite écossais. À partir de ce jour, l'Église des Mormons s'est transformée en une société secrète avec les même symboles et pactes de sang et évidemment les mêmes punitions cruelles pour ceux qui oseraient trahir les « secrets du Temple ». On peut voir dans les temples des Mormons les symboles caractéristiques des francs-maçons : le triangle, le compas, l'équerre. Joseph Smith a consacré les mystères païens sous forme maçonnique, au nom du véritable christianisme !

Les personnes qui se sont consacrées à l'étude des rites de la sorcellerie avant de tomber sur les Mormons ou les francs-maçons, ont fait tout de suite le parallèle entre les rites d'initiation et autres similitudes qui relient la sorcellerie et cette église.

En observant les Mormons, on s'aperçoit qu 'ils ont toujours eu un penchant pour la magie. Le Dr. Reed Durham, président de la Mormon History Association, a déclaré en 1974 qu 'il avait découvert les activités les plus secrètes, occultes et ésotériques de Joseph Smith. Jr. Le Dr. Durham parlait d'un médaillon maçonnique magique, qu'il avait identifié comme étant un talisman de Jupiter, qui appartenait à Joseph Smith Jr., et dont il était complètement possédé. Il a travaillé toute sa vie avec ce médaillon, on l'a trouvé sur lui quand il est mort en « martyre ». La vertu de ce talisman était de pouvoir faire appel à l'intelligence du « ciel », pour aider son détenteur dans toutes ses démarches.

Les objets magiques que possèdent la famille Smith encore aujourd'hui sont trois parchemins magiques, le médaillon au pigeon maçonnique, un autre talisman, certainement le sceau magique de Jupiter, une sacoche magique, un mouchoir et une amulette qui ont des propriétés de guérison.
Un invité de la maison Smith a écrit en 1830 : « Comme nous l'avons appris de sa bouche, Joseph Smith Senior croyait fermement à la sorcellerie et aux autres activités surnaturelles, il a éduqué sa famille dans la foi envers ces choses-là. »

Le plus grand sorcier druide d'Amérique du Nord a donné à un de ses élèves, William Schnoebelen, le conseil d'entrer dans l'Église des Mormons et de participer aux rituels du temple, s'il voulait pratiquer les plus hauts grades de la magie blanche.

Pour nous, il est important de savoir que le temple des Mormons n'est pas seulement considéré par les gens de l'extérieur comme un lieu de cérémonie de sorcellerie, mais aussi par les programmeurs du projet Monarque. Une telle collaboration ne peut être autorisée que par la « First Presidency » .

Les Mormons s'adonnent également à des rituels sataniques dans leurs églises et temples, si l'on croit Glenn L. Pace et son livre « Second Counselor in the Presiding Bishopric of the Mormon Church ».


Le satanisme est très répandu chez les Mormons, en Utah on a recensé 37 cas déclarés, en Idaho 32 au Mexique, 4 en Californie. Les racines des Mormons sont plus proches du satanisme que du christianisme. Une des caractéristiques les plus marquantes du satanisme est la tradition qui consiste à sceller tout ce que l'on fait. Tout doit être impérativement scellé. Les hommes et les femmes mormons sont scellés les uns aux autres au cours des cérémonies du mariage. Les premiers mormons étaient scellés avec plusieurs épouses. Cette pratique se retrouve dans la sorcellerie. Les mormons l'appellent « handfasting ».

Les dirigeants mormons et les premiers disciples avaient les mêmes ancêtres. Selon leur propre généalogie, ils descendent de la dynastie des Mérovingiens (13e lignée satanique).


L'emblème des Mérovingiens était l'abeille. C'est également, l'emblème de l'Etat de l'Utah et un symbole très répandu chez les Mormons.

Une descendante de Joseph Smith Jr., qui a été elle-même victime de rituels sataniques, a reconnu que sa famille était originaire d'une lignée satanique.

On peut remonter 200 ans la liste des dirigeants mormons, quand les premiers colons sont arrivés en Nouvelle Angleterre. Les Smith, Goddard, Richard, Young et Kimball faisaient partie de la même famille. C'est à l'intérieur de cette famille qu'est né le mouvement. Les familles qui constituaient le premier noyau du mormonisme ont émigré duConnecticut vers le Vermont, puis à Palmyra (État de New York). Ils étaient tous cousins et prétendaient être juifs. Au cours de leur séjour dans le Vermont, quelques membres de cette grande « tribu » ont fondé une fraternité religieuse, que des gens de l'extérieur ont baptisé « Fraternity of Rodmen ». Leur objectif était de reconstituer la « vraie religion » et de régner un jour sur les États-Unis. Curieusement, personne ne s'est intéressé à cet épisode de l'histoire, quand ces hommes sont devenus plus tard les premiers Mormons.

Les Mormons possèdent le plus grand ordinateur du monde, il se trouve dans une installation souterraine à Salt Lake City. Il est fait pour résister à une attaque nucléaire. L'ordinateur garde en mémoire la généalogie de toutes les familles qui peuplent la Terre. Même s'il doit y avoir de nombreuses lacunes dans les archives historiques, les Mormons ont fait un travail énorme. Ils ont sillonné la Terre entière à la recherche de toutes les archives généalogiques qu'ils pouvaient trouver et les ont photographiées. Des bénévoles ont passé des millions d'heures pour entrer les données dans l'ordinateur et les classer. On fait croire aux Mormons que c'est pour baptiser les morts que l'on fait tout ce travail. En réalité, ces données servent directement aux grands frères du Nouvel ordre mondial, pour mieux nous contrôler. »


Robin De Ruiter « LE LIVRE JAUNE 7 : Les 13 lignées sataniques (Edition modifiée) : La cause de la misère et du mal sur Terre ».



Ado attardé ou président punk, Donald Trump doit obéir



Les revirements politiques de Donald Trump sont-ils dictés par la structure secrète qui dirige les Etats-Unis ? (Le professeur Peter Dale Scott retrace l'histoire de ce pouvoir invisible dans son livre La route vers le nouveau désordre mondial.)





Le Monde bascule à nouveau dans la guerre

par Thierry Meyssan



La Maison-Blanche s'est finalement alignée sur la Coalition constituée par les néo-conservateurs autour du Royaume-Uni et de diverses sociétés multinationales. Les États-Unis reprennent la politique impérialiste qu'ils ont décidée en 1991 et réactivent l'Otan. La rupture avec la Russie et la Chine a été consommée le 12 avril 2017. Le monde est à nouveau au bord de la guerre nucléaire. 

Au cours de deux semaines d'intense bataille au sein de l'administration Trump, les États-Unis ont illégalement attaqué la base aérienne de Chayrat (Syrie), puis multiplié les signes contradictoires, avant d'abattre leurs cartes : en définitive, ils relancent leur politique impérialiste. 


En moins de deux semaines, l'administration Trump a défendu 7 positions différentes concernant la République arabe syrienne. 


Le 12 avril 2017, les États-Unis ont opéré leur grand revirement. 


Au même moment, le secrétaire d'État Rex Tillerson se rendait à Moscou pour tenter une dernière approche pacifique ; le conseil de Sécurité de l'Onu se réunissait et actait le clash ; le président Trump relançait l'Otan contre la Russie. 


Le conseiller spécial du président Trump, Steve Bannon, et son adjoint, Sebastian Gorka, se préparaient à rejoindre le général Michael Flynn, tandis que la presse jadis pro-Trump dressait le bilan de leur activité. La rumeur assure que le gendre du président, Jared Kushner, dispose désormais seul de l'oreille du président, sans que cette information soit vérifiable. 


Il semble que la Maison-Blanche ait basculé sous l'impulsion de Britanniques qui cherchaient à préserver par tous les moyens le système jihadiste qu'ils ont créé (Sous nos yeux : Du 11 Septembre à Donald Trump). Le ministre des Affaires étrangères Boris Johnson s'est appuyé sur les dirigeants européens qui s'étaient déjà laissés convaincre par les néo-conservateurs lors de la Conférence sur la sécurité, à Munich, le 19 février. 


Pour justifier l'agression d'un État souverain membre des Nations unies, Rex Tillerson ne pouvait que se référer à une synthèse des services de « Renseignement » US sur l'incident de Khan Shaykhun ; synthèse qui ne présente aucun indice permettant de suspecter la Syrie, mais renvoie à des informations classifiées, pour se conclure par un appel à renverser le « régime ». 


Le caractère irréversible de ce revirement se mesure à la lecture de la proposition de résolution déposée par l'Otan au Conseil de sécurité à laquelle la Russie a opposé son veto. Présentée en Occident comme une simple demande d'enquête neutre sur l'incident chimique de Khan Shaykhun, il s'agissait en réalité du placement de l'armée de l'Air syrienne sous le contrôle du numéro 2 de l'Onu, Jeffrey Feltman. Cet ancien adjoint d'Hillary Clinton, est l'auteur d'un plan de capitulation totale et inconditionnelle de la Syrie. 


Le texte de cette résolution reprend celui du brouillon déposé le 6 avril, mais que les États-Unis n'avaient pas soumis au vote, tant ils étaient alors peu sûrs d'eux-mêmes. Il ne tient pas compte de la tentative de médiation des membres élus du Conseil de sécurité, qui ont essayé de revenir à une demande normale d'enquête onusienne. 


Le principe du placement de l'armée de l'Air syrienne sous le contrôle de l'Onu reprend la tactique qui avait été mise en œuvre, il y a 19 ans, en 1998, contre la Serbie jusqu'à l'intervention militaire illégale de l'Otan. 


Le président Donald Trump a achevé son retournement en recevant à la Maison-Blanche le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg. Lors d'une conférence de presse commune, il a indiqué ne plus tenir l'Alliance pour obsolète, la remercier pour son soutien contre la Syrie, et s'apprêter à travailler étroitement avec ses alliés. 


En réponse, la Russie a annoncé avoir mis à jour 60 % de sa force nucléaire et se tenir prête à la guerre. 


Nous nous retrouvons donc six mois en arrière, lorsque les États-Unis de Barack Obama refusaient de travailler avec la Chine, la Russie et leurs alliés (Organisation de coopération de Shanghai et Organisation du traité de sécurité collective). Ils se proposaient alors de couper le monde en deux parties distinctes, ne communiquant plus du tout l'une avec l'autre. 




dimanche, avril 09, 2017

De l’incompatibilité de la Tradition et de la Nation


par Pierre-Yves Lenoble


Mélanger les concepts de Tradition et de nation, comme on le fait constamment dans de nombreux courants politiques de droite institutionnelle (qu’ils fussent agnostiques ou croyants) pour lesquels nous n’avons que mépris, est une pure et simple absurdité, une contradiction désolante, pour ne pas dire une compromission hypocrite de petits bourgeois avec le système : encore une énième illusion de la part des « toxicos » du bulletin de vote.

En clair, il n’est logiquement pas possible de se présenter en tant que traditionalistes (voire en guénoniens pour certains) et de prôner simultanément la défense énergique de la nation. Aussi, l’incompatibilité rédhibitoire entre Tradition et nation est somme toute assez simple : la première est d’origine supra-humaine et est portée par une autorité spirituelle justifiée, l’autre est seulement une création artificielle de l’homme et est portée par les pouvoirs temporels politico-financiers, l’une est sacrée (ou verticale), l’autre profane (ou horizontale).

Par là même, il est, selon nous, prioritaire de remarquer que la confusion de ces deux notions antagonistes a joué un rôle extrêmement néfaste et mortifère durant tout le XXe siècle en favorisant l’émergence de monstrueux systèmes étatiques collectivistes qui ont mis en avant l’orgueil national belliqueux, tout en prônant parallèlement (et paradoxalement) un retour à un modèle traditionnel, fantasmé et profané. Nous pensons bien entendu au bolchevisme russe qui voulait reconstituer le communisme primitif des premières sectes chrétiennes ; au fascisme qui rêvait d’Imperium romain sous les couleurs maçonniques de l’Italie ; au sionisme politique préparant grossièrement la descente ici-bas de la Jérusalem messianique et le retour du Paradis biblique ; au nazisme qui souhaitait infantilement rétablir la Thulé hyperboréenne des vieux Germains ; ou encore, au capitalisme ordomondialiste, collectivisme sans âme au même titre que les régimes précédents, singeant l’égalitarisme, l’universalisme, l’abondance et le transhumanisme d’un « âge d’or » antique périmé.

Pour bien comprendre l’antitradition foncière de l’idéologie nationaliste, il convient en priorité d’évoquer la nation française — la mère ou plutôt la matrone de l’antitradition moderne qui peut se glorifier de son faux monnayeur apostat Philippe le Bel, de la promotion de l’absolutisme centralisateur et mercantiliste, de sa sorcière/femen Jeanne d’Arc, de ses rois fous ou débauchés, de son coq luciférien, de sa soif vampirique de « sang impur » et son appétit colonisateur de terres sauvages « à civiliser », de son patronyme barbare venant de Franconie, de son drapeau aux couleurs du Commonwealth, de sa Marianne prostituée, de sa devise calquée sur celle de la Grande Loge d’Angleterre, de ses bonnets phrygiens d’esclaves affranchis, de ses départements issus du découpage administratif des loges jacobines, de ses 22 régions kabbalistiques, de son empereur auto-couronné, joujou préféré des banksters, fondateur de loges maçonniques à travers toute l’Europe… etc. —, cette luciférienne nation française qui, ne l’oublions pas, s’est élevée sur les ruines de la belle Chrétienté médiévale et a assis son pouvoir sur des immenses charniers de prêtres, de chevaliers et de justes.

En outre, nous tenons ici à citer Julius Evola — l’égérie des « camarades » crypto-communistes de la nouvelle droite et autres identitaires nazillons virtuels, tous en manque de virilité aristocratique — qui délivre une critique des plus virulentes contre le nationalisme et montre le rôle majeur joué par la France dans le processus de désacralisation démocrateuse du monde entier, elle qui enclencha en Occident la révolution bourgeoise républicaine et qui coupa la première la tête de son chef (pléonasme) légitime : « On peut dire que c’est justement pour avoir été une des premières à initier un tel bouleversement ; que la France, en donnant un caractère centralisateur et nationaliste à l’idée d’État, eut à subir, la première, l’écroulement du régime monarchique et l’avènement de la République, au sens d’une arrivée au pouvoir, résolue et déclarée, du Tiers-État, à tel point qu’elle apparut aux yeux des nations européennes comme le principal foyer de ferment révolutionnaire et de la mentalité laïque, nationaliste, illuministe, et donc mortelle pour les dernières survivances de la Tradition » (Révolte contre le monde moderne, 1934).

D’ailleurs, nous ferons observer au passage que c’est justement à cause de leurs côtés collectiviste, plébéien, démocratique, laïciste, socialiste et nationaliste empruntés aux « éternels principes » de la Révolution française, qu’Evola a fini par totalement désavouer les régimes nazis et fascistes malgré les quelques espoirs qu’ils avaient suscités chez lui, comme d’ailleurs chez les foules européennes manipulées.

De même, en se plaçant dans une optique plus large, il est primordial de rappeler le sens véritable des mots que nous employons. Ainsi, le terme de « nation » correspond à une notion tout à fait générique et désigne simplement la somme des natifs d’une contrée géographique quelconque. C’est un concept purement biologique et naturaliste dépourvu de signification supérieure, qui équivaut à la Matière, à la Quantité, s’opposant radicalement à l’ « État », concept ordonnateur tout spirituel, qui s’apparente à la Forme, à la Qualité. En somme, on peut dire que la nation est symboliquement féminine (passive, réceptive, lunaire), alors que l’état revêt quant à lui un caractère masculin (actif, directeur, solaire) ; en ce sens, la première est banale, elle reste toujours identique à elle-même quelles que soient les conditions de temps et de lieu, le second au contraire est différencié et changeant, puisque l’État, c’est-à-dire l’élite hiérarchique, constitue la locomotive socio-culturelle spécifique de tout groupe humain et est la seule organisation apte à conférer une typicité unique à chaque société.

Par analogie, nous avancerons que, même à une échelle réduite comme le village ou la tribu, la nation représente le bas peuple (femmes, enfants, vieillards, étrangers, voire esclaves : ce sont les laïcs, littéralement les « ignorants »), ceux à qui il est seulement demandé de suivre sa chefferie et de croire en sa prêtrise, alors que l’état se compose des chefs légitimes, ceux qui décident et qui savent (soit d’une aristocratie à la fois sacrale et guerrière, constituée par les hommes adultes initiés, tel le männerbund archaïque ou les moines-soldats du Moyen-âge : ce sont les clercs, littéralement les « savants »). La comparaison avec le composé anthropologique est peut-être encore plus parlante : la nation s’apparente ainsi au corps charnel (le véhicule inerte), l’état à l’âme intellective (le conducteur vivifiant). Ces trois aphorismes fulgurants de Gustave Le Bon nous viennent immédiatement à l’esprit : « Une collectivité n’a d’autre cerveau que celui de son meneur », « L’homme médiocre augmente sa valeur en faisant partie d’un groupe ; l’homme supérieur la diminue », et, « L’élite crée, la plèbe détruit ».


« Une collectivité n’a d’autre cerveau que celui de son meneur »
Gustave Le Bon

Aussi est-il bon de comprendre que la nation est assimilable au demos (« die masse » en vieil allemand, dirait notre ami Pierre), à la populace uniforme, à la foule indistincte livrée à elle-même, s’opposant à l’ethnos, le peuple véritable, circonscrit par des qualités et des valeurs communes imposées d’en haut par une élite. Lorsque celle-ci vient à disparaître ou est usurpée, la nation aura toujours la folle prétention de s’auto-gouverner, c’est là que naît la démocratie proprement dite, que l’on peut définir rapidement comme le règne marchand de la médiocrité quantitative, soit la phase historique terminale de toute société en voie d’effondrement.

Bien entendu, comme il est impossible d’être à la fois gouvernés et gouvernants, la démocratie (le soi-disant pouvoir du peuple, qui n’est autre qu’un vulgaire mantra hypnotique intégré par répétition) est un pur mensonge et se présente partout et toujours sous les traits d’une oligarchie bourgeoise ou d’une ploutocratie marchande. D’ailleurs, il faut bien voir que la mise en avant du concept de nation est intimement liée et toujours due à la classe bourgeoise parasitaire (les plus riches membres du peuple), dépourvue de noblesse, qui n’a que son capital économique à faire valoir et qui cherchera forcément à soumettre la masse via l’invention d’illusions réconfortantes (notamment celles d’ « égalitarisme », de « libéralisme », du « rationalisme », de l’ « humanisme »… etc.), de propagande et de basses promesses matérielles (devant se réaliser par le capitalisme, le productivisme, le collectivisme, le consumérisme… etc.). N’oublions pas cette mise en garde prophétique émise par le divin Platon dans sa République (564a) : « La tyrannie ne surgit et ne s’instaure dans aucun autre régime politique que la démocratie ; c’est de l’extrême liberté que sort la servitude la plus totale et la plus rude ». Nul n’est plus esclave que celui qui se croit libre sans l’être…

En guise de conclusion à cet article qui mériterait plus amples développements, nous dirons simplement que l’attitude visant à défendre la nation tout en prétendant remettre au goût du jour les valeurs traditionnelles, n’est qu’une « économie de pensée » de plus, qu’une voie de garage idéologique, et représente à nos yeux une très grave erreur qui entraînera progressivement le monde ― si une salutaire réaction n’est pas entreprise ― à sa dissolution finale : alors que la Tradition est la seule vision du monde apte à élever tout groupe anthropologique à la civilisation, en revanche, la diffusion de l’idée de nation, concept biologique sans qualité, est le signe d’une dégénérescence sociétale, d’un rabaissement de la collectivité au rang de bétail. L’une est anagogique, l’autre catagogique.

Nous tenons au final, afin de récapituler nos dires précédents, à reproduire ces quelques fines remarques de René Guénon quant à l’aspect antitraditionnel que revêt inévitablement le concept de nation, et quant au rôle historique sinistre joué par les divers nationalismes depuis la fin du Moyen-âge, vecteurs de division exponentielle et de guerre perpétuelle : « On a raison de dire que la formation de la « nation française », en particulier, fut l’œuvre des rois ; mais ceux-ci, par là même, préparaient sans le savoir leur propre ruine ; et si la France fut le premier pays d’Europe où la royauté fut abolie, c’est parce que c’est en France que la « nationalisation » avait eu son point de départ. (…) Les nations, qui ne sont que les fragments dispersés de l’ancienne « Chrétienté », les fausses unités substituées à l’unité véritable par la volonté de domination du pouvoir temporel, ne pouvaient vivre, par les conditions mêmes de leur constitution, qu’en s’opposant les unes aux autres, en luttant sans cesse entre elles sur tous les terrains ; l’esprit est unité, la matière est multiplicité et division, et plus on s’éloigne de la spiritualité, plus les antagonismes s’accentuent et s’amplifient » (Autorité spirituelle et pouvoir temporel, Trédaniel, 1984, p. 86-88).



Pierre-Yves Lenoble

Cet opuscule se propose de mettre en évidence le lien étroit qui existe entre les méthodes de gouvernance visant à contrôler, manipuler, asservir, affaiblir ou détruire une population donnée, et les ancestraux procédés occultes, c’est-à-dire les vieilles recettes magiques pour opérer sortilèges, envoûtements et autres maléfices... En clair, cette étude synthétique, s’appuyant sur des sources philosophiques et des illustrations factuelles issues de toutes les époques, montre bien que si les modes opératoires subversifs sont multiples et variés, en revanche leur principe directeur reste toujours le même : celui du chaos constructif qui consiste à créer le plus de désordre possible au sein d’une entité-cible, sans se faire voir et sans subir de choc en retour, pour d’autant mieux la reconfigurer dans un second temps.

Le livre se termine par le texte de la conférence lyonnaise de M. Salim Laïbi concernant la Ponérologie politique ; une mise en pratique de l'exposé de M. Pierre-Yves Lenoble.

Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...